Prés des côtes, là ou la mer et la terre se séparaient, un loup gris marchait. D'un pas décidé, malgré sa santé affaiblit, il alla vers la plage. L'air marin et le vent lui vint, lui rappelant de nombreux souvenirs. Lorsqu il toucha les granulée clairs encore chaud, des rires résonnèrent. Sa mère et sa soeur se matérialisèrent sous ses yeux, chacune d'un coté. ''Allez quoi ! j'ai le droit de constater par moi même qui est le plus rapides de nous trois! Kiriac j'ai raison non?'' Lui demanda sa soeur qui semblait si réel, mais avant qu'il ne put répondre, il tourna la tête vers leur mère qui leur dit: ''Bon, vous l'aurez cherché !Mes enfants , vous allez voir que je suis encore respectable !'' Lança leur mère sur un ton joyeux, puis elle commença a courir, tout comme sa soeur. Kiriac, prit d'un élan de bonheur, sourit et les rejoignit. Ils coururent alors, ensembles, comme avant, se dirigeant droit vers la mer. A grandes foulées, le loup gris dépassa d'abords sa soeur puis sa mère, ne faisant plus attention à ce qui l'entourait. Le soleil commençait à descendre et l'air à devenir plus frais. Lorsque Kiriac toucha l'eau salée avec ses pattes, il se retourna et regarda , fier, sa famille le rejoindre. Quand elles se stoppèrent, sa soeur dit alors : ''Tu as pas changé toi, tu es toujours premier! ''puis leur mère ajouta: ''Vouloir être un alpha, c'est aussi vouloir être le premier..je te félicite mon fils''. Le coeur de Kiriac se serra, ses yeux commencèrent à se gorgée d'eau, puis le corbeau arriva au loin. Il passa à travers le corps de sa famille qui disparurent instantanément en s'illuminant d'une couleur dorée, tandis que le volatile croassa et se posa sur son épaule.

-Je..je

Il ne sut finir sa phrase, trop submergé par l'émotion. Il avait si mal à cet instant, il avait envie pleurer mais se retint. Il hurla alors son chagrin d'une voie puissante , qui résonna au loin. Quand il eut finit, le bruit des flots, des vagues sur le sable le remplacèrent. Le corbeau, toujours là, finit par s'envoler et disparaître à l'horizon, comme si il n'était jamais venu. Se sentant si seul a cet instant, si dépourvut d'espoir qu'il chantonna doucement un mélodie de sa mère lui avait apprise.

-Merveilleux soleil, flamme d'amour universelle, toi qui hier éclairé mon coeur...

Puis il s'enfonça doucement dans les eaux salée et froides, faisant face au dernier rayon de soleil qui allaient disparaître, engloutit par la mer.

-Merveilleux soleil, pourquoi, m'ai tu infidèle, tu m'as laissé là dans le froids, horriblement seul..

Puis le soleil disparut, et le ciel comme la terre et la mer s'obscurcirent ensembles. Les eaux claire se teintèrent d'une couleur abyssale, le paysage perdit ses couleurs. Il se retourna finalement, mais la voie de sa mère résonna une dernière fois: ''Je suis fier de toi..'' . Alors, soudain, la flamme de la volonté revint, s'attisa et brûla en lui.

-Je vous décevrez pas !

Dit il tout haut, plein de volonté. Oui il voulait leur prouver qu'il y arriverait et qu'il pouvait se faire pardonner d'avoir été le seul survivant. il devait porter ce fardeau seul et avec force. Oui, cette tragédie ne sera pas veine.

Lancé de dès !

