Force : 100 Agilité : 100 Endurance : 100

Depuis combien de temps n'avais je pas chassé. Je l'ignore complètement. Avec tous les derniers évènements ayant frappé la meute. Je n'avais pas la tète à chasser et puis entrainer une apprentie est un travail à plein temps assez exigeant. Enfin, à mes yeux tout du moins, je ne doutais pas une seconde que des mentors foireux existaient. On trouve de tout et n'importe quoi en ce bas monde. Toujours est il qu'il était temps que je me remette en chasse. C'est la raison pour laquelle, je pris la direction de la forêt charbonneuse à l'aube de cette nouvelle journée. Chasser sur les terres Navniks ne me procurais plus le plaisir grisant d'autrefois. Voilà, ce qui arrive quand on connaît le moindre centimètres carré de ses terres. Enfin, bref une simple envie de dépaysement diras t'on. J'arrive à l'orée de la forêt charbonneuse une dizaine de minutes après mon départ. Il faut dire que j'ai galopé à toute allure. Cette course m'a à peine fatigué. Mais, elle a eu le mérite d'échauffer mes muscles qui n'allaient pas manquer d'être solliciter en cette journée chasseresse. Je m'avance lentement au milieu de ces bois lugubres pour lesquels je ressens une affection particulière. Des hommes pendus aux arbres. Que demander de plus ? Je vous le demande. Je lève le museau vers le ciel afin de capter l'odeur de ma première proie de la journée.

Dé

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'Dé de chasse' : 10

Force : 100 Agilité : 100 Endurance : 100
Résultat : 10+8=18 Réussie

Une effluve si familière et pourtant presque devenue étrangère à mon museau le frappe de plein fouet et ramène en moi l'appétit de la traque. Je laisse le fumet s'insinuer dans mon museau et mettre mon sens olfactif à l'épreuve. J'analyse cette effluve si appétissante en quelques secondes. Ce lapin sera un bon commencement. Je pose mon museau sur le sol terreux de la forêt et entame la traque du petit rongeur. Je me contente de trotter car si je déboulais au galop. Les vibrations du sol lui indiquerait la présence d'un prédateur. J'arrive finalement devant un tronc d'arbre déraciné. L'odeur est ici très marquée. Nul doute que mon ami se cache dans les parages. Je me poste en silence devant le trou du tronc d'arbre. Afin de couper la sortie de ma proie. Je m'abaisse et entreprends de jeter un coup d'œil. L'herbivore se trouve bien à l'intérieur. Mais, refuse visiblement de sortir. Je feinte donc mon départ par toute une série de bruits de courses et de feuillages effleurant mon pelage avant de bondir sur le tronc. J'attends patiemment ainsi une bonne dizaine de minutes avant que le lapin ne sorte de son trou. Je bondis et atterris sur le lapin. Dont la colonne vertébrale se brise sous le choc de l'impact. J'achève l'animal d'un coup de croc avant de le déposer dans le tronc que je recouvre de feuillages et de branches mortes avant de me remettre en chasse.

