Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.

Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.


 
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 Ephemeral Symmetry: – PV Maelstrom –

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Mar 9 Fév - 23:45

 
-Ephemeral


Symmetry-

"Life is a mirror and will reflect back to the thinker what he thinks into it"


Force: 5 | Agilité: 8 | Endurance: 7

- PV MAËLSTROM -

Des branches écorchées. Des feuilles échouées, brisées, fanées ou moisies. Un lapse de temps. Un instant, court, ou bien long? Un ciel gris, sans forme, monotone, immaculé. Pas de vent, pas de lumière, juste des ombres. Grandes. Petites. Moyennes. Des formes qui se faufilaient et s'élevaient dans une brume épaisse, étouffante, étrange et invraisemblable. Au milieu de ce tableau, entre des pierres et des buissons rêches, râpeux et ternes. Une petite masse de fourrure épaisse évoquant les couleurs de l'ocre se soulevait à chaque inspiration, d'un rythme régulier et silencieux indiquant un sommeil profond. Oui, le silence. Ce silence pesant envahissait l'atmosphère. Un silence déconcertant, lourd, palpable et anormalement présent. Pas une mouche, pas une fourmi. Juste le vide, les bois, ce loup qui arborait des traits fins, ses yeux formant deux fines lignes, parallèles, harmonieuses, accentuant une symétrie captivante. Son petit museau noir et humide tremblait de temps en temps, ses oreilles aussi, chassant des insectes imaginaires. Suite à une lente et profonde expiration, ses yeux s'ouvraient progressivement laissant apparaitre deux iris teintées d'un vert jade profond et brillant, ses pattes claires se dépliaient et s'étiraient devant son museau. Il prit un temps pour les observer. Elles étaient maigres. Il pouvait voir chacune de ses articulations, ses os saillant trahissaient sa faiblesse. Il était fatigué. Oui, fatigué. Il voulait juste dormir à n'en plus finir. Fermer les yeux sur ce monde qui s'offrait à lui. Arrêter de penser. Ses insomnies devenaient insoutenables.

Accompagné d'un faible râle, il effectua quelques mouvement et se dressait difficilement sur ses membres endoloris et ankylosés. Il s'assit et pris un temps pour observer. Oui, il scrutait, analysait tout ce qui l'entoure, puis commençait à calculer. Calculer ce qu'il allait faire de ce temps immatériel et invisible qui s'écoule cependant infiniment et démesurément à travers l'existence. Était-ce le matin? Ou bien l'après midi? Nomade l'ignorait. Il n'y portait pas réellement d'attention. Il était absorbé par ses idées, son esprit, ou même si l'on peut dire: son "âme". Il semblait contempler quelque chose avec une intensité curieuse et attirante, mais en réalité, son regard s'était seulement perdu dans le vide, le louveteau fixait un point et avait quittait sa sensation visuelle pour se focaliser sur son intérieur. Il explorait son monde intérieur. Il l'épiait, le scrutait et le dévisageait. A la quête d'un savoir inaccessible. Sa recherche intense de lui même fut néanmoins interrompus par une sensation qui prenait peu à peu le dessus sur tout le reste. Son corps et ses besoins détrônaient l'importance de ses pensées et ses spéculations. Il ressentait de plus en plus ce vide au fond de lui. Un vide en plein milieu de son thorax. Ce vide semblait l'envahir de l'intérieur, il semblait s'étendre et consumer ses organes. Cette sensation réel ou irréel n'était rien d'autre que la faim. Son instinct de survie devenait omniprésent, oppressant. Il s'élargissait, formant une boule en son centre. Il semblait vibrer, frémir et osciller.

Laissant échapper un soupir irrité, il se mit à marcher, à la recherche d'une proie. Il n'y pensait pas réellement, il avançait automatiquement au milieu de ce paysage ravagé, sans vie, illusoire. Mais il posait une patte devant l'autre, les oreilles en mouvement comme toujours. Se balançant et pivotant à droites, à gauche, à la recherche du moindre son qui pourrait s'échapper d'un buisson ou d'un arbre. Au bout de quelques temps, il reconnu le lieu qu'il traversait, il se dirigeait promptement vers les marais, connus sous le nom "Marrais griffes vertes". Acides et repoussant, ils abritaient parfois les proies les plus insolites.

