Force : 110 Agilité : 110 Endurance : 105

Ma tentative de pillage ratée, me voilà de retour devant les ruines de la chapelle. Je suis posté devant tel un roc protecteur qui dirait : si vous voulez atteindre une seule personne dans cette chapelle, un seul loup, une seule louve il faudra d'abord me passer sur le corps. J'observe le ciel matinal d'un œil concentré. Depuis quelques jours, le temps se dégrade peu à peu, lentement mais surement. Les nuages sombres s'invitent dans le ciel automnal tandis que des bourrasques de vents glaciales font onduler l'herbe sous mes pattes. Bon, je ne vais pas passer toute la matinée à admirer le ciel. Puisque je suis réveillé, je vais aller chasser. Ma dernière chasse commence à remonter. Et, ma dernière chasse sur cette partie du territoire remonte encore plus loin. Je descends la colline au pas et une fois au pied de la pente, je lève le museau vers les cieux. Avec tout le vent qu'il y a ces temps ci, ce serait un comble qu'une brise ne m'apporte aucune piste.

Dés

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'Dé de chasse' : 7, 4, 6, 6, 2, 5

Force : 110 Agilité : 110 Endurance : 105


Chasse 1 : 7+8=15

Je lève le museau vers le ciel ombrageux et n'ai pas besoin d'attendre très longtemps avant de repérer une première piste plus qu'alléchante. Le fumet de cervidé me transperce presque les narines tant il est puissant et par conséquent assez proche de moi pour que la piste m'apparaisse comme limpide. Me fiant à mon odorat, je remonte la piste au pas. Je parcours ce territoire que je connais si bien d'un pas assuré. J'en avais chassé des proies dans le coin. J'avais passé tout l'été à l'arpenter tant pour chasser que pour patrouiller, tant pour m'entrainer que pour satisfaire ma curiosité maladive. Et, je connaissais désormais une bonne partie de cette verdure comme ma poche. Laissant de coté mes souvenirs, je me reconcentre sur la raison de ma présence ici. J'accélère légèrement l'allure afin d'arriver plus vite jusqu'à ma proie. Je m'enfonce au sein des bois et atteins finalement ma cible. Je me cache derrière un maigre buisson et observe en silence. Le cerf s'abreuve dans le ruisseau traversant le territoire jusqu'à la dune. J'attends le moment opportun pour bondir hors de ma cachette. Ce moment opportun est celui ou ma proie semble s'être suffisamment abreuvée. Certes, l'eau ingurgité ne le ralentira pas des masses mais peut être un peu. Je m'élance à la poursuite du cerf qui s'enfuit déjà. Je bondis par dessus quelques obstacles avant d'avoir l'espace suffisant pour laisser parler ma vitesse. Une fois à sa hauteur, je l'harcèle de mes crocs avant de de bondir sur sa croupe. Je plante durement mes crocs dans son épine dorsale et remue pour le faire basculer. Une fois le cerf effondré, je me précipite sur sa jugulaire que je finis par trouver. Une fois la besogne achevée, je ramène ma prise au garde manger.

Chasse 2 : 4+8=12

Je reviens sur mes pas une fois la proie déposé au cœur de la chapelle en ruine. J'arpente les bois à la recherche de la moindre effluve de proie pouvant valoir la peine de faire un effort conséquent. Mais, mon odorat ne m'indique pas grand chose alors je continue de marcher au milieu des bois tel un vagabond qui ne sait lui même pas ce qu'il cherche. Je tombe finalement sur un spectacle intéressant au détour d'un bosquet. Une dépouille sanglante est harcelé par une nué de volatile. Des corbeaux pour la plupart mais il y également deux ou trois rapaces. Je ne perds pas une seule seconde à choisir une cible. Peu importe le piaf qui tombera sous mes crocs cela m'ira très bien. Je m'élance et bondis tandis que les volatiles commencent à s'envoler dans des battements d'ailes frénétiques. Je plante mes crocs dans l'aile d'un corbeau et tire dessus de toutes mes forces afin de la lui briser. Une fois cela fait, je lui brise la nuque d'un coup de patte avant d'enterrer ma prise dans l'optique de continuer ma chasse et m'épargner des allers retours incessants et épuisants.

