Force : 105 Agilité : 105 Endurance : 100

Il était plus que temps de reprendre la chasse. Certes, Tybalt était un excellent chasseur et mettait la main à la patte et Helya faisait des efforts considérables mais j'avais toujours été le chasseur le plus efficace de la meute et je ne comptais pas changer cela malgré tout les derniers évènements. Honnêtement, la chasse était mon premier amour et cela me détendais complètement. Lorsque je chasse, je me vide l'esprit et me focalise sur ma besogne et croyez moi qu'avec toutes les merdes qui nous tombent dessus ces derniers temps, cela fait vraiment du bien. C'est donc dans l'optique d'une petite chasse nocturne que je quittai les ruines de la chapelle et prit la direction de la dune de sable.

Dés

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#1 'Dé de chasse' : 1

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#2 'Dé de chasse' : 10

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#3 'Dé de chasse' : 6

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#4 'Dé de chasse' : 7

Force : 105 Agilité : 105 Endurance : 100
1+8=9

Je galope sur ce sable si doux qu'il en presque soyeux. Je galope en savourant le contact si agréable du vent d'automne sur mon pelage de jais plus noir que la nuit dans laquelle je me fonds actuellement. Je savoure cette brise automnale avec un plaisir non dissimulé avant de tendre le cou pour humer les effluves de cette vaste étendue sableuse. Une odeur de rongeur atteint mon museau et se répand en son sein comme une vague venant s'écraser sur un récif.
Je bifurque en direction de ma proie et continue ma course, remontant inlassablement la piste de l'herbivore. J'arrive près du cours d'eau qui traverse le territoire et repère bien vite le lapin qui prend de facto la fuite de ses petites pattes fragiles. Je me contente d'accélerer la cadence et après une poignée de secondes la masse puissante du prédateur s'abat sur le rongeur qui sait déjà que sa vie touche à son terme. Mes crocs s'enfoncent profondément dans la nuque de ma victime dont le cou se brise suite à mon mouvement de la mâchoire. Je cache ma prise sous un tas de sable avant de me remettre en chasse. La nuit est longue et j'ai tout mon temps devant moi.

Force : 105 Agilité : 105 Endurance : 100
10+8=18

Je lève de nouveau le museau à la recherche d'une proie mais ce n'est pas une odeur qui cette fois me pousse dans une direction plutôt qu'une autre mais un bruit. Un son reconnaissable entre mille pour les créatures comme moi, les prédateurs. Un prédateur sait parfaitement en reconnaître un autre. Et ce claquement de mâchoire est bien trop puissant et sonore pour être celui d'un de mes congénères. Non, ce claquement de mâchoire ne peut qu'appartenir à un reptile, un gros reptile. Je bifurque vers le cours d'eau bordant la dune et ralentis l'allure. La prudence est de mise face à un prédateur aussi redoutable. Je trotte donc les sens aux aguets et les muscles bandés jusqu'au bord du mince cours d'eau qui constituait notre réserve du liquide azur et le remonte jusqu'à tomber sur la vision d'un alligator en train de dévorer un chien sauvage. Merci, de faire le sale boulot à ma place gros machin. Je m'élance à toute allure et une fois à quelques pas du reptile, je bondis sur son dos rocailleux et le laboure de mes griffes. Il faut que je trouve un endroit non protégé mais avant je dois le faire bouger car dans l'eau je suis vulnérable. Après, tout il s'agit de son élément pas du mien alors avant que l'animal ne tende le cou pour tenter de me broyer entre ses dents plus longues que les pattes d'un louveteau. Je regagne le sol et plante mes crocs dans sa proie puis je la tire en arrière. Je la tire le plus loin possible de mon adversaire qui quitte l'eau pour me rattraper. Un chien si savoureux, mettez vous à sa place. Je connais mon territoire comme si j'y étais né alors je décide de me faciliter grandement la tache et balance la dépouille du chien juste derrière une zone de sable mouvant. Puis, je m'éloigne de l'alligator et observe. Ce dernier se jette sur la carcasse et s'enfonce lentement mes surement dans les sables mouvants, je m'élance et m'arrêtant juste au bord de la zone piège. Je plante mes crocs sous la gorge du reptile alors que celui ci se débat furieusement pour sauver sa peau. Ici, la chair est fragile et tendre et j'arrache la peau à l'issue d'une série de coups de crocs d'une violence et d'une précision inouïe. Puis, une fois que la vie a quitté l'alligator, je le tire de toutes mes forces vers le bord. Cela me prend une bonne heure et je manque de finir comme lui à deux reprises mais je finis par y arriver. Je traine ensuite ma prise jusqu'au garde manger de la meute.

