Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.

Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.


 
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 | Le début d'une alliance d'une vie | Pv. Manithil

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Dim 18 Oct - 22:25


Mes yeux endoloris s’ouvrirent sous l’éclat de l’astre solaire. Je ne sais point ni comment ni pourquoi j’avais atterri en ces lieux. Mais ma tête, si elle avait pu, se déchirait en particule qui faisait ciller mes oreilles. Tout de même en gardant un certain équilibre, je m’élevai sur mes pattes. Que pouvais-t-il s’avoir bien passé? L’horizon défilait devant moi, comme un disque en continu. Avais-je été drogué bon dieu ? Je jetai alors un bref regard pour analyser la situation pendant que revînt doucement les souvenirs d’autrefois. L’incendie. Les bourrasques de vent qui poussait le eu vers ton pelage charbon. Les cris des êtres à 2 pattes qui couraient tel des poules sans tête. D’ailleurs en parlant de poule, j’avais faim. Terriblement faim. Mais dans l’état ou j’étais, comment s’en sortir. Le ciel s’ouvrant au-dessus de moi j’analysais d’un air tranquille, l’endroit où j’avais atterri. Monochrome, de type à faire pleurer un bébé. Sans expression. Cela me plaisait en fait.

La grande roue s’étalait de tout son trône devant mes yeux ébahis. Malgré qu’en fait j’ignorais comment cette chose immense pouvait bien avoir pu atterrir ici en plein milieu de nulle part. Néanmoins, il y avait bien des choses que je comprendrais jamais, comme le fait que comment cette saleté de machine sois aussi dure à monter non mais.. Arg ! Aller 1…2..3.. Un saut et j’en fût finalement arrivé sur le sommet. La vue s’élargissait au moment où mes étourdissements ne finirent par partir. J’allais sincèrement m’y plaire ici. Le vent ébourrifait ma fourrure et cela ne contribua qu’a redonner à mes etoudissements l’envie de revenir en frappant de plein fouet. Ce qui me fît dégringoler jusqu’en bas. Un malheureusement coup de malheur qui fît en sorte que ma tête heurta le sol. Saleté. A quoi bon. Je crois que je vais rester étendu..

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Lun 19 Oct - 15:59

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force 52 - agilité 43 - endurance 46
Abandonnant ses fouilles pour aujourd'hui, ramenant ses dernières proies ainsi que ses plantes dans sa tanière de métal, Manîthil décide d'aller faire un tour, abandonnant son sac dans son nid et fila rapidement, laissant le vent caresser son pelage de neige. Quittant sa forêt, elle couru jusqu'aux terres de l'est, ralentissant sa course, la langue pendante, elle chercha une flaque, n'importe quoi pour pouvoir étancher sa soif. Trouvant de l'eau stagnant dans une carcasse métallique, elle huma sa surface avant d'y tremper sa langue, buvant jusqu'à plus soif avant de passer sa langue sur ses babines. Dressant la tête ainsi que ses oreilles, elle fit pivoter sa tête d'un côté puis d'un autre, observant les lieux, observant ce cimetière de ferraille. A quoi ressemblait cet endroit avant l'apocalypse ? Qu'est-ce que tout cela représentait pour les Hommes ? Car, nul doute que tout ceci leur appartiennent, à qui d'autres sinon ? Tout comme sa tanière de fer, les Hommes l'ont conçu et y ont vécu.

Passant entre les carcasses abandonnés, rongés par le temps et rouillés, une odeur alerte la blanche, un autre loup se trouve dans les parages … Nullement méfiante, Manîthil ne craint personne, pourquoi devrait-elle craindre ceux qu'elle croise après tout ? Elle n'appartenait à aucune meute, elle est guérisseuse, plutôt connu dans le coin d'ailleurs, surtout pour son avarice et son égoïsme. Plus curieuse qu'autre chose, elle se rapproche de la source de cette odeur et, finit par percevoir une petite silhouette noire, étendu sur le sol, un louveteau. Un simple louveteau … Oui mais, il semblait mal en point. Malgré que la blanche soit tout sauf maternelle, peut-elle abandonner là un potentielle patient ? Non, du tout. Elle se rapproche du gamin et lui mit un coup de museau au niveau de la tête pour le faire réagir.