Chasse 3 : 6+8=14

Une fois le corbeau enterré, je me remets en chasse et ne tarde pas à dénicher des empruntes de rongeur. Je renifle les petites traces de pattes afin d'établir le profil de ma proie. Un lapin, oui il s'agit d'un joli petit lapin surement bien dodu. Je remonte la piste en position de chasseur et tente de faire le moins de bruit possible. J'arrive finalement devant ce qui me semble être un terrier alors je passe une patte à l'intérieur et sens rapidement l'occupant des lieux. Je plante mes griffes dans le rongeur endormi et entreprends le tirer jusqu'à moi. Je creuse afin d'élargir le trou et plante finalement mes crocs dans la chair du lapin puis je vais déterrer le corbeau et emmène les deux prises au garde manger.

Chasse 4 : 6+8=14

Je suis de retour dans le petit bois bordant la colline. Je m'assois et fixe le ciel d'un œil hagard. Puis, je retrouve rapidement ma concentration et lève le museau afin d'analyser les effluves forestières. Je repère rapidement une odeur des plus appétissantes. Je me relève et entreprends de traquer l'odeur du sanglier. Je remonte la piste le plus discrètement possible mais il n'y a pas trente six mille façons de chasser une proie d'une telle envergure. Je prends peu à peu de la vitesse au fur et à mesure que je me rapproche de ma proie. Ma traque me conduit finalement jusqu'à une petite clairière dans laquelle se trouve un sanglier de belle taille, ce dernier est en train de manger des. Et bien, je ne sais pas de quoi il se goinfre exactement mais toujours est il qu'il s'empiffre visiblement. Les sangliers mangent tout et n'importe quoi. Bref, je ne suis pas là pour disserter sur le régime alimentaire de mes proies. Je m'élance à toute allure et percute le sanglier par le flanc. Le choc est rude mais je tiens le choc et ma proie vacille sur ses pattes. Je plante mes crocs dans son flanc et déchire le plus de chair possible. Avant d'esquiver de justesse un coup de défense bien senti. Puis, je pousse un grondement rageur vers ma proie soudain plus agressive. Je décris un arc de cercle tout en essayant de me placer devant un arbre. Je sais bien qu'il va me charger. Reste à savoir quand. Finalement, le sanglier charge et je me jette sur le coté juste avant l'impact. Le sanglier finit sa course dans un arbre. Utiliser son environnement. Je bondis sur mes pattes et m'élance à toute allure avant de bondir sur la proie. Mes crocs se plantent dans son échine tandis que mes pattes labourent furieusement ses flancs. Le sanglier commence à ruer dans tous les sens pour me dégager mais je ne retire pas mes crocs. Au contraire ma prise sur sa nuque se fait plus forte à chaque instant. Le sang coule de sa nuque et de ses flancs et l'animal semble perdre ses forces. Il chute lourdement et je m'éjecte afin de ne pas finir écraser. Puis, je suis de nouveau sur lui et achève son existence en déchiquetant sa gorge de mes crocs puis je me restaure sur ma prise avant de trainer le reste de la carcasse jusqu'à la chapelle.

Chasse 5 : 2+8=10
Je prends de nouveau la direction de la foret d'un pas tranquille. C'est une bonne journée de chasse. J'ai encore de l'énergie à revendre alors si je peux encore ramener quelques proies supplémentaires au garde manger, je ne vais pas m'en priver. Je m'avance au milieu des bois et entreprends de débusquer une nouvelle proie. Mais, je n'ai visiblement pas besoin de le faire puisqu'un lièvre passe à quelques mètres de moi à toute allure. Je le prends immédiatement en chasse et le rattrape très rapidement. L'animal semble courir ainsi depuis un certain temps, la fatigue me facilite grandement la tache. Je bondis de sorte que ma patte avant s'écrase sur le crane du petit rongeur. Je lui brise la nuque d'un coup de croc avant de le cacher dans le creux d'une souche.

