5/10/5

La dalle voilà ce qu'il avait, il crevait la dalle... Il s'était enfuit il y avait peu pour retrouver la liberté et le prix fort à payer était bien sûr la "famine". Il commençait à avoir le peau sur les os et il ne pouvait envisager le fait d'aller piller les autres meutes, pas pour le moment surtout qu'il comptait à la base se faire des "amis" et non des ennemis... Donc il allait tenter de piller les Hommes, après tout c'était un défi comme un autre et ce qui lui paraissait impossible l'excitait, cela lui donnait un défi. Continuant de s'engouffrer dans la forêt il restait attentif il ne voulait en effet pas franchir involontairement les terres d'une meute ou encore attirer l'attention des chiens et des Hommes qui pourraient-être à sa recherche. Après s'être assuré que tout était sûr il s'élançait dans la forêt sautant par dessus une vieille branche d'arbre morte, pour la première fois de sa vie il était véritablement libre, la seule chose qui lui rappelait son ancienne prison était ce collier autour de son cou, il allait rester ici à vie comme pour lui rappeler que ça n'avait pas toujours été le cas.

Jet de dé.

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'Dé de pillage' : 12

5/10/5

Il était là, le village. Prenant le temps d'analyser les différentes possibilités d'entrer dans celui-ci sans être repérer le canidé était arriver à trouver une ruelle non loin. Il n'y avait personne même pas la présence de chien, de toute manière son odeur était encore imprégnée des Hommes il ne sonnerait donc logiquement pas "l'alarme" en passant dans les environs. Le temps pressait mais il avait apprit à ne pas s'affoler, il devait faire ça correctement pour ne pas se faire avoir, il ne devait pas retourner à la case de départ il l'avait déjà trop "fréquentée" à son goût cette case là. Au bout de quelques instants il avait finit par isoler le lieu qui l'intéressait, celui qui abritait les lapins. Entrant à l'intérieur il constatait que ceux-ci étaient protégés par des clapiers, ce n'était pas étonnant du tout les Hommes protégeaient très soigneusement les bêtes qu'ils élevaient... Il les admirait pour ça, c'était les seuls êtres capables d'élever leurs propres nourritures. Il finissait alors par s'approcher tirant sur le grillage de l'un des clapiers pour créer une faille et faufiler sa tête afin de saisir la pauvre bête, plantant ensuite ses crocs dans sa nuque il filait avec, voilà une belle prise qui allait lui permettre de passer l'hiver.

Nouveau pillage:
6/10/7

6/10/7

Il était revenu, en effet un seul lapin n'allait pas suffire à le rassasier pour un mois, donc il devait revenir, bon au moins cela lui faisait sa dose d'adrénaline pour la journée, il fallait voir le bon côté des choses. Attentif il traversait une nouvelle fois la forêt, il y avait non loin une drôle d'odeur, l'odeur d'une meute et pour le moment il ne devait pas traverser ce territoire il devait d'abord se construire un petit foyer bien douillet pour s'assurer de survivre, ensuite il prendrait le temps de faire de nouvelles rencontres pour pouvoir se mettre dans le bain. Accélérant alors son allure il marquait un arrêt devant le village. Une nouvelle fois encore tout allait se jouer ici devant ce village Humain, lui contre les Hommes, son intelligence canine contre celle des Humains... Qui allait gagner cette fois-ci ? Il allait bien voir.

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'Dé de pillage' : 4

6/10/7

Eredor venait de manquer son coup, en effet les Hommes étaient déjà derrière lui. Grognant dans un premier temps il fixait ensuite les alentours prenant tout bonnement la fuite. Il était agile et endurant il savait qu'il n'aurait aucuns problèmes à les semer de plus il connaissait leur façon de faire, les chiens n'étaient là que pour "retenir" le loup pendant que les Hommes s'approchaient avec leurs canons, le maître qui tirait les ficelles était l'Homme, le canin n'était qu'un pantin. Bousculant un chien, le faisant alors chuter, il bondissait par la suite au dessus pour pouvoir continuer dans sa lancer et parvenir à rejoindre la forêt.

