Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.

Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.


 
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 Couloir Mortel ...

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Ven 18 Déc - 19:06




Scientifiques

Couloir Mortel ...


Après avoir réussi à échappé à vos bourreaux, vous vous dirigez dans le couloir où se trouve les cages de vos congénères, toujours enfermés, prostré dans leur minuscule cage ... Réussissant à esquiver les Hommes aux masques de fer et en les faisant fuir, vous arrivez finalement près des cages. L'affolement se fait autour dans les différents couleurs que parmi vos congénères prisonniers. Impuissant derrière leurs barreaux de fer, ils ne peuvent que vous regarder en espérant un miracle et, quel miracle allez-vous leur amener ? Les cages sont fermés avec une serrure, ouvrir risque de ne pas être évident et, derrière vous, vous pouvez entendre le bruit de course d'Hommes venant dans votre direction ...

Daante, Palladium, vous voilà face aux cages. Celle-ci sont fermés à clés et des Hommes arrivent vers vous mais, ils sont encore loin. Que comptez-vous faire ?

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Mer 23 Déc - 14:03



things are going worst

[EVENT] Laboratoire


F. 100 | A. 100 | E. 100

I l avait galopé à toutes pattes dans les couloirs morbides, le cliquetis de ses griffes résonnant sur le sol lisse. Il glissait dans les tournants, manquant de tomber à chaque nouvelle intersection. Il entendait le bruit de la course du second Navnik derrière lui. C’était étrange, qu’il ait abandonné Tybalt aussi facilement… Peut-être avait-il un semblant de bon sens, après tout ?
Lorsque Palladium parvint enfin aux cages où ses congénères étaient enfermés, une mauvaise surprise l’attendait.

Haletant, le Pantin regarde les cages, dans lesquelles de nombreux loups s’agitent. Presque inconsciemment, il se rue vers celle de Gallya, la plus proche Sekmet. Ses crocs se referment sur le métal froid, et il secoue la tête de toutes ses forces, tentant d’arracher cette porte qui prive la louve blanche de sa liberté. Mais ses efforts sont vains, la porte est scellée. Il semblerait que seul un Bipède puisse l’ouvrir. Décontenancé, Palladium se laisse choir sur le sol, l’air hébété. Ce n’était peut-être pas la bonne solution qu’il avait choisie : peut-être aurait-il mieux fait de partir, directement. Il n’avait pas pensé qu’il peinerait à ouvrir les cages. Les oreilles du loup brun vibrèrent : le bruit de la course de Bipèdes se rapprochant ajoute une dose de stress et d’adrénaline dans les veines du Pantin. Cette fois, sa petite escapade semble bien compromise.
Désemparé, le Sekmet cherche une solution, examinant l’endroit avec attention. Ses yeux jaunes furètent, à la recherche d’une idée géniale qui le tirerait de ce mauvais pas. Mais rien ne vient ; ses membres demeurent paralysés, et son cerveau est comme gelé par la peur qui le tétanise. Il tourne son regard désappointé vers le Navnik. Peut-être que lui saura ce qu’il faut faire ?


BY ACCIDENTALE
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Jeu 24 Déc - 22:12

Force : 70 Agilité : 64 Endurance : 55

Je galope à toute allure derrière le Sekmet brun, le talonnant de peu. Le bruit de notre course résonne étrangement dans ce couloir aseptisé, ce couloir de mort qui en cet instant me semble bien plus long qu'à l'accoutumé. Je galope si vite que mes pattes frôlent à peine le sol dur. L'asphalte industrielle dont l'odeur étrange combinée à celle de la peur, de la transpiration et du sang de tout les prisonniers pourrait faire vomir un mort mais je ne sens pas, je ne sens plus. Ou plutôt, je m'en contrefiche. Car, je galope vers la lumière, la liberté et la vie. Enfin c'est ce que je ferais si ce foutu Sekmet avait assez de jugeote pour chercher une sortie. Est ce qu'il croit qu'il va les libérer comme cela ? D'un claquement de griffes. Que les verrous vont sauter comme par magie. Les deux pattes utilisent des bouts de métal qu'ils insèrent dans le verrou pour fermer les cages et aux dernières nouvelles, ces bouts de métal sont hors de notre portée. Nous arrivons finalement quelques minutes plus tard devant les cages et le Sekmet s'élance vers celle d'une Sekmet. Je tends l'oreille vers le couloir. Des bruits de course précipités. Nul doute qu'un bipède nous a pris en chasse. Je tente d'humer l'air ambiant et finit par déceler une odeur de poudre. Ce bipède est armé. Notre temps est limité. Le loup brun reporte son attention sur moi lorsqu'il se rend compte qu'il ne peut pas ouvrir ses foutues cages par une opération du saint esprit. Je m'élance vers la cage de Sageeth et insère une griffe dans le verrou. Ce n'est pas une pièce de métal des bipèdes. Mais qui ne tente rien n'a rien. Je fais bien attention à ne pas abimer ma griffe. Mon petit doigt me dit que je risque d'en avoir besoin très bientôt. Je tourne la griffe dans la serrure. Espérant entendre le fameux cliquetis synonyme de réussite. Mais, je reste sur mes gardes et tout mes muscles sont tendus prêt pour une fuite désespérée si cela s'avère nécessaire.
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Sam 26 Déc - 12:36




