NOM : Epizon.
AGE : Elle va sur ces 4 ans, d’ici août.
SEXE : Femelle.
MEUTE : Sekmet.
RANG : Chasseur.
AUTRES INFORMATIONS : N’a pas pour habitude de venir s’taper la causette à chaque coin de rue.

JAUGES :
Force : 6
Agilité : 5
Endurance : 9


CARACTÈRE :

Impulsive – Le caractère d’Epizon est assez variable. Mais bien souvent, elle ne contrôle pas ses nerfs et cela peut facilement dégénérer. Ses émotions sont toujours très fortes, y compris la colère; mieux vaut dans ces cas-là ne pas rester dans les parages et la laisser ruminer dans son coin.

Courageuse – Epizon à une volonté de fer; quand elle veut quelque chose, elle fera tout pour l’avoir. Elle n’hésitera pas à employer les grands moyens. Mais elle n’est pas stupide pour autant.

Intelligente – Epizon est réfléchie, malgré son impulsivité par moment. Certes, elle n’aime pas réfléchir, mais cela ne veut pas dire qu’elle n’en est pas moins intelligente. Elle (essaye malgré elle) de se poser les bonnes questions avant d’agir. Elle est vive d’esprit et à ses propres opinions.

Solitaire – Epizon est avant tout une solitaire, qui porte bien son caractère. En effet, ce n’est pas le genre de louve à discutailler avec chaque membres de la meute, ni à prendre des nouvelles des malades. Elle n’y va que quand elle juge cela nécessaire.

PHYSIQUE :

Petite – Epizon à un petit corps par rapports à ses congénères. Ce qui lui permet de s’introduire dans des espaces réduits facilement.

Haute sur Patte – Malgré tout, Epizon à de très longues pattes, qui l’aident énormément quand il s’agit de courir ou de bondir.

Blanche – Epizon à un pelage très clair, blanc en temps normal, avec quelques taches brunes très légères sur l’arrière train et dans le coup. Son museau est foncé.

Sale – Et oui, Epizon aime beaucoup explorer et partir en vadrouille un peu partout. Elle est rarement propre, malgré une toilette intensive tous les soirs.

HISTOIRE :

La vie d’Epizon est certainement peu commune. Tout commença dans un autre endroit, bien loin de celui-ci. Une meute; deux loups. Un amour franc, honnête et pur. Et de cet amour naquit cinq louveteaux de la même portée, au pelage soyeux et aux caractères aussi différents les uns que les autres. « L’ainé », celui qui était arrivé en premier, se nommait Sofos. Puis vint le tour d’Oraïo, de Kakos, de notre petite Epizon; et de la cadette : Efthymos. Trois mâles pour deux femelles. C’est là que la vie de cette joyeuse petite famille commença.

Le père fut exilé de la meute, à cause d’un combat qui mena cette dernière à la famine. Trop amoureuse et malade pour élever ces petits toute seule, la mère décida de le suivre, et emmena ses enfants avec elle. Il lui fallut lutter à tout prix pour que sa malformation à sa patte avant droite ne la conduise pas jusqu’à la mort. Elle voulait que ses petits puissent vivre seuls en son absence. Un mois après leur sevrage, elle cessa de lutter; et s’en alla pour toujours. Le père savait que ce jour finirait par arriver. Les petits, eux, ne comprenaient pas, et ce fut un déchirement.

Néanmoins, il leur fallait survire; car telle était la volonté de leur mère. Le seul parent qui leur restait tâcha de leur enseigner tout ce qu’un loup devait savoir : chasser et combattre. Mais Epizon semblait plus téméraire que les autres ; alors elle décida de s’entraîner en parallèle. Elle voulait être prête à affronter seule la vie, le jour ou la petite famille devra se dissoudre. Son frère Kakos, avec qui elle était très proche car leurs caractères étaient assez similaire, l’accompagna avec elle dans ses entraînements assidus. Tout cela dans l’ignorance de leurs frères et sœurs, et de leur père.

