En savoir plus | Mar 12 Mai - 21:01 | |
| ACAEUDD - Aveugle " Pour les uns tu es l'infirme, pour les autres le vieux, pour les dernier le sage. Qu'importe. Tu existes, voilà tout." NOM : Qu'on se le dise, c'est par ce nom que tu existes. Ne l'oublie pas, Acaeudd. PRONONCIATION : A-ka-eu-de AGE : Cela fait si longtemps que le soleil se lève derrière les nuages, sans que jamais tu ne puisse l'apprécier… 7 ans SEXE : Mâle MEUTE : Sekmet RANG : Conteur JAUGES :Force : 3 Agilité : 3 Endurance : 14 "Tu n'es pas de ceux que l'on oublie Acaeudd. Moi en tout cas, je crois que je ne pourrais jamais t'oublier." CARACTÈRE : Mélancolie. Errant dans ses pensées. Des souvenirs t’assaillent nuits et jours, se transformant en cauchemar. Ils te hantent, sans relâche. Te rendent fou. Fou de douleur. Fou de tristesse. Combien de fois t’es-tu éveillé en sursaut et criant comme au premier jour ? Combien de fois es-tu tombé ? Ils sont un malaise permanent. Une douleur intense. Une torture. Et pourtant… Tu n’as pas le courage de la laisser partir. Tu ne veux pas la quitter. Cette mélancolie perfide te rend faible. Tu n’es même plus capable de chasser quelques images. Tu ne sais pas la laisser partir. Tu ne veux pas. Tu ne peux pas. C’est dur, si dur. Prend-garde Acaeudd. Elle te ronge. Et je sais, c’est elle qui te tueras. Alors s’il te plaît, Acaeudd, laisse la partir. Laisse-la s’en aller. Ne la laisse pas te détruire. Ici. Avec toi. Tu es ce loup que l’on croise souvent. Celui qui déambule dans les épaves du monde ou celui qui s’allonge sur une pierre pour penser, réfléchir. Tu es l’épaule de celui qui a besoin d’aide, la main tendue pour celui qui veut se relever. Tu aimes aider. Tu n’aimes pas la violence. Tu aimerais un peu de paix en ce monde, à défaut d’instaurer la paix en toi. Tu es celui que l’on croit à l’écart. Celui qui impressionne, qui intimide par son vieux air et ses blessures. Mais au fond, je sais que tu aimes bien la compagnie. Tu aimes bien discuter Acaeudd. Je sais que tu n’aimes pas la solitude. Tu es ce loup que j'admire pour sa patience. Tu es ce loup que j'aimerais écouter pour toujours. Et tu es celui que j'aimerais sauver de cette mélancolie perfide.PHYSIQUE : L'ambre terne de tes yeux n'existe plus. Il a disparu, détruit par une patte rageuse. Souillé par le sang séché et la chaire reconstituée. Plus de regard. Plus jamais. Cicatrices. Que des cicatrices. Partout. Sur le museau, les membres, les flancs, le ventre, le dos, le poitrail. Partout. Blessures trahissant un triste passé. Une fourrure de jais, clairsemée de lignes argentées trahissant ton âge avancé, d'autre ta naissance. Une démarche incertaine, un peu absurde parfois. Mais de loin, tout ce que l'on voit, c'est un loup. PARTICULARITÉ : Cette croix qui barre ton front. Ce n'est pas une blessure de guerre. Non. C'est ta passé, Acaeudd. Une gravure douloureuse qui n'aura de cesse de te rappeler tes actes malheureux. Un symbole indélébile, qui scella ton destin à jamais. Une marque de chair et de sang qui fit de toi un aveugle. Au sens propre du terme. HISTOIRE : Le passé ne cesse de te hanter. Ce qu'il te faut c'est cesser de regarder en arrière. Oublier. Alors pourquoi en parler ? Mais s'il le faut alors soit, je le ferais pour toi. De toutes façon, tu en serais incapable. - Spoiler:
