Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Avançant d'un trot soutenu qui balayait la neige sous ses pattes, Leikn se rendait à la tanière d'Emarok avec entre les crocs sa trouvaille du jour. A savoir une longue tige métallique qu'elle avait trouvé entre les débris du parc abandonné, et que faute de guérisseur navnik en poste pour le moment, elle devait bien amener à quelqu'un - ne serait-ce que par acquis de conscience. Or, sa tendre sœur au cœur de pierre était actuellement dans la liste rouge de la louve blanche, qui ne voulait même plus penser seulement à elle. Par conséquent, le seul loup apte à se servir du machin qui lui écorchait les gencives à l'heure actuelle était le guérisseur esobek.
Sans compter qu'Emarok était peut-être le seul mâle de toutes les terres alentours dans le périmètre duquel Lei pouvait rester immobile plus de deux minutes sans lui sauter à la gorge. Non pas que ce soit le fait d'un coup de foudre, ou que ce miracle se soit produit en l'espace de deux jours et demi. En réalité, cela faisait des lunes qu'Emarok avait sauvé la vie de Leikn. Et elle avait passé la moitié de ce temps à l'ignorer franchement, voire à lui gronder tout bonnement dessus. Il faut dire qu'il était otage, et que cela lui donnait tout le champ libre pour n'en faire qu'à sa tête. La louve blanche n'aurait su dire quand que l'aversion qu'elle éprouvait pour ceux de son sexe s'était atténuée à l'encontre du loup tricolore ; et pourquoi, encore moins. Elle ne renonçait pourtant pas à ses grands principes et à sa rancœur. Mais Emarok était gentil. Emarok était doux. Emarok avait quelque chose qui faisait fondre sa carapace de glace, presque insidieusement, alors qu'elle regardait ailleurs. Elle ne pouvait ni l'empêcher, ni le lui reprocher. Au fond, c'était un pan de voile soulevé sur la vérité qu'elle rejetait : le caractère de ce loup lui plaisait, mâle ou pas mâle. Après avoir quitté les Navniks, le guérisseur était pourtant resté à graviter dans le secteur. Leikn l'avait recroisé, par hasard. Et puis moins par hasard. Ajouté aux brefs échanges qu'ils avaient eu alors que le mâle tricolore était prisonnier, les grognements antipathiques de Leikn se fondirent bientôt en des marmonnements d'habitude. Un peu de tendresse refoulée. Cela dit, il fallait plus qu'une trogne d'amour et quelques lunes sous la neige pour briser la carapace de fer de la guerrière.
Leikn laissa tomber sa morosité sur le seuil de la tanière en même temps que la tige de métal. Elle ébroua son pelage blanc avant même de s'enquérir de la présence d'Emarok : il faisait agréablement moins glacial à l'intérieur.
« Salut. »
Comme souvent, Lei ne trouvait pas ses mots en présence du guérisseur et ne les cherchait pas bien longtemps. Ce n'était pas par timidité, mais par manque d'habitude. Non pas qu'ils n'aient pas bavardé. Mais Lei n'avait jamais été adepte des longs discours.
« T'as besoin de ça ? » Grogna-t-elle en conséquence. « Si non, je trouverai bien quelqu'un d'autre à qui le filer. »
Bien qu'elle en ait déjà vu de semblables dans la réserve de Manîthil, Leikn ne savait pas et ne voulait pas savoir à quoi cette tige pouvait servir aux guérisseurs. Non pas qu'elle rechignerait à ce qu'on s'en serve sur elle si elle était à l'article de la mort, mais d'une, cela ne l'intéressait pas avant cela, et de deux ce ne serait pas de gaieté de coeur de toute façon. Mais après tout, quel loup pourrait frétiller de la queue en voyant un truc en métal s'approcher à moins de dix mètres de sa fourrure, elle se le demandait bien. Bref.