« Hey gamin, que fais-tu ici ? »
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Lun 19 Oct - 18:25

Le vent qui m’entourait, avait soudainement cessé d’exister, plus aucun bruit à l’horizon. Néanmoins une douce brise faisait grincher le sol du métal proche de mes oreilles ainsi que titiller ma discrète médaille ornant mon cou. Le temps s’était-il arrêté ? Je n’étais plus sûre de grand-chose, seulement du terrible mal de tête qui avait pris logis dans mon crâne de jeune loup. Je restai ainsi quelque minuste, jusqu’à ce qu’une odeur glisse dans mes voix nasale. Une odeur qui s’avait incruster dans les effluves métalliques. Je glissa ma tête vers le sens de l’odeur avant d’y voir un loup.

« Hey gamin, que fais-tu ici ? »

Ta voix et ton allure , au contraire de mes pensée me poussent à conclure que tu est plutôt une louve, je te fixe dans les yeux. Tu ressemble à ma mère et cela ne me plait pas. Tu ne peut tout simplement pas apparaitre comme sa et remettre ses souvenirs douloureux dans ma tête. Je te regarde de bas en haut, ton gestuelle me dit que tu ne me veut pas de mal. Devrait-je te croire, croire comme j’ai pu croire tant de chose dans la vie. Non , du moins pas tout de suite. Je te regarde d’un air incrédule , un peu mal à l’aise face à la situation, d’ailleurs cela me pousse à froncer des sourcils . Je ne peut pas , je ne veut pas. Comment pourrait-je t’expliquer le pourquoi je suis ici? Je me levas aussi rapidement que ma situation cérébrale me le permettait et je fixais les alentours , admirant les milles et unes structure métallique et je reposa mon regard vers toi. Cela ne te plairas pas , je le sais, sa ne plairas pas à personne . Te présenta un simple haussement d’épaule pour repondre à ta question dont tu devais probablement attendre encore la réponse. Tu allait malheureusement te contenter de cela. Je ne pouvais pas faire mieux… C’est malheureusement comme sa. Si cela ne te plait pas laisse moi, je me débrouillerais.
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Mer 21 Oct - 17:37

| Le début d'une alliance d'une vie | Pv. Manithil 3533155962
Destin

Fiche de personnage
force:
| Le début d'une alliance d'une vie | Pv. Manithil Qkci100/100| Le début d'une alliance d'une vie | Pv. Manithil Qkci  (100/100)
agilité:
| Le début d'une alliance d'une vie | Pv. Manithil Qkci100/100| Le début d'une alliance d'une vie | Pv. Manithil Qkci  (100/100)
endurance:
| Le début d'une alliance d'une vie | Pv. Manithil Qkci100/100| Le début d'une alliance d'une vie | Pv. Manithil Qkci  (100/100)
Destin
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Mer 21 Oct - 17:37

Le membre 'Manîthil' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de chasse' : 12
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Mer 21 Oct - 17:47

Ennuyer
force 52 - agilité 43 - endurance 46
Le gamin avait tourné la tête vers Manîthil, l'observant, la blanche ne disait rien, attendait. Elle lui avait posé une question, elle attendait désormais sa réponse. Il ne disait toujours rien, cherche à se redresser pour lui faire face. Est-il réellement mal ? Vu la façon dont il a eu du mal à se redresser, oui. Les yeux gris de la louve ne le quitte pas, elle attend toujours, patiente. De toute manière, elle n'a rien de mieux à faire, les Mercenaires ne sont pas là, elle ne peut donc pas les embêter, ces derniers se trouvent sur le territoire des Navnik en train de se battre aux côtés des Sekmet ainsi que des Esobek, grand bien leur fasse ! Malgré son ennuie, elle venait de trouver une distraction, quoique, un peu trop silencieux à son goût. Si d'habitude elle aime que ses patients soient mué, tout comme cet autre gamin qu'elle a sauvé et qui s'est enrôle parmi les Mercenaires, là ça en devait pénible.