Dés

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#1 'Dé de chasse' : 2

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#2 'Dé de chasse' : 3

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#3 'Dé de chasse' : 10

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#4 'Dé de chasse' : 3

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#5 'Dé de chasse' : 9

Force : 100 Agilité : 100 Endurance : 100
Résultat : 2+8=10 Réussie

Je marche quelques pas autour de ma réserve de fortune et tombe rapidement sur des traces de renard. Il va de soi que ce maigre prédateur n'en a plus pour longtemps. Hors de question que je prenne le risque de laisser mes prises exposés aux crocs d'un voleur pareil. Et, puis la chair de renard n'est pas si mauvaise que cela. Je traque le prédateur au galop à travers les bois. Bondissant ca et là, esquivant branches et obstacles se dressant le long du chemin entre ma proie et mes crocs. J'arrive quelques instants plus tard dans une sorte de clairière. Il faut croire que même les bois macabres ont des clairières agréables. Je ne mets que quelques instants pour capter l'odeur du renard. Je tourne la gueule dans sa direction et aperçois le roux sur un tronc renversé en piteux état. Je m'élance à son encontre. Le renard bondit de son promontoire. Je percute ma cible de toutes mes forces ce qui l'envoie valdinguer contre le tronc. Un craquement sonore m'indique que le prédateur roussâtre vient de se briser une patte. Un sourire mauvais étire mes babines alors que j'esquive facilement sa riposte venue sous la forme d'une série de coups de pattes. Cette riposte vaine a au moins le mérite de le déséquilibrer. Le renard trébuche exposant ainsi son flanc à mes crocs acérés. Je plante mes crocs dans son flanc et arrache violement la chair. Le sang s'écoule abondamment et je m'écarte légèrement pour voir la vie quitter le renard. Je décide finalement de mettre fin à son calvaire et traine ma prise dans la réserve à coté du lapin.

Force : 100 Agilité : 100 Endurance : 100
Résultat : 3+8=11 Réussie

Une fois ma besogne achevée et mes prises à l'abri. Je m'assois devant ma réserve et prends le temps de souffler tout en profitant du silence apaisant des lieux. Mais, des croassements viennent bien vite gâcher ce tableau idyllique. Je pousse  un soupir d'agacement avant de tendre l'oreille afin de localiser ses maudits piafs. Toujours en train de vous emmerder. A croire que c'est là, la caractéristique première des volatiles. Leur propension sans égale à faire chier le monde. Je m'approche le plus discrètement possible de la source des piaillements et tombe sur un corbeau en train de picorer dans les restes d'une vieille carcasse. Je m'élance sans réfléchir et bondit au moment ou l'oiseau bat des ailes pour prendre son envol. Non, mon vieux, il est hors de question que tu m'échappes. Je tends la patte vers l'oiseau. Le coup de patte fait tomber le corbeau. J'atterris à quelques pas de lui. Je me retourne instantanément et constate que son aile gauche s'est brisée dans la chute. Je m'avance lentement vers ma proie et lui broie le cou d'un mouvement de patte. Puis, je l'enfourne dans ma gueule et l'emmène auprès du reste de mes prises.

Force : 100 Agilité : 100 Endurance : 100
Résultat : 10+8=18 Réussie

Une fois le maudit piaf avec le reste de mes prises je décide de reposer mes muscles bien mis à contribution en cette matinée d'automne. Et, je bondis sur une vieille souche sur laquelle je m'installe le plus confortablement possible. Une fois cela fait, je pose ma tète sur mes pattes avant et laisse mes paupières se fermer. Je tombe rapidement dans les bras de Morphée mais le sommeil n'est pas de tout repos. Je fais un drôle de rêve dans lequel je vois une louve au pelage fauve et aux yeux aussi verts que des émeraudes me parler dans une langue inconnue. Cette langue est vraiment mélodieuse et je me dis que c'est la plus belle chose que j'ai jamais entendu. Peu à peu, je comprends le sens de ses paroles. Mais, un réveil brutal me tire de mon rêve. Qu'est ce qui m'a réveillé ? La pluie s'est mise à tomber. Je lève les yeux vers le ciel et tente de me remémorer le sens du discours de la louve de mon rêve mais n'y parviens pas. Je vais donc m'abriter sous un amas de feuillage entremêlés. Sous ce toit végétal, l'averse est beaucoup moins violente. Je m'ébroue avant de m'assoir au couvert des arbres. Attendant patiemment la fin de l'averse. Une demi heure plus tard, la pluie cesse et je renifle afin de reprendre la chasse. Je capte rapidement l'odeur d'un rongeur. A vue de museau, je dirais qu'il s'agit d'une belette. Je m'élance dans sa direction au galop. Tant pis pour la discrétion, j'ai déjà perdu assez de temps comme cela. J'arrive rapidement jusqu'à ma proie qui ne semble pas avoir remarqué ma présence. Je me camoufle dans un buisson touffu et observe le petit mammifère se dandiner sur ses petites pattes. Attendant le moment opportun pour bondir sur la belette. Ma proie se retourne et j'émerge de ma cachette d'un bond agile. Je lance un coup de patte vers ma proie qui s'accroche à ma patte droite. J'approche alors ma patte de ma gueule et plante mes crocs dans sa carotide. Après un bref aller retour à ma réserve, je me remets en traque.

