Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Quand la folie rencontre la prophétie. | P.V Noire
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Ven 18 Sep - 4:14
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‘’ Quand la folie rencontre la prophétie ‘’
♣ Les feuilles commençaient à radicalement tomber, ce qui provoquait un bruit dérangeant à la longue. Tu essayais tant bien que mal de ne pas t’y attarder mais dieu seul sait à quel point tu as une limite facile à franchir. Le meilleur exemple est ce matin, ou guettant un lièvre proche de toi, tu l’avais manqué de quelque millième de secondes ou sous tes crocs tu as senti la chaleur de son coup mais que c’est finalement sur le vide que ta mâchoire a fini par violemment ce verrouiller. Ton grognement incessant a fini par retentir à quelques distances de cela. Imbécile que tu es Blasphem, incapable d’attraper un vulgaire lapin comme un vrai loup serait le faire ? Tu n’es qu’un bon a rien tout simplement ! Tu avais abandonné la décision de le poursuivre et après bon, qu’il aille rentrer dans une roche et se pette le cou sa tétait égale et tu souhaitais que sa lui arrive, à cette seule pensée. Tu souriais méchamment. Tu étais comme sa et tu aimais être ce que tu étais ; Un être sans cœur qui n’avait pas de pitié pour personne et que sa fasse pas à tout le monde sa tétait égal non ? De plus tu ne dois jamais rien à personne et personne ne te doit rien, va ainsi la vie non ? Alors dit moi Blasphem, dit moi don calmement, comment a tu..
*CRAC *
Tu fronças les sourcils, réalisant que sous tes pieds se trouvait apparemment un os. Humain plus précisément. Ta tête se releva, en observant le spectacle qui se trouvait devant toi, accroché sur le bout de ce qui semblait être des cordes, s’arborait fièrement des cadavres d’humais. Un sourire sarcastique & Un roulement d’yeux, impatient. Encore plus stupide que tu croyais, ces humains. T’accroupissant tel un chaton voulant attraper son bout de ficelle au bout de son jouet préféré, tu t’élanças de tout ton long, du moins du mieux que tu pu et referma fermement ta mâchoire puissante, sur un des tibias du corps inerte qui se trouvait au-dessus de toi. Salivant tu laissas retomber brusquement le trognon par terre, satisfait de ton bond. La journée commençait à de mieux en mieux aller, et dire que des simples ossatures pouvait redonner vie à ta journée.
L'envie de se promener toute seule la prenait souvent en ce moment. Encore une fois, Noire avait bien envie de prendre l'air, de sortir de sa tanière sombre pour aller observer l'extérieur. Elle n'était pourtant pas vraiment une de ces louves qui vivaient dans un monde utopique, mais elle aimait bien, de temps en temps, s'écarter un peu de la routine habituelle. Cependant, elle avait déjà franchit deux fois la limite du territoire Esobek durant les derniers jours. Elle avait alors croisé la route de Minuit, ainsi que celle de Reny et Nyméria. Briser la routine lui plaisait bien, mais en gardant certaines limites. La louve se rendit donc en direction du nord, vers la forêt aux pendus. C'était un lieu qu'elle appréciait, car il était autant ouvert que fermé. Les arbres laissaient encore passer le soleil à quelques endroits, mais l'endroit restait sombre, glauque, et à chaque fois qu'elle s'y rendait, l'odeur de mort lui faisait tourner la tête. Noire appréciait particulièrement cet effluve. Même s'il lui rappelait un peu trop sa mère et ses frères à son goût. Aujourd'hui cependant, elle n'aurait surement pas le temps de savourer cette douce odeur, car le lieu semblait déjà occupé. Effectivement, elle ne mit pas longtemps à repérer une odeur inconnue, de meute certainement, et en suivant la trace se retrouva rapidement en face à face avec un loup Sekmet d'après l'odeur, entrain de dévorer avidement une carcasse humaine. Du mois, seulement les os. Noire fut aussitôt attirée par l'odeur et la vue du loup affamé. Il en fallait peu pour lui faire perdre la tête, mais les actes de violence la plongeaient généralement dans une transe violente. Elle gronda, les crocs découverts et les oreilles rabattues en arrière. Position d'attaque enclenchée, elle se sentait désormais prête à tout pour récupérer cet os. Le loup de meute n'avait qu'à bien se tenir.