Et il ne pipa toujours point mot … Sait-il seulement parler ? Peut-être que non. Quelque chose scintilla soudainement dans son pelage noir, un léger reflet du soleil. La blanche penche légèrement la tête, observe, qu'est-ce que cet objet ? Elle l'ignore. Elle reporte son attention sur le gamin qui haussa simplement les épaules. Ainsi, il ne sait pas parler ? A moins qu'il ne veuille pas. Que fait ce louveteau là au milieu de nul part ? La guérisseuse jeta un coup d’œil autour d'elle, levant sa truffe en l'air pour tenter de repérer une effluve de louve voir même d'un mâle à qui pourrait appartenir ce gamin mais, non, il n'y avait rien, ils étaient seuls, tous les deux. Elle le détail de nouveau. Ah … Que peut-elle faire ? Malgré son ennuie, elle n'a aucune envie de rester planter là sans rien faire. Soit, il refuse de parler, restant simplement planté là comme un idiot ? Grand bien le fasse !

« J'en conclus que tu n'as besoin d'aucune aide gamin ? Soit, dans ce cas, retourne te nicher dans les pattes de ta mère. Ce n'est pas un endroit pour un louveteau. »

Oh que non, les Hommes peuvent venir à tout moment, fouillant ci et là en quête d'objets dont elle ignore l'intérêt. S'il veut rester là à attendre que le destin décide à sa place, c'est son problème, pas le sien. En tout cas, tout ceci lui donne faim et peut-elle que chasser lui permettrait de se divertir un peu ...

Ah ! D'ailleurs ! Voilà un volontaire ! Non loin des deux loups, un chevreuil semble s'être perdu. Passant sa langue sur ses babines noire, la blanche se tassa sur elle même tout en s'éloignant du gamin, la tête basse, ses yeux argenté rivé sur sa futur proie. Passant entre les carcasses de fer, elle se rapproche sans un bruit, se camouflant pour ne pas être vu. Elle s'arrêta, continua son observation puis, lorsque le chevreuil porta son attention ailleurs, bondit hors de sa cachette. Effrayé en voyant le prédateur surgir hors des cadavres métalliques, le chevreuil prit ses jambes à son cou et tente de fuir.

Manîthil poursuivit sa proie, sautant agilement au-dessus des obstacles qui se dressent sur son passage, elle tente de rattraper sa proie, mettant autant de force que possible dans ses pattes pour courir plus vite. Elle tourna d'un coup, cherchant à couper la route du cervidé et lorsqu'elle arrive à la même intersection que lui, se jette à sa gorge, le saisissant, elle tombe au sol avec lui, secouant la gueule pour essayer de transpercer la peau de l'animal, du sang s'écoulant dans sa gueule et sur les côtés. Elle acheva rapidement le chevreuil avant de le lâcher enfin. Voilà qui va faire un bon festin !

Chasse Comment ça je l'appâte à la bouffe | Le début d'une alliance d'une vie | Pv. Manithil 606587608
chasse : 12 + 3 (bonus) = 15 (réussi) - butin : 1 chevreuil
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Ven 23 Oct - 4:13

Et justement je vis assez vite que cela ne te plaisait pas, ce qui accrochait une certaine satisfaction à mon égo. Je te regarde de bas en haut, tu ne t’attendais pas à sa hein ? Ton regard se pose sur mon médaillon, je vois l’incertitude qui habite tes yeux. J’aimerais t’expliquer, j’aimerais bien, mais t’es pas assez digne pour ça. Sur ces pensées, je me surpris à m’élever comme un paon.

