Première chasse(sujet en continu)

"Petite phrase"

Aujourd'hui, j'avais décidé de me motiver pour aller faire ma première chasse. Seule, j'avais appris les choses de bases avec les membres de la meute et un peu ma mère, avant qu'elle disparaisse, mais je n'avais jamais encore chassée seule et aujourd'hui ce serait ma première. J'étais un peu énervée et un peu stressée. J'espérais ramener quelque chose, sans que soit obligatoirement trop gros. Juste assez pour dire que j'avais fait ma part dans la meute au niveau de la chasse. Je n'avais pas vu mon frère depuis un petit moment et mon mentor était occupée, mais je devais essayer de m'améliorer avec ce que je faisais.

Ce matin, était le moment idéal, je m'étais levée avant le lever de soleil, depuis un moment, je me levais vraiment tôt et je me couchais tôt pour être en forme. Je savais que j'en avais plus besoin que d'autres loups. Alors, une mince brune était au-dessus du sol et il faisait froid ce matin. Un coup de vent vint ébouriffer mes poils et me fit frissonner. Alors, j'avais quitté le territoire Esobek et je m'étais dirigée vers les terres neutres, vers la forêt pour y trouver une proie. Je savais que j'aurais plus de chance, d'en trouver là et tôt le matin. Je marchais en faisant attention où je mettais les pattes puis j'étais aux aguets. Alors, que je tournais vers la gauche, j'entendis du bruit qui venait de la droite. Je m'arrêtais et restais aux aguets, l'effluve d'une proie me vint au museau.

Il y a avait une famille de cailles, non loin. Cela serait bon et cela serait super pour ma première chasse. J'observais la petite famille et je vis le père, je me décidais de prendre lui en chasse. Les petits étaient encore jeunes et ils avaient besoin encore de leur mère. Je m'accroupis sur le sol, ma jeune fourrure noire me servait de camouflage et le vent était de l'autre côté. Je m'approchais de lui doucement, puis sans faire de bruit, j'étais quand même discrète, même si je ne l'étais pas autant que ma mère. Quand je jugeais que j'étais assez proche, je pris mon élan et sautait, la caille, essaya de s'envoler en battant des ailes, mais je l'attrapais par une aile et elle se débattait.

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"Petite phrase"

Alors, quand je pensais l'avoir, la caille réussit à se déprendre en se faisant bien sûr mal davantage à l'aile en se débattant de mes crocs. Elle n'avait pas cassée, mais le reste de la famille s'était poussée et le mâle essaya de s'enfuir, il réussit à battre des ailes puis il s'envola un petit peu, mais il revint vite sur le sol, sans doute, son aile lui faisait trop mal.

Il était revenu sur le sol à quelques mètres de moi, alors je recommençais ma chasse et j'espérais l'avoir cette fois-ci. Alors, je m'accroupis de nouveau et me mit à ramper vers lui. Je m'étais cachée pour qu'il croit que j'avais laissé faire mais non je continuais et je l'aurais. Alors, je m'approchais toujours de lui, il ne m'avait pas repérer encore et je m'apprêtais à bondir quand ...

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Alors, je m'approchais toujours de lui, il ne m'avait pas repérer encore et je m'apprêtais à bondir quand sans faire par exprès., je marchais sur une brindille qui était très sèche et elle craqua sous mon poids. Alors, l'oiseau prit peur et s'enfuit, en essayant de voler, mais son aile faisait trop mal, alors il revint sur le sol et continua de s'enfuir à pied. Je partis à sa poursuite, essayant de l'attraper à la course.

J'étais presque sur lui, quand il partit se cacher alors, j'essayais de le chercher mais en vain je ne le trouvais, pas, j'avais perdu sa trace et son odeur, alors je grondais de mécontentement je n'avais pas réussi. Je n'étais pas fière de moi. Alors, mécontente, je regagnais le camp en étant fâchée contre moi pour ne pas avoir réussi, j'avais vraiment besoin de m'améliorer.

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En quittant l'autoroute où j'avais croisé cette louve noire, j'avais décidé de regagner le camp, en passant par la forêt, j'espérais être capable de ramener une proie pour rentrer. Je voulais bien faire et je voulais démontrer que j'étais également capable de ramener quelque chose, malgré mon jeune âge. Alors, j'étais repartie vers la forêt des pendus où des bêtes à deux pattes, étaient pendues après des branches, j'aurai sans doute trouvé ça effrayant si je ne serais jamais venue ici mais cela faisait partie de mon quotidien, je n'y pensais même plus.

Alors, je me promenais le museau dans les airs et les sens aux aguets. Je marchais quand j'entendis des grattements près d'un buisson non loin. Alors, j'humais l'air et je sentis une odeur de gibier, c'était quelque chose qui essayait de se nourrir en grattant le sol et ce qui faisait ça était des oiseaux. Alors, en regardant de plus près, je vis du orangé et du jaune. C'était un oiseau et je savais que les faisans mâles avaient des couleurs attrayantes.

Alors, je me mis à ramper sur le sol et me rapprocher de mon buisson et je me cachais derrière un gros tronc d'arbre, puis j'attendis que le bon moment se présente. Quelques minutes, plus tard, l'oiseau ne m'avait pas repéré et c'était bel et bien un faisan. Alors, je m'apprêtais à lui bondir dessus et ....

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"Petite phrase"

Alors, je m'apprêtais à lui bondir dessus mais quelque chose effraya le faisan qui s'enfuit en volant, ce n'était pas moi, qui l'avait effrayé, mais quelque chose d'autre. Alors, sans attendre, avant qu'il parte trop loin et que je ne puisses pas l'attraper, alors je bondis, puis lui prit une partie de l'aile, alors avec mon poids, l'oiseau chuta et perdit l'équilibre. Pris de peur, il pialait et essayait de se déprendre. Il réussit à se déprendre un peu en se blessant évidemment puis continuait de s'enfuir et de voler. Alors, je partis à la course pour l'attraper de nouveau, je sentais le sol vibrer sous l'effet de ma course. J'allais tenter de nouveau ma chance avec cette proie...

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Cependant, comme tôt ce matin, je manquais de nouveau ma proie, alors je grognais de rage et le laissa filer puis je m'assis, grondant. Comment ça, je n'étais pas capable d'attraper un seul volatile. Je n'aurais pas d'autres choix de revenir demain, qui sait, j'aurais peut-être plus de chance et je tomberais peut-être sur une proie beaucoup plus facile. Je me levais puis partit mécontente et déçue. J'allais retourner chez moi et aller faire une sieste pour me changer les idées.