Force : 105 Agilité : 105 Endurance : 100
6+8=14

Une fois l'alligator à sa place dans le garde manger de la meute à l'abri des murs de la chapelle, je reviens sur mes pas et décide de ne pas me fouler et de faire d'une pierre deux coups alors je me contente d'enfourner la carcasse du chien sauvage que ce reptile a eu l'amabilité d'abattre pour moi avant de le ramener à coté de ma prise précédente.

7+8=15

Une fois l'alligator et sa victime dans un coin du garde manger au sein des murs Navniks, je reviens sur mes pas et me poste au sommet de la dune. Je traque la moindre effluve de proie passant sous mon museau. J'ai sincèrement l'embarras du choix alors je prends mon temps pour choisir quelle sera ma prochaine victime. Une odeur se démarque bien vite des autres. Une odeur à peine différente de celle de ma première prise de la nuit. Je gage qu'il s'agit d'un lièvre bien dodu. Certes plus rapide qu'un pauvre lapin mais pas assez pour m'échapper. Alors, je dévale le sommet de la dune à toute allure et remonte ma piste au galop. Une fois le lièvre en vue, je double la cadence déjà rapide. De sorte que lorsque le lièvre s'élance je suis déjà sur lui et après un coup de patte et un coup de croc briseur de nuque, ma prise finit dans ma gueule. Je ramène le lapin et le lièvre jusqu'à la chapelle avant de m'installer près des miens. Me blottissant contre ma famille tandis que je m'endors doucement.

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#1 'Dé de chasse' : 5

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#2 'Dé de chasse' : 8

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#3 'Dé de chasse' : 2

Force : 105 Agilité : 105 Endurance : 100
5+8=13

Je ne me réveille que bien plus tard que d'habitude mais il n'y a eu aucun incident pendant la nuit. J'entends par là aucun pillage ou tentative de pillage. De toute manière, Tybalt veille au grain et j'ai le sommeil léger. Une chance que mon ami brun soit atteint d'insomnies sévères. Enfin, bon je n'ai pas eu à me lever précipitamment pour démolir un intrus et cela est reposant. Je constate que la plupart des loups et des louves de la meute sont réveillés. Je me lève prestement avant de faire ma toilette. Un salut amical vers mon frère puis je quitte la chapelle d'un pas assuré. Je repère une sentinelle au loin et décide de patrouiller à ses cotés en cette fin de matinée. Puis, je prends congé de mon frère de meute et m'élance en direction de la dune de sable. Je repère bien vite un aigle en train de fondre sur un petit rongeur, surement un petit mulot. Le piaf ne semble pas faire attention à moi alors je double la cadence et bondis au moment même ou il attrape le mulot entre ses serres. Ma masse s'abat brutalement sur le rapace. Une fois cloué au sol, il se mets à pousser des cris stridents alors je lui arrache une aile de mes crocs. Puis, je plante mes griffes le plus profondément possible dans sa gorge. Je les remue dans la gorge du volatile et la vie le quitte dans une agonie sanglante. Cette chasse pouvait recéler une leçon. Mais laquelle, telle est la question.

