Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Depuis de nombreux jours, il n'avait pas rencontrer un seul loup. Il avait l'impression que tous le fuyaient et il en ignorait la raison. Avait-il causé du mal à quelqu'un sans le savoir ? Avait-il mal agi envers ses proches ? Peut-être qu'il ne découvrirait pas la raison aujourd'hui, du moins, en doutait-il. Doucement, ses pas fleurèrent les terres neutres une fois encore. Il semblait être attirer par ces vastes territoires libres qui lui évoquer un sentiment profond de liberté. Il les appréciait à leur juste valeur et aimait les arpenter seul ou accompagné, bien que la solitude commençait à le peser. Oui, s'il appartenait encore à une meute, c'est bien pour cette sensation de fratrie qui consolidait les liens que les loups avaient entre eux. Peu importe leur âge ou leur sexe. Oui, il ne pouvait se passer d'une meute pour vivre la vie nomade comme bon nombre de solitaire. Il ne s'imaginait pas un seul instant fouler ces mêmes terres sans appartenance. Il ne pourrait pas y survivre selon lui. Bientôt, ses coussinets rencontrèrent le contact délicat du goudron et sa vue fut éblouie par un spectacle étrange, typiquement humain. Devant lui, le dédale de la foire semblait s'être installé, avec une grande roue positionnée à l'horizontale. Le loup ignorait ce à quoi ça pouvait servir, ni même si elle était encore en fonction. Haussant les épaules, celui-ci s'aventura à l'intérieur de l'ancienne fête désormais déserte. La curiosité l'avait poussée jusqu'à ces ruines et il voulait en apprendre plus. À cet instant, il ne mesurait pas les risques qu'il encourait en pénétrant ici. Et si les hommes revenaient dans ces carcasses métalliques ? Que ferait-il d'un jeune mâle à peine âgé de huit mois ? Certainement un prisonnier, comme les autres canidés qui avaient été capturés avant lui et qui étaient toujours détenus. Il ne voulait revivre ce sentiment d'emprisonnement qu'il avait eu avec les Navniks et qu'il savourait encore amèrement aujourd'hui. Non, plus jamais ça. Pourtant, il savait qu'il y goûterait une nouvelle fois dans sa longue vie, à un passage qu'il ne pourrait éviter. Il ne voulait plus y penser. Pour lui, chacun était libre de son destin et de faire de ce qu'il lui plaît. Rien n'était écrit d'avance et chaque jour, chacun pouvait écrire son histoire à sa façon. Du moins, c'était sa manière de penser. Brusquement, le brun s'immobilisa pour laisser ses prunelles brunes détailler chaque reliefs de ce décor chaotique. Un lourd silence régnait dans ce lieu spécial et aucune odeur, sauf la sienne, ne vint effleurer son museau. Il était seul. Mais pour combien de temps ?
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Mer 9 Déc - 11:22
Destiny is may not be wrote in advance
F: 75 - A: 74 - E: 72
L’hiver rude me broie les intestins. Je meurs de faim, et si j’essaie de rendre des services en tant que mercenaires pour parvenir à subvenir aux besoins de ma famille, je n’en suis pas moins l’un des plus jeunes et les adultes n’ont pas la même confiance en moi qu’ils ont en les plus âgés. Je n’ai pas les contrats les plus importants, et désormais chacun rechigne à donner un morceau de viande comme paiement. A ce rythme-là, je vais mourir de faim bien avant de pouvoir sortir mon père de l’Enfer. A cette pensée, je relève la tête et je fronce le regard. Non. Non je ne tomberais pas si facilement entre les griffes de la mort. Non, la famine ne m’arrêtera pas, et j’arriverais à survivre même si les proies semblent avoir toutes disparu. Je finirais bien par trouver des carcasses, les dernières bêtes qui ont été surprises comme nous par l’hiver brutal et qui ont rendu leur dernier souffle dans le blizzard pour être finalement figées dans le temps dans la glace. Je foule les terres des solitaires sans aucune conviction, cherchant sans chercher une moindre piste. Tant pis si je ne trouve rien, je n’ai pas le cœur à fouiller réellement la neige aujourd’hui. Je pense à mes frères, à ma sœur, et à mon père. Je pense à ma famille que je ne suis