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Mar 5 Jan - 12:20
QUITE NOT THE ONE BUT CLOSE ENOUGH
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La neige était encore présent partout, c'était récent et pourtant il épaisse couche c'était former sur le sol, ce qui m'empêchais de marcher comme je le voulais. Mais le pire n'était pas le froid, quoi que un peu, mais c'était le manque de nourriture et de plante. Cela fait peu de temps que je suis libre, que j'ai retrouver les miens et que malgré tous je continue a venir dans cette tanière, une tanière éloigné des miens. Cela me permet d'accueillir tous le monde, quelque soit leurs meutes et leurs origines, sans différence. Ma tanière c'est chez moi, et chez moi c'est moi qui choisis ! Un petit vent glacé ce fit sentir, les poils s'hérisse et je laisse échapper de ma gueule une petite bue fraiche. Lorsque je me retourne, je vis une louve blanche, couverte de neige, lorsqu'elle s'ébroua pour s'enlever ce qu'elle avait sur le dos je reconnu Leikn. Une louve Navnik a qui j'avait aider, il y a un moment déjà ... après c'être recroisé avec juste quelque signe de tête, que la bataille c'était passer et que ma libération était arriver ... nous ne somme plus revu. Elle s'avança puis posa au sol une tige métalique.
« Salut. »
Je lui souris, ravie de la revoir depuis le temps, et cette fois-ci c'est elle qui est venu vers moi ... j'imagine l'effort qu'elle a dut faire pour venir.
« T'as besoin de ça ? Si non, je trouverai bien quelqu'un d'autre à qui le filer. »
Fixant la tige métalique je la pris entre mes crocs et la posa avec les autres a côté des plantes toute ranger pour une fois. Me retourner vers Leikn, il fallait bien lui répondre.
" Merci ! je prend ... on ne crache pas sur des réserver ! Et si quelqu'un a une patte de cassé je saurais les aider ! comment va tu depuis ?"
Un petit sourire au lèvre je me posa devant la louve, m'asseyant tranquillement.
Leikn avisa l'air du loup tricolore à son arrivée : il avait l'air plutôt content de la voir. C'était le cas à chaque fois, mais cela ne l'empêchait pas de se sentir mal à l'aise à chaque fois - c'est qu'elle était seule depuis très longtemps. Elle n'avait jamais réussi à se fondre complètement dans la masse des Navniks, et n'avait pas d'ami proche parmi eux. Hormis Manîthil, personne ne la regardait donc avec de l'amitié dans les yeux depuis des lunes, et Manîthil n'était plus là.
« Merci ! Je prends... on ne crache pas sur des réserves ! » Déclara Emarok. Lei le regarda s'affairer avec ce qu'elle lui avait rapporté. « Et si quelqu'un a une patte de cassée je saurai les aider ! Comment vas-tu depuis ? »
Ok, c'était donc ça. Leikn nota soigneusement mentalement de ne jamais se casser une patte, si c'était pour qu'un guérisseur un peu marteau décide de lui planter un bâton de métal dedans pour la remettre droite. Ou quelle que soit la méthode employée. Comprenant finalement qu'Emarok lui avait posé une question de politesse, la louve blanche resta coite un instant. Ce n'est pas qu'un « Ça va. » lui aurait écorché la langue, mais les banalités n'étaient pas sa spécialité. Elle inclina donc la tête dans un geste qui n'engageait pas grand-chose ; c'était déjà une réponse, et c'était déjà quelque chose. Soudain, elle songea à son fils adoptif, sans grande raison, et de là à ses frasques quotidiennes qui avaient tendance à exaspérer une large moitié de la meute. Emarok devait sans doute connaître Oreka, au moins de réputation, puisqu'elle avait ramené le gamin chez les Navniks peu avant son départ. Tiens, de quoi discuter.
« ... Oreka a encore failli se faire bouffer par un ours. » Déclara-t-elle en fronçant le nez avec un mélange d'agacement et d'admiration.