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'Dé de chasse' : 6

Alors qu'il rebroussait chemin , tapis dans l'obscurité, un lapin détalla. Prit au dépourvut et par réflexe, Kiriac se mit le poursuivre. Bien qu'il est pas bénéficié de l'effet de surprise, peut être allait il le rattraper. Déjà essoufflé de sa précédente course, il haletait déjà. Ses pattes s'enfonçaient profondément dans le sol, tandis que le lapin semblait glisser sur le sable tellement il allait vite. Borné, le loup gris continua, même si il se doutait de l'issu de cette chasse. Ses membres s'affaiblirent, sa force diminua et sa vitesse ralentit. Le lapin semblait l'amener vers de gros rocher qui se tenaient au pied d'une falaise. Sûrement ils avaient finit par tomber de la haut. Forçant sur ses dernières forces, tirant la langue, il continua encore. Comme pour le narguer, le lapin s'était même arrêté quelques instants pour se gratter l'oreille, comme si de rien, puis le regarda quelques instant. Oui, vu la distance, il ne craignait presque plus rien. Kiriac s’arrêta un instant, à bout de force. Oui, il était malchanceux d'avoir été entraîné dans ce sable qui enterrait ses pattes. Etant léger, la lapin n'avait pas ce soucis. Si Kiriac aurait été un loup plus mince et svelte, il aurait peut être pas eu tout ces problèmes. Mais étant large et grand du a son sang d'alpha, il n'obtenait pas de bonus dans ce genre de terrain, loin de là. Puis d'un dernier élan, y croyant peu, il se jeta vers sa proie, qui détalla à vive allure, se cachant dans un terrier, creusé sous le rocher.

-Comme ça je t'aurais jamais

Conclut enfin Kiriac, cessant de regarder son repas perdu. Il s'allongea donc, essoufflé et à bout de souffle. Ses membres tremblèrent un peu et l'air frais lui fit du bien. L'obscurité était maintenant bien présent, posant son voile sombre sur tout le paysage. Peut à peu, les yeux de Kiriac s’habituèrent à la nuit, tandis que les étoiles apparaissaient .

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'Dé de chasse' : 5

Le loup gris resta là, pensif, tandis que sa fatigue diminuait. Le sable se refroidit sous son corps et l'air humide déjà présent s'intensifia. La nuit commençait, et les grillons au loin, cachaient dans les hautes herbes sèches, chantaient. Le vent fouettait doucement la végétation et le sables. Les grains roulaient doucement tout autour du loup, la lune sortit de sa cachette. Elle apparut au sommet de la falaise, éclairant les environs. Elle était pleine et lumineuse et pour une fois pas caché par les nuages. Kiriac regardait le ciel étoilé, réfléchissant à tout et à rien. La fièvre commença à s'emparer de lui, l'obligeant à rester ici pour le moment. Il se gratta le museau avec sa patte puis posa sa son regards vers la rocher. Le lapin, comme sûr de lui, sortit de son terrier. Il regarda à peine le loup et alla vers les herbes séches, non loin. Guidé par sa faim, Kiriac se souleva, péniblement, sous la douleur que lui offrait sa fièvre. Doucement, il s'avança vers sa proie, essayant de capter le moindre mouvement. Mais à peine il parcourut quelques mètres, découvert, le lapin fuit. Kiriac, plein d'espoir, tenaillé par la faim, bondit en avant. Quand ses pattes touchèrent le sol, l'impact sembla résonner dans tout son être, provoquant une horrible douleur à la téte. Il s'écroula ou sol, grognant de douleur. ''Que m'arrive t il? pourquoi j'ai si mal?''. Il se releva un peu, juste pour pouvoir s'allonger. Il posa sa tête entre ses deux pattes, espérant que sa souffrance disparaîtrait bientôt.

lancé de dès !

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'Dé de chasse' : 7

Les temps s'écoulait doucement, tandis que la lune s'installer au dessus de la mer. Très lumineuse, elle dessinait sur l'eau salée devenu noire un chemin blanc. Kiriac admira ce tracé les yeux mis clos. Sa fiévre persistait, et la chaleur que cela engendré était infernale. prenant son courage à deux pattes, il se leva a nouveau et se dirigea vers la mer. D'un pas lent, il y alla puis il s'arreta au bord, là ou ses pattes s'engoufrérent dans le sable humide. D'un coté, il voulait se tremper le corps tout entier pour attenuer ce brasier qui rongeait son corps mais de l'autre, il le savait, il risquait d'avoir très froids et d'être encore plus malade. Il tenta quand même et s'enfonça dans l'eau jusqu'au épaule. Cela lui fit un bien immense et immédiat, mais son corps tremblait déjà. Il resta tout de même un moment, les yeux fermés, mais quelque chose brisa le calme. Tout d'abords, i entendit un ''plouf'' dans l'eau puis des poissons vinrent lui apper les pattes. Sous la surprise, il eut un mouvement de recule puis il s'immobilisa à nouveau.

