L'hiver était terminé, et oui terminé, veritablement finis, la neige n'était plus, elle avait fondu. Disparu a jamais, enfin jusqu'au prochain hiver ... Baillant, étirant mon corps de tous mon être, j'étais content, heureux de voir que la neige n'était plus et qu'on pourrais enfin sortir plus loin, chasser, et pour moi continuer mes recherches sérieusement.

Ayant remarquer mon impuissance, ma faiblesse durant l'hiver je voulais pouvoir muscler un peu se corps noir ... marchant vers la forêt charbonneuse je trouvais cet endroit parfait pour s'entraîner. Je décide de commencer par de l'endurance mélanger a de l'agilité ... je reflechis, examinant le terrain puis décida de me lancer. Je courru au milieu du champ de la forêt, essayant d'éviter les arbres, mais pas de n'importe qu'elle manière ... j'essayais de les éviter au dernier moment. Je me pris le premier arbre dans la tête, je crois que j'étais pas habitué ... le second me fit trébucher au sol, je me releva rapidement et repris ma course avant d'être ralentis. Le second je réussis de justesse, j'étais tellement fière de l'avoir froler et eviter que l'arbre suivant je me le pris en pleine face ...

Une fois l'arbre pris en pleine poire je me relève, finis de courir n'importe ou et de me prendre les arbres ... mon prochain entraînement sera pour la force !

Il n'y avait rien autour de moi a part la forêt, j'aurais penser pouvoir chasser en m'entrainement mais je ne trouva rien au l'horizon ... même pas une odeur ou une trace. Du coup j'en profita pour perfectionner mon entraînement ... cette fois-ci sur la force brute !

Je me positionna face à un arbre, j'allais agir comme un con et j'aurais voulu que personne ne me vois. Fixé devant l'abre, je pria doucement, puis m’élança, poussant sur mes pattes arrières, la tête baisser, je percuta violament l'arbre avec mon épaule, comme pour essayer de le pousser ou de le faire tomber. L'arbre n'a pas sourciller ... je recule et recommença, en percutant l'arbre j'avais senti un légère mouvement ... l'arbre avait secouer ! Je recule, ressentant la douleur de mon épaule, mais je continua encore une troisième fois. Une fois que mon épaule fut trop douloureux pour continuer je m'éloigna de cette arbre ... ma seule réussite était d'avoir fait tomber des feuilles et abimer l'arbre.

Je décide de prendre un exercice plus simple, une branche de l'arbre suffisament épaise et solide était tomber, il en avait même fait tomber plusieurs. Je comptais bien lacérer un peu mes pauvres crocs ... Je le pris dans la gueule et essaya de le briser, la branche était trop épaise, pourtant avec de l'effort je réussis a couper celle-ci en deux. Quelque bout des écorces était rester dans ma gueule, machant doucement. Je recommençà avec toute les brances qui était tombé, certaine était plus facile que d'autre, et certains plus compliquer et plus coriace ...

Une fois mes deux entraînements terminé, j'avais un petit creu ... j'étais fatigué, mes crocs avait trop mordu et mâcher, et mon épaule me fessait mal. Mais même dans cet était j'arriverais bien a attraper quelque chose non ?

Penchant la gueule, essayant de chercher une odeur, il y en a bien une qui me vient ... celle d'un lapin. Je n'avais pas très envie de lui courir derrière mais il fallait bien
. Je suivit la trace jusqu'a avoir dans mon champ de vision le lapin, dès qu'il le vit aussi il bondis et chercha a retourner dans son terrier ... me voilà a devoir courir. Je pris de l'élan et courru derrière le lapin qui reussis a entrer dans son terrier avant que je n'arrive. Je chercha a y plonger ma patte pour griffer la lapin, puis ma gueule pour attraper quelque chose mais en vint ...

Décu de ne pas avoir reussis a l'avoir je chercha de nouveau a manger, tous en gardant un oeil sur le trou du lapin. Par contre je sentais son odeur quelque part, il bougeait, sans doute par des passage souterrain ? je suivit l'odeur jusqu'a un autre trou de lapin. La gueule ouverte, me léchant les babines j'attendais, j'attendais que ce foutu lapin sorte et que je l'attrape cette fois-ci.