pas en mesure de protéger, et j’ai peur. Peur de ne pas être à la hauteur, peur de mener les miens vers une guerre qui les détruira tous. Dalioka a déjà trop vécu pour notre âge, et Pandémonium semble être parfois dépassé par les évènements. J’ai toujours du mal à m’expliquer comment nous pouvons être liés à ce point alors que nous avons été séparés tout ce temps. Mais c’est cette loyauté que j’aime dans ma famille, et c’est pour cette même loyauté que je me battrais jusqu’à la mort. Père est en vie, je veux y croire. Et nous le sortirons bientôt des griffes acérées des bipèdes. J’ignore si je parviendrais à reprendre les Navnik aux imposteurs avant de pouvoir aller chercher mon père et je sais, aussi, que chaque jour qui passe est un nouveau pas que je le force à faire vers la mort. Le temps est compté, je n’ai plus la possibilité. Je devrais agir bientôt, peut-être trop vite. J’ignore si nous aurons le temps d’être prêts avant de passer à l’offensive, et j’ai peur que d’attendre autant ne soit pas plus néfaste que la libération en elle-même. Je n’ose pas imaginer l’état dans lequel nous allons retrouver notre père, quand je pense à ce que j’ai moi-même vécu. J’ai, dans un sens, eu la chance d’être jeune et de pouvoir oublier mon passé pour ne pas souffrir de cette perte qui me faisait agoniser chaque jour. Mais père, lui, ne peut oublier. Sommes-nous sa force ? Entend-il encore nos voix en sourdine, lorsque ses crocs se plantent dans la chair de ses ennemis ? Son amour pour notre mère est-il toujours aussi fort ? Soudain, je m’immobilise. Mes oreilles tournent dans tous les sens, mes yeux scrutent les environs. Je n’avais pas fait attention, et si Pandémonium était là il me réprimanderait sans doute. J’ai pris des risques, et j’aurais pu me retrouver dans une situation bien pire que celle d’être là, au milieu des terres neutres, face à un jeune mâle Sekmet. Ce même jeune mâle qui m’a observé me battre fut un temps, et qui semblait s’extasier devant chacun de mes mouvements. Je plisse les yeux en le fixant. Est-il toujours ce môme admiratif ou a-t-il connu, comme nombre de Sekmet, l’endoctrinement à sa meute entre temps ?
- Encore en vie ? Etonnant.
Quoi que pas tant que ça, après tout il fait partie d’une meute, il a donc accès à un garde-manger. J’irais presque lui quémander du travail contre rémunération, si je n’avais pas tant de fierté. Je m’approche de lui dans une attitude impassible, ni hostile ni amical. Je me méfie malgré tout, il reste un Sekmet.
Mémorisant chaque détail de ce lieu particulier, il se perdit dans son observation. Si bien, que la nouvelle odeur qui occupait les environs ne vinrent pas l'alarmer. Un danger pouvait éventuellement le guetter et il ne serait pas en mesure de l'éviter. Pas en étant trop occupé. Il pouvait mourir à cet heure sans pouvoir répliquer. Ce serait une bien triste fin un mâle de son âge. Surtout après ce qu'il avait vécu depuis sa naissance.
- Encore en vie ? Etonnant.
Cracha une voix derrière lui. Le sortant instantanément de ses pensées, le Sekmet se tourna vivement vers l'individu. Ses pupilles ne mirent que très peu de temps à le reconnaître. Le même loup qu'il avait vu combattre des mois auparavant. Et gagner contre son adversaire. Sa précision et sa rapidité l'avait tellement ébloui qu'il en était resté bouche bée alors qu'il était à peine plus âgé que lui. Il avait voulu lui ressembler sur le moment, mais étant inexpérimenté, ça n'avait rien donné. Même s'il essayait de s'entraîner chaque jour en pensant à lui. Peut-être oserait-il au cours de cette entrevue lui demander quelques leçons pour l'imiter ? Comme un gamin, le brun se mit à sourire, paraissant presque stupide. Son admiration pour lui revint dans sa mémoire et on ne tarda pas à voir des fins éclats brillants dans ses yeux. Était-il toujours aussi fort ? Il l'espérait. Que serait un modèle s'il était ridiculisé ? Il n'aurait plus le même effet dans le cœur de ses fidèles. Regardant le solitaire sur le côté, une question vint rapidement brûler les lèvres d'Oma.