-Je devrais savoir que dans l'eau il y a des poissons

Se moqua t il contre lui même. Il regarda alors la masse sombre de l'eau, à peine perturbé par quelques vagues, donnant une bonne vision malgré la nuit. Il se concentra un moment, puis vit les poissons passer ça et là entre ses pattes, ne faisant pas attention à lui. Kiriac saliva à l'idée de serrer sa machoire sur l'un d'entre eux et d'un mouvement rapide, il plongea là téte. Quand il refis surface, il se secoua le corps, ayant sentit le froids sur tout son crane qui maintenant lui faisait encore plus mal. Non, il tenta pas à nouveau, trop épuisé et mal en point pour tenter quoi que ce soit. il se retourna donc vers le sable blanc et alla vers celui ci.

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'Dé de chasse' : 4

Fébrile, tenant à peine sur ses pattes, Kiriac avança. A nouveau sur le sable, il prit le temps de faire un pause. Il s'assit et regarda le sol, tandis que peu à peu la douleur disparaissait. Préférant rester ainsi , sans bouger, le temps que tout se calme en lui, il réfléchissait. ''Il faut que je mange...je suis malade, il faut....il faut que je reprenne des forces et que je dorme''. Avec un grand effort, il se mit à humer l'air. Des effluves marin lui apparurent, mêlé à l'humidité de ce territoire. Pendant un instant il crut percevoir un odeur alléchante mais elle disparut aussitôt. Ici il ne pouvait repérer de proie grâce au trace laissé ua sol car le vent recouvré tout sur son passage ne quelques minutes. Oui il n'avait presque aucun moyen de débusquer quoi que ce soit. Pour se rassurer de cette constatation, il se dit qu'il n'aurait pu attraper une proie vu son état actuel. Alors, il alla s'installer vers les herbes sèche , histoire qu'elles le cachent un peu, puis il s'allongea et sombra dans un profond sommeil. Dans ce rêve, il se retrouva dans une immense forêt mais plus rien n'avait de couleur. Tout était gris, et seul le corbeau qui le suivait semblait bel et bien noir. Il s'approcha du volatile et quand celui ci s'envola, il découvrit le cadavre de sa soeur et sa mére, tandis que la couleur rouge les recouvrait presque entièrement.
Il les regarda, touchant de son museau leur visage, comme un dernier adieu, puis il hurla.

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'Dé de chasse' : 2

Tandis qu'il hurlait sa peine, tout le paysage changea, tout redevint normal. Sa famille avait disparut, les arbres était d'un vert flamboyant et toute la forêt semblait animé. Il se tut et regarda le changement qui s'était opéré et son chagrin fut mi de coté. Il avança prudemment, ne connaissant pas cet endroit, à l’affût du moindre bruit suspect. Il parcourra un long chemin jusqu’à ce que soudain son ventre, vide, le rappela à l'ordre. Guidé par son instinct de chasseur, il renifla les alentour puis le sol. Il chercha un piste, des traces qui lui permettrait de détecter une proie. Prenant le temps qu'il fallait, il inspecta les chemins dégagé comme les buissons et les broussailles. Il vérifia même au pied des arbres, dans les enfoncement que dame nature avait modelé mais il ne trouva rien. Aucune odeur, aucune trace et mis à part les oiseaux qui volaient au dessus de lui, aucun signe de vie. Cela le surprit, dans un endroit pareil. Il continua alors ses recherches , fouillant les rochers, les pentes et les lits de feuilles. Mais un bruit lourd le stoppa net. Il se retourna et vit horrifié cinq chien de guerre.

-Et si on se faisait un loup aujourd'hui ?

Kiriac courut alors, comprenant qu'il allait être prit en chasse. Il détala à toute vitesse, oubliant de garder un bon rythme. Les arbres défilèrent autour de lui, la forêt devint plus sombre et inhospitalière. Il avait presque aucune chance face à eux, face à cinq. Mais l'instinct de survit, celui qui donne espoir, celui qui vous la force d'avancer était là. Il continua donc de courir, sachant le terrible destin qui l'attendait.

