Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Des hommes se sont postés de part et d'autre des tranchées : ils sont accompagnés de leurs chiens. Quel est leur divertissement ? Vous ! La battue commence. Les hommes vont vous traquer, vous blesser, et même vous attraper. Vous êtes pris en chasse dans ce dédale de terre et de crevasses. Votre but ? Vous enfuir, vous cacher, tout ce qui permettra de leur échapper, quitte à sacrifier les loups qui vous accompagnent. Serez-vous plus malin que les Traqueurs ?
Pas d'ordre de passage imposé. Event semi-guidé, les traqueurs interviendront quand ce sera nécessaire.
Règles
- Pas d'ordre de passage imposé - Battue semi-guidée, les traqueurs interviendra quand ce sera nécessaire
Les participants
- Serafine - Dalioka - Blasphem - Pandémonium
Pandémonium
Secrets du Dragon
Fiche de personnage force: (100/100) agilité: (100/100) endurance: (100/100)
En savoir plus
Messages :
1252
Points :
0
Âge Personnage :
2 ans
Rang :
Rang
Niveau Rang :
Niveau
Maladie :
Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
+0
Bonus Agilité :
+0
Bonus Endurance :
+0
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
Bonus/Malus Autres (autres dés)
Compétence d'élite :
Mar 27 Oct - 17:57
who's the next ? Battue numéro trois
« You can be the butcher or the cattle ; make your choice. »
F. 30 | A. 30 | E. 30
A vrai dire, il avait éprouvé le besoin de faire la tournée de tous les endroits où il n’avait plus mis les pattes depuis des mois et des mois : que voulez-vous, on s’encroûte assez rapidement quand on paresse au sein d’une meute… Mais à présent, le territoire entier lui appartenait, il était libre de voguer où bon lui semblait, désormais. Il avait donc erré jusqu’aux tranchées, espérant y descendre pour y trouver de la nourriture, comme au bon vieux temps lorsqu’il poursuivait encore rats et souris au sein des boyaux sombres et humides où il avait vu le jour – ou plutôt, où il ne l’avait pas vu… Il s’était arrêté en haut d’une de ces tranchées, observant le labyrinthe que ces abrutis de Bipèdes avaient creusé allez savoir pourquoi, cherchant à déceler la moindre trace de mouvement qui aurait pu lui garantir qu’il allait se mettre quelque chose sous la dent. Mais rien ne bougeait. Il régnait un étrange silence autour de ces tranchées, un silence presque gênant. C’est vrai, si Pandémonium ne décelait pas d’odeurs ni de bruits, il n’entendait pas non plus les oiseaux chanter, ni rien du tout. C’est comme si tout était sombrement mort autour de lui, comme s’il était tout seul dans un désert que toute vie aurait quitté… Il embrassa rapidement l’horizon du regard, bien décidé à descendre dans ces tranchées pour y trouver les mulots qui ne s’y cachaient que trop bien, ne tenant pas compte de cette inquiétante tranquillité, lorsqu’un bruit retint son attention. Il s’agissait d’une sorte de gémissement, quelque chose qui ressemblait à un couinement impatient d’un louveteau qui a trop faim. Les sourcils de Pandémonium se froncèrent : que pouvait bien foutre un chiot ici, au sein des tranchées ? Il était face à un problème presque insoluble, qu’il ne comprenait pas. Il ne jappa cependant pas, une curieuse sensation se répandant lentement dans sa colonne vertébrale, au fur et à mesure que son instinct comprenait le danger, tandis que son cerveau restait toujours dans le flou le plus total. Ce n’est que lorsque le chien surgit de derrière un monceau de terre, que le jeune loup comprit immédiatement : ces tranchées étaient truffées de chiens, et il fallait à tout prix se tirer d’ici avant de finir en chair à corbeau ! Il recula rapidement, ses pattes glissant sur la terre molle dans la précipitation : il manqua de tomber maladroitement dans les tranchées, mais par miracle il retrouva son équilibre et fit brutalement volte-face pour s’enfuir. S’il tombait là-dedans, ils auraient sa peau, c’était certain.