Chasse 6 : 5+8=13

Je lève de nouveau le museau vers le ciel et hume les effluves à proximité. Je ne trouve rien de bien intéressant dans un premier temps avant de sentir une odeur de perdrix. Je traque la piste du volatile à vive allure, je n'ai pas de temps à perdre il faut que je rentre auprès de la meute pour m'occuper de l'entrainement de Nyssa ou de la formation de mes apprenties. Et, puis si la chasse a été mon premier amour, elle arrive à me lasser de temps en temps. J'arrive finalement derrière le volatile. Je bondis avant qu'elle ai pu détecter ma présence ou amorcer le moindre mouvement de fuite. Je plante mes crocs dans son cou et l'enserre dans ma gueule. Je serre le plus fort possible. L'étouffement de ma proie prend moins de temps que je ne l'aurais imaginé alors je vais récupérer mon autre prise avant d'emmener le tout au garde manger.

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'Dé de chasse' : 9, 3, 1, 6, 2, 1

Force : 110 Agilité : 110 Endurance : 105


Chasse 1 : 9+8=17

Je décide de retourner chasser tant pour m'occuper l'esprit que pour que la meute ai des réserves suffisantes pour les prochains mois. Alors, je dévale la colline à vive allure avant de m'arrêter à l'orée des bois. Là, je détaille les environs d'un œil de chasseur, attentif au moindre son, à la moindre odeur pouvant m'indiquer la présence d'une quelconque proie. Je ne repère pas grand chose dans un premier temps alors je m'avance jusque dans les bois du territoire et guette le moindre bruit suspect. Je plaque le museau sur la terre meuble de la foret et laisse mes sens faire leur travail. Des bruits de sabots et des vibrations dans le sol ne tardent pas à me mettre sur la piste d'un cervidé. Je lève le museau afin de capter le fumet de ma proie. L'effluve du daim emplit bien vite mon museau. Je me mets en marche et remonte lentement mais surement la piste de ma proie. Je marche ainsi longuement à travers les bois, faisant le moins de bruit possible et j'arrive finalement en vue du daim qui semble paresser ca et là. Je m'élance au moment même ou l'animal tourne la tète dans ma direction, alerté par mon odeur. Le daim se retourne et détale à vive allure. Je le prends en chasse sur une très longue distance avant de couper complètement ma trajectoire pour le cueillir plus loin. Cela me contraint à un grand détour mais je ne compte pas cavaler ainsi toute la sainte journée. Une fois cela fait, je m'assure que je n'ai pas perdu la trace de ma proie et fait le tour de sa position de sorte qu'il sente mon odeur de partout et qu'il ne sache pas par ou, je vais venir le cueillir. Puis, je m'élance hors des fourrés et bondis sur le daim. Mes crocs se plantent durement dans son épaule. L'animal panique en sentant le sang couler le long de son flanc et rue dans tous les sens. Je décide de lâcher son épaule. Je mords sa patte avant et tire violement dessus pour le faire chuter.  Une fois au sol, je bondis de nouveau sur le daim et me fraye un chemin jusqu'à sa gorge à coup de crocs et de griffes. Bientôt, mon pelage est tinté de sang et la vie quitte peu à peu ma proie. Je la traine jusqu'à la chapelle avant de revenir.

