Force : 8
Agilité : 7
Endurance : 5

L’aube ce levait à peine, de grande ombre ce dessinait dans l’épave rouiller d’un avion, un endroit dans lequel la réserve du clans Sekmet ce trouve, peu de loup s’aventurer déjà à cette heure ci, pourtant, un silhouette blanche sortie de l’ombre, une louve de bonne carrure et aux yeux vairons, Cité Mystérieuse ce promenait, elle s’avait ce que ce lieux représentait pour elle, la perte de la totalités de ça famille, en quelque secondes des humains s’était attaquer à eux. Pourtant maintenant, les humains on fait pousser des arbres, faisant revenir le gibier, une aubaine pour les loups.
La louvette pensait à tout ceci en marchant tranquillement à bonne distance de l’épave, se stoppant quelque fois pour renifler la piste d’un lapin ou d’une biche passer certainement dans la nuit. Puis elle ce stoppa pour de bon, fixant longuement l’épave de l’avion qui ce dresser la, elle trouver cette endroit moins sympathique depuis la première fois qu’elle était venue, mais le moment de la journée était mal choisi aussi, qu’est-ce qu’il lui avait pris de venir ici, elle ce souvenait d’avoir rêver de sont passer et s’était lever et avait marcher, ce laissant guider par ces pattes et est arriver ici. Elle ne savait pas pourquoi mais elle trouver le silence oppressant, aucun oiseau ne chantait encore.
Soudain elle entendît un bruit, un lapin peut être, elle resta fixait sur le buissons duquel sortait des bruissements, aux aguets elle ce r’approcha doucement, ces pensée ce confirmèrent quand un fumet de gibier lui parvînt au museau, ce rapprochant encore elle vît le lapin s’enfuir à tout hâte loin de Suwan, c’était rater, pourtant elle avait tout fait pour qu’elle réussisse, mais encore une fois elle avait louper ça proie, elle ce releva, fixant l’endroit duquel avait disparue sont repas potentiel.
Elle réfléchie, qu’avait t-elle fait de mal pour ne pas l’attraper ? Le vent était face à elle, ces pas était lent et silencieux et la louve n’avait pas marcher sur une quelconque petite branche, c’était à cause de ce lieux, l’épave de l’avion, elle ce retourna et marcha jusqu’à être face à l’épave, le fixant de ces yeux vairons. Ce lieux était oppressant pour elle, le souvenir de ça famille lui revînt alors, grognant de déplaisir elle ce gratta l’arrière du crâne avec une de ces pattes arrière.