La neige avait presque totalement disparu et les proies avaient commencé à refaire leur apparition. Balfring n'avait pas suffisamment mangé durant l'hiver. Ses cotes s'étaient légèrement creusées et il avait hâte de pouvoir réutiliser pleinement ses muscles. Maintenant que la chasse pouvait reprendre, il comptait bien en profiter.

Il commença par s'échauffer les muscles en faisant le tour de la prairie au petit trot, sentant ses pattes travailler au fur et à mesure qu'il avançait. Une fois qu'il eut fini, Balfring se fit plus discret. Dissimulant son corps au mieux, il se mit directement à la recherche d'une proie en se dirigeant vers le centre de la prairie. En courant, il avait remarqué quelques traces de pas. Tous ses sens en alerte, le mâle s'avança discrètement à l'endroit qu'il avait en tête. Le sol jonché de brindilles et de cailloux lui demandait la plus grande précaution lorsqu'il avançait. Il devait prendre garde à ne pas en effleurer de ses pattes pendant qu'il avançait.

Fiche réalisée par @Joy

Balfring retrouva sans mal les empruntes qu'il avait repéré plus tôt. C'étaient celle d'un lapin, et elles étaient encore fraiches. Posant sa truffe au sol, le loup suivit discrètement la piste. Il repéra l'animal non loin, affairé à renifler une touffe de plantes. Concentrant son attention, Balfring déplaça doucement ses pattes de sorte à être prêt à bondir sur sa cible. Le lapin se positionna face à lui sans le savoir. Quelques mètres les séparaient seulement. Prenant une profonde inspiration, le loup banda ses muscles et jaillit hors de sa cachette.

Ses pattes firent un beau départ en longueur. Il faillit se saisir de sa proie dès la première seconde, mais le petit animal eut la rapidité nécessaire pour l'éviter. Il bondit vivement sur le coté, se sauvant à toute vitesse à travers la prairie. Balfring se lança à ses trousses. Il le poursuivit longtemps, ses pattes foulant inlassablement le sol aussi rapidement qu'elles le pouvaient. Les obstacles qui se dressaient parfois sur sa route le ralentissaient, alors que la lapin, en vue de sa petite taille, parvenait à les franchir sans autant d'efforts que lui. Ces terres devaient lui être bien familières, car il l'entraina dans des zones denses qui lui posèrent quelques difficultés. Balfring avait beau courir de toute sa puissance aussi longtemps que possible, sauter et esquiver le moindre obstacle qui se dressait sur sa route, le lapin gagnait de plus en plus de terrain. Il finit par rejoindre son terrier sain et sauf, laissant le loup sur sa faim.

Balfring retourna en arrière. Il ne comptait pas attendre que ce petit animal soit sortit afin de l'attaquer à nouveau... Il trouverait bien autre chose. Se remettant en posture de traque, le grand mâle retourna au centre de la prairie. Il abaissa la nuque en direction du sol, cherchant la moindre trace de proie.

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La suite de ses recherches ne fut pas très fructueuse. Balfring ne trouva aucune trace de proie, mais cela ne le découragea pas. Il continua d'avancer, aux aguets. Il y avait des animaux dans les parages, c'était certain.

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Dé de chasse : 1

Malgré ses efforts, Balfring ne trouvait toujours pas de proies. Ses pattes, qui supportaient son corps abaissé vers le sol durant plusieurs dizaines de minutes, commençaient à devenir lourdes. Il décida donc de faire une pause. S'asseyant sur une pierre plate, le loup observa les alentours en silence. Il devait bien y avoir des oiseaux par ici, si il n'y avait pas de mammifères...

Ses oreilles tournèrent en arrière. Il lui avait semblé entendre un bruit. Mettant fin à sa courte pause, le loup repartit sans attendre.

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Dé de chasse : 12

Alors qu'il parcourait la prairie à pas de loup, le grand mâle finit par repérer une forme mouvante au loin. S'arrêtant, il prit le temps d'analyser de quoi il s'agissait avant de s'approcher d'avantage. Allongée à l'ombre d'un petit arbuste, une jeune biche se reposait sans craintes. Elle était assez frêle, sa fourrure brune recouvrant à peine ses os. Pour elle aussi, l'hiver avait du être rude.

Baflring s'en rapprocha en silence, ses yeux de prédateur rivés sur elle. La manière dont elle était allongée, les pattes repliées sous elle, en faisaient une proie idéale. Il n'aurait aucun mal à la rejoindre de près, le temps qu'elle remarque sa présence puis se redresse... Calculant la distance qui les séparait, le grand mâle visionna mentalement son attaque avant de se mettre en place. Comme il prenait garde à ne pas placer ses pattes n'importe ou, sa présence passait presque inaperçue. Il put donc ainsi se rapprocher suffisamment.