Deux frères. Deux rivaux. Asorek. Le beau mâle au pelage de jais uniforme. Dont les yeux sont des saphirs. Une silhouette noble et fière. Acaeudd. Une fourrure moins soyeuse, déjà parsemée de petits poils argentés. Dont les yeux ont un éclat moins intense, une couleur moins originale. Seulement de l’ambre. Une silhouette un peu faiblarde. Moins impressionnante. Tu n’étais qu’une pâle copie de ton frère. L’objet d’une terrible comparaison. Il était fait pour devenir un grand. Tu n’étais que son ombre. Tu n’existais pas. Ignorance à ton égard. Petit loup effacé. Sans personnalité. Tu ne savais pas te défendre alors tu étais juste leur souffre-douleur. Ces êtres sont bien cruels, n’est-ce pas ? Qui sont-ils pour te rabaisser de la sorte ? Qui sont-ils pour te rendre malheureux ? Mais surtout, qu’est-ce que tu leur as fait ? C’est une question qui te perturbait, qui revenait sans cesse. Mais à laquelle personne ne voulait répondre. Ou plutôt, à laquelle personne n’avait de réponse. Je me souviens ce jour où tu étais là. ; ventre contre terre, oreilles contre nuque. Tremblant de peur. Cachant ton désespoir. Ravalant ta colère. Et de ces deux jeunes loups aux pelage fauve, penchés sur ton corps. Dans leurs yeux ne voyait-on que du mépris. Et le plaisir de te faire peur, de te faire du mal. Des coups ? Non. Seulement des mots. Mais des mots d'une douleur insupportable. Ton frère était là. A quelques mètres. Il t'a regardé. Tu l'as supplié. Tes yeux lui disait "aide-moi, frère". Mais il n'a pas daigné te reconnaître. Ignorance. Il est parti sans se soucier. Mon frère ? Pourquoi ne pas être venu, quand j'avais tant besoin de toi ? J'étais faible, tu étais fort. Alors, pourquoi ne m'as tu pas protégé ?
Je te hais, Asorek, je te hais. Parce que tu as tout ce que je n'ai pas, parce que tu es mon exact contraire, parce que j'ai tant souffert à cause de toi, parce que je n'ai jamais été heureux. Je te hais parce que tu existes. Asorek, je te hais.
Tu le haïssais. Vraiment. Trop peut-être pour pouvoir le dire avec des mots. Mais tu n'as jamais osé lui dire. Tu l'as gardé, au fond de toi. Te contentant de le maudire pour ce qu'il et toi étaient... et de baisser le regard quand il passait à côté. Car malgré tout tu restais faible, inférieur. Incapable de te défendre, car tu n'as jamais appris. Car on ne t'a jamais encouragé à le faire. Car tu avais peur, tout simplement. C'est ainsi que tu vis une partie de ta vie. Da la crainte. Dans la haine d'un frère. Dans l'ignorance des autres. Dans leur cruauté. Dans la douleur. Sans avoir le courage de dire leur dire stop. Sans savoir comment leur dire "je suis comme vous".
Tu fuyais. Tournant le dos, la queue entre les jambes. Tu fuyais le monde et les autres. Pourquoi aider ? La peur et le manque de courage t'ont rendu lâche. Tu n'as jamais eu la volonté d'affronter qui que soit. D'aider ou de comprendre. Et au fond tu le savais, tu haïssais ton frère un peu plus à chaque fois. Et à chaque fois, tu commençais à te haïr. Tu étais triste alors à cette époque. Si triste.
Et un jour, tu as commis l’irréparable. Ton frère avait trouvé une compagne. Il était heureux. Il avait quelqu'un qui l'aimait. Toi, personne ne t'aimait. Qui aurait pu de toutes façon ? Qu'importe. Cela se passa un jour d'été. Le soleil déclinait ses couleurs en un doux tableau de crépuscule. Et elle était là, la douce compagne d'Asorek. Désespoir en elle qu'il était vain essayer de cacher, il se lisait en ses yeux. Leur émeraude n'avait plus aucun éclat. Ils étaient vides. Et elle aussi, elle était vide. Elle se tenait donc là, au bord du gouffre. Et toi aussi, tu étais là. "Dis à ton frère qu'il n'aurait rien pu faire." Une patte après l'autre sur le sol. Puis une dans le vide. Et son corps bascule. Tombe. Et ne se relève plus. Tu ne l'as pas empêchée de mourir. Tu ne t'es pas levé. Tu l'a juste regardé. Pétrifié. Tremblant. Comme à ton habitude. Mais n'ai crainte Acaeudd. Tu n'aurais rien pu faire. Rien. Hélas, ce n'était pas l'avis de ton frère qui de loin, avait vu sa belle se donner à la mort. Le fautif ? Toi. L'irréparable ? L'avoir laissée tomber. Alors il t'as battu. Mordant ta peau et lacérant ta chaire. Exprimant avec force et haine tout son désespoir et sa colère. Qu'est-ce que ça change de toute façon ? Pour les autres, tu n'étais bon qu'à ça. Être battu, dénigré, rabaissé, méprisé. Mais cette violence fut toute nouvelle. Car ce soir-là Asorek t'as battu au sang. Oui au sang.