J'ai du attendre un petit moment, mais je voyais sa tête dépasser, il hésitait ... quant a moi j'étais cacher derrière un arbre pas très loin de son trou. Dès qu'il fut sorti je bondis, accélérant mes pas pour me poser juste au dessus de son trou, empêchant toute fuite possible. Lorsque le lapin remarqua ma présence il était trop tard, sa fuite était couper, il bondit vers une autre direction, et moi je le suivi derrière, il me fessait faire un parcours a force de bondir d'un sens, mais de l'autre pour me perdre. Mais avec l'entrainement des arbres juste suivre un lapin c'était du gâteau. J'accelera pour me positionner juste au dessus de lui, ou je lui donna un grand coup de patte pour le faire tomber. Il essaya de se relever pour partir, mais je posa ma patte sur son corps avec ton mon poid dessus ... Attrapant son corps avec mes crocs il ne résista pas longtemps et mouru. Je le déguista tranquillement, affamé après mes entraînements.

Après l'entraînement et la chasse était venu le moment de se reposer, de faire une petite sieste, dormir un peu. Fermant alors les paupière après m'être installer contre un arbre je commença a rêver ... un rêve ou je suis là au milieu d'une forêt, cherchant comme un fou ma sœur Shiro et mon frère, je les ai chercher de tous mon corps, je suis fatigué, je tombe. Et pourtant je vois une silhouette blanche au loin, Shiro ? je cours, je cours encore et encore malgré la fatigue, oui c'est bien elles, ses courbes si belle et fine, ses pas élégant, ses yeux vert comme les miens. Puis je me stop net, Shiro était en compagnie d'un loup, un autre loup noir.
Je lui explique a quel point je suis heureuse de la voir, de la retrouver, me positionnant entre elle et "lui". Mais elle se raproche de lui et m'explique qu'elle a fonder sa propre famille avec ce "loup". De quoi ? ce loup ? elle m'explique qu'elle ne me trouvais pas et qu'elle a fini par arrêter de me chercher.
J'observe ce loup, il est noir, aussi noir que moi, se trompe t'elle ? me voit-elle en ce loup ? je m'énerve, lui explique qu'elle aurait du continuer de me chercher. Je lui demande ou est notre frère ? mais elle ne sais pas répondre. Je me retourne vers ce loup noir, qu'a t'il de plus que moi ? rien, il n'est rien. Je le percute, le faissant reculer, s'éloigner de ma douce. Je le critique, l'insulte, lui met sur le dos le fait que Shiro est abandonné sa famille, qu'elle n'est pas elle-même. C'était un rêve, au cauchemars, c'est faux, elle ne nous abandonnerais pas, pas comme çà. Elle m'explique qu'elle ne nous veut plus dans notre vie, que seul ce mâle compte. A ses paroles je bondis vers le noir, lui griffant le visage, me retournant pour demander si c'était sincère ? je lacère ce loup noir, le griffant, le mordant au cou, a la patte, défigurant son visage. Je retourne près de Shiro pour lui dire que c'est avec moi qu'elle finira, et uniquement moi, je tuerais tous les mâles qui te tournerons autour, je te le jure. Et là le rêve se termine ... finalement ce n'était qu'un cauchemars rien de plus.

Quand le soir, Kuro, erre au bleu des roseaux,
Poursuivant l’horizon d’une brise frôleuse,
Kuro s’abandonne à ses voiles, frileuse;
La source, de cristal, frémit en blancs réseaux...

Il me souvient d’amours, d’attendrissants oiseaux,
Dont le coeur assidu, sous l’aile ensorceleuse,
Contait, pour m’endormir, l’histoire fabuleuse
D’un prince de jadis, hantant le bord des eaux...

C’est la nuit que je pleure, étouffant de tendresse,
Implorant mes demains d’alléger ma détresse,
Mais nul écho, jamais, ne répond à mon cri!

La lune ignore, aux bois, mes sombres nonchalances,
Epouse vainement mon jardin défleuri!
L’astre emporte son miel... et mes brûlants silences!

J'observait la forêt dans la nuit. J'avais finalement passer la nuit ici après mes chasses de la veille, et je comptais bien continuer a trouver de quoi me nourir. Après tous après avoir dormis une bonne nuit, il me fallait déjeuner tranquillement ... Je chercha donc de quoi me mettre sous les crocs ... je sentis que non loins un troupeau de biche, finalement même les moyenne proie sont de sorti après l'hiver. Me léchant les babines je les suivis de loins, comment allais-je m'y prendre ? simple ... je continue de m’approcher lentement, le corps baisser contre le sol, coucher sur l'herbe entre les arbres, mes yeux ne sont visible qu'entre deux brindille.