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'Dé de chasse' : 2

Dans une course qui semblait interminable, Kiriac luttait encore et encore. Il sentait ses forces disparaitres, les chiens se rapprocher, ainsi que leur aboiement incessant. La forêt qu'il parcourait disparut soudainement, laissant place à lap laine de cendre. Comme un retour vers ses origines, le bruit des explosion se firent entendre au loin. Il continua quand même, voulant donner aller jusqu'au bout de ses limites. Il laissa un traîné de cendre qui s'envolait en fumé derrière son passage, tandis que le vent la poussait plus loin. Ses coeur battait se vite que ça en était douloureux. Chaque battement, comme inspiration, lui brûlait l'intérieure du corps, comme un brasier attisé par chacun de ses efforts. Ne lui restant presque de force, il voulut quand même gravir la dune qui s’étendait devant lui, là ou il avait l'habitude de s’asseoir autrefois, prés d'un grand arbre. Ses membres commençaient par crispé sous la douleur de l'effort, tendis que sa gorge s'asséchait. Il gravit alors peu à peu, toujours poursuivit, grâce a sa volonté , celle de l'Aube. Il arriva enfin au sommet, exténué, mais fit volt face, voulant livrer un dernier combat, espérant en emporter un avec lui dans la mort. Les chiens l’entourèrent alors, le sourire se dessinant sur leur babine.

-Nous allons effacer l'erreur que nous avons fait autrefois....nous allons tuer le dernier Hurleur de l'Aube .

Les autres rigolaient, comme si c'était un jeux pour. Kiriac grognait, prêt à attaquer si l'un d'eux s'approcher. Mais le même chien lança:

-Tu te rappel comment ta soeur hurlait? tu te souviens comme ils pleuraient?

La haine s'empara du loup, qui grogna si fort qu'on entendait plus le vent. Ses crocs étaient apparent, et d'une pulsion meurtrière, il se jeta sur le chien qui avait dit toute ces atrocités. Il l’attrapa à la gorge puissamment, mais il rigolait toujours.

-Tu sais, les fantômes meurent pas, ils vous hantent

Kiriac eu un sentiment d'effroi, mais il ne lâcha pas prise. Les autres chiens lui sautèrent alors dessus, le mordant, lui arrachant la chair. Kiriac continua son étreinte ''mortel'' sur le coup du chien et dit:

-Je te je t'apprendrais à me craindre.

Le chien fut étonné, comme si il ne comprenait pas. Les autres continuaient de le dévorer vivant et soudain...Il se réveilla. Les yeux grand ouvert, le coeur palpitant, il serra les crocs. La fièvre semblait toujours là mais moindre, alors il se leva. Il grogna, la colère toujours en lui. Il décida alors de marchait le long de la plage, les pieds touchant parfois l'eau froide matinale. Pendant quelques heures, il déambula ainsi, réfléchissant à ce cauchemars. Puis il secoua sa tête et se dit qu'il n'allait pas se contrarier pour ça. Il avait toujours faim et depuis qu'il marchait, il n'avait rien sentit et rien vu.

