Premier pillage

force : 4 - agilité : 10 - endurance : 8

Aujourd'hui, j'avais décidé de me rendre dans le village des hommes, depuis quelques temps, déjà, la chasse était vraiment difficile. Le temps ne se prêtait pas vraiment à la chasse et les proies restaient cachées dans leurs tanières ou ailleurs. Cependant, je voulais aller rajouter de la nourriture pour la meute. Nous en avions grandement besoin dans les temps qui courent. Car, même en meute, la chasse était difficile, le temps était vraiment trop mauvais. J'étais partie de la cave, tôt le matin, il faisait encore noir, car je savais que mes chances seraient meilleures d'y aller, tôt le matin, car les hommes et les chiens devaient sûrement dormir.

Je me rendis tant bien que mal, malgré les forts vents et le blizzard que le vent faisait soulever. On n'y voyait, vraiment pas grand chose. J'arrivais à l'orée du village et j'attendis avant d'y pénétrer pour être sûre de mon coup. Je regardais dans les maisons par les fenêtres, toutes les lumières étaient éteintes. Les bipèdes, devaient encore dormir, ce qui était une chance pour moi. Je tendis mes oreilles au maximum pour être bien sûre qu'il n'y est aucun chien dans les parages. Je n'entendais rien non plus. J'étais contente, mais je devais faire vite, car le jour se lèverait bientôt, car le village était assez loin de chez nous et j'avais beaucoup de distance à parcourir.

Cependant, j'entendais des chèvres, des dindes, des poulets et d'autre chose faire du bruit. Il y en avait dans un genre d'enclos, mais il semblait être également à l'intérieur. Cependant, avec le temps, qui faisait à l'extérieur, j'étais sûre qu'ils avaient serrés leurs bêtes à l'intérieur, car il faisait vraiment froid. Alors, ma tâche serait encore plus corsée. Je ne me découragerais pas, ma mère me répétait souvent, qu'il fallait rester positive. Cela faisait assez longtemps que je traînais sur le bord du village et tout était calme et endormi, alors je décidais de le franchir. Je me promenais dans le village, en faisait le moins de bruit possible. Je me traînais quasiment ventre à terre. Je passais près d'une maison, quand j'arriva près de la fenêtre, je vis une lumière s'allumer, puis une silhouette se rapprocher de la fenêtre.
*Zut ce n'est pas le moment.*

Alors, il se rapprocha la fenêtre et je le vis tasser un rideau, alors sans prévenir, je me jetais ventre à terre et m'aplatis le plus possible, pour ne pas me faire voir, c'était difficile, quand tu étais noire, là j'aurais envié la fourrure blanche de ma mère. Sans doute, il voulait regarder le temps qui faisait dehors. Je le vis regarder par la fenêtre, il s'attarda, regardant si tout était correct, selon moi, il ne m'avait pas vu. Ensuite, je l'entendis parler à quelqu'un puis il s'éloigna de la fenêtre. Je soupirais de soulagement. J'attendis quelques minutes, pour être sûre qu'il ne reviendrait pas. Quand, les quelques minutes furent dépassées, alors je décidais de ne pas perdre de temps, je partis à la course, cherchant les proies.

Je finis par arriver à l'enclos et comme j'avais supposé les bêtes étaient à l'intérieur, je soupirais, je m'en doutais. Alors, je me mis à faire le tour du bâtiment, puis je découvris une entrée, alors je pénétrais dedans, en grondant, les animaux s'éparpillèrent un peu partout, faisait du bruit. Je devais faire vite, sinon les animaux ameuteraient toute la région. Je vis ma proie, une chèvre qui semblait bien dodue, je ne savais pas trop, si elle attendait des petits, selon moi oui, et si ce ne serait pas le temps qu'on avait, je l'aurais laissé en vie, j'en aurais pris une autre, mais c'était elle que je voulais. Elle s'était levée et paniquait et faisait du bruit. Alors, sans prévenir, je me mis à lui sauter sur la croupe, je faisais vite, je sentis mes griffes la pénétrer. Elle perdit l'équilibre.

Premier pillage

force : 4 - agilité : 10 - endurance : 10

La chèvre réussit à se déprendre de mon emprise, je grondais. J'étais vraiment mécontente, pour une chèvre pleine, elle était vite encore et avait réussi à m'échapper. Alors, je jetais un regard par l'entrée, les lumières dans les maisons étaient toutes allumées, les animaux avaient fait tellement de boucan, que cela avait réveillé tout le monde, je grondais. De plus, est, j'entendais des chiens, je devais faire vraiment vite.