« J'en conclus que tu n'as besoin d'aucune aide gamin ? Soit, dans ce cas, retourne te nicher dans les pattes de ta mère. Ce n'est pas un endroit pour un louveteau. »

Mon regard s’assombrit. Je ne t’aime pas c’est définitif, tu ne me connais pas. Il y a longtemps que je n’ai pu besoin de ma mère. Je te fixais d’un regard noir mais je n’eusse pas le temps d’en profiter que tu m’avais déjà abandonné. Non mais ho ! Tu vas ou ? On parlait ! Tu t’engageas rapidement dans la forêt, et j’essayais de te suivre le plus proche possible. Tu faisais quoi bordel ?! Tu gambadais à travers les racines pendant que moi, je me les mangeais en pleine figure. Tu ne pourrais pas m’attendre un peu, tu sais juste un peu ! Tu t’arrêtas si brusquement que je failli me faire repérer et je sus à cet instant qu’est ce qui t’avais poussé à prendre la fuite ainsi. Un cerf, grand comme je n’en n’avais jamais vu. Le bruit du craquement de son corps me fît frissonner mais je n’en n’étais pas moins impressionner. Mon ventre criait au meurtre, c’était bien le seul son qui allait sortir de moi. Je me plaquai au sol et commença une course effrénée pour atterrir face à toi et je tirai le cerf de mon côté du mieux que je pu bien sûr plus robuste que moi. Ce n’est pas vrai que je vais te laisser en profiter toute seule. Oh non non !
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Sam 24 Oct - 22:01

Parler
force 52 - agilité 43 - endurance 46
Satisfaite de sa chasse, Manîthil se lécha les babines, son ventre grondant en cœur et, au moment où elle allait saisir une partie tendre du chevreuil, ce dernier bougea. Les oreilles de la blanche se dresse et sa tête se relève, ses yeux se posant sur le jeune loup noir face à elle. Ainsi, c'est le gamin qui tente de lui piquer son butin ? Comme c'est mignon ! Il a tellement d'espoir ! Les babines de la blanche s'étirent en un sourire avant qu'elle ne bondisse au-dessus de sa proie pour atterrir juste devant le louveteau.

« Allons allons. Tu ne souhaites pas me parler et pourtant, tu me suis ? Pire encore, tu essayes de me voler ? Est-ce là des manières ? »

Elle claqua sa mâchoire non loin de la truffe du louveteau pour le faire reculer. Ah … Comme si elle n'avait que cela à faire de se battre avec un louveteau ! Pourquoi l'a-t-il suivit ? Lui qui ne voulait pourtant piper le moindre mot, qui l'avait regardé d'un air sombre et, le voilà qu'il la suit. Oh mais … Ne serais-ce pas là un louveteau abandonné en quête d'un foyer ? En quête d'un peu d'attention d'où son caractère rebelle ? En quête de soin et de nourriture ? Que c'est adorable ! La blanche aurait pu être touché, sauf qu'elle ne possède aucune fibre maternelle et, ainsi, n'est en rien touché par les agissement de ce louveteau. Quel âge a-t-il d'ailleurs celui-là ? Sans la moindre gêne, elle se mit à lui tourner autour tout en le flairant. Oh alors, il est si jeune que cela ? Probablement est-ce pour cela qu'il la suit.

La guérisseuse retourna se poster près du chevreuil mort, s'asseyant juste à côté, ramenant sa queue blanche autour de ses pattes. Ses yeux argentés fixe le gamin intensément. Et bien, que va-t-elle faire de lui ? Quatre mois, ce gamin à quatre mois, l'âge à laquelle Manîthil a abandonné son premier et unique fils, Pandémonium, voilà qui ramène de vieux souvenir ! Une belle erreur que de tomber enceinte tiens ! D'autant que au début, c'est vraiment agaçant. Quoique, celui-ci aussi à l'air plutôt agaçant …

« Tu veux une part de ce chevreuil ? Bien mais, il faudra me donner quelque chose en échange car, dans la vie, on a rien sans rien, qu'as-tu à me proposer ? »
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Mer 28 Oct - 19:40