Scientifiques

Couloir Mortel ...


Vous êtes désormais aux cages mais, visiblement, toutes tentatives est impossible. Tirer ne fera que vous abîmer la gueule, votre mâchoire n'ayant malheureusement pas la force nécessaire à moins d'avoir une gueule en fer. C'est peine perdu pour Palladium qui cherche une idée auprès de Daante. Le Navnik s'essaye mais, n'arrive à rien. Sa griffe est bien trop grosse pour entrer dans la petite serrure du cadenas. Il faudrait quelque chose de bien plus fin pour y arriver.

Pendant que les deux loups tentent désespéramment d'ouvrir les cages, le bruit de course des Hommes se rapprochent. Peut-être que si vous aviez eu quelques choses en fer pour faire levier sur les barreaux les plus rouillé, vous aurez réussi à créer une brèche pour tenter à vos compagnons de sortir mais, rien autour de vous ne pourra vous aider et, voilà qu'un Homme déboule dans votre couloir ...

L'Homme pointe sur les deux loups son arme et tire entre les deux. Vous devez vous enfuir et rapidement ! D'autres Hommes sont en train d'arriver de l'autre côté du couloir ! Trouvez une sortie si vous voulez vous en sortir !

Daante, Palladium, vos tentatives ne fonctionnent pas, un loup ne pouvant insérer sa griffe dans un cadenas, les griffes des loups n'étaient pas aussi fine que celle d'un chat, vous être contraint de tenter de fuir. Que comptez-vous faire ?

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Dim 3 Jan - 14:14



things are going worst

[EVENT] Laboratoire


F. 100 | A. 100 | E. 100

M alheureusement, les espoirs que le loup brun avait placés en l’intelligence hypothétique du Navnik s’effondrèrent rapidement. Ce dernier s’élance vers la cage de Sageeth et tente de faire sauter le verrou à l’aide d’une de ses griffes. Les yeux jaunes du Pantin se tournent rapidement vers la cage de Gallya, examinant la serrure mais il comprend rapidement – ou du moins plus rapidement que son petit camarade – que c’est peine perdue : la serrure est bien trop petite pour être forcée. Se croyait-il réellement plus intelligent que les Bipèdes ? C’aurait été les sous-estimer, gravement. Laissant le Navnik à son acharnement, Palladium cherche autour de lui quelque chose, une idée, n’importe quoi qui aurait pu les aider à faire sortir leurs compagnons retenus. Hélas, son cerveau demeurait désespérément vide, une masse informe de neurones surexcités qui auraient été comme une centaine de milliers de petits soldats courant partout, dans un chaos indescriptible.
C’est à cet instant que la détonation retentit, mettant immédiatement fin à la réflexion de Palladium. La balle ricoche sur le sol lisse et part se figer dans une armoire, faisant voler quelques éclats de bois dans un craquement sinistre. Le Pantin se fige, son pouls s’accélère. Dans l’embrasure de la porte, le Bipède se tient debout, son arme pointée sur eux. Quelques secondes se passent, durant lesquelles les prédateurs se toisent, se jaugent. La queue du Pantin file se cacher entre ses postérieurs.
Ils n’ont plus le temps de sauver leurs petits camarades. S’ils prennent ce risque, alors qu’ils sont visiblement à court d’idées, ils se feront prendre. D’autres Bipèdes rappliqueront bientôt, il faut se tirer d’ici.