Alors, je regardais de nouveau ma chèvre, je l'avais affaiblie, alors je devrais être capable de l'attraper avant que les humains et les chiens arrivent, les animaux capotaient encore. Alors, je remarquais des bottes de foin, alors, je me hissais dessus et je regardais les animaux de mon regard vairon, les crocs sortis et en grondant. Je repéra enfin ma chèvre et je décidais de lui sauter carrément sur la croupe. Alors, je pris mon élan et bondit sur elle, la chèvre à cause de mon poids perdit l'équilibre et tombait sur le côté. Je lui faisais mal et je m'approchais de sa gorge et j'allais lui infliger mes crocs.

Premier pillage

force : 4 - agilité : 10 - endurance : 10

Hélas, quelque chose attira mon attention, j'entendais des pas se rapprocher puis il y avait des chiens aussi, alors, à cause de ma distraction, la chèvre réussit à s'enfuir. J'observais par la fenêtre, ils se rapprochaient, je devais faire vite, sinon j'allais me faire attraper, blesser et peut-être même tuer. Je grondais, vraiment mécontente, alors, je décidais de voler une autre proie. Il y avait des lapins, puis des dindons. Les lapins, étaient dans des cages, ce serait plutôt difficile de les sortir de la cage, alors, je vis les dindons, je décidais d'attraper les dindons.

Alors, je me rapprochais d'eux et je sautais sur un qui était non loin de moi. Alors, le dindon prit peur et cria et essayant de se défendre. Je reçus quelques coups de becs et de pattes, mais je n'allais pas abandonner, il me restait du temps, même s'il n'était pas énorme, je voulais ramener quelque chose à la meute.

Premier pillage

force : 4 - agilité : 10 - endurance : 10

Le dindon réussit à se déprendre, j'étais vraiment frustrée, cela faisait quelques fois déjà que j'essayais d'attraper quelque chose. Je devais faire vite, car il y avait des voix qui criaient qui semblaient m'être consacré. Le dindon s'enfuit, alors je décidais de me réessayer, il battit des ailes, pour essayer de se sauver, mais avant qu'il puisse s'élever, je l'attrapais par une aile et je sentis un craquement. Le dindon devait avoir mal. Les chiens, semblaient arriver avec les hommes, tout aussi furax.

Alors, je décidais de le tirer vers moi et de l'étouffer avec mes crocs. J'espérais que je réussirais , il était temps que je m'en ailles, avant d'être vraiment blessée gravement ou encore tuée.

Premier pillage

force : 4 - agilité : 10 - endurance : 10

Je réussis à tuer enfin ma dinde, je jubilais de joie. Cependant, je devais faire vite, car les hommes s'en venaient. Alors, ramassant ma proie, je sortis par la porte d'entrée. Quand je franchis la porte d'entrée, la porte se referma et les hommes étaient furax, alors je devais faire vite et les chiens aussi. Ils n'osaient pas me tirer car je devais être trop prêt de leurs bêtes et ils ne voulaient pas les tuer, mais ce ne fut pas long que deux gros chiens, des rottweilers, se mirent à me courir après. Alors, j'allais au plus profond de moi, je devais fuir et aller chercher tous les efforts. Quand je fus assez loin de la grange, je sentis des balles passer proches de moi. J'avais peur, en effet, mais je misais sur mon endurance et mon agilité pour leur échapper.

Les balles me frôlaient sans m'atteindre et les chiens étaient sur mes talons. Je sentis leur souffle sur moi. Les balles continuèrent de se faire tirer, j'arrivais à l'orée du village puis j'entendis des balles ricocher sur le bois. Je faisais plusieurs bonds, pour éviter les balles. Les chiens me poursuivirent encore sur quelques mètres, puis les balles aussi, mais j'étais trop loin, ils avaient arrêtés de tirer. Les chiens continuaient de me courir après, je sentis un claquement de mâchoires près de ma croupe, alors je bondis de côté puis je le fixais en grondant puis je continuais de courir. Ensuite, j'entendis les maîtres rappeler leurs chiens. Pour cette fois, j'étais sauve, mais je continuais de courir malgré mon point de côté. Quand, je jugeais assez loin, je pris le temps de me reposer un peu. J'étais essouflée puis quand je repris un peu mon souffle, je repris ma marche jusqu'au camp avec ma dinde entre les mâchoires.