Je tirais autant que mes jeunes muscles me le permettaient. Je ne voulais pas te laisser gagner, ce que toi tu arrives à avoir alors que moi je me bats pour survivre. Tu n'as pas le droit de faire comme si rien n'était. Je te l'interdit. C’est sous un léger vent que tu atterris devant moi, crocs passant à un cheveu de m’amputer le museau mais malgré cela, je ne recule pas non. J’ai finis d’avoir peur, j’ose même te regarder avec une pointe de défi ornant mes yeux bleus. Ose. Des manières, pour qui te me prend, regarde toi avant de parler de manière. Je souris d’un air moqueur. Ton nom n’est pas écrit sur le cerf à ce que je sache n’est-ce pas louve ? Je te teste et je me fais un plaisir de le faire. Cela t’énerve ? Tant mieux ? Tu n’as pas de sentiment peut-être, cela m’amuse. Ici c’est mon jeu. Tu te mets à tourner autour de moi, non mais les loups ici ont une fixation à imiter l’horloge ou quoi ? Je ne te quitte pas du regard, quelques minutes de ton manège, tu finis par t’assoir en face de moi, je soupire avant de faire de même. Je te vois réfléchir avec intensité, tellement que j’en viens à un point que cela doit être un sujet sérieux, ta posture tout me donne l’impression que rien ne t’atteint. Mais je sais que c’est faux, mes crocs grince à l’intérieur de ma gueule. À quoi penses-tu ?
« Tu veux une part de ce chevreuil ? Bien mais, il faudra me donner quelque chose en échange car, dans la vie, on a rien sans rien, qu'as-tu à me proposer ? »
Si j’avais pu rire, je m’aurais esclaffé ? Vraiment ? Si tu oses demander à un louveteau une part de ce qu’il possède surtout que je ne possédais rien en soi, c’est uniquement parce que tu viens de me prouver que tu n’as pas de limite et que tu n’as rien à perdre ce que en soi….. J’aime bien. Je te regarde avec une certaine amertume, pense tu sincèrement que j’ai quelque chose à t’offrir en échange d’un simple bout de cerf ? Mon expression faciale trahissait ma moquerie envers toi. Tu n’as rien compris définitivement.
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Jeu 29 Oct - 18:23

Donner
force 52 - agilité 43 - endurance 46
Les yeux argentés de Manîthil ne quittèrent pas le gamin. Il ne veut pas répondre ? Soit, il doit être muet. Comment savoir si il est d'accord ? Elle ne peut le savoir, il ne montre rien, rien hormis de l'insolence. Les gosses … Ce qu'elle peut détester cela … Ils ne valent rien, ne servent à rien. Il faut se plier en quatre pour les nourrir, pour écouter leur gémissement, les éduquer, entre autre, avoir de la patience et, de la patience, la blanche n'en a pas hormis pour soigner et encore, sa patience a toujours une limite … Tu fermes ta gueule, je te soigne, voilà en quoi se résume sa patience. Si tu oses l'ouvrir alors qu'elle se concentre, gare à ses crocs acérés car, elle n'aura aucun scrupule à les utiliser …

Assise entre le gamin et sa proie, elle ne le lâche pas du regard, attendant mais, l'attente commence à l'irrité et elle finit par se redresser dans un soupire pour se tourner vers le chevreuil. Saisissant le cuir de l'animal, elle tira de toutes ses forces dessus, réussissant à en retirer sa peau, accédant ainsi à sa chaire et, en arrache un bon morceau avant d'y jeter en direction du gamin.

« Voilà qui te suffira, maintenant, hors de ma vue. »

Et sur ces paroles, la dame blanche saisi le chevreuil par la gorge pour le tirer à l'opposer du louveteau noir. Elle avait autre chose à faire que de jouer avec les caprices d'un gamin. Elle a déjà refusé de se plier aux gémissements de Pandémonium à l'époque alors, ce n'est pas maintenant qu'elle va commencer à se plier à ceux d'un morveux qu'elle ne connaît pas. Ce chevreuil est à elle, point, elle n'a aucune raison de le partager, aucune raison d'être compatissante, aucune raison de l'aider. Qu'il s'estime heureux déjà d'avoir eu le droit à un morceau de chaire saignante ! Pour le reste, c'est à elle !
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Ven 13 Nov - 2:28