Chasse 2 : 3+8=11
J'arpente les environs à la recherche d'une nouvelle proie et tombe bien vite sur la piste d'un lapin. Je traque le rongeur au pas en suivant son effluve sans faire le moindre bruit. Il ne faudrait pas le faire fuir. Puis, je presse un peu l'allure alors que son odeur se fait moins forte, moins nette. Je me mets carrément à galoper vers la source de l'odeur lorsque je sens son sang. Je ne suis plus très loin. Mais pourquoi saigne t'il ? S'est il blessé tout seul ou a t'il été attaqué ? Vu l'odeur que je commence à distinguer, je pencherais fortement pour la seconde option. J'arrive finalement dans la clairière et aperçois un renard en train de broyer le cou de ma proie. Sans hésiter, je m'élance et fonce droit sur le renard qui pousse un petit couinement de surprise lors du choc. Le petit prédateur est projeté un peu plus loin. Mais, je ne lui laisse pas le temps de se relever et bondis sur le prédateur roux. J'écrase une patte sur sa gueule toute en plantant mes crocs dans sa gorge. Je serre de plus en plus fort, jusqu'à sentir sa trachée. Je serre encore plus force et ne bouge pas d'un centimètre tandis que l'animal se débat dans tous les sens pour tenter de se défaire de mon emprise et avaler une goulée d'air. Finalement, le corps de ma proie de fortune est secoué de spasme et la vie quitte le renard dans la foulée. Je traine ma prise jusqu'au garde manger avant de revenir.

Chasse 3 : 1+8=9

Je marche tranquillement jusqu'à la clairière et saisis la carcasse du lapin entre mes crocs. Il n'y a aucune raison de ne pas profiter du travail d'autrui. Surtout que cette proie était la mienne à la base. Puis, je ramène le lapin au garde manger.

Force : 110 Agilité : 110 Endurance : 105

Chasse 4 : 6+8=14

Je prends le temps d'observer le territoire du haut de la colline avant de me remettre en chasse. Les environs sont paisibles et la fureur de la bataille semblé bien loin maintenant mais je n'oublie pas, jamais. Les apparences sont souvent trompeuses. Je descends lentement la colline au pas avant de lever le museau vers le ciel dans l'attente d'une brise de vent susceptible de m'apporter une piste à exploiter mais ce n'est pas une douce brise qui me frappe de plein fouet mais une bourrasque de vent, annonçant la venue prochaine de l'hiver, la neige et le froid. La bourrasque aura eu au moins le mérite de m'être utile puisqu'elle m'apporta l'effluve d'un lièvre. Je traque l'animal jusque dans les bois et ralentis légèrement l'allure pour réfléchir à la façon de l'attraper sans trop me fatiguer. Mais, je n'en trouve pas trente six mille alors je m'élance au galop, guidé par l'effluve du rongeur. Une fois ma proie en vue, j'accélère encore la cadence et la course poursuite s'engage. J'estime que je pourrais le rattraper dans une centaine de mètres mais je préfère m'épargner des efforts trop intenses. Alors, je donne un coup de patte dans un copeau de bois qui est projette jusqu'au lièvre. Celui ci ralentit l'allure à cause du choc et j'en profite pour le rattraper et lui bondir dessus. Mes crocs déchirent sa chair et sectionnent sa carotide dans la foulée. Je cache ma prise avant de me remettre en chasse.

Chasse 5 : 2+8=10

Je tombe sur des empruntes à l'issue d'une séance de recherche poussée. Il s'agit d'emprunte minuscule. Nul doute qu'il s'agit là d'un autre rongeur. Je renifle durant quelques instants. Un écureuil à mon avis. Je remonte la piste au pas et arrive au pieds d'un arbre. Je repère un petit tas de noix ou de choses dans le genre et décide de me cacher dans un buisson et de guetter le moment opportun pour abattre ma proie. Ce que je fais et après de longues minutes de patience. Ma proie descend de son promontoire et entreprends de faire quelque chose de son butin. Je bondis hors de ma cachette et atterris à quelques centimètres du rongeur. Il tente de détaler mais un coup de patte bien placé semble l'assommer. Je plante mes crocs dans sa nuque et lui ôte la vie avant de l'emmener auprès de mon autre prise.

Chasse 6 :  1+8=9

Tandis, que je récupère ma première prise dans l'optique de ramener le tout dans les ruines de la chapelle je ne remarque pas le serpent se faufilant lentement mais surement derrière moi mais dès que je remarque sa présence, je me retourne d'un bond. Je hais cette espèce. Alors, j'abats violement une patte avant sur son crane avant d'enfoncer mes crocs dans son corps visqueux et de tirer le plus fort possible tout en maintenant sa tète sous ma patte avant. Le corps se détache finalement de la tète et je décide de ramener mes trois prises avant de prendre un peu de repos.