En un lapse de temps, il se retrouvait à marcher au milieux de ces surfaces sombres d'eau calmes. Trop calmes. Elles étaient immobiles, d'une surface lisse, presque métallique, reflétant le ciel gris à leur opposé. Reflétant, doublant des éléments du monde, tel un miroir, formant une symétrie d'une apparence parfaite. Ces marais reflétaient également les ombres sombres et presque noirs des plantes aquatiques qui naissaient et se dressaient à la surface de cette fine membrane. Des herbes et des joncs anormalement grisâtres apparaissait ici et là. Nomade s'égarait une fois de plus dans ses pensées, il s'assit et se mit à méditer sur ce qui l'entourait, et sombrait encore et toujours au fin fond des abîmes de son esprits. Le temps s'écoulaient, des coeurs battaient, et même imperceptibles, la vie et les formes évoluaient et poursuivaient leurs court à travers les cycles et étapes de la vie, ou bien vers ce qu'on peut appeler un destin incertain, ou bien un futur qui se construit et s'assemble.

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Mer 10 Fév - 19:45

N O M A DE
F : 9 - A : 15 - E : 11




Ces branches écorchées que tu vois; Je les vois sans vie. Ces feuilles qui te semblent brisées, fanées; Je les perçois renouvelables. Longue minutes. Ce moment ? Éphémère ou Sans fin? Je n’y pense plus, je ne peux tout simplement pas y penser. J’ai envie de tout et de rien comment appelle-on cela déjà ? Ah oui. L’ennui. Car va s’en dire que peut être contrairement à toi, je n’étais pas un coureur de papillon professionnel. Je ne m’attarde pas sur les inutiles qu’est la couleur du ciel. Je ne perds pas de temps avec ces choses dont je n’ai aucunement le contrôle. La température était froide, comme ces nuits que nous passons en étant tout simplement seul. Oh attention, j’adorais la solitude. C’est d’ailleurs pourquoi j’étais ainsi, marchant sans me soucier de ou mes pas me mènerait. Je détestais les choses prévue mais néanmoins, nulle journée ne passait sans que je calcule mes pensées. Car bien penser n’apporte que du bien non ? Mon collier au cou, je finis par trottiner suivant une odeur beaucoup moins alléchante de ce que j’avais pu sentir dans ma vie. Mais va s’en dire que jetait ainsi. Je continuai mon enjambée, jusqu’à me rendre au marais. Fort de ses odeurs, je grimaçai sur le coup mais mon odeur finissait peu à peu à s’habituer d’une façon à ses effluves peu communs. C’était un endroit peu conventionnel et humeur à faire mourir un loup qui n’a pas toute sa tête. Je ricanai dans ma tête à cette pensée. Brumeuse, les lianes trônait bravement l’endroit. L’eau y était peu claire et des planches humaines jonçaient l’étendue d’eau. Un bruit que je ne reconnaissais clairement pas des pas me fît évacuer de mes pensées futiles. Qui diable pouvait bien être dans un endroit pareil. Ah oui. Moi. Je soupirai et m’avança calmement cliquetis au cou. Telle une statue, tu ne bougeais pas, ce qui me fît hésiter à m’avancer d’avantage. Contrairement à moi, tu étais maigre, ce qui me fît pilier au début mais je me résignai, s’il n’était pas assez fort pour vivre tant pis pour lui. Je léchai mes crocs en souriant à la grandeur don tu t’exposais tu semblais avoir le même âge que moi. Hum.. Intéressant. Prenant soin de reculer et de ne pas me faire voir par toi. Je me tapis dans l’ombre des broussailles avant de calculer mentalement. 1…2..3... Je pris mon élan avant de te percuter de plein fouet avec volonté te jetant à l’eau. Sors de la lune le jeune. Tu vas te perdre. Je souris d’un air moqueur en te voyant remonter à la surface.


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Mer 10 Fév - 23:45

 
-Ephemeral


Symmetry-

"Life is a mirror and will reflect back to the thinker what he thinks into it"


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- PV MAËLSTROM -

Toujours posté là. Quelques part. Au bord de cette eau intriguante. Nomade s’était absenté. Il ne se concentrer sur rien d’autre que ses pensées. Il avait quitté toutes sensations. Tactiles. Olfactives. Auditives. Visuelles. Il ne parvenait cependant pas à se débarrasser de ce goût. Un goût acre, acide et piquant. Cette odeur que le louveteau avait omis de sentir s’était imprégnée dans son pelage. Elle se mêlait à sa respiration, sa conscience. Ces effluves s’échappaient de ce miroir limpide, toxique et acerbe. Ces miasmes qui planaient dans l’atmosphère le tiraient avec violence de ses pensées. Il se mit a éternué et tenta d’ignorer ces relents pestilentiels. Ses sensations et plus particulièrement sa faim reprirent le dessus. Il prit un temps d’arrêt pour observer quelques araignées d’eau qui glissaient sur la fine membrane de l’eau. Elles se tordaient. Semblaient s’entrechoquer. Dansaient et se propulsaient vers des directions aléatoires. Elles formaient des sillons à chaque arrivées. Des sillons qui vibraient, se répandaient et tremblaient tel des échos. Un mise en abîme en ce lieu perdu. Durant un instant qui faisait déjà parti du passé. Ou bien du présent. Du futur.