Voilà quelques temps que régnait en ces terres une atmosphère lourde et pesante, ces terres oppressées par un ciel grisâtre qui n'augurait rien de bon. L'automne avait arraché sournoisement toutes les feuilles des arbres et avait balayé les plaines d'un vent froid et sec. C'était la première fois que je venais ici, parmi ces étranges faussés sinistres, où rien ne poussait. Du fil de fer jonchait le sol, un piège dont je me méfiais. Tandis que je marche, le regard survolant le triste horizon, le calme plat me prend aux tripes. Pas un coassement, pas un couinement. Pourquoi me suis-je retrouvée ici ? Peut-être par curiosité. N'est-ce pas l'un de mes principaux défauts ? Ces terres inhospitalière menaient à la Chapelle en Ruines, j'y vois là l'occasion de découvrir un éventuel raccourcis. Le champ est vaste, je le traverse lentement, alerte, reniflant ça et là un morceau de métal brillant enfoncé dans la terre. Je relève la tête un instant; un sentiment étrange s'éprend de moi. Dans le ciel, une nuée de corbeaux s'envole. Une forme brune bouge à l'orée de mon champ de vision, et je reconnais… Pandémonium ? Je n'ai pas le temps de réfléchir plus. En un rien de temps, les bruits des aboiements furieux résonnent et s'infiltrent en moi jusque dans mes os. Le poil hérissé, je vois des formes indistinctes se mouvoir et s'approcher. Des bruits inconnus, pétaradants, retentissent et des cris, tellement de cris… Sans attendre et sans essayer de comprendre, je me retourne et pars dans une course effrénée. Je longe les tranchées, le feu aux trousses, puis décide de m'engouffrer dans l'une d'elle. La panique s'insinue en moi sournoisement, glaçant mes muscles. Je ressent pour la première fois le sentiment qu'une proie peut ressentir; celui d'être traqué, et de devoir courir au péril de sa vie. M'engouffrer dans une des tranchées me cachera un instant de la vue des chiens, mais il y a un autre avantage: camoufler cet ignoble pelage blanc. Je plonge littéralement sur le sol, dans la boue, puis me remets à courir comme jamais je n'ai couru, la Mort sur les talons.
-Je marchais depuis un petit bout dans les tranché, quand j'entendis du bruit. Je me stop net et écoute les alentour quelques chose était entre un de s'approcher. Attend non... Pas qu'une chose mais plusieurs. Un coups de feu suivis par l'aboiement de plusieurs chiens se fait ressentir, au non des traqueurs. Effrayais je me met à courir le plus vite possible. J'entends les chiens courir pas loin derrière moi j'essaye de courir encore plus vite. C'est qu'il ne sont pas près de lâcher l'affaire en plus. Il est or de question que je me fasse attraper, plusieurs loup c'était déjà fait attraper part les traqueurs. J'essaye de trouver une issue quelques chose pour les semer, une solution mais rien n'était en vue pour m'aider. J'aperçois un peu plus loin devant moi un loup courir je n'arrive pas à savoir qui ces en tout cas il sait retrouver dans le même pétrin que moi. J'entends les chien qui me rattrape à nouveau au non je me met à courir encore plus vite mes pattes me font souffrir je n'est pas l'habitude de devoir courir aussi vite et en plus je ne suis pas endurante y a des chance que j'y passe. Le loup qui se trouve devant cour beaucoup plus vite que moi, il a déjà plus de chance que moi de sens sortir.
Jauges:
Force:20-Agilité:26-Endurance:13
Destin
Fiche de personnage force: (100/100) agilité: (100/100) endurance: (100/100)
En savoir plus
Messages :
15874
Points :
994
Âge Personnage :
X ans
Rang :
Rang
Niveau Rang :
Niveau
Maladie :
Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
+0
Bonus Agilité :
+0
Bonus Endurance :
+0
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
Bonus/Malus Autres (autres dés)
Compétence d'élite :
Lun 2 Nov - 9:59
Le Sang des Cauchemars
Battue 1
Blasphem, si aucune réponse n'est poster à la prochaine intervention des Traqueurs tu sera considérer comme "capturer".
Les traqueurs continuent a vous suivre, les chiens vont sentent et n’ont pas l'intention de vous lâcher. Leurs objectifs ? vous rattraper, vous capturer, voir pire vous tuer ! Un des traqueurs tirent dans le tas, une première balle tombe juste devant Serafine, la frôlant de justesse, une deuxième fini par toucher l'épaule de Dalioka, ralentissant la jeune louve, le sang de celle-ci attire les chiens et permet de donner sa position.