Dés

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'Dé de chasse' : 3, 9, 2, 11, 5, 7

Force : 110 Agilité : 110 Endurance : 105


Chasse 1 : 3+8=11
Je quitte les ruines de la chapelle d'un pas rapide. Cela fait un certain temps que je n'ai pas chassé. Il est plus que temps que je m'y remette. En soi, chasser n'est pas très utile car le garde manger est plein à craquer mais j'ai besoin de me dégourdir les pattes alors je dévale la colline à toute allure et ne ralentis la vitesse qu'au moment ou je pénètre dans les bois. Je piste rapidement un lapin et remonte l'odeur jusqu'à un terrier. J'attends tapis dans un buisson que le rongeur daigne se pointer et une fois que ma proie émerge et s'éloigne de son terrier, je bondis hors de ma cachette et atterris sur son dos. Mes crocs se plantent durement dans son échine qui se brise rapidement. J'enterre ma prise un peu plus loin avant de me remettre en chasse.

Chasse 2 :  9+8=17
Je reprends ma chasse le museau droit et levé. J'hume les odeurs de la forêt et les analyse avant d'en choisir une. Je décide finalement de traquer ce sanglier dont l'effluve puissante et marquée surpasse toutes les autres. Je m'élance sur sa piste sans tenter d'être le moins du monde discret. Frapper vite et fort voilà ce que je compte faire. Alors, je galope à travers les bois sur la piste du gros gibier. Lorsque je l'aperçois, je redouble d'efforts et augmente encore la cadence. En quelques foulées, je suis sur lui. Le choc est sourd et violent tant pour la bête que pour moi. Mais, je ne perds pas une seconde et lui bondit à la gorge en veillant à ne pas me faire érafler par ses défenses. J'enfonce mes crocs le plus profondément possible. La carotide n'est plus très loin. Mais, je suis contraint de reculer sous la fureur de ses ruades. En quittant ma proie, je veille à arracher la peau de son cou et le sang coule abondamment. Je laisse l'animal fuir. De toute manière, je peux le pister au sang qu'il perd. Je le retrouve quelques minutes plus tard et au terme d'un affrontement facilité par sa blessure, abats le mastodonte en lui sectionnant la carotide.

Chasse 3 : 2+8=10
Une fois mes deux prises ramenés au garde manger de la meute. Je reviens sur mon terrain de chasse et repère l'odeur d'une charogne. Je décide de la suivre car qui dit charogne dit piafs et autres charognards. Et, en constatant la présence d'une nuée de corbeaux et de quelques vautours autour d'une carcasse. Un sourire carnassier étire lentement mes babines. Je m'élance et bondis sur un vautour. Je reçois un coup de bec plein de hargne mais ne tarde pas à briser la nuque de ma proie que je décide de ramener maintenant au garde manger. Avec tous ses charognards cette prise ne serait pas à l'abri ici.

Chasse 4 : 11+8=19
Je suis de retour quelques minutes plus tard. L'aller retour au galop est très rapide. Alors que je m'apprête à me remettre en chasse une odeur de sang frappe mon museau de plein fouet. Je parviens à démêler l'effluve d'une biche. Voilà, une proie facile surement blessée par les bipèdes ou par un autre prédateur. Il faut savoir se montrer opportuniste quand il le faut. J'abats la bête épuisée au terme d'une traque d'une facilité déconcertante puis la traine jusqu'à la chapelle.