Mais encore une fois, le Navnik ne fait pas partie des plans de Palladium. Il s’enfuira, et advienne que pourra du loup gris. De toute manière, ce dernier lui a bien montré qu’il ne voulait pas de son aide, et qu’aucune entraide n’était envisageable. Et le Pantin n’allait certainement pas perdre son temps à lui faire entendre les bienfaits d’une alliance à courte durée !
Le loup brun se ramasse alors soudainement sur lui-même, bandant ses muscles d’une contraction brutale, et d’un bond puissant il libère la tension accumulée, s’élançant contre le Bipède menaçant. Le coup de feu part à nouveau – certainement la manière qu’a le Bipède pour évacuer la tension à sa façon – et frôle Palladium. Miracle, il n’est pas (encore) touché. Se heurtant aux jambes de son geôlier dans sa fuite, il force le passage entre ses deux pattes. Pas très large, suffisant pour le déstabiliser.

Il est à nouveau seul, dans le couloir. Ou du moins, presque seul. Par le chemin où il est venu, il peut déjà voir des Bipèdes rappliquer à toute vitesse. De l’autre côté, la voie semble libre. Il n’a pas le choix. Sans un regard pour le Navnik resté derrière lui, il s’élance vers ce chemin qui, il l’espère, le conduira peut-être à une sortie.
Quoi que, ce serait presque trop facile…



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Lun 11 Jan - 17:24

Force : 70 Agilité : 64 Endurance : 60

Tout mes espoirs s'effondrent lorsque je me rends compte que contrairement à ce que j'avais imaginé mes griffes ne feront pas l'affaire pour une tentative d'imitation de clé métallique si importante aux spectres et autres gardiens de cet enfer. Si importante parce que c'est ce qui nous retient prisonnier de leurs adorables traitements. Je m'acharne quelques secondes de plus, essayant de tordre le métal froid, tentant d'anéantir le mécanisme du verrou qui coince mon alpha au milieu de cette prison de fer mais rien n'y fait et c'est en vain que je m'échine à vaincre cet ennemi intransigeant et implacable. Je dois finalement m'avouer vaincu quelques instants plus tard. Je réprime un hurlement de colère pure et primale et contient tant bien que mal la fureur qui menace de me submerger. Car, buter sur un détail si infime m'est absolument insupportable. J'aimerais bien planter mes crocs acérés dans quelque chose mais la seule personne disponible est une pourriture de Sekmet qui certes m'a permis de m'évader mais seulement parce qu'il avait besoin de moi pour parvenir à s'échapper lui même. Or, cela serait complètement stupide, suicidaire et encore une fois complètement stupide car un bipède accourt à toute allure dans notre direction et à l'odeur de poudre que je renifle d'ici, ce dernier est armé. Je n'ai pas besoin de parole ou de regard pour faire comprendre à mon partenaire d'évasion que notre jeune alliance est rompue et que nous revenons à la normale. Soit l'état dans lequel c'est chacun pour soi. Je me retiens de lui souhaiter bonne chance car je ne tiens pas à me faire rabrouer. Tout le monde sait à quel point les Sekmets sont civilisés. N'est ce pas. Et puis ce n'est pas de chance dont on a besoin pour quitter ce piège mortel mais d'un inébranlable sang froid et d'une confiance absolue en ses capacités. Soudain, le deux pattes apparaît au loin et le loup brun s'élance dans sa direction. Je le regarde faire ahuri avant de faire volte face et de détaler dans la direction opposée. Lorsque le coup de feu retentit dans mes oreilles, je suis déjà loin du tumulte. Je me focalise sur mes sens et fais tourner mon cerveau à plein régime. Environnement fermé, isolé sans fenêtre ni ouverture sur l'extérieure apparente. Pas de porte de sortie enfin si il y a surement une sortie officielle mais qui doit bien évidemment ètre lourdement gardée. Je dois donc trouver un courant d'air qui m'indiquerait une sortie potentielle. Je galope dans un couloir faiblement éclairé par des néons en piètre état. Soudain, l'indice tant attendu. De l'air frais sous une porte. Je percute violemment la porte en espérant qu'elle soit ouverte et là je me retiens à grande peine de pousser un hurlement victorieux lorsque la porte s'ouvre violemment. Je me rue à l'intérieur de la pièce et cherche l'ouverture salvatrice.
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Mar 12 Jan - 13:39




Scientifiques

Couloir Mortel ...