Spoiler:
Nul pour une première réponse de rp je sais x) Bon comme tu l'as comprit, Noire va vouloir se battre dès le début. Ayant eu une enfance difficile, tous les actes de violence, le sang...etc, la rendent un peu fofolle.
« Crow Crow Crow ! Tu veux jouer avec moi, dit oui, dit oui ,dit oui On joue a qui rapporte le plus gros Os sa te dit ?? !! »
Ma voix, longtemps tu n’avais pas entendu cette tonalité te titiller les oreilles. Sonnait-elle encore aussi mélodieuse qu’avant Blasph ? Tu fermas les yeux un instant, repensant à tout les souvenirs douloureux que ce chant t’évoquait au plus profond de toi.. Cela dit, tu gagnais toujours contre la petite peste que j’était, tu étais le meilleur et même maman le disait. Tu était son petit chouchou même si elle ne le disait point . Tu rouvris tes yeux sur le bout d’os fraichement entamée , sa n’allait pas être aujourd'hui que tu allais repensé à moi , tu te le répétas sans cesse pendant un bon 1 min jusqu’à ce que rapidement ton nez analysa une nouvelle odeur qui avançais rapidement… Trop rapidement, à ton goût. Levant la tête tu analysa subtilement qu’elle genre d’odeur ou de personne pouvait bien te déranger à nouveau dans ton moment de tranquillité absolue. Non mais on ne peut jamais être tranquille ici dit don ? Ton odorat ne tarda point à définir quel genre de Loup venait si rapidement à ta rencontre; ce fût à nouveau une louve , et encore Solitaire, mon dieu Blasph’ tu est un aimant à femelle ou quoi ? Haha . Malgré cette pensée qu’elle que peu comique , tu te méfiait , toi qui n’avait pas l’habitude de le faire, cette louve ne te disait rien de bon. Tu ne fît rien et continua à délecter ta charpente, jusqu'à ce qu’un vif grondement , te fît lâcher ta carcasse. Dos à la louve , tu arbora un rapide sourire. Non mais pour qui elle se prenait celle-là ? Tu tourna , sur toi –même jusqu’à être en face de la louve, fixant tes yeux noir contre le regard de soleil de la Louve. Les ténèbres contre le rayonnement. Sa l’allait être intéressant, tu poussa un petit rire peut être audible pour la femelle en avant de toi ; ou peut être pas qui sait ? Néanmoins tu t’en foutais « T’as la rage ou quoi ? » Un sourire provocateur; C’était ton ressentit naturel, tu tourna le dos à la femelle , ce qui pouvait être dangereux tu en était conscient , mais faut prendre des risques dans la vie non ? Tu pris rapidement l’os dans ta puissante gueule et le déposa à ta patte, fixant toujours intensivement le regard de la louve.
C'est pas mieux de mon bord , mon message à effacer au moment ou je l'est envoyer -.-
Le loup se retourna, avec un sacré air de "je m'en foutisme" qui ne fit qu'accentuer la rage de la femelle. Leurs regardes se croisèrent une fraction de secondes, mais Noire observait surtout la carcasse humaine, l'os qu'elle convoitait tant. Il n'était pas rare que la noiraude se montre agressive ou violente. Mais la vue du sang, de la violence gratuite, des crocs déchiquetant la chair... Tout cela lui faisait complètement perdre le contrôle d'elle-même. C'en était effrayant. Elle pouvait alors faire n'importe quoi, juste pour pouvoir sentir la douceur de l'os sous ses coussinets, ou le gout du sang dans sa gorge. Le Sekmet, car s'en était un, déposa son os tout près de sa patte, et le regard de Noire suivit le mouvement. Immobile, comme une ombre à l'orée de la forêt, elle attendait. Ses crocs étaient toujours découverts, et le grognement qui s'échappait de sa gorge, menaçant et uniforme, semblait ne jamais s'arrêter. Mais lorsque Noire sentit l'odeur de la carcasse humaine, l'odeur du sang, elle n'y tint plus. Impossible de se contenir plus longtemps, elle se jeta en avant dans un hurlement cruel, droit sur le Sekmet. S'il ne l'esquivait pas à temps, elle lui déchiquetterait le visage à coup de griffes juste pour le plaisir de voir du sang, et de récupérer ensuite son os.
