Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Voilà une journée de plus qui se lève sans que je n'ai eu aucune indice sur ma famille, ni mes parents, ni ma soeur ni mon frère. L'odeur de la brume du matin, mon ventre qui me crie famine. Je souhaitais désespérément retrouver ceux qui me sont chère. Me voilà depuis peu Sekmet, une meute qui n'a pas de véritable valeur, chacun fait ce qu'il veulent. Me voilà dans une meute qui me caractérise bien. Je n'ai pas d'ambitieux a rester avec eux ou a monter en grade, non je me sert d'eux, je me sert de leurs protections, de leurs garde manger en attendant de retrouver ma moitié.
Me voilà me promenant en dehors du territoire de la meute. Esperant rencontrer l'odeur de ma tendre. Pourtant la seule chose que j'ai put sentir et rensentir est mon ventre qui crie famine. J'aurais put retourner chez les Sekmet prendre une proie au garde manger, mais la flème m'emporter. Me voilà là entre deux tranchée a chercher une odeur que celle de Shiro, une odeur de proie d'animal. Celle-ci était plus facile à trouver et un indice me vint plus rapidement que ma soeur. Dommage. Mais en même temps, temps mieux ! Voilà en face de moi un rat, quel repas magnifique ! pour ma part je m'en moque, un rat un lapin, tous se mange. Ceux qui ne veulent pas en manger et bien mourrez de faim !
Je me fit discret et commença avec des pas lent, je m’approche de cette silhouette fine et fragile, pour bondir vers celle-ci. Hors de questions de m'échapper ! Les crocs sorti, la gueule ouverte, j'étais prêt a accueillir se repas dans ma gueule. Attrapa de justesse le rat, il n'y avait qu'un croc d'accrocher sur celui-ci. Je le rattrape de mes griffes, jouanant avec lui. A quel sauce vais-je te manger ? aucune. J'ouvrir la gueule, un grognement sorti et j'arrache ma proie de mes crocs. Miam !
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Destin
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Mer 25 Nov - 11:03
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La proie d'hier ne m'avais pas totalement rassasié. J'étais rester près des tranchée toute la nuit. Qu'est ce qu'une journée de recherche au même endroit ? au moins je sais qu'elle n'est pas ici ... qu'elle ironie quand on ce dit qu'elle peu venir ici demain ... c'est comme chercher une proie qui ne fait que bouger, nous échappant toujours et pourtant toujours a notre portée. Nouvelle journée, une belle matinée, un peu fraiche mais sans plus. J'avais faim, le rat d'hier n'était pas complet. Cherchons plus gros, pas trop non plus je ne veut pas partager ce qui m'appartient avec d'autre. Reniflant le sol tel un chien, je chercher un indice ... sortant des tranchée je grimpa, mon pelage était couvert de boue de ses trou.
Je fini par trouver l'odeur d'un lapin, voilà une proie plus rassasiante qu'un rat et pas trop gros pour devoir le ramener au garde manger. Je me cacha, plongeant dans la boue au sol, me mélangeant avec celui-ci pour ne faire qu'un. M’approchant lentement, un pas puis un autre. Fixant ce lapins comme-ci c'était la proie unique en ce bas monde. Une fois que celui-ci n'était plus sur ses gardes je bondis, s'en suit une course poursuite, le lapin m'a vu et bondis en retour pour s'enfuir. Pauvre de lui, mauvais prédateur. Je courru a l'arrière et attrapa ses oreilles sans aucun répis. Continuant de courir je le traina au sol, frappant celui-ci avec le corps de ma proie. Puis le déguisa tranquillement.
Rassasié, les restes du lapins, enfin ses os a mes côtés. Une boule puante sorti de mes crocs, comme pour valider mes dirs. Pouah ! bon repas. Me couchant je fixa le ciel, ce ciel si moche, si gris. Pourtant un légers rayon le traversa. Si seulement je pouvais te voir dans le ciel ma douce ... soudain un oiseau m'empêcha de continuer a voir le ciel, il volait juste au dessus de moi et s'aprocha .. comme s'il voulais grignoter les reste de mon lapins.
Je leva la patte pour essayer de le faire fuir mais en vint, il ne voulu pas m'écouter. Mes avertissement n'aida pas. Je décide de me lever et lui donne une bonne leçon. Courrant derrière l'animal qu'était ce corbeau. Même s'il était aussi noir que moi, il ne fallait pas venir m'embêter. Je bondis de temps en temps les crocs ouvert, mais en vint. Continunant, répétant ses gestes encore et encore j'attendis le bon moment. Lorsque le corbeau continua de tomber je bondis et attrapa ses ailes. Je te tiens ! Je le posa au sol et y enfonça encore plus mes crocs dans sa chair jusqu'a voir son sang couler et ses ailes brisé.
Les hommes patiente sagement. Depuis le temps que les loups se succèdent pour venir leur voler de la nourriture, l'un d'eux reviendra bientôt à la charge et cette fois, l'espèce supérieure sera présente pour l'accueillir comme il se doit. Le chef de la garde a même prévu l'emplacement de son nouveau trophée au-dessus d'une desserte dans le salon de sa maison.
L'un des humains voit bien que le loup n'est pas décidé à pointer le bout de sa truffe aujourd'hui. Chacun rentre finalement chez soi en attendant un prochain assaut, qu'ils accueilleront le fusil chargé.
e temps peut parfois faire très mal les choses. Depuis un peu plus d'un mois me voilà a vagabonder de moins en moins vers l'exterieur, pourquoi ? pour la simple raison que le froid me dérange, il m'hérisse le poils et me refroidis le corps. Je suis rester dans la tanière pendant un petit moment, mais on ne peu pas glander toute la journée, en fait si. J'ai presque hiberner, ma nature calme m'a permis de rester discret, les loups de ma meute ce moque bien de mes agissements, et moi de même.
Il c'était passer tellement de chose pendant ce temps. Pendant le pillage chez les hommes ceux-ci nous avait repérer, et des loups on été attaquer. Lorsque que j'ai vu les traqueurs venir vers moi j'ai fui. Et me revoilà aujourd'hui a retourner sur mes pas. Je suis sur que personne n'est là. Arriver sur place, en effet j'étais seul, et c'était le moment de m'entraîner. Une bonne petite course d'obstacle suffisamment longue pour prendre de l'endurance. C'est parti ! Je parti d'un point de départ, me dessisant dans mon espris le parcourt que je vais faire, tourner a cette arbre, passer au dessus des pierres, des ruines, des dunes, revenir en arrière a partir de cet objets inconnu, et reprendre le chemins des pierres. Une fois bien visualisé je bondis un petit coup et commença a courir. Comme prévu je bondis par dessus la pierre, essayant de ne pas me ramasser derrière, gardant une bonne allure, continuant a zigzaguer de droite à gauche, évitant les obstacles, je tourne a l'arbre et repris une course. Je fit ce parcours plusieurs fois jusqu’à ce que mon corps fatigue et décide de s'arrêter pour se reposer.