Palladium décide de prendre le couloir où se trouve un Homme de posté. fonçant dans la direction, l'Homme panique, cherche à le viser mais sans y parvenir et, rapidement, se retrouve au sol, permettant au brun de pouvoir passer. A une intersection, Palladium entend les bruits de courses d'Hommes provenant d'un couloir tandis que l'autre est libre. Il le prit, le bruit de course un peu plus lui derrière lui continue, les Hommes sont à ses trousses. Palladium arriva soudainement devant une porte et, celle-ci s'ouvrit alors qu'un Homme en sort. Surpris de voir le loup, l'Homme au masque de fer et aux vêtements blanc semble être l'un de ces scientifiques. Il cherche quelque chose pour entraver la course du mâle, paniqué. Derrière lui, une vaste pièce avec d'autres portes, la sortie se trouve-t-elle derrière l'une d'entre elle ?

Du côté de Daante, ce dernier prit le couloir où des Hommes arrivaient en masse. Repérant le loup, ils le poursuivirent, tirant pour tenter de l'atteindre. Le Navnik arrive finalement près d'une porte après avoir couru un moment et la défonce. Celle-ci cède mais, il arrive dans un nouveau couloir. Derrière lui, les Hommes crient et, de nouveau bruit de course se font entendre venant droit devant le mâle. Bientôt cerné, Daante devra trouver un nouvel échappatoire. Au total, face à lui, deux couloirs se trouvent. Lequel doit-il prendre pour ne pas être prit au piège ?

Palladium, tu te retrouves face à une porte, un scientifique barrant celle-ci et des Hommes arrivant derrière toi. De l'autre côté de la porte se trouve une vaste pièce avec trois portes. Laquelle te mènera à la sortie ? Le PNJ te dira si tu trouves la bonne sortie ...

Daante, tu as pris le couloir d'où provenait des Hommes armées, ces derniers te suivent et lorsque tu atteins une nouvelle embouchure de couloir, d'autres Hommes accourent dans ta direction. Deux choix s'offrent à toi. Deux couloirs, lequel des deux te fera esquiver le second groupe d'Homme ? Le PNJ te dira si tu as fait le bon choix ...


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Mar 12 Jan - 18:12



things are going worst

[EVENT] Laboratoire


F. 100 | A. 100 | E. 100

L a course est effrénée, désordonnée. Le Pantin s’apprête à obliquer dans un couloir, mécaniquement, sans réfléchir, mais des Bipèdes en accourent. Il dérape sur le sol glissant, et se remet à courir, droit devant lui. Il espère que ce n’est pas une stratégie humaine pour le piéger à un endroit précis. Un autre couloir oblique sur la droite, et il se jette dedans sans hésiter. Il faut semer ce ramassis de tueurs avant qu’on ne l’attrape ! Il galope encore quelques secondes dans le long boyau luisant, mais quelque chose se profile au loin. Une porte. Ce putain de couloir n’est qu’un cul de sac ! Il freine immédiatement, pilant – presque net – sur le sol marbré. Il fait volte-face, prêt à faire demi-tour pour tenter sa chance dans un autre boyau, mais ce qu’il voit à l’autre bout du couloir lui glace le sang : des Bipèdes ont déjà bouché l’entrée et lui foncent dessus ! Décontenancé, fait comme un rat, un crissement derrière lui le fait à nouveau se retourner vers cet abominable piège.
Et à cet instant, une lueur d’espoir lui donne un regain d’énergie : un Bipède similaire à ceux qui l’avaient attaché sur cette maudite table se tient face à lui. Plus intéressant encore, c’est l’ouverture qui s’est formée dans la paroi, juste derrière lui. Il est bien trop proche pour que le Pantin puisse passer entre ses jambes, comme précédemment. Il y a un blanc, un instant durant lequel le loup brun se donne matière à réflexion. Mais le bruit de course des Autres derrière lui est particulièrement stressant, il n’a plus le choix : il tente d’impressionner l’Ennemi d’un grondement sauvage, mais malgré ses gestes désordonnés, l’Autre ne s’écarte pas. Dans la panique, Palladium ne contrôle plus ses mouvements, et il bondit sur Lui. Le Bipède tombe à la renverse, entraînant le loup brun dans sa chute. Palladium tente de planter ses crocs dans la chair du Bipède, mais ses crocs ne rencontrent qu’une surface lisse et dure, et le choc lui arrache un couinement de douleur. Tant pis : il saute d’un bond agile à l’intérieur de la pièce que le Bipède a laissée ouverte.