Résultat : 3+8=11 Réussie

J'arpente les bois lugubres en quête d'une proie plus consistante mais malgré mes efforts aucune effluve ne retient mon attention. Aucune trace d'un quelconque gibier dans les parages. Je stoppe ma course et m'arrête. Je m'assieds et observe les alentours. Depuis combien de temps n'étais je pas venu ici. Bien trop longtemps, j'imagine. Je prends le temps de repenser à cet étrange rêve que j'ai fait un peu plus tôt. C'était très étrange presque déstabilisant. La louve du rêve avait semblée voir au plus profond de mon âme de ses yeux d'un vert pur. Son discours ressemblait à une sorte d'appel. Un sifflement aigu me tire de mes pensées et je bondis sur mes pattes les crocs à découverts. Je me retourne et constate la présence d'un serpent à quelques pas de moi. Je m'approche prudemment de lui et pose violement ma patte sur sa tète, l'immobilisant ainsi. Puis, je plante mes crocs dans son corps visqueux et tire de toutes mes forces. Après, quelques secondes d'efforts la tète du reptile est séparée du corps. Je prends le serpent entre mes crocs et prends la direction du tronc creux.

Résultat : 9+8=17 Réussie

Je sens la fatigue commencer à monter en moi. Mes muscles commencent à me faire sentir qu'un peu de repos ne serait pas de refus. Mais, je ne peux pas partir avant une ultime chasse. Je n'y peux rien, j'ai pris l'habitude de toujours tout donner dans tout ce que je fais. Alors ce n'est pas aujourd'hui que je vais commencer à changer. Je lève le museau vers le ciel. Un mince filet de vent m'apporte toute une palette de senteur. Mais, une seule effluve attire mon attention. Il s'agit de celle d'un cervidé. J'ai l'impression de rêver. Mais, ce n'est pas le cas. Il y a bien une biche dans ces bois et vu l'odeur de sang que j'ai senti, elle ne doit pas être en très bon état. Je ne vais pas m'en plaindre. Cela va grandement me faciliter la tache. Je m'élance à toute allure dans la direction de ma proie. J'ai la bave aux lèvres tellement le fumet est apetissant. La discrétion est inutile dans le cas présent car peu importe que la biche fasse une tentative de fuite. La proie est blessée et donc aisément rattrapable. J'arrive à quelques mètres de la biche une dizaine de minutes plus tard. Je viens de traverser tout le bois mais cela en valait la peine. La biche prend la fuite dès qu'elle constate ma présence mais il est déjà trop tard pour elle. Elle court à une allure si réduite que je la rattraperais en quelques foulées. Je m'élance à sa poursuite et parviens rapidement à remonter à sa hauteur. Je bondis sur une souche et bondis de nouveau. J'atterris sur la croupe de la biche dans laquelle je plante fermement mes crocs. J'utilise mon poids pour la renverser sur le flanc avant de rouler sur le coté pour ne pas me faire écraser. Je m'élance et plante mes griffes dans la plaie ouverte de la biche sur son flanc avant de planter mes crocs dans sa gorge et de serrer le plus fort possible afin de l'étouffer. La vie quitte lentement l'animal. Une fois la biche morte, je me jette sur sa carcasse et en mange une bonne partie avant de la trainer jusqu'à la planque.