- Et oui ! Alors, alors... combien ?
Le louvard fit allusion aux combats remportés. Pressé de satisfaire sa curiosité, il ne tenait plus en place. Au beau milieu des ruines, on pouvait apercevoir un canidé impatient, piétinant le sol de plus en plus rapidement. Un vrai mioche !
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Dim 13 Déc - 20:11
Destiny is may not be wrote in advance
F: 75 - A: 74 - E: 72
Le jeune mâle m'admire toujours autant qu'il m'a admiré au premier jour. A l'époque j'étais un loup. Un loup sans identité et sans aucun but dans la vie. Aujourd'hui, je suis Adriel, le fils d'un loup que tous ont connu, que beaucoup ont craint et envers qui bien peu sont encore loyaux aujourd'hui. Je le regarde sans ciller, parfaitement impassible, et c'est de ce regard de marbre que je l'observe se remettre de sa surprise et me fixer à nouveau avec cette envie intarissable dans les yeux. C'est impressionnant de voir qu'on peut avoir été adulé sans même avoir été connu, de se rendre compte qu'on peut avoir été idôlatré sans même avoir pu donner un nom à son interlocuteur. Finalement, le voilà qui se met à piétiner la neige en me demandant combien. Combien quoi ? De souvenirs ? De frères et soeurs ? Non. Dans le regarde de ce jeune mâles, ce n'est pas l'intérêt à un loup que je vois. C'est l'intérêt du combat, de la mort. l'intérêt qu'il porte à mes capacités. Alors combien de quoi ? De victimes ? Je ne tue pas. Je ne tue plus.
- Assez pour ne pas mourir.
Assez d'entraînements pour ne pas me faire tuer. Assez de souvenirs pour ne pas me laisser crever. Assez de frères et soeurs pour avoir une raison de vivre. Assez de force pour rester debout.
- Qu'est-ce que tu fais dans les parages ?
Oui, parce que comme la dernière fois, il s'est aventuré bien plus loin que les terres de sa meute. Et il n'a pas l'âge de se traîner ainsi hors des frontières.
C'était déjà ça. Sa curiosité rassasiée, il cessa ses mouvements qui pouvaient en agacer plus d'un pour s'immobiliser. Il s'approcha doucement du loup dont il ignorait toujours le nom, mais pas le physique. Le louvard se permit d'observer le corps de l'adulte pour voir s'il avait de nouvelles marques de combat. Il était réellement impoli, mais s'en foutait pas mal... Tout ce qu'il comptait, c'est de tout savoir sur son deuxième modèle après (ou avant) son mentor.
- Qu'est-ce que tu fais dans les parages ? - Je me promène. J'aime bien explorer les lieux que je ne connais pas encore, ça me permet de les découvrir.
Quoi ? Trop jeune pour sortir ? Fallait-il qu'il soit garder encore, même à huit mois ? Depuis sa captivité, Oma'reth ne supportait plus être surveiller, de loin comme de près. Créant une véritable agressivité, il défiait quiconque oser poser à nouveau les yeux sur lui pour le couver. Même s'il n'aimait pas s'en prendre aux autres inutilement, il le ferait si un jour, ça recommençait. Il se l'était juré depuis sa sortie.
- Au faite, c'est quoi ton nom ?
Pointant une oreille vers lui, il attendait une réponse. Pouvoir enfin poser un nom sur son idole... Ce serait le rêve !