Allez-vous l'aider ? ou la laisser tomber ? Attention ou vous mettez les pattes, ses lieux son un terrain de jeu pour les traqueurs ... des pièges on été préparer.
Invité
Invité
En savoir plus
Lun 2 Nov - 12:29
Le Sang des Cauchemars
Battue n°3
Je continue de courir, le souffle rauque et irrégulier. La tranchée est longue, et bientôt j'aperçois la pente qui ramène à la surface. N'ayant d'autre choix, je la grimpe laborieusement, glissant dans la boue, et me retrouve a l'air libre. J'aperçois les autres loups; je tourne vivement la tête, la prunelle dilatée. Les chiens arrivent, la gueule écumante. Un éclat métalique luit dans le brouillard, je frisonne et reprend ma course effrénée. Les aboiements se rapprochent et, soudain j'entends une détonation assourdissante. Je tressaute, et c'est cela qui me perd: une autre détonation retentit, aussitôt suivie d'une douleur atroce dans mon épaule. Le choc me fait vasciller, et je regarde confusément le sang s'écouler de mon épaule. Ma patte rougit à une allure folle. Les chiens ne sont plus qu'à quelques mètres. La panique glace mon sang et je ne sais par quelle miracle je parviens à avancer, cahin-caha. Je peux à peine poser ma patte; la seule sensation de trotter envoie des décharges de douleur dans tout mon corps. Je suis perdue, je suis perdue. Cette intime conviction m'aparrait, et pourtant je ne m'arrête pas.
Fiche de personnage force: (100/100) agilité: (100/100) endurance: (100/100)
En savoir plus
Messages :
1252
Points :
0
Âge Personnage :
2 ans
Rang :
Rang
Niveau Rang :
Niveau
Maladie :
Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
+0
Bonus Agilité :
+0
Bonus Endurance :
+0
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
Bonus/Malus Autres (autres dés)
Compétence d'élite :
Lun 2 Nov - 18:49
who's the next ? Battue numéro trois
« You can be the butcher or the cattle ; make your choice. »
F. 30 | A. 30 | E. 30
Il fonce, tout droit, à toutes pattes. Fuir, vite, c’est la seule option. Devant lui, il aperçoit une forme blanche qui s’arrête net. Un loup. Pandémonium reconnaît Dalioka. Si tu ne bouges pas rapidement ma cocotte tu vas te faire arracher les oreilles ! Le jeune loup ne ralentit pas : c’est chacun pour sa peau ! La louve finit par comprendre et fait volte-face, s’enfuyant devant lui. Elle finit par s’engager dans une des tranchées : espèce d’abrutie ! Tu vas te faire tuer ! Pandémonium court toujours, et se rapproche du bord de la tranchée où Dalioka a disparu ; ce serait trop dommage de s’en tirer sans pouvoir conter sa mort… Il la voit se jeter dans la boue, et s’y rouler rapidement, souillant son pelage éclatant. Pas si bête, la demoiselle… Mais elle perd du temps, et Pandémonium la dépasse en trombe. Puis soudain, des détonations retentissent. Pandémonium lâche un rire narquois : vous êtes trop loin pour m’attraper ! Il galope, il court ventre à terre comme si il lui avait subitement poussé des ailes. Il va s’en sortir, il le sait, il le faut. Le jeune Dragon tourne brièvement la tête pour analyser la situation, mieux se moquer de ses poursuivants. La scène qu’il aperçoit alors le fait ralentir : Dalioka est blessée. Premier réflexe : tant pis, il faut sauver sa peau ! Il accélère, se forçant à ne pas regarder. Puis Adriel lui vient en tête, et pire : Isha. Que dirait Isha, s’il la laissait tomber ? Ce n’est qu’une femelle, mais elle est sa sœur. Doit-il réellement la sauver ? Il n’en a pas les moyens… Il se retourne encore : les chiens sont si proches d’elle, ils vont la tuer. Il freine brutalement, dans une gerbe de terre.
« Bordel... Si ça ne tenait qu'à moi ! », maugréa-t-il avec mauvaise grâce avant de faire demi-tour.