Dé

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#1 'Dé de chasse' : 7

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#2 'Dé de chasse' : 8

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#3 'Dé de chasse' : 10

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#4 'Dé de chasse' : 6

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#5 'Dé de chasse' : 4

Force : 100 Agilité : 100 Endurance : 100

7+8=15

Une nouvelle journée de chasse m'attends et je ne peux qu'espérer qu'elle soit fructueuse. Mais, je ne me fais pas de souci de ce coté là. Cette forêt ne m'a jamais déçu depuis mon arrivée sur ces terres. Même lorsque j'étais encore Sekmet. Elle est riche en proies en tout genre. J'imagine que les cadavres n'ont rien à voir avec cela mais je ne peux m'empêcher de me dire que ces cadavres devraient faire office d'avertissement pour les proies de mon espèce. Je veux dire il y a mieux que de trainer dans un lieu aussi macabre. Personnellement, je me dirais qu'il peut que se passer que des mauvaises choses dans ce coin. Mais fort heureusement pour moi, je ne pense pas que mes proies soient suffisamment intelligentes pour avoir ce genre de réflexions. Alors, j'entre pas à pas dans les bois sombres et silencieux avant de lever le museau en l'air afin de capter une odeur de proie. Une odeur puissante et marquée frappe mon museau avec force. Il s'agit d'une grosse proie. Je laisse l'effluve de l'animal pénétrer mon museau avec force. Je dirais qu'il s'agit d'un sanglier et qu'il n'est pas très éloigné de moi. Je m'élance au trot dans la direction de l'animal. Je fais attention à ne pas faire trop de bruit car il ne faudrait pas que je me fasse charger par un sanglier en colère. Ce n'est clairement pas le moment pour une blessure stupide. J'arrive au bout de quelques minutes à quelques pas de ma proie qui semble en train de manger des noix. Je bondis sur mes pattes et m'élance à toute allure. Je percute le sanglier brutalement ce qui le fait tomber à la renverse. Je plante mes crocs dans son ventre exposé à ma morsure. J'esquive de justesse un coup de défense bien placé. Cela me force à reculer et ma proie en profite pour tenter de prendre la fuite. Mais, nous savons tout les deux qu'il n'ira pas loin car il est blessé. Je m'élance à sa poursuite et le harcèle de mes crocs sur une bonne distance avant de le percuter au moment opportun. Le sanglier percute un tronc d'arbre déraciné et semble être étourdi par le choc. Je bondis et plante mes crocs dans sa nuque. Je déchiquette la chair comme un forcené et bien vite le sang se met à inonder le sol et mon pelage. Une belle proie pour les Navniks.

8+8=16
Une fois le sanglier ramené au garde manger de la meute, je reviens sur mes pas et retourne dans la forêt aux pendus. Je piste rapidement l'odeur d'un rongeur. Un lapin pour être plus précis. Je me mets en position du chasseur et remonte la piste de ma proie jusqu'à son terrier caché sous des maigres feuillages. Je souffle et la petite construction s'envole. C'était bien tenté le lapin mais rien ne peut tromper mon odorat de chasseur aguerri. Et certainement pas tes petits stratagèmes. Je me positionne à l'entrée du terrier, attendant patiemment que ma proie sorte le bout de son nez pour venir voir ce qui se passe. Ce qui ne tarde pas à arriver. Je plaque ma patte sur le crane du lapin qui se brise sous la violence de l'impact. Je brise ensuite le coup du petit herbivore afin d'abréger ses souffrances. Puis, je le cache dans un tronc déraciné. Je vais continuer ma chasse avant de ramener tout cela au garde manger.

10+8+18
Je lève le museau vers les cieux et laisse une fine brise de fin d'été m'apporter fraicheur et effluves appétissantes. Alors que je savoure le contact de l'air frais sur mon pelage noir de jais, une odeur se détache rapidement. Il s'agit d'un autre rongeur. Je renifle afin de déterminer sa position. Le mulot n'est qu'à quelques pas. J'ai presque envie de le remercier de me faciliter ainsi le travail. Je m'élance et après une brève course poursuite entre divers obstacle. Mes crocs se plantent dans ma proie. Je vais chercher le lapin et ramène ces deux rongeurs au garde manger de la meute.

