Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
LLa recherche de nourriture commençant à devenir de plus en plus difficile, tu commences à te demander si tu réussiras à nourrir toute ta meute comme il se doit. Les oreilles en arrière, tu marches, perdu dans tes pensées, tes pensées étant également rivé vers ton ami Palladium mais, également vers Gallya et, Eesia qui n'est toujours pas trouvable … Où est-elle passé ? Tu espères qu'elle ne s'est pas absenté de nouveau, pas maintenant alors que tu as besoin d'elle. Lâchant un soupire, marchant dans la neige, tu finis par arriver dans la ville en ruine. Marchant sur le bitume froid où s'accroche la neige, tu te diriges vers un passage qui mène sous terre, pourquoi sous terre ? Car tu espères pouvoir trouver quelque chose à cet endroit. Vous avez réussi à survivre sous terre lorsque les bombardements avaient commencés à pleuvoir partout sur les terres et, peut-être trouveras-tu quelque chose, même un rat serait la bienvenue !
Une fois à l'intérieur de l'endroit délabré, tu avances, guettant les bruits, cherchant la moindre petite odeur puis, finalement, tu débouches dans un vaste couloir où deux carcasses se trouvent sur le sol. Tu t'en approches, les humes. Ils ne sont pas mort depuis longtemps et sont encore intactes, voilà une aubaine … Tu saisis les deux carcasses dans ta gueule avant qu'une soudaine lumière t'éblouit, fermant les yeux, tu rouvres ton unique œil en te mettant un gronder sous le grondement étrange qui provient des deux yeux orangé qui semblent t'observer, t'éblouissant, qu'est-ce ? Sur le coup, tu l'ignores puis, lorsque l'animal se jette sur toi, tu reconnais là l'engin des bipèdes et pris la fuite.
Courant aussi vite que possible, tes deux proies en gueule, tu cherches un endroit pour perdre la trace de ton poursuivant, une allée plus étroite afin qu'il ne puisse pas te suivre. Tu cherches, tu gardes une allure rapide pour ne pas qu'il te rattrape mais, il accélère, tu dois filer et vite ! Tu galopes aussi vite que possible, tu ne veux pas que cet engin réussisse à t'avoir puis, tu bifurques dans un petit passage qui te permet de bloquer ton poursuivant. Tu entends le grondement rageur de l'engin de ferraille tandis que tu continues ta course pour sortir de cet endroit ...
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