Il s'élance rapidement jusqu'à la louve blanche, la dépassant en trombe comme si elle n'existait pas, jetant à peine un œil à son épaule sanguinolente. Il croise une autre louve qui galope dans l'autre sens : alors quoi, c'est une réunion d'anciens combattants ? Une Esobek. Doux Jésus, les Esobeks aident les autres, il aurait mieux fait de laisser celle-ci s'occuper de Dalioka et sauver sa peau ! Mais c'est trop tard, les chiens ne sont plus qu'à quelques mètres, galopant comme une meute hystérique. Pandémonium n'a pas peur : ces sales bêtes ne l'impressionnent plus. Il fallait gagner du temps, pas livrer une bataille perdue d'avance, de toute façon. Le premier chien saute, tous crocs dehors, et Pandémonium l'accueille avec la gueule grande ouverte, dans un grondement enragé. Les deux canidés roulent sur le sol dans des grognements agressifs, Pandémonium mordant tout ce qui se trouve à sa portée. La meute n'est plus très loin, et leur émissaire est trop puissant pour que le jeune loup en vienne à bout seul. S'ils arrivent, il est cuit. Le chien l'attrape par le col et le fait valser à quelques mètres : il retombe sur le sol, quelque chose craque, il grogne, se relève, le chien charge. Pandémonium voit brièvement deux autres molosses fondre dans sa direction. Cette fois, suffit de jouer les héros ! Le Dragon tourne les talons et bondit vers Dalioka, qui a réussit à gagner une centaine de mètres. Il galope à nouveau, une de ses pattes antérieures engourdies par le choc qu'il vient de prendre. Mais il faut courir, toujours plus vite, toujours plus loin. Alors il court, il court, se démenant pour survivre. En fin de compte, c'était une belle connerie : les chiens lui collent aux pattes, derrière. Et il risque de se faire tuer, au même titre que Dalioka. Moralité ? Toujours se fier à sa première intuition.
♣ Le soleil avait rapidement fait place au soleil. Ce qui te fît sourciller , toi qui te faisais tranquillement dorer au soleil. La guerre. La guerre qu'en penser encore de cette guerre. Tu te leva d'un bond. Tu avais assez dormi pour la journée et l'envie que cette journée n'allais pas être comme les autres te tortillait l'esprit. Tu en était certain , aujourd'hui tout allait être différent. Bon ou mauvais ? Qui sait , autant mieux se bouger pour le savoir aussi rapidement. Tes pas à mesure qu'il t'entrainent tu ne sais ou, finissent par ralentir sous l'effet d'une effluve pas rassurante au loin. Tu connais cette odeur, mais tu n'arrive pas à savoir de ou. Lorsqu'au loin tu distingue des silhouettes, tu finit par fixer , croyant appercevoir la forme d'un loup, donc ton état se calme jusqu'à ce qu'un grondement émate de ta gueule lorsque ton cerveau analyse finalement l'odeur. Un sale cabot. Ta queue s'hérisse. Tu ne peut pas reculer, mais soudainement une autre odeur vînt rejoindre celle du chien et celle-la te fait moins rire, car au lieu dans les tranchée tu le distingue crapue, armé de son arme à bruit sourd. Tu recule , et lorsque le premier coup t'éffleure tu ne peut t'empêcher de rapidement faire demi-tour pour t'enfuir loin de eux. Tu sens le chien te courir. Après qui aurait-cru que le prédateur que tu était allait devenir aussi rapidement la proie. La seule envie qui te passait par la tête était de te retourner rapidement vers le chien et le faire taire à jamais. Mais tu ne pouvais pas , tu n'avais pas le pouvoir de le faire. C'était toi ou eux. Sur ta course effreinées tu sentis d'autre odeurs , mais celle-ci te mettait plus en confiance, le mélange était nombreux, passant de Eso à Nav jusqu'à Solo . Tu jetas un regard au alentour et percut les loups qui comme toi était pris en chasse. Tu n'avais pas le temps pour les aider. C'était chacun pour soi à présent.
Serafine si aucune réponse n'est poster à la prochaine intervention des Traqueurs tu sera considérer comme "capturer".