Il se propulsa en avant dès qu'il se sentit prêt, s’élançant à toute vitesse en direction de sa proie. Avec un petit temps de réaction, la biche se redressa d'un bond paniqué. Il avait réussi à lui mordre un jarret avant qu'elle ne se soit complétement remise sur ses pattes, mais la force avec laquelle elle s'était appuyées sur le sol pour s'enfuir lui avait fait lâcher prise. Balfring regagna son équilibre avant de se jeter à la poursuite de sa proie. Il conserva d'abord son énergie, gardant ses distances avec la biche. Une fois qu'elle se serait fatiguée, il pourrait se rapprocher. Le loup la poursuivit donc sur plusieurs kilomètres, ses pattes lui frayant un chemin à travers les broussailles. Sa proie courrait toujours, mais elle finit par ralentir l'allure. Balfring en profita lui, pour accélérer. Il la rattrapa en vitesse, se rapprochant dangereusement de ses pattes. La biche se défendit en donnant quelques coups de sabot qu'il prit soin d'éviter. Il en esquiva quelques-un, bondissant de coté, avant de refermer ses mâchoires sur la cheville de sa proie. Se cabrant de sa patte valide, la biche faillit perdre l'équilibre. Balfring enfonça fermement ses crocs dans la chair de sa proie, puis il lâcha prise afin de lui sauter à la croupe. Gardant l'équilibre tant bien que mal, le loup enserrera l'arrière de la biche entre ses pattes et y planta ses crocs. Il sentit le sang couler dans sa gorge, puis, après quelques mètres à le supporter, la biche chuta finalement au sol. Ne lui laissant pas le temps de se relever, Balfring alla droit à sa jugulaire, maintenant l'encolure de sa proie au sol alors qu'il lui entaillait la gorge. Peu à peu, les membres de la biche se raidirent, jusqu’à ce que la vie quitte son regard.

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Dé de chasse : 10

Balfring s'était levé tôt afin de poursuivre ses chasses. Retournant au centre de la clairière, le mâle, désormais en pleine possession de ses moyens, s'était mis à la recherche d'une nouvelle proie. Il recommença à humer le sol, son dos droit, lorsque un grognement lui fit redresser la tête. Un blaireau venait dans sa direction, ses petits yeux noirs brillants le scrutant avec méchanceté.

Dénudant ses crocs, le loup se redressa d'une traite, son poitrail relevé et la queue droite. Si ce blaireau croyait l’impressionner, il allait bientôt regretter de s'être frotté à lui. Balfring n'avait jamais aimé ces créatures. Ils avaient beau être dotés de petits crocs pointus et de mâchoires puissantes, ils n'en étaient pas de taille face à un loup adulte. Poussant un grognement d'intimidation, le grand mâle se jeta tête la première sur son adversaire. Il le saisit à l'épaule, secouant vivement avant de lâcher prise pour éviter les crocs qui se dirigeaient vers lui. Balfring fit un écart sur le coté, puis retourna directement à la charge, mordant le corps du blaireau à plusieurs reprises. Celui-ci tenta de se défendre en le mordant à son tour, mais le loup endura la douleur sans mal. Il planta fermement ses canines dans l'encolure de son adversaire, les lui enfonçant le plus profondément possible. Grondant de douleur, le blaireau tenta de retourner la tête afin de le mordre. Balfring positionna son corps de coté sans lâcher prise. Il resserra encore ses mâchoires, écrasant le corps de sa proie sous son poids jusqu'à ce que celle-ci commence à s'épuiser. Finalement, le blaireau cessa de bouger. Balfring en profita pour lui assener le coup de grâce, d'une morsure bien placée. Il attendit quelques secondes avant de se redresser. La viande de blaireau n'était pas la meilleure qui soit, mais il s'en contenterait.

Fiche réalisée par @Joy

Dé de chasse : 9

Le loup reprit sa chasse le lendemain. Son combat avec le blaireau l'avait motivé à faire d'autres prises dans les parages. En position de chasse, Balfring fit donc le tour de la clairière en toute discrétion, ses oreilles droites et sa truffe aux aguets. Il sentait diverses odeurs autour de lui, dont celles d'oiseaux et de rongeurs. Ses oreilles captèrent alors un bruit au dessus de lui. Pensant à un volatile, le loup redressa la tête en direction du ciel. Le bruit de petites griffes sur le bois lui fit alors tourner la tête vers l'arbe qui se trouvait à quelques mètres de lui. Au dessus d'une branche basse se trouvait un écureuil roux. Balfring n'en avait encore jamais attrapé, mais il savait qu'il s'agissait de proies très agiles et rapides. Sur un arbre, il n'aurait aucune chance de l'avoir. Aussi, il se tapit dans l'herbe, attendant patiemment que la proie descende de son perchoir avant de passer à l'action.