Chasse 5 : 5+8=13
Je prends de nouveau la direction de la foret d'un pas tranquille. C'est une bonne journée de chasse. J'ai encore de l'énergie à revendre alors si je peux encore ramener quelques proies supplémentaires au garde manger, je ne vais pas m'en priver. Je m'avance au milieu des bois et entreprends de débusquer une nouvelle proie. Mais, je n'ai visiblement pas besoin de le faire puisqu'un lièvre passe à quelques mètres de moi à toute allure. Je le prends immédiatement en chasse et le rattrape très rapidement. L'animal semble courir ainsi depuis un certain temps, la fatigue me facilite grandement la tache. Je bondis de sorte que ma patte avant s'écrase sur le crane du petit rongeur. Je lui brise la nuque d'un coup de croc avant de le cacher dans le creux d'une souche.

Chasse 6 : 7+8+15
Je lève de nouveau le museau vers le ciel et hume les effluves à proximité. Je ne trouve rien de bien intéressant dans un premier temps avant de sentir une odeur de perdrix. Je traque la piste du volatile à vive allure, je n'ai pas de temps à perdre il faut que je rentre auprès de la meute pour m'occuper de l'entrainement de Nyssa ou de la formation de mes apprenties ou passer du temps avec Rhaegar. Bref pour faire quelque chose de plus intéressant. J'arrive finalement derrière le volatile. Je bondis avant qu'elle ai pu détecter ma présence ou amorcer le moindre mouvement de fuite. Je plante mes crocs dans son cou et l'enserre dans ma gueule. Je serre le plus fort possible. L'étouffement de ma proie prend moins de temps que je ne l'aurais imaginé alors je vais récupérer mon autre prise avant d'emmener le tout au garde manger.

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'Dé de chasse' : 6, 11, 1, 10, 5, 7

Force : 110 Agilité : 110 Endurance : 105

Chasse 7 : 6+8=14
Une nouvelle journée de chasse m'attend alors je quitte les environs de la chapelle d'un pas rapide. Et me mets rapidement au travail à l'orée des sous bois bordant la colline.Je lève le museau vers le ciel ombrageux et n'ai pas besoin d'attendre très longtemps avant de repérer une première piste plus qu'alléchante. Le fumet de cervidé me transperce presque les narines tant il est puissant et par conséquent assez proche de moi pour que la piste m'apparaisse comme limpide. Me fiant à mon odorat, je remonte la piste au pas. J'accélère légèrement l'allure afin d'arriver plus vite jusqu'à ma proie. Je m'enfonce au sein des bois et atteins finalement ma cible. Je me cache derrière un maigre buisson et observe en silence. Le daim s'abreuve dans le ruisseau traversant le territoire jusqu'à la dune. J'attends le moment opportun pour bondir hors de ma cachette. Ce moment opportun est celui ou ma proie semble s'être suffisamment abreuvée. Certes, l'eau ingurgité ne le ralentira pas des masses mais peut être un peu. Je m'élance à la poursuite du daim qui s'enfuit déjà. Je bondis par dessus quelques obstacles avant d'avoir l'espace suffisant pour laisser parler ma vitesse. Une fois à sa hauteur, je l'harcèle de mes crocs avant de de bondir sur sa croupe. Je plante durement mes crocs dans son épine dorsale et remue pour le faire basculer. Une fois le daim effondré, je me précipite sur sa jugulaire que je finis par trouver. Une fois la besogne achevée, je ramène ma prise au garde manger.

Chasse 8 : 11+8=19
Une fois le daim bien au chaud dans la réserve de la meute, je repars à la chasse le visage impassible. Cela tend à devenir mécanique, c'est presque lassant. Mais, je continue mon chemin. Cependant, je m'arrête au bout de quelques pas car une odeur alléchante me chatouille le museau. Enfin alléchante, j'ai connu mieux ne serait ce que le daim de tout à l'heure mais une proie est une proie alors je traque le museau le plus discrètement possible et lui tombe dessus au détour d'une ruine. Ma patte avant se pose sur sa queue, l'empêchant par la même de s'enfuir. Un coup de croc bien placé plus tard et le rongeur termine dans la réserve de la meute.