Tu me fixe ainsi pendant un bon moment alors que ma gueule et ma tête veut rattraper le plus vite possible la tête du cervidés et m’enfuir loin de toi, je me racle la gorge à répétitions pour profiter du mince gout de ma salive qui perle dans ma gueule en espérant avoir une quelconque parcelle de saveur d’un de mes repas d’il y a longtemps. Tu restais ainsi assises, tes yeux couleurs cendres, transperçant mon jeune âme, je fronçais les sourcils par réflexe à tes agissements. Jusqu’à ce que finalement tu émis un mouvement j’eu un déplacement de recul avant de m’assurer que tu n’allais pas émettre un mouvement brusque, dos à moi j’observais sans relâche ce que tu faisais et ce fût par une mince émotion d’étonnement que je te vis me lancer un morceau de l’animal tué. « Voilà qui te suffira, maintenant, hors de ma vue. » L’odeur à elle seule, à présent proche de moi, suffit à me faire saliver, j’étais content parce que tu avais fini par me donner ce que je voulais, ce qui en soit était facile, parce que je voyais très bien ton impatience et je l’avoue ; J’aime ça. J’aime voir à quel point, tu déteste ma présence de petit louveteau, pourquoi dont ? Qui sait ? Mais du même coup, je n’avais pas encore fini avec toi. J’étais tenace et tu ne me connaissais pas et oh crois-moi tu n’allais pas me laisser ainsi, je veux tester ta limite, voir ton impatience perler le creux de tes yeux. Je me plaquai sur le sol, avant de m’élancer vers toi, avec un léger titillement de la médaille, mais cela, tu devais déjà l’avoir attendu mais je m’en foutais, je courais avant d’entamer un bond pour atterrir sur le cervidé, droit sur mes pattes. Un grognement rapide mais assez audible sifflant entre mes dents. Je ne ferais pas le poids je le savais, mais je déteste me faire sous-estimer ainsi. D’un bond j’essaya de me mettre sous mes dents la première partie qui viendrais ta ma gueule , au risque de me faire attraper au vol, j’étais prêt à tout pour qu’on ne me considère pas comme un bon à rien.
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Sam 14 Nov - 18:21

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force 52 - agilité 43 - endurance 46
Traînant son butin, voulant s'éloigner de cet avorton collant, Manîthil força sur sa prise pour la tirer mais, au bout d'un moment, un poids l'arrête et, relevant la tête, elle vit le gamin noir posé dessus, cherchant à prendre un morceau. Les babines de la blanche se retroussent tandis qu'elle lâche un grondement menaçant et se jette sur le gamin. Elle le fit rouler au sol, l'éloignant ainsi de SON butin à elle ! Elle le plaque au sol, pose une patte sur lui pour le maintenir là. Elle rapproche sa gueule entrouverte vers son museau, un filet de bave mêlé au sang de la bête s'échappant de sa gueule, accompagné de son grondement qui ne la quitte plus.

« A quoi joues-tu, gamin ? Tu veux mourir, c'est ça ? Tu n'es pas tombé sur la bonne louve alors tu ferais mieux de décamper et rapidement. »

Afin d’amplifier sa menace, elle rapprocha d'un seul coup sa gueule du museau du gamin pour y faire claquer sa mâchoire de façon menaçante. Depuis quand un gamin fait la loi ? Jusqu'à quand ce maudit louveteau va-t-il l'agacer de par sa présence ? Le fait qu'il ne parle pas n'arrange rien car, impossible de savoir ce qu'il veut réellement. Enfin … A quoi bon savoir ce qu'il veut, elle n'en a que faire, il en a après le chevreuil et rien de plus. Merdeux … Pauvre petit chiot abandonné … Elle devrait le jeter en pâture aux molosses des Hommes ou le balancer à sa sœur tiens ! Leikn adorait probablement récupérer cet avorton et peut-être ne sera-t-elle plus en colère contre elle à cause de son abruti de môme revenu d'entre les morts ! Enfin, même la mort n'a pas voulu de lui.

D'un coup sec, elle retire sa patte du poitrail du louveteau, cherchant à lui couper la respiration sur le coup et, finit par retourner auprès de sa proie pour la saisir par la gorge afin de la tirer pour s'éloigner de nouveau de ce merdeux, en espérant qu'il en a eu suffisamment.
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