NOM : Oma'reth
AGE : 5 mois
SEXE : Mâle
MEUTE : Sekmet
RANG : Apprenti
AUTRES INFORMATIONS : Inconnu

JAUGES :
Force : 7
Agilité : 6
Endurance : 7

CARACTÈRE :
Au vue de mon jeune âge, on ne peut pas dire que j'ai un réel caractère bien défini. Tout ce que je peux dire de moi, c'est que je suis comme tout les louveteaux que j'ai côtoyé jusqu'ici : joueur, agité, curieux, impressionnable, voir même un peu bête par fois. J'ai une soif débordante d'apprendre de nouvelles choses, toujours à la conquête d'un quelconque trésor, intellectuel ou matériel, pour enrichir mon inexpérience. Cependant, je peux me montrer incroyablement mauvais si je n'obtiens pas les informations que je veux. On dit que je tiens ça de mon père, mais je ne sais pas si c'est vrai. Autrement dit, je suis très facile à vivre, même si des fois je pousse à bout certains adultes de mon entourage, mais je suis jeune et c'est mon intrépidité qui veut ça. En prenant de l'âge, d'autres aspects de mon caractère se dévoileront certainement, je ne suis qu'au prélude de mon histoire.

PHYSIQUE :
Il paraît que l'apparence est souvent le reflet de l'âme d'une personne. Si le pelage est sombre, celle-ci a le cœur noir ou des intentions mauvaises. Mais s'il est clair, les préjugés sont meilleurs et beaucoup plus positifs. On dit souvent qu'un loup à la robe blanche a des airs angéliques, presque divins. Que la clarté de son visage illumine ses bonnes actions et adoucit ses traits, parfois durs. Pour ma part, je suis une succession de couleurs allant du clair au plus foncé, ce qui me donne un certain charisme. Par moment, mes poils, hirsutes, me donnent l'impression d'être de mauvais poil, ce qui m'amuse énormément. Haut sur pattes, mes iris d'un brun prononcé observent le monde d'un air conquérant, presque naïf. Les oreilles, grandes et arrondies, toujours pointés vers l'avant, guettent les moindres sons qui se produisent autour de moi. À première vue, je ne semble pas si terrifiant que ça, voir même très innocent. Mais ne vous a t-on jamais dit de vous méfier des apparences ?

HISTOIRE :
Comme toute histoire, il y a un début. La mienne commence un certain mois de printemps, en plein milieu des terres Sekmet. En ce temps-là, la guerre humaine avait cessé temporairement, laissant place à un silence pesant et lourd. Deux jeunes loups s'étaient retrouvés là pour mettre au monde la plus belle merveille que ce monde n'ait jamais connu (comment ça, prétentieux ? jamais !), un fruit d'un commun accord qu'ils étaient prêt à élever coût que coût, quitte à donner leurs vies pour la sienne. C'est ainsi que j'arrivais, à l'aube d'un nouveau jour. Mes premiers pleurs résonnaient alors dans la vaste clairière, brisant l'atmosphère muet. Les yeux encore collants, je distinguais alors péniblement rouler deux perles d'acres sur les joues noires de, ce qu'on pourrait appeler, mon père. Instinctivement, je venais me blottir dans le creux des pattes de ma mère, épuisée, cherchant sa chaleur. Je me sentais protégé près de son cœur. Les deux adultes se collèrent respectivement, échangeant une brève marque d'affection. À cet instant, on pouvait lire un sentiment de bonheur partagé sur leurs visages.

Mes débuts, non loin d'être triomphants, furent toutes fois prometteurs. À peine quelques jours après ma naissance, je commençais enfin à pouvoir marcher correctement, bien que chancelant, aux côtés de mes parents. Je me livrais à mes premières joies du jeu, chassant chaque brin d'herbe que mes petites pattes frôlaient à leurs passages. Je décochais certains rires à ma mère, ainsi qu'à mon père, face à certains moments comiques de mes séances de lavages. Oui, je n'avais pas leur expérience et me lécher seul la base de la queue relevait du défi... Heureusement que Maman était là pour assurer ma toilette quotidienne. Dans cet atmosphère reposant et protecteur, j'évoluais tranquillement.

Au commencement de mes deux mois, lorsque mon sevrage fut prononcé, un événement, très perturbateur, vint chambouler nos vies paisibles. Des hommes, du moins de ce que j'en sais aujourd'hui, tombèrent nez-à-nez avec mes parents. Devant leur menace apparente, je ne pris pas le temps de les observer plus que je pris les pattes à mon cou pour m'enfuir. Loin de tout ça. Ma mère fit barrage à ces bipèdes, les empêchant ainsi de me suivre. Mon père attaqua le premier. La suite, je l'ignore. J'étais trop éloigné de ce spectacle d'horreur pour pouvoir le suivre. Sous ma cage thoracique, mon cœur battait la chamade et des larmes rejoignirent bientôt l'adrénaline.

MON PARRAIN / MA MARRAINE : Aucun

I'll will be back ! (C'est Duagolth si certaines se souviennent)