Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
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Tu ne passe pas inaperçue... [Pv. Kora] | |
| En savoir plus | Lun 26 Mai - 18:36 | |
| Des heures. Voilà des heures qu'il courrait, sans s'arrêter, jetant quelques coups d'oeil par-ci, par-là. Il ne faisait attention à rien dans cette forêt qui était dénudée de toute vie. Vulxen n'y voyais que la mort. L'échec. L'impossibilité. L'impossibilité de faire revivre cet endroit. Mais parfois les apparences peuvent être trompeuses... Il courrait à une vitesse folle, et ce, sans trop se fatiguer. Il ne faisait aucun bruit lorsqu'il courrait. Puis vint un moment où il vit une pousse d'arbre, verte et apparemment vivante, il se stoppa net plus loin, et s'en approcha silencieusement. Méfiant comme toujours, il se pressa d'observer les alentours, au cas ou des humains montreraient leur sale tête. Il reprit raison, et ne se laissa pas distraire par une vulgaire pousse. Malgré que cet pousse soit son seul espoir de, un jour, revoir la nature, la vraie. Et non pas une nature nue de sa beauté. En même temps, il apprenait de cet endroit qu'il n'avait que de loin, sans vraiment s'en approcher. Il fit une sorte d'entrainement à la course. Mais ce n'étais pas une course, juste sa façon de se déplacer. Il espérait simplement ne pas tomber sur un, ou une de ses semblable, pour ne pas avoir recours à crocs et aux griffes. Sous quel cas il serait le perdant. Mais son agilité lui permettrait une certaine bonne esquive.
- [NB] : (Un peu court, avec des fautes, mais faut me laisser reprendre la main ! :s) |
| En savoir plus | Lun 26 Mai - 22:04 | |
| Pourquoi y a t-il fallut que j'aille à cet endroit ? J'avais d'autre endroit à visiter non ? Une forêt lugubre, boueuse, sans vie et odorante. Je pataugeait dans la boue, alors que mes pattes était blanches. Quelle idée ! J'avançais jusqu'à un arbre, vivant cette fois. Il était énorme et très touffus. Quand je regardais un peu plus haut, je vis une carcasse d'homme, accroché par des fils à une branche. Il était méconnaissable, ont ne voyait plus son sang couler, sa m'aurait pourtant fait tellement plaisir. Quand je regardais bien, je vis plusieurs de ces cadavres, certains moins vieux que d'autre, encore frais. Je voulais en trouvé un, encore vivant et le voir suspendu à un arbre, sans aide et le harceler jusqu'à se qu'il meurt de faim, de froid, où encore de peur. C'était une forêt morte, même les oiseaux ne venait plus ici, et pourtant, alors que j'avançais à la recherche d'un homme, je vis une forme sombre, noir comme la nuit. Je me précipitait vers lui en grognant. En m’approchant un peu plus, je sentit que c'était un loup qui n'avait pas l'odeur des Esobeks ni des Sekmets, autrement dis rien d'autre qu'une proie sans défense. C'est se que je pensait, pourtant, je savait que je ne serait pas me défendre fasse à un autre loup, mais je continuait mon chemin. |
| En savoir plus | Lun 26 Mai - 22:45 | |
| Il continua de courir, courir , et encore courir, toujours sans s'arrêter, il prit au moins la peine de regarder les humains morts, suspendus par les attaches de leur parachute. Cela, provoquait un certains "réconfort" chez Vulxen. Il les haïssaient plus que tout, ces humains. Puis il croisa le chemin d'un humain suspendu, avec un masque à gaz, plutôt mal en point. Quoi de mieux qu'une espèce de barre métallique planté dans la visière, de sorte à ressortir de l'autre côté de son crâne. Pas mieux, en effet, pour paraître mal en point. Et vue l'état de ces vêtements ayant probablement pris feu, c'était surement une explosion. Avec tout ces canons anti-aérien, on s'y perd... Mais le loup noir ne s'attarda pas trop sur ce petit détail insignifiant. Mais quelque chose de spécial l'interrompu une nouvelle fois, mais il y prêta largement plus d'attention. L'odeur d'une louve. Et en bon curieux et adorateur de l'espionnage, il se dirigea silencieusement vers l'odeur. Tâchant de ne pas se faire remarquer. Au fur et à mesure de ralentir, il se mit peu à peu à ramper, une fois à bonne distance. Son odeur seule pouvant être ressenti, mais sa fourrure, en accord avec le sol, le camoufla avec efficacité certaine. |