Chasse 9 : 1+9=10
Je ressors une nouvelle fois du bâtiment en ruine et inspire une grande goulée d'air frais. Je décide de prendre mon temps pour me rendre dans les bois en contrebas. Mais, sur le chemin je croise un serpent couleur ocre. Mon aversion pour ces saletés prend le dessus et je m'approche à vive allure du reptile avant de planter violemment ma patte sur sa tète visqueuse, l'enfonçant presque dans le sol. Puis, mes crocs se plantent dans son corps et je tire de toutes mes forces. Comme à chaque fois, le long corps se détache de la tète du reptile et je ramène ma proie à sa place avant de me diriger à toute allure vers ma destination initiale.

Chasse 10 : 10+9=19
Je tombe sur des empruntes à l'issue d'une séance de recherche relativement poussive. Il s'agit d'emprunte minuscule. Nul doute qu'il s'agit là d'un rongeur. Je renifle durant quelques secondes. Un écureuil à mon avis. Je remonte la piste au pas et arrive devant un arbre. Je repère un petit tas de noisettes ou de choses dans le genre et décide de me cacher dans un buisson et de guetter le moment opportun pour abattre ma proie. Ce que je fais et après de longues minutes de patience. Ma proie descend de son promontoire et entreprends de faire quelque chose de son butin. Je bondis hors de ma cachette et atterris à quelques centimètres du rongeur. Il tente de détaler mais un coup de patte bien placé semble l'assommer. Je plante mes crocs dans sa nuque et lui ôte la vie avant de l'emmener un peu plus loin et de l'enterrer sous de la terre.

Chasse 11 : 5+8=13
Un bruit de battement d'aile me fait sursauter et je pivote sur moi même les crocs à découvert. Un aigle est en train de fondre sur un rongeur un peu plus loin. Je n'hésite pas une seconde et décide de faire d'une pierre de coup en attrapant le prédateur et sa proie. Je m'élance et profite du fait que l'aigle est encore au sol pour lui bondir dessus. Mes crocs se plante dans une de ses ailes et je secoue frénétiquement la gueule afin de la lui briser. Le craquement ne tarde pas et je retire mes crocs. L'oiseau tente de nouveau de s'envoler mais un revers de la patte le couche. Je termine le travail en lui brisant la nuque avant de le prendre entre mes crocs et de le ramener dans les ruines de la chapelle.

Chasse 12 : 7+8=15
Une fois ma prise dans le garde manger, reviens sur mes pas et récupère l'écureuil de tout à l'heure avant de me saisir du mulot abattu par l'aigle quelques instants plus tôt puis je trotte jusqu'aux ruines de la chapelle afin d'y déposer le fruit de mon labeur.

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'Dé de chasse' : 11, 8, 6, 2