Comment avait-il trouvé un ours sous toute cette neige, ça... la guerrière se demandait si son môme n'était pas un peu maudit sur les bords.
« Donc ouais, si tu le vois traîner dans le coin, tu peux le renvoyer. 'fin bref. »
Lorsqu'elle était en compagnie du guérisseur, la louve blanche avait la fâcheuse tendance de se détendre bien plus qu'en présence de ses congénères masculins ; et cela ne lui plaisait pas du tout. D'où ses fréquentes phrases tronquées, et les efforts qu'elle mettait à garder une attitude raisonnablement distante. Elle ne voulait pas faire confiance à n'importe qui, pas pour le prix d'un air d'ange et d'un discours très majoritairement pacifiste.
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Lun 25 Jan - 11:25
QUITE NOT THE ONE BUT CLOSE ENOUGH
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Leikn avait l'air pensive, ne sachant pas trop quoi dire ou comment reagir. Elle avait l'air encore mal a l'aise, le pourquoi je ne sais pas, et je ne souhaite pas lui poser la question. De peur de la réponse ou bien de détruire notre relation.
« ... Oreka a encore failli se faire bouffer par un ours. »
Je ne savais plus trop a qui ce nom appartenais, je savais juste que c'était un louveteau chez les Nav il me semble.
« Donc ouais, si tu le vois traîner dans le coin, tu peux le renvoyer. 'fin bref. T'as beaucoup de travail en ce moment ? »
Je laissa échapper un sourir, mine de rien la présence de Leikn était agreable. Elle avait son caractère bien a elle, et surtout différent des autres loups, et c'est ce qui était intéressant.
" Tous les petits sont en quête d'aventure ! il faut le laisser faire, tous en gardant un oeil sur lui. J'ai un peu de boulot, enfin surtout un nouvel apprenti a former. Je n'ai pas assez de "blesser" pour les former, quelle tristesse ! mais je préfère me réjouir de ne pas avoir de blesser tous de même. "
Gardant un oeil sur les expression d'Emarok, Lei crut voir qu'il n'était pas certain de l'identité d'Oreka. En soi ce n'était pas bien grave ; cela faisait toujours une personne que la mention de ce nom ne ferait pas grogner.
« Tous les petits sont en quête d'aventure ! Il faut le laisser faire, tous en gardant un œil sur lui. »
Tu l'as dit. Lei eut une pensée affectueuse pour son rejeton, puis accorda son attention à la réponse du guérisseur. Ce faisant, elle se releva et alla flâner çà et là dans la grotte, observant l'installation.
« J'ai un peu de boulot, enfin surtout un nouvel apprenti à former. Je n'ai pas assez de "blessés" pour les former, quelle tristesse ! Mais je préfère me réjouir de ne pas avoir de blessés tous de même. »
L'odeur caractéristique des plantes qui régnait dans la tanière rappelait à Leikn les endroits où elle avait passé son enfance. A vivre chez les Navniks, elle en avait presque oublié combien cette senteur lui était familière. Une bouffée de nostalgie l'assaillit, qu'elle chassa en commentant avec amusement :
« Je peux aller titiller de l'ours moi aussi, si y a que ça. T'auras sûrement des morceaux à recoller après. »
La louve blanche s'approcha d'un tas de feuilles mortes rassemblé près de l'entrée, sûrement à la fin de l'automne.
« Ça sent un peu toutes les meutes chez toi. » Ajouta-t-elle, « Tu ramasses tout ce qui passe en fait ? »
Un instant, Leikn considéra le tas d'un air si placide que rien ne laissait suggérer qu'elle était prête à faire autre chose qu'à le fixer jusqu'à la fin des temps. Puis elle se décala et, d'un coup de queue fort et subit, envoya voler la moitié du tas dans le nez du guérisseur. Un frémissement des babines de la louve indiqua qu'il lui était dur de retenir son sourire. Oups.