Les oreilles du jeunes roux se remirent à s’agiter. Droite-gauche, droite-gauche. Elles percevaient un faible tintement. Un cliquetis persistant qui semblait se renforcer. Nomade n’y portait pas un intérêt particulier. C’était peut être des humains au loin, qui allaient le chasser. Ou un simple chien errant qui s’est enfui de son doux domicile. Le louveteau soupirait une fois de plus. Puis. Ce silence. Cette immobilité ineffable de l’existence. Le regard fix et posé du loup. Fut obstruer par une puissante secousse. Puis l’eau. Anormalement tiède. Anormalement profonde. Peuplée. Infectée. Là. Présente. Consistante. Matérielle et apparente.

Nomade pris une fraction de seconde pour ressentir. S’imprégner d’un changement. Puis à l’aide de ses pattes arrière. Il fit onduler ses muscles encore présents malgré le manque de nourriture et se propulsait hors du marrais. Lourd. Sa fourrure ondulait et dansait durant sa progression. Son instinct et ses reflexes lui indiquait qu’il était temps de respirer. Les patineuses s’étaient égarées loin de lui. Réfugiées. Vagabondes. Libres.

Lui. Il apercevait cette silhouette penchait au dessus de l’eau. Souriante. Moqueuse. Mesquine. En remontant, Nomade se mit a imiter cette expression. Cette image de l’autre côté. Comme dans un monde parallèle. Symétrique.

Il surgit finalement hors de l’eau. Se hissait rapidement sur la rive. Le roux prit un temps pour observer, scruter l’individus. Solitaire ténébreux. Les yeux clair, dorés, pétillants. Il cherchait l’aventure, contrairement à lui. Il cherchait l’action. Une réponse à ses actes. Provocateur. Jeune. Il semblait être plus en forme. Robuste. Il chassait.. Ça se voyait. Nomade tentait de taire ses multiples réflexions. Sans gémir, ni grogner. D’un silence solennelle, il répondit comme il se devait. Il tentait de se comporter comme un loup normal. Même si il n’y portait aucun intérêt. Il se déconnecta de son esprit et bondi sur l’individu. Le plaqua au sol et planta ses crocs dans sa fourrure en prenant garde à ne pas le blesser. D’un regard vide, Nomade agissait comme il le pouvait. Automatiquement et presque spontanément. Il ne cherchait pas à tuer. Pas pour le moment. Il avait plus important à faire. Ce serait peut-être lui qui mourrait. C’était comme ça. L’irréversibilité du temps. Du futur. Du présent et des actes.

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Mar 16 Fév - 3:56

N O M A DE
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Ta fourrure te collait à la peau, ce qui m'accrochas un sourire. Tu avais l'air d'un chiot tout petit. Ton regard par contre n'était pas du même avis. Sérieux. Oh aller c'est pour rigoler. Ton corps percutas rapidement le mien. Oh tu veux jouer à sa. Nous roulames dans la boue. Tes crocs se plantèrent dans ma fourrure, j'eût rapidement le reflexe d'en faire autant. Si tu pensais que j,allais me laisser faire ainsi sans réagir tu te mettait le doigt dans l'oeil. Je tiras sur ton corps pour te détacher du mien. Mes yeux bleues croisèrent les tiens. Une pince de défi perlant dans ma prunelle. A présent , mes crocs brillait et je clquais de la machoire. Approche.


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Mar 16 Fév - 10:12

 
-Ephemeral


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- PV MAËLSTROM -

Son adversaire riposta. Naturellement, lui aussi répondit à cette bataille de crocs. Corps à corps. Efforts que Nomade ne comprenait pas, mais apparemment c'était comme ça qu'il fallait se comporter. D'autant plus que cet individu lui avait fait perdre du temps. Le ténébreux l'écarta, croisant le regard de Nomade. Le roux voyait. Cette étincelle de défi qui croissait au fur et à mesure. Accompagnée de ses prunelles qui se dilataient, laissant de moins en moins de places à ces iris d'un bleu profond. Un bleu animé. Jeune. Soif de vie, d'action. Nomade prit encore un temps pour observer, encore et toujours avec cet air impassible qu'il ne savait quitter. Ils étaient différents mais pourtant si similaires.

