Chasse continue [solo Koschei]

Mer 20 Mai - 18:04

J'ai oublié de lancé le dé /fail/

Mer 20 Mai - 18:04

Le membre 'Koschei' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de chasse' : 11

Mer 20 Mai - 18:35

Hunt
Human race, greatest monsters of them all.

Solo

F 27 | A 31 | E 31
11-4+2=9 chasse réussie
2 lancés de dés quotidiens restants

Il ne lui faut pas bien longtemps pour repérer la trace d’un ... Renard ? Oui, pas de doute, c’est bien un renard qu’il sent ... Un renard dans les tranchées ? Aussi loin des forêts ? Voilà quelque chose de particulier.

Mû plus par sa curiosité que par son appétit, Koschei s’aventure dans les Tranchées à la recherche de ce lointain cousin roux.

Le voilà d’ailleurs en train de se repaître d’une carcasse de ... quelque chose d’indistinguable. Le goupil n’a pas l’air maigre, son poil n’est pas des plus lustrés mais est tout de même assez propre. D’où ce renard sort-il ? Koschei remarque alors une bande noire autour de son cou. Un collier ? Serait-ce un renard domestique ? Cela expliquerait ce qu’il fait ici, il doit vivre avec un humain. Humain qui ne doit d’ailleurs pas être bien loin ...

Mais la perspective de tomber nez à nez avec un humain ne va pas refroidir Koschei pour autant, bien au contraire. Ce qui se trouve juste devant lui sera parfait pour remplir son garde manger, il ne va sûrement pas s’en priver juste pour éviter de mettre un humain en colère. C’est ironique comme les humains n’hésitent pas à massacrer des animaux sauvages en masse, mais dès qu’on touche à un de leurs animaux de compagnie, ils deviennent fous de rage.

Le vent change brusquement de direction, apportant son odeur vers le renard plutôt que l’inverse. Celui-ci se rend immédiatement compte de la présence d’un prédateur et se met à fuir en lançant des cris d’alerte ; Koschei s’élance à sa suite, maudissant le climat changeant. Le petit canidé est bien véloce et agile, et se glisse dans des interstices où Koschei a du mal à passer. Il gagne facilement du terrain sur lui, mais le loup noir ne se laissera pas battre de cette manière.

Une goutte froide lui tombe sur le museau. Super, voilà que la pluie arrive.

La pluie mouille le sol et le rend glissant, ce qui n’aide pas Koschei, et le renard non plus. Celui-ci s’étale dans la boue après avoir pris un tournant trop serré et le loup saisit sa chance pour lui bondir dessus mais glisse à son tour et atterrit juste à côté du goupil, qui commence déjà à se relever. La loup noir décoche un coup de patte vers sa proie, qui la touche et la remet au sol avec un grand “sploch”. Koschei se relève alors et s’approche de la bête, qu’il attrape par la peau du coup et cogne violemment contre une poutre pour l’assommer avant de l’achever d’un coup de crocs bien placé.

Mer 20 Mai - 19:53

Challenge
Hunter hunted

Solo

F 27 | A 31 | E 31

Temps de merde. Déjà que t’es obligé de crécher en plein milieu de ces foutues tranchées dégueulasses avec tous ces cadavres là, il faut en plus qu’il pleuve. Tout pour te faire chier, hein. Tes chiens n’aiment pas ça plus que toi, et le goupil non plus, t’avais pu le voir à son comportement quand il s’est levé. Maintenant il a disparu, sûrement parti chasser ou je-ne-sais quoi. Toi et le goupil ça fait quoi, un an que vous êtes ensemble ? Tu l’avais trouvé dans un trou en pleine forêt, sa mère crevée juste à côté. Et tu l’avais élevé, avec des deux chiens qui te suivaient depuis le début de cette foutue guerre -ça remonte à quand ça, déjà ? Trop loin, tu te rappelles même pas de ces jours-là. Depuis, le goupil t’a toujours suivi partout, il dort avec toi et les deux molosses, même si parfois il se barre pendant quelques heures -comme maintenant- pour aller faire ses trucs de renard. Tu t’inquiètes pour lui, même si jusqu’ici il est toujours revenu en morceaux, le monde est bien dangereux pour un jeune renard ; surtout que t’as repéré un chien enragé l’autre jour. T’as essayé de lui trier une balle, mais le bâtard l’avait esquivé.

Les deux molosses s’agitent. Ils sniffent l’entrée de votre abri de fortune fait de trucs et de machins que vous avez trouvés un peu partout : des pneus, des bâches, des poutres, ... un peu de tout tant que ça empêche la pluie de vous mouiller. Qu’est-ce qu’ils ont ? C’est pas la première fois qu’ils voient de la pluie, ils ont bien survécu à ce putain d’acide qui tombait du ciel, c’est pas une bête pluie d’H2O qui va les tuer.

Mais voilà que t’entends un cri. Tu te relèves d’un coup, tu le reconnaîtrais entre mille : le goupil. Les deux chiens aboient, ils ont entendu aussi -ben ouais, ils sont pas sourds. Tu ramasses ton arbalète et tu te mets à courir en direction du bruit, les deux molosses devant toi. Si quelqu’un a touché à un poil de ton goupil, il va se ramasser une balle entre les deux yeux ... On touche pas à ta famille pour en ressortir vivant. Tu voudrais pas l’admettre pour pas paraître d’une femmelette, mais tu l’aimes ce goupil. Comme tu aimes tes deux molosses. Comme t’as jamais aimé personne.

Les cris s’arrêtent soudainement. Il commence à dracher, les chiens glissent dans la boue. Le staff se pelte carrément et s’étale de tout son long dans la merde, et le dogue doit l’aider à se relever. Tu redoubles de vitesse et devances tes deux gamins, tu crains déjà pire. Et le pire est à craindre.