Blasphem : en ignorant la louve touché et les autres loups tu commence a prendre de la distance, les traqueurs ne te voient plus, mais si tu ralentis il remarquerons de nouveau ta présence. Peu être est-tu en mesure de t’enfuir ? mais pour cela tu devra abandonné les autres.
Dalioka : grâce a Pandémonium tu n'est pas capturé, et tu continue ta fuite. Le sang que tu laisse derrière toi montre le chemin au chiens et aux traqueurs ... si vous continuez ainsi ils vous aurons quoi qu'il arrive ...
Un des chiens des traqueurs a été libérés, il cours et compte bien vous rattraper, et vous ralentir pour que son maître vous abattent.
Pandémonium
Secrets du Dragon
Fiche de personnage force: (100/100) agilité: (100/100) endurance: (100/100)
En savoir plus
Messages :
1252
Points :
0
Âge Personnage :
2 ans
Rang :
Rang
Niveau Rang :
Niveau
Maladie :
Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
+0
Bonus Agilité :
+0
Bonus Endurance :
+0
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
Bonus/Malus Autres (autres dés)
Compétence d'élite :
Mar 24 Nov - 22:18
who's the next ? Battue numéro trois
« You can be the butcher or the cattle ; make your choice. »
F. 30 | A. 30 | E. 30
Pandémonium jette un ultime coup d’œil derrière son épaule : Dalioka est sortie d’affaire, pour le moment du moins. Il n’allait pas rejouer les héros en y retournant, c’était hors de question, il fallait qu’il sauve sa peau ! Sa patte antérieure droite le fait souffrir, encore, mais il force l’allure : la distance entre lui et les poursuivants se creuse, de minute en minute. Il a une chance de s’en tirer, malgré son action débile. Au moins, les Dragons auraient la conscience tranquille…
Cependant, malgré la distance qui se creuse, Pandémonium entend toujours les aboiements furieux derrière lui. Il se retourne encore : il aperçoit la forme blanche qu’est Dalioka, suivie de près par un chien qui, libéré de toute entrave, galope comme un hystérique. Si elle ne se dépêche pas un peu, il va finir par la rattraper.
Pandémonium comprend rapidement que les Bipèdes peuvent suivre leur trace grâce aux chiens : leur odeur est une piste trop facile à suivre. Quand bien même il parviendrait à masquer la sienne, celle des autres conduiraient les chiens vers lui ! Il faut qu’il change de trajectoire, et que les autres ne le suivent pas ! Il fait un brutal écart, bondissant comme Dalioka un peu plus tôt dans les tranchées. Profitant de sa courte avance, il se roule dans la boue, priant pour que ça suffise à masquer son odeur. Se relevant aussi vite que possible, il fonce vers une possible sortie, remontant la pente raide à toutes pattes, glissant et pataugeant dans cette terre imbibée d’eau. Il a perdu presque toute son avance, mais il se remet à courir. Dès qu’il sera suffisamment éloigné, il bifurquera Dieu seul sait où et il deviendra alors inodore, et invisible. Disparu, envolé le Pandémonium.
Je continue d'avancer, le regard à moitié dans le vague et les crocs serrés. Et puis soudain, une silhouette brune passe devant moi. Je me crois en pleine hallucination: Pandémonium me dépasse et j'entends, quelques secondes plus tard, le fracas de deux corps qui se heurtent. Des grognements furieux résonnent, rendant l'atmosphère encore plus macabre. Pandémonium a fait demi-tour pour me donner de l'avance. Une vague de reconnaissance s'empare de moi. Malheureusement, la seule faveur que je puisse lui rendre maintenant et de gagner du terrain et de profiter de l'avance qu'il me donne. Par je ne sais quel miracle - les esprits scientifiques appèleront ça l'adrénaline, la douleur dans mon épaule se fait moindre et, sans tenir compte des dégâts irréversibles qu'une course pourrait infliger à mon corps, je me remets à courir. Et je regagne du terrain. Je jette un coup d'oeil derrière moi: Pandémonium a repris sa course lui aussi, mais je le vois boiter. La situation m'empêche de ressentir la moindre compassion, cependant. J'ai d'autres choses à faire, voyez-vous. Nous règlerons nos affaires plus tard.