| En savoir plus | Ven 30 Mai - 12:14 | |
| Son odeur était là mais elle se mêlait à celle de la boue, de la mort, du sang et bien d'autre encore. Cependant, j'arrivai tout de même à me repéré, même si c'était moins facile. Mes pattes me portaient, je ne sait comment car je m'enfonçait dans la boue. J'arrivais à me dégager mais mes pattes était à nettoyer. Je passait à travers les troncs d'arbres morts, suivent toujours sont odeur. Le soleil commençait à décliner mais il était trop tard, il fallait que je continue. Je m'approchais, encore et encore de l'odeur. Je le traquai maintenant comme ma proie et fonçait à travers les arbres morts et les cadavres. Une flaque de boue me barrait le chemin mais je décidait de continuer. M'enfonçant peu à peu, je paniquais. La boue m'arrivait à la hauteur du ventre mais je ne pouvais m'en dégager. Personne n'étais dans cette forêt, à part l'odeur de ce solitaire. Peut-être n'était t-il même pas là ! J' hurlais à travers les bois, appelant au secours mais je savait bien que personne ne viendrait m'aider. Maintenant enfoncer jusqu'au poitrail, j'essayais de sauter et de me dégager mais en vain. J'appelais à l'aide, de toutes les forces qui me restaient mais rien. J'allais mourir noyer sous la boue. Je restait cependant calme. |
| En savoir plus | Ven 30 Mai - 16:35 | |
| Il ne bougeait pas, il l'observait. Il était tout autant conscient qu'elle s'était aperçue de sa présence. Lorsque celle-ci se mit à ses trousses, Vulxen bondit d'un coup, et se propulsa tel une un fusée, à toute hâte, il esquiva les arbres avec adresse. Il bondissait au dessus de chaque piège de boue. Il pensait l'avoir perdue, mais c'est lorsqu'il entendit les cris de détresses qu'il se stoppa net, il s'en retourna en sens inverse, en resta à distance pour observer la louve blanche prise au piège, il n'osait pas s'approcher. Il restait cacher mais il ne pu la laisser ainsi, à ce triste sort. Il sortit de sa cachette et s'approcha rapidement, dans un élan de courage, il prit la louve par la peau de la nuque, entre ses crocs, il serra fort, la tirant hors du piège de boue, tandis que ses propres pattes si enfonçaient sont la pression exercé sur ses pattes, contre le sol boueux. Une fois qu'il l'eu tirer hors du piège, le loup noir l'allongea par terre, et recula rapidement, gardant ses distances avec la louve qu'il ne connaissait pas. Situation éprouvante, il resta silencieux, reprenant son souffle. Dans l'attente d'une réaction, il en profita pour la regarder en détail, du fait de se distance d'elle à lui, la possibilité de voir plus de détails sur la louve lui étaient accru. |
| En savoir plus | Ven 30 Mai - 21:23 | |
| Tandis que je hurlais à la recherche d'aide, l'odeur que j'avais tant chercher se rapprochait de plus en plus. D'un coup, un loup noir surgit de nul pars et m'attrapa. Il enfonçait ces crocs dans ma nuque, s'embourbent lui même dans la boue. Le loup noir sortit intacte, et moi aussi d’ailleurs ! Il me déposa doucement sur le sol et fit un bond en arrière. Il me fixait, m'observait sous tous les angles. Allai-je le remercier pour cet acte ? Il avais peur de moi, sa se voyer dans son regard de braise. Je n'avait pas envie de lui dire merci mais, cette situation m’énervais. J'ai toujours était cruelle et sanguinaire, indomptable et impitoyable. Non, je n'allais pas le remercier. Peut-être le mordre, le saigner ou le laisser sortir de là indemne. Mes forces revinrent et je lui sautais dessus, lui mordant la patte arrière gauche. Je lui arrachais des touffes de poils et essayer de lui mordre la nuque, mais en vain. Ce loup résistait à mes coups de crocs, se qui avait le dont de m'énerver. Je m’arrêtais, ayant toujours le dessus. Je plongea mes yeux dans son regard de braise, le déstabilisa et arrivait à le mordre au cou. |
| | | Tu ne passe pas inaperçue... [Pv. Kora] | |
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