La forêt semble figer. Rien ne bouge, seul le craquement des arbres permettent de rapellé au monde qu'il ne s'est point arrêter. Les arbres, parlons en. Sont-il encore vivant? peu être. Long, noir, sans feuille, fragile. Certain se sont couché pour un sommeil éternel d'autre se penche, comme pour surveiller leur frères défaint, attendant à leurs tours le doux baiser de la mort. L'herbe? non. Une terre poussièreuse, recouverte de centre d'on la guerre à laisser de profonde cicatrices. De longues fissures, des troux béant. Les oiseaux de fer que possèdent les hommes passe maintenant de moins en moins au dessus de ce paysage morbide et terne. Toute couleurs l'as quitter, comme aspiré par le malheur qui semble les avoir avalé. Et le ciel? est-il bleu? Non. De lourd nuages le recouvres, charger d'éclair et de pluie mortellement acide qui les teint alors d'une couleurs jaunâtre. Pourtant, la chaleurs est écrasante. Le vent semble avoir cesser de souffler et cette terrible séchresse n'apporte que malheur. Et les lacs? les cours d'eau? les marres? Elle aussi ne sont plus les même. Comme si tout cela n'était pas assez, depuis peu, une étrange mousse les as recouvèrent l'eau est devenue imbuvable. Il faut donc survivre et se battre en ces terres au visage apocalyptique. Là, un trou sous un arbre, s'enfonçant dans cette terre à l'agonie. Il est bien sombre. Pourtant plusieurs petits corps semble s'y reposer. Une grande louve au pelage brun clair. Elle est aveugle mais cela ne semble pas la gêner car elel reste tout de même une brilliante guerrière. Un mâle noir, adulte lui aussi. Coller contre celle-ci. Et non loin d'eux trois petits louveteaux. L'un plutôt grand et fort de carrure au pelage brun foncé, basique. L'autre un peu plus fin mais d'on l'entrainement semble avoir endurcie les muscle de la même couleurs. Et puis une femelle, sont pelage est brun clair aux différentes nuances, certaines plus foncé, d'autre tournant vers le blanc et certaine même légèrement rousse. Elle est plus petite que ses deux frères, plus fine. Elle semble plus agile et rapide. La nature l'as aussi dôté d'un corps et d'un visage don les traits sembles dessiner par la beauté même. Elle ouvre les yeux. On peu alors découvrirs une magnifique couleurs grise tournant petit à petit avec l'âge vers l'ambré. Althéa se leva alors, elle bailla à s'en décrocher la mâchoire et se dirigea doucement vers la sortie. En pleine forme la jeune femelle se sentait prête à gravir des montagnes suite à cette longue sieste! Pourtant Eclat de lumière avait une idée en tête. Le térritoire Sekmet était bien grand, il est vraie. Mais pourquoi ne pas voir d'autre horizon? Elle se délecta de l'image d'autres terres. Etait-elles aussi dévasté que la sienne? certainement. Mais cette lugubre nature ne la gênais point. C'était ce qu'elle conaissais depuis sa naissance après tout. Passant un coup de langue sur ses babines la jolies femelle se mis en marche, d'un pas tranquille et posé, comme à son habitude.