Les chiens se rapprochent, ils sentent l'odeur du sang. Mon pelage est déjà crouté de boue, mais cela ne suffit pas. Je ne peux pas me permettre de glisser à nouveau dans une mare boueuse, ma vie en dépend. J'accélère autant que je peux, saute un rouleau de barbelé. Le paysage mort défile, et je ne compte même plus les minutes. Mon coeur bat fort: il s'accroche à la vie tandis que la Mort est à mes trousses. Drôle de chose: on ne se sent vraiment vivant que lorsque la mort nous guette. Un chien écumant a pris de l'avance sur les autres tueurs, et je n'ai pas besoin de croiser son regard pour savoir qu'il ne rêve que de gouter à mon sang. Malgré la gravité de la situation, j'ai repris mon sang froid. Il ne semble y avoir aucune fin à ce champ dénudé, et aucune échappatoire. J'entr'aperçois alors, au loin, le dessin d'un trou qui s'enfonce dans un renfoncement. Il est sombre, étroit, peu praticable. Jusqu'au dernier moment, j'hésite. Et puis, soudain, je bifurque vers la droite et, profitant du sol boueux, je m'allonge et me laisse glisser dans cette brèche à peine plus large que mon poitrail. Recouverte de boue, je me sens m'enfoncer dans ce couloir noir, et je retombe brutalement au sol. J'entends quelque chose craquer et la douleur se répand à nouveau dans mon corps. Malgré mon étourdissement, je me reprends vite, et recommence à courir. Ce tunnel débouche dans une des tranchées étroites, et la lumière m'éblouit un instant. Et je cours, cours car ma vie en dépend. Je glisse, me relève, oublie la souffrance. Ma blessure est recouverte de boue et le sang ne peut plus s'en écouler. Est-ce que ce sera suffisant ? Les aboiements se sont fait plus lointain, grâce à ce raccourci, mais ils continuent de se rapprocher…
Les traqueurs son heureux de la capture d'un loup et commence a se lasser de vous les autres. Pour vous obligé a fuir et vous dépêcher de partir un traqueur tire, Dalioka tu reçoit une seconde balle perdu au flan cette fois-ci. Les traqueurs espère t'avoir tué, malheureusement tu est encore en vie. Les voilà qui partent avec leurs capturé du jour !
La battue est terminé ! vous pouvez répondre une dernière fois avant l'archivage du sujet.
Pandémonium
Secrets du Dragon
Fiche de personnage force: (100/100) agilité: (100/100) endurance: (100/100)
En savoir plus
Messages :
1252
Points :
0
Âge Personnage :
2 ans
Rang :
Rang
Niveau Rang :
Niveau
Maladie :
Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
+0
Bonus Agilité :
+0
Bonus Endurance :
+0
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
Bonus/Malus Autres (autres dés)
Compétence d'élite :
Lun 7 Déc - 19:23
who's the next ? Battue numéro trois
« You can be the butcher or the cattle ; make your choice. »
F. 30 | A. 30 | E. 30
Puisant dans le peu d’énergie qui lui reste, Pandémonium met tous ses muscles au service de sa course, galopant le plus vite possible. La distance se creuse, il n’entend déjà plus les chiens derrière lui. Son cœur bat encore plus vite, et le frisson de la victoire se répand dans sa colonne vertébrale. Au fur et à mesure qu’il s’éloigne, sa foulée devient plus ample, sa course moins rapide. Ses poumons en feu demandent grâce, mais il ignore leur cri de détresse. La fin de ces tranchées immonde pointe à l’horizon, il est presque sauvé !
Comme quoi, ce ne seront pas de stupides Bipèdes qui parviendront à l’attraper aujourd’hui. Il s’en tirera sain et sauf – ou presque – même en les ayant nargué. Un jappement victorieux s’échappe de sa gorge, tandis qu’une nouvelle déflagration déchire l’air. Qui a été touché ? Le jeune loup risque un coup d’œil par-dessus son épaule : la seule chose qu’il voit, c’est ce Sekmet qui galope à plusieurs centaines de mètres derrière lui. Les Bipèdes ont disparu, les chiens aussi.
Où est passée Dalioka ? Peu importe, après tout. Il a fait ce qui était en son pouvoir, si elle était trop bête ou trop faible pour s’en sortir, on ne pourrait pas lui rejeter la faute dessus. C’était l’essentiel.