Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Ils m’ont poussé hors de l’usine. La lumière de dehors je ne l’aimais pas. Qu’étais-je supposé faire. Je n’aime pas ça. Dois-je avancé, est-ce un test pour voir si je suis fidèle. Douze est fidèle. Douze n’aime pas les hommes mais il l’est obéit. Un pas. Rien ne se passe. Deux pas. Rien à nouveau. Six et Onze m’ont répété que je suis libre. L..iib…re.. C’est quoi ? Je guettais l’horizon qui se dressait devant moi. Ces choses si haute qu’elle semble toujours le ciel. Mes yeux valsait en aller-retour. Six et Onze sont probablement déjà loin, je les vois maintenant que très peu. Troisième pas. Mes oreilles sont plaquées au sommet de mon crâne. Peut-être devrais-je… quatrième et Cinquième pas. Rien à nouveau. Je veut ma cage , il fait chaud la bas. Mon regard bruns se pose sur le reste de l’usine. Prise au cœur des flammes, elle me procure le seul support de chaleur dont j’ai besoin. Je recule d’un pas en m’éloignant. Douze doit partir loin d’ici. Douze doit se débrouiller tout seul. Mes pattes prirent le devant sur ma tête, comme si je les contrôlais plus. Douze est encore seul. Puis soudainement je panique. Je cours, mes muscles contusionnés me brûlent mais je cours. Douze doit courir. Les choses qui touchent le ciel, défilent à ma gauche et ma droite. Le sol est froid. La terre s’arrache sous mes pas. Ce n’est pas confortable. Puis… la douceur m’interpelle de plein fouet. Ce qui me pousse à arrêter et à observer cette douceur chaude et lisse. Le sol est devenu un amas de couleur brune. Je fronce les sourcils. Douze ne sait pas c’est quoi. Mais Douze sent que ce n’est pas dangereux. Cette masse douce s’étale au loin et procure a Douze, un calme serein. Je reste ainsi, car Douze ne sait que faire. Douze va attendre que la vie le frappe à nouveau. Douze est gentil.
– Réduit la gravité des Blessures reçues
– Augmente la gravité des Blessures de l'adversaire
BONUS CHASSE (Trait de faction)
– 2 proies au lieu d'une seule lors d'un 18 au dé
– 1 Lancer de dé de chasse supplémentaire
– +3 aux résultats du dé de chasse
Compétence d'élite :
Dim 21 Fév - 18:11
Personne. Je ne suis Personne
ft. douze
F. 95 A. 100 E. 71
Étonnement, il n'y a eu aucun gros problème à signaler depuis plusieurs jours. Cela m'avait presque manqué, le calme. Je n'y étais plus habituée. Depuis toute petite j'ai toujours eu à subir les accoues soit de la nature soit des loups : la Horde, les sous-terrains, le changement de meute, la guerre des meutes, le laboratoire, ... Les petits ont presque deux mois et seront bientôt sevrés, ils pourront découvrir les terres qui les entourent, avec ou sans moi. Cela me permet par la même occasion de moi aussi vivre de ma vie et de continuer mon apprentissage de guérisseur tout en étant toujours la générale des Navnik. Je profite d'une après-midi plutôt chaude pour la saison pour faire un tour sur les Dunes de sables, ce territoire si durement acquis. Le problème c'est que le seul loup présent là-bas à l'heure actuelle n'est pas des Navnik et, encore pire, il n'est d'aucune meute. Il ne porte aucune odeur que je puisse reconnaître, cela m'intrigue. Je ne sais quoi en penser. Est-ce une bonne chose ou pas ? Et lui, est-il un bon ou un mauvais ? De toute façon, nous n'allons pas tarder à le savoir.
« Qui es-tu ? »
Je veux surtout savoir qui il est avant de connaître pourquoi il est ici. Les territoires ne sont que des limites imaginaires que l'on se donne après tout, j'y attache de moins en moins d'intérêt et ne comprend plus ceux qui se battent pour elles. C'est tellement puéril.
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Mer 2 Mar - 7:37
Feat Anya ; Dune de Sable
F : 2 A: 3 E : 3
Et ainsi la vie ne tarde pas à frapper à nouveau Douze. Une silhouette dans son angle ,le fait violemment sursauter et son étonnement est encore plus flagrant quand il distingue les traits de cette louve en face de lui. Douze ne comprend pas et sa l'effraie. Tes oreilles se plaquent sur son crâne non pas par agressivité mais bien par crainte. La silhouette et cette voix lui permet de confirmer hors de tout doute que c'est une louve qui se trouve devant lui. Douze guette nerveusement les environs , encore un test ? POurtant cette femelle n'a pas de marque , ni même de numero de série. Comment les humains savent qui elle est, pourquoi n'a t-elle pas de trace de collier? Je recule. Douze n'aime pas ne pas savoir à quoi il a affaire. Il est habitué au mauvais surprise. C'est pourquoi il recule non sans cacher sa nervosité face à la blanche. Néanmoins , la question de la louve le tracasse. ; « Qui es-tu ? » Douze n'arrive pas à comprendre la question et recule un peu plus en plantant ces pattes dans la douceur de la texture brune , ce qui lui apporte un certain reconfort. Voyant qu'après quelques minutes de silence rien n'est venu le punir , Douze détends ses muscles non sans réticence. Il fixe la blanchâtre en se raclant la gorge encore nettement nerveux « Le douzième » Ce fût les seuls mots qui parvient à sortir de sa gueule, le son de sa propre voix le fît frissonner. Il attendit ainsi , la queue plaquer entre ses pattes arrières, nerveux. Douze est fidèle au humains , ils peuvent le tester autant qu'il le souhaitent.