Le petit rongeur mit un certain temps avant de revenir sur le sol, mais Balfring était déjà prêt à l'y recevoir depuis longtemps. Caché comme il l'était, l'écureuil ne se doutait de rien. Il s'éloigna de l'arbre par petits bonds et lorsqu'il en fut assez loin, le loup jaillit brusquement dans sa direction. L'écureuil surpris sauta sur place avant de faire demi-tour. Balfring anticipa son mouvement et alla lui bloquer la route d'un geste vif, cherchant à le faire courir loin de l'arbre. Son plant fonctionna. En le voyant sur sa route, l'écureuil retourna en arrière, vers le centre de la prairie, la ou les arbres étaient rares. Balfring le poursuivit à pleine vitesse, suivant chacun de ses mouvements. Si il voulait l’attraper, il allait devoir se montrer tout aussi agile que sa proie. Heureusement, le terrain était assez plat pour qu'il puisse le poursuivre sans obstacles.

La course se prolongea jusqu'à ce que l'écureuil fasse un écart sur le coté, glisse sur une pierre en tournant, et, dans sa panique, se retourne sur le flanc. Cette erreur permit au loup de le rejoindre en un saut rapide. En atterrissant, il plaça ses pattes d'un coté et de l'autre du petit animal, l'enfermant entre elles, avant de sortir ses crocs. L’écueil se redressa trop tard. Balfring réussi à l’attraper d'un coup sec, l'achevant dans la seconde.

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Balfring avait reprit la chasse dès que la faim s'était fait sentir. Avec toutes les proies qu'il avait attrapé dernièrement, ses forces s'étaient rapidement rétablies. Néanmoins, il semblait que l'abondance de gibier avait prit fin, ce mois-ci. Les quelques rares traces de proies qu'il dénichait étaient anciennes et il en était de même pour les odeurs. Suivant une piste au hasard, le grand mâle se demanda si il allait pouvoir trouver de quoi se nourrir aussi facilement, cette fois-ci... Cette idée en tête, Balfring se mit à trottiner afin de faire de repérage. Si il ne trouvait pas de proies, au moins, il s'entrainerait un peu. Poussant sur ses pattes, le loup se mit à faire le tour du territoire tout en gardant un œil sur les alentours.

Fiche réalisée par @Joy

Balfring ne s'attendait pas vraiment à trouver une proie de la sorte, alors qu'il n'était même pas en position de chasse, mais il semblait que la chance avait finalement décidé de lui sourire. Près du centre de la prairie, il repéra l'odeur caractéristique d'un renard...

Abaissant son corps contre le sol, le loup scuta calmement les environs. A quelques mètres de lui, il repéra le renard en question, occupé à retourner la terre de ses petites pattes vives. Encore une fois, c'était un adversaire à ne pas prendre à la légère. Ses crocs tranchants pouvaient infliger des morsures profondes, mais il suffisait à Balfring de se tenir éloigner de ses mâchoires. Si il y parvenait, l'achever ne serait pas trop compliqué. Prenant son élan, Balfring calcula mentalement la distance avant de bondir sur sa proie. Ses crocs claquèrent près de la nuque du renard, qui, heureusement pour lui, parvint à être suffisamment vif pour esquiver l'attaque. Celui-ci, au lieu de s'enfuir, sauta en direction des pattes du loup afin de saisir l'une d'entre elle. Balfring s'écarta vivement, esquivant les mâchoires de son adversaire. Les crocs en avant, il les planta dans l'une des épaule du renard. Celui-ci parvint à s'échapper avant que le loup ne resserre sur lui ses mâchoires. Il bondit ensuite vers Balfring, s’accrochant à sa nuque de ses griffes. Le loup réagit au quart de tour, écrasant son adversaire au sol avec force. Il l'y maintint durant plusieurs secondes, supportant les crocs le renard était en train de lui planter dans la peau, jusqu'à ce que celui-ci se dégage en serpentant sous lui.

Le loup en profita pour se redresser vivement, esquivant à plusieurs reprises les nouvelles attaques de son adversaire. Il fit un bond sur le coté, attendant le bon moment, puis saisit avec force la queue du renard. Des que ce dernier tentait de se retourner, le loup le soulevait du sol. Il le relâcha pour planter ses crocs sur le dos du renard, qu'il appuya fermement au sol de tout son poids. Bloqué, sa proie ne réussit pas à s'échapper cette fois. Il resta en position le temps que ce dernier se vide de son énergie, enfonçant ses crocs de plus en plus profondément dans la peau du renard. Finalement, son corps se raidit et il put lâcher prise.

