Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
« elle n'en a jamais assez de faire connaissance »
Comme bien souvent, Opium rentré de sa chasse nocturne avec sa proie. Déposant son butin dans l'avion désormais défoncé à cause de l'explosion qu'il y a eu lieu il y a quelques jours de cela, l'espionne regarde encore l'étendu des dégâts. Elle se souvient de l'appel de son Alpha, elle avait fait échos à son appel pour avertir les autres et envoyer quelque chercher la guérisseuse de toute urgence. Hige fut gravement blessé mais, pas que. Torka, Blasphem, Helium et Nilaya furent aussi des victimes. L'oiseau métallique avait prit un sacré coup, tout comme leur réserve de nourriture. Travaillant d’arrache-pied pour aider les autres à rapporté de la nourriture, l'espionne décide de prendre un moment pour elle. Depuis la tombé de la nuit avait chassé jusqu'au levé du jour et, elle avait bien mérité de penser un peu à elle !
Piochant dans la réserve à moitié éclaté, elle fila manger son morceau de viande dans un coin, à l'extérieur de l'épave éventrée. Arrachant, mastiquant, dégustant, Opium profita du calme des environs pour manger sa pitance en paix jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'un tas d'os dont elle se débarrasse. S'étirant et s'ébrouant, la louve fila faire un tour avant de croiser une silhouette blanche. Au début et, si elle n'avait pas flairé l'air, elle aurait pu croire qu'il s'agissait de Eira mais, ce n'était pas elle mais Gallya. Trottinant, Opium rejoignit la louve, compagne de Torka. La pauvre doit probablement veiller le plus clair de son temps sur son compagnon. Voilà plus d'une dizaine de jours qu'elle étaient enfin libre des Hommes et, désormais, elle se doit de veiller son compagnon gravement blessé.
Opium ne savait pas grand chose de cette louve en réalité et, c'est normal après tout … Étant arrivé au sein de la meute tandis que la blanche se trouvait enfermé, elle sait toutefois qu'il s'agit de la compagne de Torka et, qu'elle est la mère de la petite peste d'Alkaïne. L'espionne décide d'aller se présenter à elle.
« Bonjour ! Désolé de te déranger mais, nous n'avons jamais eu l'occasion de faire connaissance depuis ton retour. Je me nomme Opium, Soupir de la Rose, espionne de la meute. »
Dit-elle d'un ton joyeux, la voix douce. Ses yeux vairons scrute la louve, Opium n'en a jamais assez de faire connaissance avec les autres !
– Réduit la gravité des Blessures reçues
– Augmente la gravité des Blessures de l'adversaire
BONUS CHASSE (Trait de faction)
– 2 proies au lieu d'une seule lors d'un 18 au dé
– 1 Lancer de dé de chasse supplémentaire
– +3 aux résultats du dé de chasse
Compétence d'élite :
Mar 1 Mar - 11:55
Up
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En savoir plus
Mer 9 Mar - 14:15
Gallya observa Opium. C'était un visage amical qu'elle pouvait voir. Enfin. Depuis qu'elle était revenue de chez les hommes. Elle n'avait pas eu le loisir de pouvoir faire grand chose de son temps libre. A peine revenue. Elle avait retrouve son compagnon blessé. Que la vie était belle. Gallya était fatiguée et lasse. La meute avait subit de graves blessures pour les libérer. Tout ça pour avoir été faible. S'être fait capturer par les hommes. Mettre ses compagnons en danger. Au final. La blanche ne comprenait pas rèelement pourquoi la meute était venue les sortir de la. Ils avaient tous prit de grands risques pour une poignée de loups.
Ses yeux caressérent du regard Opium. Tandis qu'elle semblait s'adoucir un peu. Les sombres idées qui avaient germes en elle filerent. Ce pourrait être plaisant de trouver un peu de soutien dans la meute. Elle qui ne connaissait pas grand monde. En fin de compte.
- Gallya. De mon côté. Mais je pense que tout le monde me connaît sans que, malheureusement, ce ne soit rèelement réciproque. Être là compagne du prince à ses qualités et ses défauts.