« La violence n'est pas le but. La violence est le moyen.»
Quand la prophétie rencontre la folie
force 10 - agilité 5 - endurance 5
Blasphem.
♣ La tension s’accentuait pendant que tu continuais à regarder fixement la femelle , qui elle regardait l’os comme si il regorgeait de viande juteuse. Il a ben beau n’être entamé que très peu, cet os t’appartenait et elle n’avait qu’à venir le chercher. Toi au contraire de elle , tu gardais ton sang-froid, sa t’amusais de la voir le perdre aussi facilement & Cela que pour un vulgaire bout d’os , ma foi , tu en n’était subitement étonner , elle n’avait qu’à attrapé le sien par elle-même. Tu entama le mouvement pour reprendre l’os quand soudain , un cri venant des enfers , comme tu peux appeler , transpercant tes oreilles. Il n’en fallu que quelques secondes pour relever ta tête et de regarder la Noire se propulser vers toi, tu n’eut le temps que de te mettre sur le coté qu’à la dernière secondes , mais n’évita pas un coups de griffe sur tes côtes, faisant virvelote face à la louve , tu appliqua rapidement tes oreilles contre ton crâne et sortit un grognement véroces, sortant tes crocs de plus belle. Elle est cinglée ma foi.Tu t’accroupissa pour te propulser vers la louve rapidement , sentant de la terre s’échapper sous tes pattes. Tue.Tue.TUE.
Le Sekmet s'écarta à temps, mais les griffes de la noiraude frappèrent sa côte, de quoi lui laisser une bonne grosse plaie qui risquerait de s'infecter avec le temps. Les pattes de Noire touchèrent le sol brutalement, mais elle ne prit pas le temps de regarder si elle ne s'était pas coupée les coussinets. Les crocs toujours dévoilés, elle gronda en direction du mâle, qui comprit qu'elle ne plaisantait pas. Il prit lui aussi une attitude agressive, les oreilles plaquées sur la tête et les babines relevées. Le combat promettait d'être violent, mais la solitaire ne comptait pas abandonner. De toute manière, son esprit venait d'être littéralement coincé en mode tuerie, rien que pour pouvoir planter ses crocs dans de la chair, ou ronger un pauvre os qui ne lui apporterait pas grand chose. Mais le fait d'avoir griffé la côté du Sekmet avait augmenté sa rage, et elle bondit en même temps que lui, pour lui rentrer dedans sans ménagement. Aussitôt qu'elle l'aurait repoussé au sol, ils rouleraient surement dans un combat au corps à corps. Et elle n'abandonnerait pas la première.
« La violence n'est pas le but. La violence est le moyen.»
Quand la prophétie rencontre la folie
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Blasphem.