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Mer 16 Déc - 12:53
Destiny is may not be wrote in advance
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- Je me promène. J'aime bien explorer les lieux que je ne connais pas encore, ça me permet de les découvrir.
Il me tourne autour, m'analyse comme si je passais un entretien. Comme si moi, je pouvais souhaiter fricoter avec les Sekmet. Je soupire, le laisse faire sans broncher. De toute façon vu ses yeux brillants, il n'essaiera pas de m'attaquer. Il sait très bien qu'il n'a pas la capacité de me vaincre, et il serait stupide de vouloir tester ma patience pour autant limitée. Je finis même par m'asseoir, écoutant sans vraiment l'entendre la raison de sa présence ici. Explorer les nouveaux lieux pour seule raison les découvrir ? Et tu as trouvé ça tout seul, gamin ? Quelle intelligence. Je décèle pourtant dans son regard, quelque chose de différent par rapport à la dernière fois. J'ignore ce qu'il a pu faire comme bêtises entre temps, mais je crois bien que le môme a muri. Un tant soit peu en tout cas. Du moins, assez pour ne pas me défier, et c'est bien là tout ce qui m'importe.
- Au faite, c'est quoi ton nom ?
Je pense à mon frère. Révéler mon identité ? Pandémonium me l'a strictement interdit. Seuls nos alliés peuvent le connaître, et un Sekmet n'est certainement pas un allié. Aussi admiratif soit-il quand à mes prouesses de combat.
- Chacun choisit un nom pour m'appeler. Je suppose que tu peux faire pareil.
Tant d'énigmes pour un pauvre loup amnésique ... Et dire que je n'ai pas oublié un seul des noms que l'on m'a donné depuis mon retour ... C'est à la fois admirable, et pathétique. Serais-je un jour Opium, Souvenir, Tourment ou Gamin ? Serais-je tous ces noms et tous les autres à la fois ? Serais-je seulement Adriel ou un simple fils du Dragon ? Ce gamin qui m'observe avec autant d'avidité, saura-t-il un jour quelle est ma véritable identité ? Et pour l'heure, choisira-t-il de laisser mon visage dans le néant ou de lui trouver un mot pour le différencier des autres ?
- Et toi, c'est quoi ton nom ?
Tant qu'à faire, autant connaître le nom de mon plus grand fan ...
Lorsque Le Loup posa son arrière-train contre le sol froid, le Sekmet ne l'imita pas, trop occupé à le scruter. Il se mit à tourner autour de lui pour approfondir son analyse. Il ne voulait rien rater. Echo des Âmes se pencha doucement, immobilisant ses mouvements, une fois son observation terminé. Il fit de nouveau face à son modèle pour lui sourire. Il devait avoir l'air d'un débile, mais, qu'est-ce qu'il pouvait y faire ? C'était dans sa nature.
- Chacun choisit un nom pour m'appeler. Je suppose que tu peux faire pareil.
Ainsi, il lui laissa choisir le nom de son idole. Un petit moment suivant l'annonce, le louvard se mit à chercher quel surnom il pourrait lui donner. Mais rien de bien intelligent lui vint. Après tout, pourquoi fallait-il absolument poser un mot sur un visage alors qu'on le connaît déjà si bien ? Oma'reth se résolut à ne lui en donner aucun et resta muet. Le brun brisa le court silence qui s'était doucement installé entre eux.
- Et toi, c'est quoi ton nom ?
Enthousiaste de nouveau, il n'y avait pas de mot pour décrire exactement ce qu'il ressentait sur le coup. Le mâle avait osé demander à son plus fervent admiration son nom! Dévoilant ses canines, il lui répondit enfin.
- Reth... Oma'reth.
Précipité le pauvre enfant!
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Ven 25 Déc - 14:40
Destiny is may not be wrote in advance
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C'est un silence qui suit ma proposition au gosse de me trouver un nom. Visiblement il n'a pas d'idée, ou ne souhaite-t-il pas me nommer, après tout libre à lui de le faire ou non. Je soupire, le laisse faire lorsqu'il me tourne autour même si tous mes sens sont en alerte et que je suis prêt à recevoir une quelconque attaque de sa part. Le premier qui attaquera sera celui qui mourra, parce que je ne suis pas venu me battre mais que je saurais me défendre sans faire preuve de la moindre pitié à son égard.