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'Dé de pillage' : 1

6/10/7

Les Hommes étaient en train de remonter sa piste, ceux-ci ne voulaient pas le lâcher et ils hurlaient donnant donc des ordres aux chiens. Il devait se débrouiller et rapidement si il voulait ne pas être encerclé. Les chiens n'avaient pas l'habitude de suivre un autre canin dans une forêt emplie d'odeurs, et pour ça il s'était dirigé vers le coin d'un élan. L'animal était introuvable mais son odeur allait parfaitement masquer la sienne et il avait vu juste puisque les Hommes ne le suivaient plus... Les chiens s'étaient trompés de direction. Maintenant il devait faire demi-tour, accélérant jusqu'à courir il se dirigeait à nouveau chez les Hommes pour pouvoir y saisir une proie.

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'Dé de pillage' : 11

6/10/7

Il avait vu juste, encore une fois, c'était une habitude de toute manière chez-lui puisqu'il voyait toujours juste et qu'il avait toujours raison. Amusé par sa propre compétence à prévoir les choses il se dirigeait à l'intérieur de leur village d'un pas assuré, après tout ils étaient en train de le chercher en extérieur donc pourquoi se presser ? Ces Hommes étaient au fond assez stupide, enfin facilement maniable puisqu'ils se pensent au dessus de tout. S'arrêtant devant la maison cachant les lapin Eredor sautait à l'intérieur de celle-ci. Il restait deux lapins, tirant sur l'un des grillages il permettait à l'un d'eux de fuir pour bondir dessus et abattre ses crocs au niveau de sa nuque, une fois cela fait il fuyait avec son trophée.

Nouveau pillage:
7/11/12

7/11/12

Il était revenu ici, après tout les Hommes étaient une source sûre de nourriture et il avait donc ici la possibilité de remplir sereinement sa tanière de petites bestioles pour tenir pendant cet hiver qui était des plus rudes. Regardant le village calmement il attendait tout simplement de voir sa chance se présenter, dans ces cas là il fallait juste être patient et Eredor savait faire preuve de patiente ce qui n'était donc pas un problème. Qu'allait-il voler une fois sur place ? Il verrait bien... Il fallait juste voir ce qu'il restait sur les lieux surtout.

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'Dé de pillage' : 12

7/11/12

Les Hommes étaient partit prendre leur pause déjeuner, voilà sa "chance", oui il était en train de se redresser et de se diriger avec rapidité à l'intérieur du village. Maintenant son odorat allait le guider, ici il n'y avait plus rien excepté du poisson. Remontant l'odeur du poisson il se retrouvait désormais devant une maison. Grattant au niveau de la porte de celle-ci il était parvenu à l'ouvrir, à vrai dire la porte était tout simplement très mal fermée. Se faufilant à l'intérieur il se hissait sur ce qui ressemblait à une caisse, la poussant de son museau il la faisait tomber celle-ci s'était alors ouverte une fois au sol laissant tomber de nombreux poissons. Le bruit avait du alerter les Hommes et Eredor devait se dépêcher, saisissant un poisson dans sa gueule il filait avec s'empressant de rejoindre la forêt pour ne pas être vu...

Nouveau pillage:
7/11/12

7/11/12

Il était encore sur place les observant, ils étaient passionnant ces êtres tout de même, capable de tenir sur seulement deux pattes, capable d'élever leur nourriture et surtout de faire en sorte que d'autres espèces soient à leur écoute... C'étaient des êtres dangereux, il en avait conscience mais quand la plaine n'offrait plus de gibier à chasser il fallait bien se rabattre sur quelque chose d'autre... Et puis ça donnait une utilité à la présence des Hommes dans le coin non ? Amusé il se redressait pour commencer à se diriger en direction du village, il allait retenter sa chance.

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'Dé de pillage' : 2

7/11/12

Les Hommes étaient encore là prêt à l'accueillir si il faisait un pas de travers et se faisait repérer. S'élançant alors Eredor faisait demi-tour pour finalement se diriger dans la forêt, il devait attendre le bon moment si il ne voulait pas se prendre une balle ou autre chose de plus grave... S'installant calmement il réfléchissait à une manière d'entrer dans le village, que pouvait-il faire ? Surtout que les loups de meute semblaient-être passés dans le coin et avoir avertit tout le village de leur présence...

1 endurance.