Les pattes griffant les sol pour me morfondre avec la terre. Je ne fais qu'un, je resens le bruit du sol, je peu sentir d'ici les pas de chaque biche, le son de l'herbe qu'elles mâches en les arrachants de la terre. Une fois près je sorti la tête, poussant mes pattes arrières je bondis, accelerant j'avais l'impression de ne plus toucher le sol. Une fois a hauteur d'une biche je la percute, le cogne de chaque côté pour la destabilité, puis bondis et attrapa sa patte arrière avec mes crocs, ce qui eu comme effet de la faire chutter. Une fois a terre je garda sa patte dans mes crocs pour l'empêcher de se relever ou de partir en courrant. Pendant ce temps je griffa ses flan, gardant mes crocs bien profondément sur sa patte, arrachant sa peau comme un os. Une fois sa patte bien amaché je bondis sur la biche, en y mettant tous mon poids pour eviter qu'elle ne se lève, j'attrapa son cou et pattienta ...

Me voilà me promenant en dehors du territoire de la meute. Esperant rencontrer l'odeur de ma tendre. Pourtant la seule chose que j'ai put sentir et rensentir est mon ventre qui crie famine. J'aurais put retourner chez les Sekmet prendre une proie au garde manger, mais la flème m'emporter. Me voilà là entre deux tranchée a chercher une odeur que celle de Shiro, une odeur de proie d'animal. Celle-ci était plus facile à trouver et un indice me vint plus rapidement que ma soeur. Dommage. Mais en même temps, temps mieux ! Voilà en face de moi un rat, quel repas magnifique ! pour ma part je m'en moque, un rat un lapin, tous se mange. Ceux qui ne veulent pas en manger et bien mourrez de faim !

Je me fit discret et commença avec des pas lent, je m’approche de cette silhouette fine et fragile, pour bondir vers celle-ci. Hors de questions de m'échapper ! Les crocs sorti, la gueule ouverte, j'étais prêt a accueillir se repas dans ma gueule. Attrapa de justesse le rat, il n'y avait qu'un croc d'accrocher sur celui-ci. Je le rattrape de mes griffes, jouanant avec lui. A quel sauce vais-je te manger ? aucune. J'ouvrir la gueule, un grognement sorti et j'arrache ma proie de mes crocs. Miam !

La proie d'hier ne m'avais pas totalement rassasié. J'étais rester près des tranchée toute la nuit. Qu'est ce qu'une journée de recherche au même endroit ? au moins je sais qu'elle n'est pas ici ... qu'elle ironie quand on ce dit qu'elle peu venir ici demain ... c'est comme chercher une proie qui ne fait que bouger, nous échappant toujours et pourtant toujours a notre portée. Nouvelle journée, une belle matinée, un peu fraiche mais sans plus. J'avais faim, le rat d'hier n'était pas complet. Cherchons plus gros, pas trop non plus je ne veut pas partager ce qui m'appartient avec d'autre. Reniflant le sol tel un chien, je chercher un indice ... sortant des tranchée je grimpa, mon pelage était couvert de boue de ses trou.

Je fini par trouver l'odeur d'un lapin, voilà une proie plus rassasiante qu'un rat et pas trop gros pour devoir le ramener au garde manger. Je me cacha, plongeant dans la boue au sol, me mélangeant avec celui-ci pour ne faire qu'un. M’approchant lentement, un pas puis un autre. Fixant ce lapins comme-ci c'était la proie unique en ce bas monde. Une fois que celui-ci n'était plus sur ses gardes je bondis, s'en suit une course poursuite, le lapin m'a vu et bondis en retour pour s'enfuir. Pauvre de lui, mauvais prédateur. Je courru a l'arrière et attrapa ses oreilles sans aucun répis. Continuant de courir je le traina au sol, frappant celui-ci avec le corps de ma proie. Puis le déguisa tranquillement.

Rassasié, les restes du lapins, enfin ses os a mes côtés. Une boule puante sorti de mes crocs, comme pour valider mes dirs. Pouah ! bon repas. Me couchant je fixa le ciel, ce ciel si moche, si gris. Pourtant un légers rayon le traversa. Si seulement je pouvais te voir dans le ciel ma douce ... soudain un oiseau m'empêcha de continuer a voir le ciel, il volait juste au dessus de moi et s'aprocha .. comme s'il voulais grignoter les reste de mon lapins.

Je leva la patte pour essayer de le faire fuir mais en vint, il ne voulu pas m'écouter. Mes avertissement n'aida pas. Je décide de me lever et lui donne une bonne leçon. Courrant derrière l'animal qu'était ce corbeau. Même s'il était aussi noir que moi, il ne fallait pas venir m'embêter. Je bondis de temps en temps les crocs ouvert, mais en vint. Continunant, répétant ses gestes encore et encore j'attendis le bon moment. Lorsque le corbeau continua de tomber je bondis et attrapa ses ailes. Je te tiens ! Je le posa au sol et y enfonça encore plus mes crocs dans sa chair jusqu'a voir son sang couler et ses ailes brisé.