A ce moment-là, Palladium n’espérait pas encore son salut. Mais lorsque ses yeux jaunes et paniqués se posèrent sur son environnement, il perdit contenance.
Devant lui, trois portes. Toutes semblables, identiques. Il n’était pas stupide, il avait bien compris que ce genre d’ouverture était un passage vers une autre pièce. Mais quelle pièce comporterait le moins de Bipèdes ? Il n’en savait rien. Il n’avait pas le temps d’examiner chacune des portes, pour déterminer laquelle représenterait l’éventuelle solution. Le Pantin avança jusqu’au milieu de la salle, reniflant un peu au hasard les effluves qui lui parvenaient. La porte tout à fait à gauche, il l’écarta presque aussitôt de son choix. Quelque chose derrière cette porte ne lui inspirait rien qui vaille. Un vague filet d’air frais semble filtrer du côté droit, mais le Pantin est incapable d’identifier de quelle porte il s’agit exactement. Celle de droite, ou celle du milieu ? Il n’en sait fichtre rien.
La course derrière lui se rapproche, et le Bipède s’est sûrement relevé. Il faut choisir, vite ! Alors le Pantin se jette en avant, heurtant la porte de droite avec un coup d’épaule virulent. A cet instant, le loup brun se trouve à nouveau décontenancé : la porte bouge faiblement, mais ne veut pas s’ouvrir. Il n’a plus le temps, plus de temps ! Il se jette donc sur la porte du milieu, s’y heurtant de toutes ses forces. Mais celle-ci, mieux huilée que la précédente, s’ouvre sans aucun effort, envoyant le loup brun bouler à travers elle, emporté par la force de son élan.


BY ACCIDENTALE
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Jeu 14 Jan - 19:58

Force : 70 Agilité : 64 Endurance : 60

Je suis dans une sorte de pièce vide complètement vide et je sens un filet de peur courir le long de mon échine. Mais ou est cette foutue ouverture ! Les courants d'air ne peuvent pas exister sans une ouverture sur l'extérieur, le monde libre là ou l'air est pur et non pas embaumé des odeurs de vomis, de peur et de produits chimiques humains. Est ce que j'ai rêvé ? Qui sait peut ètre que je voulais tant trouver cette sortie salvatrice que j'ai imaginé ce courant d'air. Non ! C'est impossible ! Je tourne sur moi même à de nombreuses reprises, vais jusqu'à me contorsionner. Je pose les yeux sur chaque recoin de la pièce mais aucune porte cachée, aucune fenêtre ne me permet de retrouver espoir. J'éclate d'un rire frénétique et quasiment hystérique. Pendant que le Sekmet se dirigeait tout droit vers la sortie, j'ai eu la brillante idée de m'enfoncer un peu plus dans les immondes boyaux de cet enfer terrestre ou souterrain. Pour ce que j'en sais nous pourrions tout à fait nous trouver dans le sol. Comment saurions nous la moindre chose sur ce lieu puisque nous étions endormis lorsque l'on nous a emmenés ici. Enfin, je finis par me reprendre et décide de ne pas prendre racine ici car la poudre bien reconnaissable des armes humaines et les cris de leurs propriétaires râleurs se font plus nets à chaque seconde qui défile. Je prends la poudre d'escampette au triple galop, bien pessimiste quant à mes chances de me tirer d'ici ou même ne serait ce que m'en sortir vivant. J'arrive finalement à une embouchure de couloirs et entends des bipèdes affluer en masse dans ma direction. Génial me voilà pris en tenaille entre deux groupes humains. Cette fois c'est clair je ne donne pas cher de ma peau. Je t'aime frangin, prends bien soin de tes gamins. Adieu Navniks vous m'avez accueillis chaleureusement dans vos rangs. Mon cul pour le chaleureusement. Enfin bon, ce n'est pas le meilleur moment pour les doléances. Je vois déjà Tybalt me dire : Alors c'est ca que tu appelles t'évader ! Ou encore, je dois dire que tu m'impressionnes tu es franchement le roi de l'évasion ! Ou un autre sarcasme dont il a le secret. Bah, étant également un adepte du sarcasme il n'y a pas de problème. Je lui dirais : Tu m'as tellement manqué que j'ai décidé de revenir ou c'était franchement génial cette petite promenade de santé, on se remet ca un de ces quatre. Ou bien quelque chose comme un seul commentaire et je te crève ton dernier œil. D'accord, ce n'est pas franchement du sarcasme mais que voulez, là tout de suite l'inspiration est relativement limitée. Bon, je n'ai qu'à me fier encore une fois à mes sens foireux et renifler lequel des deux couloirs puent le plus le bipède. Comme je m'y attendais les deux empestent presque à la même échelle. Bon je vais opter pour le gauche. Pourquoi ? Je n'en ai absolument aucune idée. Et, je m'en tape. Je dévoile mes crocs dans un grondement rageur, bande mes muscles et sors mes griffes. Si, je dois me faire tuer ou pire ramener là bas autant leur en faire baver un maximum et arracher le plus de chair possible, faire couler le plus de sang possible et leur montrer ce qu'est un loup. Il faut bien que quelqu'un se rappelle ce que c'est d'ètre un loup dans cet enfer.
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Jeu 14 Jan - 22:34