La frontière, Bientôt. Une vague d'éxitation parcourue la colone vertébrale de la petite Sekmet. Elle ne savais pas trop si cela était une bonne idée, si on découvrais sa disparaition elle se ferais certainement grondée comme jamais. Pourtant tout lui disais de s'élançée en ces lieux étranger. Mais non, Althéa était tout sauf impulsive et son instinct lui disais que cela ne la mênerait qu'à sa perte. Précose Eclat de lumière utiliser bien plus son cerveau que ceux de son âge. C'est alors d'un oeil critique qu'elle balaya ce qui se trouvait de l'autre côter de la frontière Sekmet. Un immense lac. L'odeur qui en provenais était nauséabonde et il semblais mortellement acide. Toute végétation qui se trouvait autour de lui semblais avoir disparut. Doucement elle mis une patte en dehors de la ligne imaginaire. Que cela était éxitant de briser les règles! enfin cela le serait certainement moins si on le découvrais. Enfin elle finie par sortir de sa cachette. D'un pas hésitant elle s'approcha des eaux. Althéa se stoppa net. Quelle était cette odeur, de toute elle se distinguais bien mieux. En effet le flair d'Eclat de lumière s'amélioré de jour en jour, comme tout louveteau de son âge d'ailleurs. C'est alors qu'elle entendis un craquement de brindille. Tournant la tête elle aperçus une silouhette de l'autre côté des eaux. Mais cette étrange vapeur qui en émannais l'êmpecher de bien la distinger. Alors plissant les yeux elle découvris avec horreur un loup. Non pas un loup comme les autres. Celui-ci était d'une maigreur à faire peur, ses yeux terne, tout comme son poil, semblaient fou. De la bave coulais de sa bouche. Il semblais presque porteur de la rage. Peu-être l'était-il. La créature au pelage blanc releva la tête, ses yeux verts croisèrent ceux d'Althéa. Dans un jappement d'horreur la petite Sekmet se mis à courire dans le sens inverse. Elle bondit derrière le premier rôcher qu'elle aperçus. Son poul accélera subittement. Elle se plaqua contre la pierre chaude. Priant pour qu'on ne puisse la trouver. Le lac fut alors plonger dans un silence macabre. Tout les poils de la petite Sekmet se dréssèrent. Puis soudain un bruit la fit sursauter. Ce n'était rien, juste un oiseau. Mais autres chose attira alors sont attention, les crocs qui se plantaient en sa chair et la soulevais. Tout tourna autour d'elle l'espace d'une seconde, puis enfin son corps rejoigna le sol. Le choc fut si puissant qu'elle en eu le souffle couper. Ses yeux térrifié se levèrent vers ceux de sont agresseur. Le loup blanc. Celui-ci semblais prêt à la bouffer sur place, et s'était éffrayant, même bien plus que cela. Heuresement Eclat de lumière ne saignais pas trop. Alors d'un bond svelte elle esquiva de peu les crocs de son bourreau avant de dégerpire aussi vite qu'elle le pouvais. Dieu merci son poursuivant semblais en bien trop mauvaise santer pour courir plus vite qu'elle, mais il courait tout de même. La peur, la douleurs, l'envie de vivre était peu être les seuls choses qui lui permettais de courir malgré la fatigue qui envahissais maintenant ses membres. Ses poumons lui hurlaient de s'arrêter, et pourtant elle continuait de courir. Enfin elle aperçus une issue. Un arbre, frêle et aussi fragile qu'une brindille certe, mais d'on les cicatrices du passé lui permettait de l'escalader. Alors de plusieurs bond agile, bien que manquant de chuté elle monta aux branche. Le cannibal grogna de frustration, et dans une fureur il se mis à tanter de monter lui aussi. Mais l'arbre ne pourrais jamais supporter leurs poids! et il allais s'écraser dans l'eau mortelle. Panique, terrible panique. Dans un geste instinctif Althéa sauta de l'arbre pour rouler dans la poussière. Le solitaire blanc tanta alors à son tours de la rejoindre mais ce fut trop tards. Le tronc se déchirait et dans un cris de terreur le canidé et l'arbre sombrèrent dans le lac. Une vision d'horreur s'offra alors à Eclat de lumière. L'animal blanc tentait de remonter sur la rive tandis que l'acidité du lac s'attaquer à sa chair, la brulait, la faisais fondre. La créature qui ressemblais maintenant plus à un cadavre ambulant poussait des cris d'agonie aigue et térrifiant avant de sombrer pour de bont dans les mâchoires de l'enfer et de la mort. Althéa resta là. En état de choc, les yeux écarquiller. Tremblante, haletante. Maman. C'était la seul chose qui lui passais par la tête. Après une bonne dizaine de minutes elle se leva et repris le chemin de la maison grondant de douleurs à chaque pas. Elle était sauvée, en vie. C'était là le plus important.
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