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'Dé de chasse' : 4

Kiriac s'était approché d'un amas de grosses pierres qui semblait barrer une partie de la plage, s'étalant jusque dans l'eau qui la fouettait de ses vagues. trottinant, il s’arrêta à quelques mêtres et commença a renifler les alentours , ne sentant que les coquillages vident . Il grimpa alors sur quelques rochers, allant dans les moindres recoins . Oui, pour qu'il soit en forme, pour qu'il continue à vivre , il fallait qu'il mange. Mais le destin semblait être contre lui depuis quelques jours. Il n'arrivait pas à trouver quoi que ce soit ici non plus, comme un combat perdu d'avance. Mais il persista, espérant trouver un crabes. Rien, que des algues, des chapeaux chinois collé fermement sur les roches. Il n'avait jamais goutté ces choses mais vu leur taille, cela semblait peine perdus pour se remplir l'estomac. Il continua vers la mer, toujours hors d'atteinte de l'eau salée. Il devait faire attention à présent, les parois glissé à cause de l'humidité et des creux contenant de l'eau. Il sauta d'un rocher à l'autre avec agilité, même si lorsqu'il retombait sur ses pattes, il semblait pas aussi sûr. Tremblant légèrement, Kiriac essayait d'éviter de les faire forcer. Il avança encore, jusqu’à se trouver au bout. La mer s’étendait devant lui, tandis que ses vagues puissantes s’écrasaient sur la pierre. Il resta là un instant puis rebroussa chemin. Mais lorsqu'il sauta sur un rocher, le corbeau, sortit de nul part, fonça vers lui. Il eut un mouvement de recule qui le fit glisser et il tomba dans l'eau. Pendant quelques secondes, il fut sous l'eau, comme inconscient. La sensation d'être entièrement submergé , ballotté par les flots était si soporifique. Mais il ouvrit les yeux, malgré que le sel lui brûlait. Il nagea en provoquant des des mouvement puissant, l'air lui manquant. Il réussit enfin à sortir la tête de l'eau, reprenant un peu d'air. Mais il ne pouvait s’attarder, car déjà les vagues voulaient e pousser contre les rochers, ce qui pourrait le tuer. Il nagea alors, usant encore de ses forces. Il se propulsa avec ses pattes rapidement, essayant de garder son souffle. Ses pattes semblaient par moment ne plus répondre par l’épuisement, mais il insista et réussit enfin à se dégager à une distance raisonnable. Il continua alors vers la plage, ayant l'impression qu'il avançait lentement; ce qui était le cas. Après quelques minutes interminables, il s’effondra sur la plage épuisé.

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'Dé de chasse' : 11

Il resta là, impuissant. Si un loup ou un quelconque ennemis passait par ici il aurait vite fait de le tuer. Kiriac espéra que la chance lui sourit une nouvelle fois. Il s'assoupit alors quelques heures puis ré ouvrit les yeux. Il bailla et s'étira allongé sur le sable. I semblait qu'il ait reprit un peu de ses forces. Il soupira de façon optimiste. Il se leva , ressentant encore de la douleur sur tout son corps. ''Je ferais avec'' se dit il, puis il regarda autour de lui. Le soleil semblait être haut dans le ciel, et il faisait une chaleur agréable. Un mouvement au loin lui donna l'eau à la bouche. Il s'immobilisa et regarda attentivement: ''Ce toufu lapin..le même''. ll reconnut sa proie d'hier. Il s'était avancé dangereusement vers la mer, bien loin de son terrier. Il s'enfonça dans les rochers ou Kiriac avait fait un chute et disparut.

-Toi, je vais t'avoir !

Il courut alors vers les masses rocheuses et s'enfonça dans les creux qu'ils offraient. Le lapin le vit et passa entre les parois, allant de plus ne plus vers la mer. Kiriac le suivit en hauteur, essayant de le débusquer en entrant dans les crevasses, mais le lapin fin et agile, avait vite fait de partir plus loin. Ils continuèrent ce petit jeux un moment, Kiriac le lâchant pas du regards. Puis ce fut le moment fatidique. Ils étaient tout les deux arrivé au bout. Kiriac, accroupit pour pouvoir passer dans les renforcement, faisant face à sa proie. Il n'avait aucun échappatoire à présent, et kiriac s'imaginait déjà le manger. Mais malheureusement pour lui, sa proie fit un bon dans la mer.

-Oh non !

Kiriac plongea alors pour la deuxième fois vers la mer. Il suivit alors le lapin qui avait peine avec ses courtes pattes de nager. Kiriac finit assez rapidement par l rattraper et quand il fut à sa hauteur, il l'attrapa, enfonçant ses crocs dans sa chair. Le lapin périt vite, mais maintenant Kiriac était dans une posture inconvenante. Il manquait de force et de plus il avait beaucoup de mal à respirer en tenant la bête dans sa mâchoire. Il décida de revenir en nageant tranquillement. Il arriva alors à la plonge et s'étala pour la deuxième fois sur le sol, lâchant le lapin. Il reprit sa respiration puis mangea goulûment sa proie salée. Cela ne le gênât pas vu sa faim. Il resta alors là le temps de digérer puis partit, voulant se reposer ailleurs. Rester trop longtemps dans un même endroit est dangereux.

THE END

[ENFIN! XD]