Fiche réalisée par @Joy

Tapis dans l'herbe, Balfring était à la recherche d'une nouvelle proie. Ou bien il avait eu de la chance la dernière fois, ou bien cette clairière était tout particulièrement giboyeuse. Près d'un étang ou coulait un mince filet d'eau, le loup remarqua des traces de pas toutes fraiches. Étant donné la taille des sabots, ce devait être un daim, l'une de ses viandes préférée. Si il y en avait un dans les parages, il devait absolument rattraper.

Suivant la piste olfactive que la proie avait laissée derrière elle, Balfring se retrouva sur une piste qui longeait l'étang. Il finit par s'arrêter en plein milieu du chemin, constatant que les traces de pas se dirigeaient vers l’intérieur de la prairie. En poursuivant cette nouvelle piste, il ne mit pas longtemps à apercevoir sa cible. Le daim était bel et bien là, son museau fourrageant une motte d'herbe. Il avait la carrure et les bois d'un jeune mâle. Sa fourrure brune venait tout juste de foncer. Se tapissant non loin de lui, Balfring se mit face au vent afin de camoufler son odeur. Il allait tenter de le prendre par surprise... Prenant appui sur le sol, le loup prit une profonde inspiration avant de se jeter en avant, profitant de son départ rapide pour se rapprocher d'une traite de sa proie. Comme prévu, le jeune daim se mit à détaler à travers la prairie, courant du plus vite qu'il pouvait.

Balfring l'avait raté de peu. Il se lança rapidement à sa poursuite, laissant une certaine distance entre eux. Peu importe le temps que cela lui prendrait, il comptait poursuivre cet animal jusqu'à ce que ce dernier s'épuise. Ses pattes foulaient le sol à grande vitesse afin de ne pas trop s'éloigner de sa cible. Le daim continuait de courir, devant, l'entrainant dans un parcours sinueux. Pour ne pas le perdre de vue, Balfring du sauter au dessus de nombreux obstacles et en éviter d'autres. Malheureusement pour lui, le daim fut pris a son propre piège. Au lieu de semer son poursuivant, les branchages et autres arbustes dans lesquels il l'avait entrainé ne firent que le ralentir lui même. Balfring gagnait du terrain, et au terme de cette longue poursuite, il finirent par regagner le terrain plat de la prairie. C'était le moment de passer à l'action ! Se donnant un coup de fouet, le loup fit de longues enjambées afin de rattraper sa proie. Épuisé comme il l'était, le daim ne réussi pas à le distancer. Balfring se rapprocha suffisamment de lui pour pouvoir le toucher. Il se mit donc à lui attaquer les pattes, évitant les coups de sabot qu'essayait de lui donner sa proie tout en les lui mordant dès qu'il en avait l'occasion. Il évita une bonne dizaine de coups désespérés, avant de finalement réussir à faire céder le daim.

Trop épuisé, ce dernier, les pattes en sang, cessa de lutter et finit par tomber lourdement à terre. Il commença à s'appuyer sur ses pattes pour se redresser, mais Balfring ne lui en laissa pas le temps. Sautant sur sa croupe, il y mordit fermement. le daim essaya de le désarçonner en remuant le haut de son corps, mais Balfring tint bon. Il l'écrasa de tout son poids avant de venir loger ses crocs dans sa jugulaire. Le sang jaillit entre ses mâchoires, signant la fin du jeune daim, qui, posant la tête au sol en signe d'abandon, se vida peu à peu de son énergie.

Fiche réalisée par @Joy

La nuit venait de tomber et il était partit à la recherche de proies, comme il n'arrivait pas à trouver le sommeil. En ce moment, Balfring ne rencontrait pas beaucoup de gibier, mais il sentait la trace de chiens et d'hommes un peu partout sur les terres... La chasse devenait de plus en plus difficile, décidément, mais il n'était pas permis d'abandonner.

Pour commencer échauffer ses membres et a faire du repérage, il se mit à trottiner doucement dans la prairie. Tout en avançant, il prenait soin de relever ses pattes bien haut et de les poser délicatement sur le sol. Sa présence devait passer inaperçue. Lorsqu'il arriva vers le centre de la clairière, Balfring du sauter au dessus des quelques obstacles qui se dressaient sur sa route. La dernière fois qu'il était venu ici, il ne lui semblait pas avoir vu de tels dénivelés de terrain... Quelque chose avait du se passer entre temps, mais il ne savait pas quoi.

Finalement, le loup stoppa sa course, lorsqu'il sentit ses muscles biens échauffés par l'effort. Il se tapit au sol, discrètement, observant les alentours en silence.

Fiche réalisée par @Joy