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Mar 9 Fév - 15:57
Hey lonely boy
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Leikn était mine de rien de nature curieuse, elle ne restait jamais en place, ou ne restait jamais longtemps a me fixer tous en parlant. Elle aimait avoir le contrôle sur tout, et le choix dans la discussion, cela ne me dérangeait pas au contraire, chacun avait son lot de personnalité.
« Je peux aller titiller de l'ours moi aussi, si y a que ça. T'auras sûrement des morceaux à recoller après. »
Je pris un air plus sérieux, je ne souhaitais pas qu'elle s’engouffre dans un tas de problème et se blesse volontairement. Je grogna légèrement sans pour autant vouloir lui faire peur.
" Ne va pas chercher les problèmes, je n'aimerais pas que tu te blesse volontairement. Je suis sur que tu en inquiétera plus d'un, en tout cas moi je serais inquiet. "
Je connaissais peu de chose sur Leikn, mais je savais qu'elle avait une soeur, et Oreka, ils allaient morts d'inquietudes si elle se jete sur un ours sans raison.
« Ça sent un peu toutes les meutes chez toi. Tu ramasses tout ce qui passe en fait ? »
Ha ! j'étais grillé c'est çà ? quoi que je ne m'en cache pas, je souris puis rigola légèrement. Je ne suis pas du genre a trier mes patients, je soigne les blessés, quelque soit les blessés.
" Je ne vois pas pourquoi je devrais soigné uniquement les loups de ma meute. Si je suis devenu guérisseur c'est pour éviter d'être incapable d'aider quand quelqu'un est blessé. Alors oui je soigne n'importe quel loup, quelque soit leurs meutes ou leurs origines. Pour moi c'est normal, qu'en pense-tu ? j'agis mal en soignant tous ceux qui demande mon aide ? "
J'avais envie de connaitre la réponse de la louve, mine de rien son avis est interessant. Si le fait de soigné tous les loups de toute meute aurait été une marque de trahison pour ma meute, j'aurais sans doute fini solitaire ... mais mine de rien j'ai une certaine relation qui me lie au Esobek que je ne veut pas rompre.
Leikn fut surprise d'entendre un grognement, certes discret, mais bien audible, s'élever dans la tanière non loin d'elle. Elle mit un instant à comprendre que ce bruit provenait de la gorge d'Emarok même, et lui lança un regard perplexe. Jusqu'à présent elle avait été intimement convaincue que le guérisseur était incapable de produire quoi que ce soit d'attitude menaçante. Eh bien elle allait devoir revoir son opinion. Même si pour le coup c'était plus une expression de sa mauvaise humeur qu'autre chose. Lei retint un sourire lorsqu'il exprima le peu d'envie qu'il avait de ramasser ses morceaux et les recoller.
Puis il rit. Encore. Leikn avait rarement côtoyé un individu ayant le rire si facile.
« Je ne vois pas pourquoi je devrais soigner uniquement les loups de ma meute. Si je suis devenu guérisseur c'est pour éviter d'être incapable d'aider quand quelqu'un est blessé. Alors oui je soigne n'importe quel loup, quelque soit leur meute ou leurs origines. Pour moi c'est normal, qu'en penses-tu ? J'agis mal en soignant tous ceux qui demandent mon aide ? »
Lei plissa les yeux : la conversation devenait trop philosophique pour elle. Elle avait tendance à voir la vie sous un angle simple. La louve blanche s'assit et prit le temps de gratter vigoureusement une zone qui la démangeait dans le cou, à l'aide de sa patte arrière. Puis elle fixa Emarok dans les yeux quelques secondes, avant de répondre :
« ... Moi si j'étais dans la merde comme l'autre fois, ça m'arrangerais bien que tu me recolles. »
Et avouer une chose pareille n'était pas sans lui laisser un sale goût dans la bouche. Que ce soit à Emarok ou à quiconque d'ailleurs - sa sœur exceptée ; Lei détestait admettre une quelconque faiblesse. Elle détestait ne serait-ce qu'imaginer avoir besoin d'aide. Et pourtant cela lui arrivait souvent. Elle n'était pas la louve la plus précautionneuse du monde, fallait-il dire.