Chaque nuit, ils se levaient ; Epizon s’entraînait à la course et combattait contre son frère, bien plus musclé qu’elle malgré son âge. Pendant l’entraînement, ils ne parlaient pas beaucoup; et se disaient juste de petites paroles d’encouragement. Ils n’en perdaient pas une miette. Quelque fois, ils faisaient une pause et contemplaient le paysage détruit, en pensant à leur mère. Mais ces instants n’étaient que de courte durée.

Quelques mois plus tard, la petite cadette (Efthymos), trop jeune pour supporter la famine qui les menaçait, se laissa mourir de froid. En effet, cet hiver-là était plus rude que tous les autres. Ce fut sans doute la perte de trop ; Kakos, accablé de remords, se disputa violemment avec son père avant de fuir vers « un nouveau monde ». Epizon ne l’a plus jamais revu depuis ce jour-là, et s’en veux terriblement de ne pas l’avoir retenu. Ils étaient très proches, et elle aimait son frère bien plus que les autres. Cette période fut sans doute la plus dure de sa vie; la perte de deux des membres de leur famille, la famine, sans oublier sa petite dépression. Pendant plusieurs jours elle refusa de manger, avant de finalement se dire que son frère n’aurait pas voulu ça. « Soit forte », lui aurait-il dit.

Suite à son départ, le père ne cessa de critiquer son fils disparu; à croire qu’il ne l’appréciait pas tant que ça. Et puis, un beau jour, ce fut l’insulte de trop. Epizon se disputa violemment avec son père. Malheureusement, tout cela dégénéra. Animée par une force encore inconnue chez la jeune louve, elle bondit sur son père et le mordit, le griffa, lui arracha de la chair. Elle ne ressentait ni douleur, ni compassion. Elle ne mesurait même plus la gravité de ces actes. Après quelques minutes de bataille acharnée, Epizon s’arrêta et recula, contemplant le corps de son père ensanglanté sur les débris du monde.

Elle ne savait plus quoi faire. Elle lui en voulait, certes, mais pas au points de le.. torturer. Non, elle n’avait pas voulu ça. Son pouls s’accéléra. Elle ne pouvait plus rien faire. Que feraient son frère et sa sœur, quand ils découvriraient le corps ? Anxieuse, elle s’enfuit lâchement. Exactement comme son frère avant elle. Pendant plusieurs jours, elle marcha sans interruption. Elle se nourrit et, une fois le moment venu, recommença à s’entraîner. Comme au bon vieux temps. Des fois, elle repensait à sa famille –ou ce qu’il en restait-. Et, étrangement, elle se surprit à ne rien ressentir envers son père. Comme si son meurtre n’était pour elle qu’un vulgaire obstacle.

Notre petite Epizon avait bien changée. Elle s’était endurcit. Elle s’était entraînée jusqu’à épuisement. Sa vie avait été bouleversée. Et puis un beau jour, elle est débarquée sur ces terres. Elle était malgré tout épuisée; et elle n’avait pas pour habitude de manger énormément. Elle débarqua sans le savoir dans une meute : les Sekemet. Après moult réflexion, elle s'est dit que survivre seule dans ce monde fou ne servirait à rien. Bonne chasseuse, elle accepta son poste de chasseur au sein de la meute.

Note : Elle est chez les Sekmet depuis 2 mois maintenant. Dîtes moi si c'est trop ou pas assez.

MON PARRAIN / MA MARRAINE : Personne. c:

MOT DE LA FIN : (c'est moi qui l'ai rajouté ça, hehe.) Je voulais juste vous dire bonjour, et merci de m’accueillir sur votre forum. ** Je n'ai pas fait une fiche très "belle", je vous l'accorde. Mais en ce moment je n'ai pas beaucoup de temps devant moi. Je n'ai écris que le strict nécessaire. Voilà. ♥ Des bisouuw.