Force : 100 Agilité : 100 Endurance : 100

6+8=14
Je suis de retour dans la forêt aux pendus quelques heures plus tard. Je n'ai pas pu résister à l'appel au jeu de Ghoul et Nyssa et ai pu profité de mes petits durant de longs moments que je considère comme inestimables. Mais, il est temps de se remettre au travail. Car, le garde manger ne va pas se remplir tout seul. Je prends le temps d'observer les lieux avant de me remettre en chasse. Des traces de pas m'interpelle, ce sont des petites traces. Il doit surement s'agir d'un rongeur. Je renifle l'emprunte afin de tenter de déterminer de quel animal il s'agit. La senteur musquée d'un lièvre s'offre à mon odorat et je m'élance à toute allure vers ma proie. Pas besoin d'être discret, le seul moyen d'attraper une telle proie est d'être plus rapide qu'elle. C'est ce que je compte être. Je galope de plus en plus vite tout en bondissant au dessus et en évitant divers obstacles se dressant sur mon chemin jusqu'à ma proie. J'arrive dans une clairière dans laquelle se trouve deux lièvres. Je prends en chasse l'un deux et parviens à revenir à son niveau assez facilement. Je bondis et ma patte atterris sur le rongeur désormais emprisonné. Je plante mes crocs dans sa gorge et lui brise le cou d'un mouvement sec. Je vais ensuite le cacher sous un tas de feuille avant de reprendre ma chasse.

4+8=12
Je décide de faire le tour des bois à la recherche d'une proie. J'arpente les lieux tout mes sens aux aguets et sens une odeur de volatile envahir mon museau. Je décide de remonter la piste de la volaille au trot. Et, arrive finalement jusqu'à une perdrix qui tente de détaler en se rendant compte qu'un prédateur se trouve à quelques mètres. Mais, je m'élance et bondis dans la foulée. Quelques secondes plus tard, la vie a quitté le volatile que j'enfourne entre mes crocs. Je vais récupérer mon autre prise avant de rentrer sur le territoire de la meute.

Dés

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#1 'Dé de chasse' : 3

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#2 'Dé de chasse' : 12

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#3 'Dé de chasse' : 6

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#4 'Dé de chasse' : 5

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#5 'Dé de chasse' : 1

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#6 'Dé de chasse' : 3

Force : 100 Agilité : 100 Endurance : 100

3+8=11
Je trotte jusqu'à la forêt aux pendus à une allure soutenue. J'aimerais autant pouvoir rentrer sur le territoire Navnik dans les heures qui suivent. La guerre approche et je n'aime pas m'éloigner de mes petits mais il le faut bien. Une fois dans les bois sombres et lugubres, je lève le museau en l'air et capte l'odeur d'un cerf. Je m'élance vers ma proie avec une impatience non dissimulée. Je remonte la piste du cervidé à toute allure. Je tombe bien vite sur le cerf boiteux qui semble perdre du sang d'une blessure à la patte. Un seul mot me vient à l'esprit et cela ne me dit rien qui vaille. Hommes ! Ils doivent être dans les environs. Je m'élance et percute la patte arrière valide du cerf ralenti par sa blessure handicapante. Sa patte se brise sous la violence de l'impact et le cerf ne tient plus debout. Il vacille quelques instants avant de s'effondrer lourdement sur le sol. Je bondis sur ma proie et plante mes crocs dans sa gorge. Je mets quelques minutes avant de trouver la jugulaire que je sectionne d'un coup de croc. Puis, je traine ma proie jusqu'au territoire Navnik.

12=Perte de la proie et fuite
Une fois la proie déposé au garde manger de la meute. Je reviens sur mes pas et pénètre sur mon terrain de chasse avec appréhension. Et si les bipèdes de tout à l'heure n'avaient pas quitté les lieux. Comment est ce que je pourrais chasser tranquillement si je dois rester sur mes gardes. Qu'importe, si jamais cela se passe mal je déguerpis à la quatrième vitesse. Je flaire rapidement la piste d'un faisan. Je remonte la piste au trot mais au moment ou j'arrive à proximité de ma proie un coup de feu claque dans l'air. La balle perfore le crane du faisan. Je bondis sur mes pattes et quitte la forêt à toute allure. Un autre coup de feu résonne à mes tympans mais je suis déjà loin.

UP