Jeune apprentie cachant son faible coeur
Solo

Ce matin je m'en étais aller dans le territoire pour pouvoir chasser quelques gibier et nourrir ainsi les plus jeunes sachant que je faisais encore partie des apprenties. Cassy était ma ravissante mentor, Helya ma mère adoptive et Empress mon Alpha que J'admirais tant. Mes oreilles étaient sans cesse à l'écoute du vent, le vent qui lui balayait mon pelage et me décoiffait avec vigueur. Je me mise à rire tout en marchant, surveillant qu'il n'y avait de mine ou piège près d'ici ne connaissant pas totalement le territoire. J'osa ne pas trembler face aux étranges bruits, mais malgré cela de long frisson torride me traversa la colonne vertébral. Mes yeux apeuré dans l'ombre de mon doute suivirent le mouvement du vent et je me dirigea rapidement dans quelques buissons. Cela faisait quelques jours que la meute criait famine, et que les butins à consommer devenaient plus fréquent, tandis que les louveteaux commençaient à devenir sevré. Mauvaise nouvelle pour ceux qui ne boiront plus de lait à volonté car beaucoup d'autres brailler pour obtenir de la nourriture au quelconque prix. 


Les disputes et les malentendus me perturbés, mais moi j'étais tel une petite solitaire qui coller ma mère à mes bientôt 1 ans. Ma peur et mon angoisse ne se montrait pas sur mon visage, mais mes griffes étaient finement sorties, mon pelage était hérissé ! J'hésita à parler pour ne pas qu'un homme me repère. Mais ici tout avait l'air d'une tranquillité sauvage, et je me précipita dans quelques feuillages à la fut d'une proie. Je ne pourrai rester ici que maints heures malheureusement ! Étant encore sous surveillance je ne pouvais fuir sur d'autre terre en toute tranquillité. Mais mes pensées m'affichèrent l'image d'Helya ! Pourquoi ? C'était une louve aveugle qui m'avait adopter, j'aurai tant aimé qu'elle soit ma véritable mère ! Elle était mon unique destin... Mon unique espoir. 



J'étais dans quelques feuillages quand un bruit me fit sursauter. Mon comportement hors norm et mes crocs près à mordre me montrèrent à quel point je pouvait trembler face aux ombres. Les humains, de quoi avaient-ils l'air ? Aucun ne m'avaient jusque là fais du mal, je me dit alors que je pourrai rendre visite à ces messieurs. Même si le nombres d'histoire racontaient parlés vulgairement de ces êtres à part entière, je voulais savoir s'ils étaient aussi terrifiants. Juste voir leur visage ! J'aurai de quoi crâner une fois rentrée à la maison, devant ces trouillards qui n'osent partir du ventre de leur mères. Je me trouvais courageuse mais... Je ne l'étais pas encore totalement. 



Un puissant bruit de claquement me fit détourner le visage. Mon pelage blanc devenait gris par le soleil qui déteignait sur la lune une fois disparu. Nombreuses sont les scintillantes étoiles qui apparurent dans le ciel, je devais rentrée au plus vite même si mon bute en étant venu était de chasser. Chasser dans ces terres dangereuse ou comme le jour nous devons surveiller nos arrières. Sans voir les humains de mauvaises pensées m'envahirent à leur sujet, s'ils étaient aimable ils auraient depuis un baille enlevé ces foutues mines ! Ils nous auraient soigner, nous auraient aider ! Mais noooon, stupide être ne servant qu'a tué pour votre plaisir égoïste. Vous vivez pour mangez, vous vivez pour tuer ! Nous nous mangeons pour vivre, nous tuons pour vivre !

Je renifla le sol, mais ne trouva rien. La nuit vint au fur et à mesure que mes pattes s'enfoncèrent dans la forêt. Des sons inconnu percèrent mon esprit, je tournais la tête de droite à gauche avant de ne m'arrêter sur place. Maman devait être inquiète, et moi de même. Je pensa soudainement à la chaleur de son pelage, à la toilette qu'elle ne me faisait désormais que très rarement. Je grandissais trop vite, trop vite pour déjà oublié ma maman. J'aperçus au loin un pavé de fer, je l'imaginais tournoyer dans le ciel comme un oiseau. Mes pensées si brusque me donnèrent le tournis. J'entendis quelques bruits de fond qui m'obligèrent à avancer.