Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
La neige était toujours aussi profonde et froide, elle me rapella une histoire que mes parents m’ont raconter. Ma mère m'avait demander, a ton avis pourquoi la neige est-elle blanche ? je lui ai dit parce qu'elle descendait des nuages, pour moi c'était une réponse logique ... Pourtant elle regarda dans les yeux et me répondit que non, c'est parce qu'elle a oublié de quelle couleur elle était ...
Depuis je ne regarde plus la neige de la même façon, finalement nous ne somme pas si différent, froid, distant, et n'en fais qu'a sa tête ... J'aime bien, quoi que la neige me fait penser à Shiro, ma douce, ma soeur.
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Sam 19 Déc - 17:13
FORCE 11 AGILITÉ 5 ENDURANCE 10
La symphonie du silence était la mélodie perpétuelle de l'étranger. Lui antérieurement habitué au vacarme d'une meute, se trouvait seul, les pattes dans la fine neige, seul chose familière qui lui reste de ses instants d'antan. Par conséquence, lorsqu'une fausse note apparu, l'ouïe du gris l'a détecta immédiatement. Un bruit, un craquement. Le loup se tourna dans la direction du son. Un loup se détachait ébène. Il était extrêmement visible parmi cette étendue blanche. C'était le premier loup que Nietzsche croisait ici. Le marcheur avait repris des forces depuis son arrivé mais était toujours vulnérable. Pourtant Nietzsche se savait en danger par son ignorance des lieux. Il ne connait rien de ses terres. Il a réussi à compté deux territoires de meutes sur son chemin. Mais qui sait s'il y en a plus ? Des guerres ? La paix ? Il ne sait rien de tout cela. Il s'approcha alors de l'inconnue, la queue basse, montrant sa soumission. Il ne voulait pas de mal au charbonneux. Lorsque le gris s'approcha du loup, il sentit plusieurs odeurs différents : il devait probablement être un loup de meute. Nietzsche n'avait aucune idée des habitues de ces lieux, si parlait à un étranger pour un membre de meute était proscrit. Mais il n'avait pas vraiment le choix, et peu de loup foulait les terres mystérieuses du Styx.
« Bonjour, loup de meute. » furent ces seuls mots.
Nietzsche attendait la réaction de l'inconnu pour continuer. Cela ne servirait rien de se présenter si le loup en face de lui n'attendais que de battre malgré qu'il se savait en terre neutre par l'absence de marquage de territoire.
Un loup, d'une carrure assez neutre, et d'un pelage gris. Il s’approcha, marchant aussi vers le styx. Je crut qu'il passait juste son chemin, je marcha donc sans faire attention a l'inconnu. Mais celui-ci s'avança encore plus vers moi.
« Bonjour, loup de meute. »
Loup de meute ? il est rare qu'on m’appelle comme çà. Je me tourne vers celui qu'il m’interpelle, le fixant du regard. S'il me parle c'est qu'il me veut quelque chose ? je m’assis en face de lui et j'attendis ... Peu être pourrais-je moi aussi en tirer quelque chose ?
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Mar 19 Jan - 18:36
FORCE 14 AGILITÉ 13 ENDURANCE 15
Le pince noir fut plutôt réceptif à son approche. La position du loup en face de lui indiquait qu'il était prêt à l'écouter. Nietzsche posa son postérieur sur le sol glacé, annonçant d'or et déjà l'arrivé d'une discussion. Le loup connaissait déjà assez ses congénères pour affirmer que le noir ne dirait rien sans quelques confidences.
« Je suis un étranger de ces terres. Et je connais rien de ces environs. » Le mâle marqua une légère pause puis poursuivit. « De quel meute appartenez vous ? »
La pierre vivante qu'était Nietzsche eut un sourire amicale. Il espérait ne pas perdre son temps avec cette bête là.
HRP:
Vu que c'est une discussion, j'ai préféré faire court ♥
Le loup en face, après avoir remarquer que je m'étais posé tranquillement, vient se poser devant moi, naturellement. Puis continua sa discussion sans grand intérêt ...
« Je suis un étranger de ces terres. Et je connais rien de ces environs. De quel meute appartenez vous ? »
Blablabla, et voilà que sa commence. Peut être devrions on achever cette discussion avant qu'elle ne commence ? non après tout si j'arrive a lui faire sortir ce que je veux savoir c'est peu être intéressant ... encore faut-il qu'il est une réponse pour moi ... s'il n'en a pas il n'y a aucun intérêt a rester ici.
« La moindre des choses c'est de se présenter ... »