Car après tout il fallait chasser.
Car après tout il fallait manger.
Car après tout la famine tue.
Et car par dessus tout, je devais mériter ma place.
Tout se paye.
Tout se mérite.

Que la chasse commence.

9/3/10

Chasse du 3 février 2016

Je me rend dans les alentours de la tanière, la neige semble fondre et laisser place à de nouveaux gibiers. Je m'abaisse sur le sol, et fixe les environs, aux aguets.

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'Dé de chasse' : 9, 12

Chasse du 3 février 2016

La chaleur provoquée par l'explosion avait fait ressortir les animaux de leurs tanières, et mon attente ne fut pas longue. Un couple de lièvre était sortis brouter les premières herbes verbes, fraîches. Il ne m'en fallut pas plus pour bondir sur eux, attraper le premier d'un claquement de crocs et le balancer contre le tronc d'un arbre avant de poursuivre l'autre. Celui-ci glissa sur une plaque de glace et je n'eu pas a courir longtemps. Ma patte me fait déjà grimacer quand celle ci s’abat sur l'arrière train du lapin qui valdingue dans les airs. Je bondis alors sur mes postérieurs pour l'attraper avec rage. Le sang gicle de mes babines et un sentiment de puissance baigne mon esprit.
Je reviens de ma première chasse fructueuse, et j'ai hate de voir la réaction de la louve blanche face à ce festin.


9/3/10

Chasse du 4 février 2016


Je pars à la recherche du gibier, observe, silencieux.

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'Dé de chasse' : 9, 8

Chasse du 4 février 2016
2 chasses réussis.


Je repère alors deux faons. Sans doute des frères. La mère semble absente, ou est-elle seulement loin. Je ne loupe pas l'occasion. Je m'élance, et c'est un bain de sang qui suit. Le premier est simple, surpris, comme d'habitude. Le deuxième tellement effrayé qu'il ne bouge pas, et il m'est alors facile de lui sauter à la gorge.
J'emporte mes proies dans la tanière.

+2 faons.

9/3/10

Encore un jour de chasse dans la forêt des pendus ...

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'Dé de chasse' : 3, 3

Chasse du 5 février 2016


Rien aujourd'hui.
Je rentre bredouille.

Chasse du 6 fevrier 2016

Je m'avance dans les hautes herbes pour observer l'extérieur.

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'Dé de chasse' : 9, 12

Chasse du 6 févier 2016

Je l'avais trouvé. Cet animal odorant. Un magnifique jeune sanglier. Il n'avait décidément pas le reflexe de protéger ses arrières car trouver un animal aussi gros n'était pas donner à tout les loups en ces temps de famine presque terminée.


Je ne marchais plus, je courrais. Silencieux, rapide. Tel un fantome je fondis sur ma proie. Prêt à tout pour en venir à bout. Je lui sauta sur le dos, crocs en avant. Je les plongeais enfin dans la chair de son dos. Il se rua et m'éjecta au sol. Il me chargea mais j'appliqua notre entrainement et esquiva. Je lui attrapa une cuisse au passage, plantant de nouveau mes crocs acérés en lui. Il hurla de douleur, et quelque chose me heurta de plein fouet!


Un second sanglier, encore plus gros m'avait charger et écraser la patte en cours de guérison. La douleur fut immédiate, mais l'adrénaline de la chasse n'en fut que plus forte. Je me releva et me concentra sur le gros qui devait être un mâle aguerrit.


Le combat dura plusieurs minutes, mais je ne perdis pas haleine. J'avais planté mes crocs une dizaine de fois, mais l'animal ne semblait pas vouloir tomber. Le second se releva pour aider l'autre. Et soudain le combat fut inéquitable. Il y avait deux énormes bêtes prêtes à tout pour survivre face à moi.


Avais-je fais une erreur? Je ne baissa pas les bras. Moi aussi j'étais fort. Moi aussi j'étais redoutable une fois énervé. Je devais me débarasser du petit avant tout. Il aider désormais le gros, et je ne pouvais pas me permettre d'etre charger une seconde fois. Je ne continuerais pas a esquiver aussi longtemps sans me fatiguer.
Je m'élança une énième fois en avant, et écrasa ma patte mortel sur le visage du petit. Je vis la peau se décoller de son visage, puis de son groin. J'avais bien visé. Il tomba sous la douleur et le choc. Je ne perdis pas cette occasion rêvé pour lui porter le coup fatal.
Le gros courrait vers moi pour m'en empêcher mais c'était trop tard, je plantais enfin ma dentition assassine dans le crâne et le cerveau de mon futur repas. Il cessa de bouger. Le crâne etait une bonne zone pour achever une proie comme celle ci, surtout que leur tête n'était pas aussi imposante que leur corps.


La peur dû soudain envahir le gros sanglier, car je le vis reculer, les yeux ecartés.
"tu es le prochain" lui dis-je de mes yeux. Il dû ressentir ca, et prit une posture d'attaque. Je sentais qu'il allait tout miser dans cette charge absolue. Tout, même sa vie. Mais je n'ai pas peur. Je l'aurais. Je le tuerais. Je pris alors moi aussi ma posture d'attaque, prêt a achever sa vie de gibier une bonne fois pour toute. Nous chargeâmes en meme temps. Rapide, impitoyable. Mais l'animal tasser rasait le sol, tandis que moi, je pouvais bondir, haut, tres haut. Ce que je fis. J'atteris sur son dos, planta mes crocs dans sa hanche qui coupa sa course net. Il tomba, épuisé. Je n'avais plus qu'a le terminer lui aussi. Alors je fis le tour de son corps haletant, apeuré, pour planter mon regard dans le sien. Ce sanglier avait bien combattu et méritait une mort rapide. Je griffa son torse et planta ma gueule dans son thorax pour en arracher le cœur encore palpitant. Le sang baigna mon visage et mon poitrail, dégoulinant sur mes pattes.


Aujourd'hui j'avais accomplis ce que j'avais décidé que je ferais, et même mieux encore. J'avais tuer deux énormes porcs puants, mais gras et gros. Je pris le temps de cacher le plus petit tandis que je traînais l’énorme phacochère à la tanière de manîthil.
Le festin allait être fabuleux grace a cette chasse fructueuse. Je sentis mon coeur s'emplir de fierté quand j'empila les deux sangliers au milieu de la tanière. L'un sera pour moi, le second pour elle. J'avais hâte de voir sa fierté.

Chasse du dimanche 7 février 2016


J'observe les alentours. Il semble que la forêt et calme, je vais devoir etre patient.

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'Dé de chasse' : 7, 2

Rien n'est plus calme que ce jour de froid.
Une chouette montre sa tete mais elle me n'argue de sa hauteur.
Je décide de rentrer bredouille.

Chasse du 8 fevrier 2016


Je m'avance dans les hautes herbes pour observer l'extérieur.

15/13/14

LAncé de dès

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'Dé de chasse' : 2, 5

Il n'y a rien aujourd'hui non plus dans la foret des pendus. J'ai l'impression que cette chouette me narguera toujours de son perchoir.
Je l'aurai la prochaine fois.
Je m'en fais le serment.