♣ Les bagarres n’avait jamais été ton trucs et cette louve t’enrageait simplement par son attitude de ‘’Je suis en manque d’attention ‘’ Elles sont tous les mêmes c’est étouffant; Range tes crocs ma vieille, tu vas avaler des mouches. Complètement propulsé dans les airs et la gueule à gorge déployés vers en avant tu visais clairement sa nuque rien que pour sentir ses muscles se contracter en étouffant sous la pression. Le face à face que tu fît avec la louve , te permettait te profiter du moment pour lui assiéger un coup de griffe vers le museau, avec un grand sourire intérieur et le sentiment de satisfaction qui te montait à la gorge, la poussière s’élevait sous vos débats violents Coup de crocs , coup de griffes , des grognements à n’en faire trembler le sol .Ta plaie, malheureusement te fît perdre ton émotion, de bagarre extrême, elle saignait et était douloureuse. Cette petite peste, était tenace mais tu savais que tu finirais par en sortir vivant, blessé mais pas sans qu’elle en bave également. Tu poussas la louve d’un coup de patte pour assurer une distance sécuritaire pour rapidement lui revenir à la charge, t’élançant à vive allure ne visant qu’une chose. La gorge, là ou même à distance, tu pouvais sentir son cœur battre et débattre. Au loin, plus aucun son ne venait vous déranger, aucun vent ni bruissement, ni même le croassement des corbeaux voulant leur part de ce qui restait des ossement humains. Il était l’heure. Toi ou Elle, voilà comment sa finirait.
Les griffes aiguisées su Sekmet touchèrent le museau de la louve, et quelques gouttes de sang perlèrent contre le sol tandis qu'elle poussait un rugissement de rage. Les deux canidés retombèrent contre le sol, et le mâle repoussa la solitaire d'un coup de patte. Noire sentit ses griffes crisser contre le sol meuble de la forêt, et l'odeur du sang l'enivra davantage. Elle voulait la peau de ce Sekmet à tout prix, et l'odeur du liquide pourpre aux alentours n'arrangeaient rien. La noiraude pouvait réellement devenir incontrôlable lorsqu'elle sentait cet effluve. Un peu sucré, poisseux et rouge. Voilà les mots qui désignaient parfaitement le sang. Son adversaire repartit à la charge, malgré sa plaie à la côte qui saignait. Noire se dit qu'il serait intelligent pour elle d'agrandir cette blessure, endommageant un peu plus le Sekmet. Elle se jeta donc elle aussi en avant et donna un coup de griffe dans les pattes du loup, pour tenter de le faire tomber. Mais c'était un mâle, il était fort, et même si Noire n'était pas la plus maigrelette des femelles, elle ne faisait pas le poids. Elle voyait ses crocs tâchés de sang claquer près d'elle, près de sa tête, et de sa gorge. Elle évita un coup de mâchoire de justesse, et rabattit ses oreilles sur sa tête en tentant de griffer une nouvelle fois la côte du loup. Le danger était le même pour les deux combattants. Esquiver, et attaquer. L'un des deux s'en sortirait, et l'autre devrait mourir, s'enfuir ou se soumettre. Aucune des trois propositions n'enchantaient la louve, et elle se promit de sortir gagnante de ce combat. Elle savait qu'avec un peu d'intelligence, elle était capable de vaincre ce loup de meute. Et alors, à elle le butin !
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Blasphem.
♣ Le silence était lourd, nul autre animal ni même végétal n’osait interrompre le son brutal des coups de crocs et des grognements indécents qui régnait sous l’arbre des pendus. Le combat était violent, ni toi ni elle n’allait cesser de se battre on dirait bien. Tu l’avais touché avec très griffes, le sang tombait par goutte sur le sol rempli de feuille. La femelle s’élançait vers toi, griffes devant, ce que tu évitas de très peu. Elle était coriace celle-là. Ses crocs étaient tachés du sang versé plus tôt, ses yeux couvert de rage, pourquoi dont-on autant de violence pour un simple Os. Tu repris la charge en essayant, de viser pour blesser la femelle le plus que tu peux. Ne relâchant pas son attaque, tu essayais de ne pas lui laisser de répit. Attaquer & ne pas cesser d’attaquer, l’affaiblir pour mieux la dépecer de son estime voilà ton intention première. Ta blessure te faisais affreusement souffrir, Aller Blas’ tien bon , tu l’auras dans quelques temps. Malheureusement, pour toi, pauvre inconscient, tu ne remarqua pas l’arbre qui se rapprochait dangereusement de toi.