8+8+16
Une fois l'aigle déposé à sa juste place, je repars vers la dune au trot admirant le territoire sous toutes ses coutures. Ce coin du monde est un paradis. Un paradis bientôt souillé par la folie. Non pas celle des hommes mais celle de mes semblables cette fois. Qu'importe, s'ils ont besoin de venir vérifier que défier le châtiment est de la stupidité pure et simple et bien soit. Comme je me plais à le dire, j'aime vivre en adéquation avec mon nom de lune qui est comme une seconde peau pour moi. Je ne donne aux gens que ce qu'il mérite. Sois bon et je le serais envers toi et inversement sois mauvais et tu n'auras que ta juste rétribution. Mais, assez penser à l'avenir sanglant qui nous attend. J'ai une chasse à terminer. Une fois dans la dune, je repère des traces de cervidé. Je remonte la piste au pas. J'arrive bien vite devant une biche apeurée que je prend rapidement en chasse. A l'issue d'une course poursuite acharnée sur cette étendue sableuse, je rattrape ma proie. Je me porte à sa hauteur et la percute violemment par le flanc. La biche se brise une patte en tombant. Je bondis et lui ôte la vie d'un coup de croc. Je mange une partie de ma prise afin de diminuer le poids de transport de la carcasse et accessoirement me remplir le bide puis je traine la carcasse jusqu'au garde manger.

2+8=10
Je prends la direction du cours d'eau d'un pas nonchalant et m'y abreuve longuement avant de m'assoir devant le petit fleuve. Que faire maintenant certes, je suis ici pour chasser mais je décide de pécher plutôt que chasser. Cela me permettra d'entretenir mon agilité. Je m'approche de la berge et plante ma patte dans l'eau douce et tiède malgré le changement de saison. Je remue la patte ca et là. Mon visage est juste à quelques centimètres de l'eau. Un poisson vient frôler ma patte alors je la remonte petit à petit. Une fois arrivé au moment opportun, je retire ma patte de l'eau et plonge ma tète. Mes crocs trouvent finalement le corps écailleux et se plante dans le flanc du poisson.

Dés

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#1 'Dé de chasse' : 1

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#2 'Dé de chasse' : 4

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#3 'Dé de chasse' : 9

Force : 105 Agilité : 105 Endurance : 100
1+8=9

Je suis de retour sur ce sable doux et agréable aux coussinets après un rapide aller retour. Je pointe le museau vers le sol et tente de repérer la piste de ma prochaine proie. Mais, fait rarissime je n'ai pour une fois pas besoin de traquer une odeur ou remonter une piste puisque le rongeur déboule à toute allure dans ma direction. En me voyant, le lapin bifurque vers l'est. Mais, je m'élance à sa poursuite sur mes pattes puissantes et après une brève course poursuite, je bondis sur le rongeur dont le cou se brise telle une brindille sous l'impact. Je plante mes crocs dans la chair tendre et savoureuse et emmène ma prise jusqu'au coin ou j'ai l'habitude d'enterrer mes prises avant de me remettre en chasse.

4+8=12
Je ralentis bien vite ma course car une odeur vient de m'interpeller. Il s'agit d'une odeur de volatile. Je bifurque vers cette odeur alléchante et arrive finalement devant un faisan de belle taille. Le piaf pousse un cri affolé avant de tenter de prendre la tangente mais en un éclair ma masse noire s'abat sur lui et après une série de coups de griffes précis et agiles. La vie quitte ma proie que j'emmène jusqu'à a cachette ensablée. J'enterre le volatile avec le lapin avant de m'assoir pour me reposer quelques secondes.

9+8=17
Une fois de nouveau frais et dispo, je bondis sur mes pattes et m'élance au trot. Je lève le museau vers le ciel profitant d'une mince brise de vent pour repérer la piste du rongeur que le rapace avait tenté d'abattre tout à l'heure. Comment, je le sais ? C'est simple, les serres du prédateur avaient blessé le rongeur. Je traque ma proie grâce au sang qu'il perd. Une fois que j'ai remonté sa piste, je m'élance et rattrape l'animal en quelques foulées. Ce mulot n'a même pas la force de me fuir. Je lui rends service en l'abattant rapidement et proprement car j'abrège son agonie et lui épargne une vie courte et brutale. Je ramène ma prise au garde manger avant de revenir chercher mes autres prises.

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#1 'Dé de chasse' : 1

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#2 'Dé de chasse' : 11

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#3 'Dé de chasse' : 8

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