- Reth... Oma'reth.
Je le fixe en silence, plongeant mes orbes brunes dans les siennes, et je laisse à nouveau filer les secondes.
- Tu sais te battre, Oma'reth ?
Je me lève, lui tourne autour à mon tour. Viens jouer avec moi, gamin. Montres-moi ce que tu sais faire.
Sur le coup, ses paupières se relevèrent et il regarda un instant le mâle d'un air ahuri. Où voulait-il en venir ? Echo des Âmes s'interrogea un moment, avant de finalement comprendre le sous-entendu de sa question. Ses lèvres s'étirèrent de nouveau et il s'empressa de répondre, quelques minutes après l'interrogation.
- J'ai encore jamais eu l'occasion de le faire, mais mon mentor m'a montré quelques trucs.
Basculant sa tête vers l'avant, il posa sa gorge contre le sol, les oreilles couchés, mais la queue remuante, trahissant son état d'esprit. Avec une de ses pattes antérieures, il se mit à gratter le sol rapidement. Après avoir mis tout son poids sur ses postérieurs, il s'élança sur l'adulte, non sans un rire de sa part, au niveau de la nuque. Le louvard savait qu'il allait esquiver, mais ça ne l'empêchait pas d'être un minimum précis.
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Jeu 14 Jan - 11:36
Destiny is may not be wrote in advance
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- J'ai encore jamais eu l'occasion de le faire, mais mon mentor m'a montré quelques trucs.
Je vais l'écraser. Je le regarde avec intérêt, réfléchissant en silence. Il sait faire quelques trucs, mais je sors de l'arène, j'ai combattus pour ma vie, j'ai volé des existences, arraché des jugulaires à n'en plus savoir compter pour ne pas mourir. Je ne peux pas le défier maintenant. Il en serait ravi, je le vois dans son regard, mais il serait mort avant d'avoir eu le temps de profiter d'un quelconque amusement avec moi. Mais avant que j'aie le temps de modifier ma proposition, le jeune mâle bondit sur moi. Je l'esquive sans peine, me démarque sur le côté et le fixe, les oreilles dressées dans sa direction et la queue battant l'air. Le désir me brûle, mais il n'est pas encore temps de passer cette étape avec lui.
- Tu es faible. Cependant, je pourrais t'apprendre des trucs, moi aussi. Rejoins-moi quand tu sera plus expérimenté, ici-même.
Un jour, et très bientôt j'en suis sûr, il reviendra. Il aura pris de l'assurance, aura gagné de l'expérience, et il aura peut-être une chance contre moi. Mais en attendant, je préfère le laisser rentrer chez lui et s'entraîner dur en vue de notre rencontre prochaine.
HRP:
Hello ! Désolée, je voulais qu'on s'entraîne un coup mais le rp est trop vieux, on risque de ne pas gagner de points, donc j'ai préféré reporter l'entraînement à un autre rp, qu'on se fera dès qu'on pourra si tu as envie
A-Delta
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Sam 23 Jan - 12:21
Croire en son destin, c'est possible.
F20 - A20 - E20
Le Loup esquiva sans difficultés l'assaut d'Echo des Âmes qui finit par s'arrêter, déstabilisé, lorsqu'il ne vit plus sa cible dans son champ de vision. Se tournant vers l'adulte, ses yeux brillants avaient perdus un peu d'éclat. Il comprit alors que ce n'était pas aujourd'hui qu'ils allaient combattre ensemble.
- Tu es faible. Cependant, je pourrais t'apprendre des trucs, moi aussi. Rejoins-moi quand tu sera plus expérimenté, ici-même.
Le louvard fit un signe de tête approbatif, même si entendre qu'il était faible ne lui faisait pas réellement plaisir. Tournant le dos à son idole, il le salua avant de s'éloigner vers l'horizon.