Le roux soupirait. L'autre découvrait ses crocs, faisant claquer sa mâchoire, le provocant. En tant normal, Nomade n'aurait pas réagis. Il serait juste parti. Parti. Comme il l'a toujours fait. Apathique. Ou peut être même insensible. Mais cette fois si, il y avait quelque chose de nouveau. Une nouvelle flame dansait. Elle se tordait au fond de lui, le brulait. Il y avait un désir nouveau. Le désir de changer. De changer pour une seul fois. Essayer de surpasser son caractère placide. Se débarrasser de ses pensées. Faire le vide, le silence à l'intérieur de lui. Extérioriser cette tempête et pour une fois éviter de la contenir. Oui il voulait devenir un oeil. Un oeil unique. Comme l'oeil du cyclone. Silencieux. Immobile en son centre. Et actif, impressionnant, même destructeur de l'extérieur. Il voulait ressentir pour une fois les choses que les loups de son age ressente quand ils s'amusent, quand ils se battent, quand ils chassent. Comparer ses actions, ses émotions. En ressentir. Oui il voulait tout ça dans un moment si infime de cette existence.

Bon acteur. Il jouait d'abord son rôle. Mais il fut un temps. Où. Pour devenir non pas un bon acteur, mais pour incarner l'excellence, il ne fallait plus le mimer, mais le vivre. Alors il prit son élan, foudroyait son adversaire d'un regard qu'il voulait glaçant avec une pointe de défi. Et il rassemblait ses pattes sous son corps, se propulsant vers le ténébreux. Il atterrit à côté de lui comme prévu, attaquant son flan et son épaule droite. Les deux jeunes roulèrent. Coordonné. Comme des pièces de puzzle qui s'assemblent. Nomade laissait échapper les grondements les plus puissant qu'il pouvait. Il plantait ses crocs par ci et par là. Et enfin, il commençait vraiment à vivre ce rôle. Il commençait à sentir au fond de lui, une pointe de jeunesse, une pointe de quelque chose qu'il n'avait jamais ressenti auparavant. Oui, c'était de l'amusement. Une sorte de plaisir qui est perçu comme appartenant uniquement à la jeunesse. Qui semble se périmer avec l'âge. Mais n'en faisons pas de généralité. Ils vivaient le moment présent.

Cet amusement nouveau était enfoui. Là. Quelque part. Mais il ne le savait pas encore. Perché au dessus de son adversaire, une lueur dans les yeux, sans s'en apercevoir, il attendait une réponse.
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Mer 2 Mar - 7:23

N O M A DE
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Ton impatience éminente me pousse à continuer notre petit manège et ce que j'entrevois à l'instant cela te plaint tout autant à toi même. Ya-til longtemps que tu n'a pas relâcher la bête en toi? Qui est tu au final gamin? Tu me plaquas rapidement au sol , mais je n'eut point de réaction ,cela aurait simplement contribuer à t'accorder le mérite la ou il y en n'avais point. Tu avait attaqué mon flan et mon épaule droite et ceux ci me brûlait , je t'accordais cela mais avait tu seulement de bon réflexe ? J'arqua un sourcil et rapidement je pris appui sur mes pattes arrière pour te séparer de moi et aussitôt fait , je me relevas d'un bond que je voulais rapidement avant de m'élancer tête basse mais le regard fixé sur toi pour te percuter au niveau de la gorge , un coup assez brusque devait suffire pour simplement te faire perdre quelque secondes de souffle et ainsi j'en profiterais par la suite pour te attaquer a nouveau,mais sans te blesser surtout. C'était toujours plus plaisant quand l'adversaire était en vie.


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Heda
Mirage Ardent
Mirage Ardent

Fiche de personnage
force:
Ephemeral Symmetry: – PV Maelstrom – Qkci13/100Ephemeral Symmetry: – PV Maelstrom – Qkci  (13/100)
agilité:
Ephemeral Symmetry: – PV Maelstrom – Qkci5/100Ephemeral Symmetry: – PV Maelstrom – Qkci  (5/100)
endurance:
Ephemeral Symmetry: – PV Maelstrom – Qkci9/100Ephemeral Symmetry: – PV Maelstrom – Qkci  (9/100)
Heda
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Lun 11 Avr - 6:24

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 Ephemeral Symmetry: – PV Maelstrom –


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