« De toute façon, tu t'en fous de l'avis des autres. Tu peux bien te débrouiller tout seul ; et si un loup respecte pas tes choix, il est pas digne de toi. » Reprit-elle en haussant les épaules.
Elle s'étonnait elle-même, à sortir ainsi sa philosophie de vie à un mâle. Qu'elle ne connaissait pas depuis si longtemps que cela d'ailleurs. Mais il lui avait sauvé la vie, ce fait devait certainement peser un poids non négligeable dans l'équation. Ce n'était pas pour autant qu'elle l'appréciait. Il allait encore falloir un peu de temps à Lei pour se faire complètement à la compagnie du guérisseur.
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Mer 24 Fév - 10:59
Hey lonely boy
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D'un air simple et naturel, je leva les yeux vers le ciel ... celui-ci était claire, malgré le froid qui nous entourait, le ciel était dégagez, sans nuage pour gener la belle vu de ce jolie bleu.
« ... Moi si j'étais dans la merde comme l'autre fois, ça m'arrangerais bien que tu me recolles. »
Je souris ... je ne refuserais en aucun cas de voir Leikn dans ma tanière pour demander de la soigner. En fait je serais content, car elle pensera a moi quand elle ira mal, et cette idée me fit sourir.
" Je serais heureux de t'accueillir pour te soigner. Quoi que je préfère que tu me rendent visite en bonne santé ! "
Oui, je préfère qu'on viennent me voir pour discuter, pour parler, penser a venir me donner des nouvelles, plutot que de ne penser a moi uniquement car on est blessé ... c'est sur je ne refuserais jamais des soins.
« De toute façon, tu t'en fous de l'avis des autres. Tu peux bien te débrouiller tout seul ; et si un loup respecte pas tes choix, il est pas digne de toi. »
Dans ce sens, oui Leikn avait raison. Je m'en fou de ce que les autres penses, j'agis et je continuerais a agir comme je le souhaite. Sans que l'avis des autres est un impacte sur moi.
" Merci Leikn, j’apprécie énormément ta compagnie. Et te parler part plus simple qu'a notre rencontre."
Leikn était une louve que appréciait, autant sa compagnie, que de lui parler, de tout et de rien, de moi ou d'elle. J’espérais que c'était réciproque, mais je n'ai pas oser poser la question.
Assis à l'entrée de sa tanière, Emarok regardait vers le ciel, et la louve blanche ne put s'empêcher de suivre ce regard. Le toit du monde était bleu, froid et vide, à l'exception de quelques nuages éparses. Leikn redescendit très vite les yeux sur la terre ferme, à son avis bien plus intéressante. Pendant ce temps, le guérisseur semblait avoir tiré d'obscures conclusions de son laïus miniature, ce dont il paraissait tout à fait satisfait. Eh bien. S'il en fallait si peu que ça.
« Merci Leikn, j’apprécie énormément ta compagnie. Et te parler paraît plus simple qu'à notre rencontre. »
La louve blanche remua les oreilles. L'avantage avec le loup tricolore, c'est qu'il se satisfaisait pleinement de ses réserves et de son manque de loquacité. Leikn avait encore du mal à s'habituer au fait que quelqu'un qu'elle côtoyait peu puisse apprécier, et même rechercher sa compagnie. Sans compter qu'elle n'était pas encore tout à fait dénuée de méfiance envers lui. Et pourtant. Curieuse bestiole, songea-t-elle en se tournant vers l'intérieur de la tanière. Elle commençait à l'apprécier. Peut-être. Ce n'était pas tout à fait à son goût.
« Pas de quoi. » Elle se releva pour aller s'allonger aussi sec plus à l'intérieur et poursuivre la conversation. « T'embête pas si je reste là pour te regarder faire... quoi que tu fasses ? J'm'ennuie. »