Scientifiques

Couloir Mortel ...


Le choix de Palladium se porte sur la porte de droite. A force de s'acharner dessus, celle-ci finit par se fragiliser et cède. La porte s'ouvre et le brun peut sentir de l'air frais provenant de ce couloir qui s'offre à lui. Un peu plus loin, un escalier et, en haut de l'escalier, ce qui semble être son salut ... La lumière du jour filtre par la porte du où, serais-ce là la liberté ?! En tout cas il faudra agir au plus vite car, les Hommes arrivent et un tir frôle le Sekmet tandis qu'une seconde le touche au niveau de la cuisse gosse. Fuit, il faut fuir en vitesse !

Du côté de Daante, le Navnik tente de savoir quel couloir prendre pour esquiver les Hommes. Daante s'enfonce dans le couloir de gauche et, fort heureusement pour lui, c'était la bonne décision à prendre ! Seul dans le couloir, le loup peut avancer sans encombre, quoique, au loin, on peut entendre les Hommes à sa poursuite. Au bout d'un moment, il arrive dans une pièce d'où il peut sentir effectivement de l'air. D'où cette air provient-elle ? En fouillant la pièce, deux options se présente à Daante. Une porte au fond de la pièce et, en bas à gauche, une bouche d'aération plutôt large mais, peut-il réellement s'y glisser ? Il va falloir décider au plus vite !

Palladium, la porte de droite était la bonne et, en haut de l'escalier se trouve une porte avec la sortie de l'autre côté, toutefois une balle vient de te toucher au niveau de la cuisse gauche, ce qui risque de t'handicaper à force. Réussiras-tu à atteindre la porte et à l'ouvrir ?

Daante, tu as choisit le bon couloir et a réussit à distancer légèrement les Hommes. Tu arrives dans une pièce qui semble être une sorte de réserve. De l'air frais s'y trouve. Provient-elle de la porte ou de la bouche d'aération ? Quel chemin choisiras-tu ? La bouche d'aération semble suffisamment large pour pouvoir t'y glisser, quoique tu y seras réellement à l'étroit. Destin te diras si ton choix est le bon.


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Ven 15 Jan - 19:30



things are going worst

[EVENT] Laboratoire


F. 100 | A. 100 | E. 100

L a porte s’était brutalement ouverte sous son poids, lui arrachant un jappement de victoire. Bien maigre victoire, dont la récompense lui était encore inconnue, mais une victoire tout de même. Une vague d’air frais heurte brutalement ses narines. Jamais il n’avait été aussi heureux de respirer l’air qui l’entourait, l’air extérieur. L’air de la liberté. Il prend quelques secondes pour analyser la nouvelle pièce dans laquelle il se trouve : un nouveau couloir, semblable à tous les autres. Mais une légère différence, cependant : à son extrémité, le loup brun aperçoit des marches, qui semblent converger vers – encore – une porte.
Le Pantin reste statique quelques secondes encore, comme si son cerveau avait brutalement disjoncté. Mais le bruit de la course des Hommes le rappelle à l’ordre et il s’élance, comme électrisé par une décharge, vers ces escaliers. La lumière du jour filtre dessous cette porte salvatrice. Elle est peut-être la dernière étape, l’ultime épreuve qui signera la fin de son calvaire.