Force : 110 Agilité : 110 Endurance : 105

Chasse 13 : 11+8=19
Je vais chasser le sourire aux lèvres aujourd'hui. Le temps que je venais de passer avec Djall et Elerinna m'avait fait le plus grand bien et j'étais de nouveau redevenu moi même. Le loup qui traversait les tempêtes les plus violentes avec un sourire en coin comme pour narguer la difficulté elle même. Le loup qui ne se démontait jamais face aux emmerdes mais trouvait toujours le moyen de les régler les unes après les autres tout en affichant une facilité déconcertante même lorsque la difficulté le faisait chanceler. L'assurance et la discipline étaient de nouveau mienne. Et, cela faisait un bien fou de se sentir de nouveau soi même. Je prends la direction des bois au triple galop, rasséréné par ces derniers jours de repos. Je ralentis l'allure et parcours les bois d'un pas décidé et déterminé mais soudain une odeur attire immédiatement mon attention. Je me fige et renifle afin de ne pas me tromper. Non, cela ne fait aucun doute il s'agit bien d'un ours. Mon pelage s'hérisse sur mon échine et je pousse un grondement de hors bord. Tant pis pour la discrétion. La meute compte pas mal de jeunes dont mes propres petits. La présence d'un tel prédateur est donc intolérable. Je me dis durant un instant que je devrais peut être aller chercher du renfort avant de débusquer un tel adversaire mais décide finalement de me débrouiller seul. Je piste l'odeur forte et désagréable du mastodonte à travers les bois durant une bonne demi heure avant de tomber sur des empruntes. J'arrive finalement au milieu de la clairière dans laquelle j'avais entrainé Elerinna quelques jours plus tôt. Un léger sourire étire mes babines à ce souvenir mais le sourire se transforme en un sourire carnassier lorsque je repère l'ours en train de roupiller tranquillement. Je m'élance et bondis sur le géant avant de planter durement mes crocs dans sa gorge. L'animal se réveille et hurle furieux. Je tire violemment sur la peau et le sang commence à couler. Je reçois un coup de patte violent et est projeté un peu plus loin. L'ours se relève et se tient sur ses deux pattes. Et merde, ca s'est moins bon. Mais, sa blessure au cou étant d'une certaine gravité le colosse semble hésiter. Je me mets à le harceler, lui tournant autour et mordant dans ses pattes et ses jarrets avant de bondir en arrière. Furieux, l'ours me charge et je me déporte à temps. Un peu plus et je finissais écraser par un rouleau compresseur. L'ours s'arrête dans un crissement mais
voyant qu'il n'est qu'à quelques pas d'un arbre, je m'élance et le percute de derrière. Le choc le propulse contre l'arbre dans un bruit sourd. Je me demande qui a eu le plus mal. L'arbre ou le géant. Toujours est il que le choc semble l'avoir assommé. Je termine le travail en le prenant à la gorger et en la lui déchiquetant de toutes mes forces. Bientôt, mon pelage est imbibé de sang. La vie le quitte lentement mais surement et une fois cela fait. Je décide de réduire la masse à transporter en engloutissant une partie de l'animal puis je traine le reste jusqu'à la chapelle.

Force : 110 Agilité : 110 Endurance : 105

Chasse 14 : 8+8=16
Une fois le fardeau avec le reste des proies dans le garde manger, je retourne sur mon terrain de chasse et piste rapidement une belette. Je remonte son odeur tout en suivant ses petites empruntes dans l'humus musqué de la forêt. Je me fige et me tapis dans les broussailles lorsque je sens que son effluve se fait plus forte, plus palpable. J'attends en silence sans faire le moindre bruit. Je ne bouge pas d'un cil et me contente d'attendre une ouverture. Me contente d'attendre le moment propice. Celui ne tarde pas à se concrétiser car la belette émerge d'un buisson adjacent et se dirige vers moi sans se douter de ma présence. Je ne bondis qu'au dernier moment et plaque ma proie au sol avant de planter mes crocs dans la chair filandreuse. Je lui broie les os avant de l'enterrer à quelques pas de là.

Chasse 15 : 6+8=14
Je me repose durant quelques instants avant de me remettre en chasse. L'effluve d'un faisan ne tarde pas à me chatouiller délicieusement les narines et je remonte l'odeur le plus discrètement possible, bien décidé à ne pas me faire repérer par le volatile. Une dizaine de minutes plus tard, je repère visuellement ma proie. Je rampe jusqu'à elle sans faire un seul bruit et profite de son occupation pour lui fondre dessus et l'abattre d'un coup de patte bien placé. J'emmène ma prise près de la belette et l'enterre juste à coté.

Chasse 16 : 2+8=10
Je me remets en chasse une fois cela fait et ne tarde pas à dénicher la piste d'un lapin. Voilà, qui devrait clôturer en beauté une bonne journée de chasse. Je piste ma proie à travers les bois tandis que le soleil se couche à l'horizon. Je la piste ainsi pendant une bonne douzaine de minutes avant de l'apercevoir un peu plus loin. Je m'élance à toute allure à la poursuite du rongeur qui me donne du fil à retordre en passant par des recoins et en zigzagant le plus possible mais je finis par le rattraper le souffle court. Je bondis et écrase le rongeur sous ma masse. L'impact lui brise quelques os. J'abrège ses souffrances d'un coup de croc et vais chercher mes autres prises avant de rentrer au pas.