Spoiler:
HRP : Je fais sa court, Je te laisse le coup de la fin , je vais répondre une dernière fois après toi et on considère que c’est fini ? (:
Noire sentait la rage augmenter au fur et à mesure des attaques. Elle jeta ses griffes en avant, tentant vainement de toucher le Sekmet, mais rata son coup de peu. Elle voyait sa blessure à la côte qui saignait, ce qui lui donnait encore plus envie de l'aggraver, de voir le liquide pourpre gicler sur l'herbe verte de la forêt. Elle voulait l'os, elle le voulait absolument. Elle voulait gratter ce qui était resté accroché dessus, la viande humaine. D'habitude, les carcasses de bipèdes ne l'attiraient pas tant que cela, mais cette fois-ci Noire avait deux motivations. L'os, et la mort de son adversaire. Soudain, la fureur prit le dessus et elle se jeta sur le Sekmet les yeux exorbités, toutes griffes dehors. Les crocs de la solitaire claquèrent, et elle fonça droit vers la côte de son adversaire, plongeant ses mâchoires dans la plaie déjà ouverte. L'odeur du sang pénétra ses narines, pour monter ensuite jusqu'à son cerveau, et dans sa violence incontrôlée, envoyant le mâle rouler un peu plus loin. Elle l'avait mordu, puis repoussé sans réfléchir. Un grand bruit résonna alors autour d'eux, et Noire constata que son ennemi avait été projeté contre un arbre, par sa faute. Sa plaie saignait abondement, ouverte, laissant voir sa chair à vif. La louve se lécha les babines, et s'avança, lentement. Mais le Sekmet ne bougeait plus. Et du sang s'écoulait de sa tête. Était-ce dut à ses anciennes blessures, ou bien avait-il cogné de tête ? Noire ne le savait pas. Mais peu lui importait. Elle cracha un peu de sang par terre, puis abandonnant son adversaire là où il était, le laissant pour mort. Elle empoigna ensuite l'os entre ses mâchoires et quitta l'endroit, les yeux toujours écarquillés, comme fous. Elle avait vaincu ce loup, ce loup dont elle connaissait d'ailleurs le nom. Il lui était revenu, sans trop savoir pourquoi. Quelqu'un avait dut lui en parler un jour, le lui décrire, et voilà qu'il lui était revenu à l'esprit. Elle avait combattu contre Blasphem. Elle avait tué Blasphem. Blasphem.
[Je précise que nous nous sommes mit d'accord par mp avec Blasph' pour que le combat se termine de cette manière. Blasph' n'est pas mort, mais Noire l'a laissé pour décédé. Donc Blasph', je te laisse répondre une autre fois puis fin du rp ]
« La violence n'est pas le but. La violence est le moyen.»
Quand la prophétie rencontre la folie
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Blasphem.
♣ Blasp’
Quel imprudent.
La tension n’aurait pas plus grande, les coups virevoltait. La femelle , se battait avec férocité et tu essayait de repousser ses attaques, assiégant griffe et coups de machoire pour le repousser. Un moment d’innatention et la louve plonga sa machoire puissante dans ta côte meurtri. Le cri de douleur le plus fort que tu ne pu pousser s’échappa de ta gueule. Puis plus rien tu te sentis repousser violamment et une énorme douleur t’attaqua le crâne tu fronça de douleur. Merde. Ta tête tournait, la louve s’approchait de toi, un sourire satisfait sur son visage. Ta vision s’embrouillait trop rapidement à ton goût. ‘’Tu n’es qu’un faible.’’ Était-ce la louve qui avait murmurer ce son si familier , tu n’eut pas le temps d’y penser que ton corps te lâcha, tes yeux fermèrent… Jusqu’à combien de temps? Était-ce vraiment la fin de ta vie que tu t’imaginais… ? La dernière vision que tu eu fût la louve emporta un reste minime de ton os. Tout sa pour un reste entamé. Puis ce fût le noir total.