Palladium commence à gravir les marches, ventre à terre. Ses pattes filent à toute vitesse sous sa truffe, ses yeux sont fixés sur l’ultime objectif : cette maudite porte. L’ascension est longue, il perd du temps, les poursuivants sont là, derrière lui, l’attendent. La peur lui donne des ailes, et la déflagration qui vient de retentir le fait courir encore plus vite. Cette horreur n’a jamais de fin. La balle a fusé juste à côté, tout contre son oreille, dans un sifflement perfide. Plus que quelques mètres, une dizaine de marches, et il aura enfin atteint cette porte.
Autre détonation.
Cette fois, la balle ne siffle pas. Où est-elle ? Une douleur atroce se répand alors subitement dans sa cuisse gauche. C’est comme un feu de forêt : d’abord un point précis, puis son membre tout entier brûle, les chairs se disloquent, crament, tombent. C’est comme si l’intérieur de sa patte implosait, littéralement. Un long gémissement s’échappe de sa gueule. Il veut continuer à courir, mais il s’effondre, sur les marches luisantes. Il n’est plus qu’à quelques mètres. Quelques marches. Non, il ne peut pas crever ici, maintenant. Il a parcouru trop de chemin, il a espéré trop longtemps pour échouer, si près du but.
Dans un effort immonde, qui lui arrache une plainte, Palladium se relève. Sur trois pattes, mi-courant mi-rampant, il se traîne lamentablement sur le dernier mètre qui lui reste à parcourir. Il est au pied de la porte, et les Autres accourent. Il faut qu’il l’ouvre. Mieux vaut mourir de douleur que d’une balle dans le crâne.
Il se redresse donc, les mâchoires serrées, et s’échoue contre la porte, poussant de toutes ses forces. Sa cuisse est si douloureuse qu’il lui est presque impossible de pousser sur son postérieur gauche. Il Les entend arriver, Ils sont là ! Alors, dans un hurlement rageur, désespéré, ignorant la douleur, le Pantin se jette avec violence contre cette maudite porte.
Elle s’ouvre, enfin.


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Jeu 21 Jan - 20:07

Force : 70 Agilité : 64 Endurance : 60


Je galope à toute allure dans le couloir sombre, tout les sens à l'affut. Mes crocs sont découverts et mes griffes sorties. Je suis prêt à me battre jusqu'au bout pour ne pas retourner dans cet enfer. Si, on me laisse le choix entre la mort rapide d'une balle dans le crane ou la torture et l'humiliation d'une mort lente entre les mains des masqués. Je sais déjà quelle serait ma décision. Je me prépare à bondir et tends mes muscles affaiblis par la captivité pour l'assaut. Mais, aucun bipède n'émerge de l'obscurité pour se jeter sur moi, aucune détonation ne résonne dans l'air. En fait, je suis absolument seul. Enfin seul, tout est relatif. Je suis seul si je fais abstraction de la petite troupe bipède qui me pourchasse à travers ce labyrinthe. J'émerge à toute allure dans une petite pièce dans laquelle un courant d'air frais me chatouille le pelage. Mais, je ne repère pas la source de cet air frais en dépit de tout mes efforts dans ce sens. Je garde mon calme et décide d'analyser mes options. Une bouche d'aération et une porte au fond de la pièce. Bon, je ne compte pas rester coincé dans un conduit d'aération trop étroit pour moi. Je n'aime pas les petits espaces et les aime encore moins depuis que j'ai passé plusieurs mois au fond d'une cage dans laquelle je pouvais à peine faire deux pas. Le bruit de mes griffes sur le métal froid pourrait me trahir. Et puis, ramper dans un tuyau horizontal pourquoi pas mais si jamais le conduit passe à la verticale je ne vois pas comment je pourrais ramper. Non mourir coincé dans un conduit ne me tente guère. Surtout, s'il y a une de ces hélices que j'ai déjà vu sur des installations bipèdes. Des hélices imitant le vent et aussi tranchantes que des lames de rasoir. Très peu pour moi. Quitte à devoir affronter l'inconnu, je préfère affronter celui que je connais le mieux. Oui, cela ne veut absolument rien dire mais bon peut ètre que je cherche juste une excuse pour ne pas me glisser dans cette bouche d'aération. Je décide de continuer mon échappée solitaire en prenant la porte. Je pousse la porte du fond et quitte la réserve sur mes gardes et le corps toujours prêt à l'affrontement.
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 Couloir Mortel ...


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