Tu trouves ton goupil dans la gueule d’un loup noir - ou bien c’est un chien, qu’est-ce que t’en sais, ça se ressemble tellement. Vous lancez tous trois des cris de rage, les deux molosses foncent sur la bête tous crocs dehors et toi tu mets à tirer des carreaux sans prendre le temps de viser. Ils sifflent à côté du démon, qui prend ses pattes à son cou. Ho, tu vas pas te mettre à chialer quand même ? Ressaisis-toi, du con, rattrape ce connard et venge ton goupil, c’est pas en pleurant que ça va s’arranger.

Tes gamins sont fous de rage, ils glissent sur le sol mais se relèvent aussitôt. Y’en a même un qui attrape presque le loup mais ses mâchoires claquent dans le vide. La bête noire vous emmène jusqu’à un couloir jonché de débris et de poutres en travers des tranchées. Il se faufile dedans avec son prix. Tes molosses le suivent, mais ils sont trop gros pour passer entre les poutres, alors ils les cassent avec des coups de crocs. Ils sont trop lents. Tu tires encore des carreaux mais le monstre les évite comme par magie. Il a de la chance, le petit con.

Tu passes entre les débris comme tu peux, puis tu continues de tracer après la bête. Les deux molosses te rattrapent et te dépassent. Vous continuez votre course folle dans le labyrinthe des tranchées. Quand tu te rends comte d’où le loup est en train d’aller, tu souris : il connaît pas les tranchées aussi bien que toi. Et il aura jamais l’occasion de les connaître.

Le démon manque de tomber dans le trou. Dommage, t’aurais bien voulu le voir s’empaler sur une des piques qui en tapissent le fond. Au lieu de ça, il s’arrête juste au bord, et manque de lâcher le goupil. Les deux chiens lui foncent dessus et toi tu le prends en joue. On est plus si malin, hein, le clébard ? Il te regarde avec ses yeux jaunes comme s’il te mettait au défi de l’attaquer et lance le goupil de l’autre côté du fossé avant de se retourner vers toi. Tu tires, cette fois-ci le carreau effleure son jarret, il trébuche mais tombe pas. Les deux chiens bondissent sur lui, tu veux armer un autre carreau mais tu te rends compte que t’en as plus : l’aurait fallu les économiser, débile.

Les trois chiens forment une grosse boule de poils et de boue qui gueule dans tous les sens. Tu vois pas trop comment ils s’en sortent, mais t’espère que tes gamins vont lui foutre une bonne raclée. Ouais, ben tu sais pas trop comment, mais la bête noir arrive à se sortir de ce gros tas et à tracer vers là d’où vous venez. Il laisse des gouttes de sang derrière lui : il a quand même été touché. Tu regardes tes gamins : y’en a un qui a une grosse griffure sur tout le poitrail et l’autre une morsure à l’épaule. Le gros con, ça lui suffit pas de tuer ton goupil, faut encore qu’il blesse tes chiens ?

Les chiens aboient vers un truc derrière toi. Tu te retournes et tu vois le démon te fixer avec un air supérieur, perché au-dessus des tranchées. C’est toi où il a un sourire mesquin sur la gueule en plus ? Les deux molosses essaient d’escalader la paroi pour l’atteindre, mais ça glisse, ils y arrivent pas. De colère, tu lui balances ton arbalète à la gueule, mais il l’esquive. Du coup tu lui lances toutes les injures du monde, comme si ça allait le blesser. Il se barre, redescend de l’autre côté du fossé, reprend le goupil dans sa gueule et continue son petit bonhomme de chemin en trottinant avec un air pète plus haut que son cul.

Fait chier. Tu le rattraperas jamais. T’as perdu goupil et ton arbalète. Journée de merde.

Mer 20 Mai - 20:19

Mer 20 Mai - 20:19

Le membre 'Koschei' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de chasse' : 10

Mer 20 Mai - 20:29

Koschei a écrit:: Hunt
Human race, greatest monsters of them all.

Solo
F 27 | A 31 | E 31
10-4+2=8 chasse réussie

Koschei s’arrête après une longue course, essoufflé, et laisse tomber sa proie au sol le temps de reprendre sa respiration. Sa peau le brûle là où le carreau l’a frôlé, mais ça reste supportable. La morsure à l’épaule, ça par contre, c’est plus douloureux.

Il la lèche comme il peut en se contorsionnant le cou, et quelque chose profite de cette distraction pour lui chiper sa proie : un éclair fauve et puis roux qui court en direction du fossé dans lequel Koschei avait manqué de tomber un peu plus tôt. Il s’élance à sa suite, en espérant que le coyote -puisque c’en était un vu l’odeur- n’aille pas s’empaler sur un pique avec son butin, qui serait perdu à jamais.

Heureusement, Koschei retrouve le chapardeur au bord du trou, se demandant ce qu’il allait faire. La peur dans ses yeux quand il vit le loup noir se rapprocher ... Koschei s’approche délibérément lentement pour instiller la terreur dans ce petit voleur. Dans un élan de panique suicidaire, celui-ci sprinte dans sa direction en espérant passer entre ses pattes, mais Koschei l’arrête en écrasant sa queue sous une de ses pattes. Le coyote laisse tomber le goupil sous l’effet de surprise. Il se retourne alors vers le loup et claque des mâchoires dans le vide en essayant de se dégager. Koschei lui donne une claque avec sa patte libre, ce qui l’étourdit. Ne reste plus qu’à l’achever.

Deux proies pour le prix d’une, c’est parfait. Il est l’heure de rentrer à la maison maintenant.

Mer 20 Mai - 20:30

BILAN 3

3

2 chasses réussies + 1 défi

terminée