Les jours ne changèrent pas. Tristesse et souffrance. C'étaient les seuls sentiments que tu connaissais.
Puis elle est entrée dans ta vie. Kaadien. Elle était si belle. Aussi blanche que la neige des sommets. C'est toi qu'elle a vu. Le petit loup à la fourrure noire zébrée de gris. Faible et tremblant. Peureux. Seul. Souffrant. Toi, pas lui. Pas le grand noir comme ébène. Fier et sûr de lui. Non. C'est Acaeudd qu'elle a vu. Pas Asorek. Juste Acaeudd. Elle était tout. Tout. Toi qui avait toujours été seul, elle était là. Toi qui avait tant souffert. Elle était là. Toi qui étais si triste. Elle demeurait là. Au fond tu restais le même. Faible. Lâche. Mais Kaadien fermait les yeux. Et elle restait là. Elle était le réconfort. Simplement. Car elle a su lire en toi. Elle a su lire cette solitude, cette souffrance et ce desespoir. Oui, elle a su. Et moi aussi en toi je lis. Je lis ce que tu n'as jamais osé lui dire, jamais osé lui montrer. Je lis en toi la naissance d'un nouveau sentiment. Celui d'être heureux. Des sensations que tu ne connaissais pas. Que tu découvres avec elle. Je lis en toi la reconnaissance. Je ne lis que Kaadien, qui demeure en toi. Il n'y avait qu'elle. Kaadien. Toujours plus présente. Toujours. Toujours.
Mais un tel bonheur peut-il durer ? Non. Ton bonheur a toi ne peut pas durer. Tu n'as connu que souffrance. Le bonheur devrait t'être étranger. C'était irréel. Le destin a décidé de précipiter les choses. Et la mort de te prendre ce à quoi tu tenais tant. Trop vite. Beaucoup trop vite... C'est ce souvenirs qui te hante. Prenant des formes cauchemardesques, il s'insinue en toi pour t'effrayer. Te faire tomber. De vieux démons s'amusent. Et tu hurles le passé perdu. Qui te prend en traître. Ravive la souffrance, la solitude et la détresse que tu as toujours connu. C'est dur. Si dur de se rappeler... Il y eut un temps où tu jalousais férocement ton frère. Il était tout. Tu n'étais rien. Puis il y eut un temps où les choses furent bouleversées. Il était fou. De douleur et de chagrin, depuis que sa belle s'était donné la mort. Toi, tu étais heureux depuis l'arrivé de ta belle. Il l'avait vu. Il le savait. Tu avais beau rester ce petit louvard faible, courbant l'échine devant plus grand, tremblant de peur, et fuyant comme un lâche, hélas il y avait cet éclat dans tes yeux qui ne pouvait le tromper. Tu étais heureux. C'était inconcevable. Comment les choses avaient-elles pu changer à ce point ? Pourquoi lui était en proie au désespoir, et pourquoi toi, goutais-tu au bonheur. Tu n'avais pas le droit. Non. C'est insensé. Insensé. Impossible. Il faut changer ça. Toi Acaeudd, tu n'as pas le droit d'être heureux.
Je me souviens. Ferme les yeux. Et écoute. Deux personnages, au bord de ce gouffre où la belle était tombée. Asorek. Grand et fier. Rongé par la douleur. Le chagrin. Les yeux brillants d'une intention malsaine. Derrière ses crocs, entre ses mâchoires puissantes, la nuque de Kaadien. La belle dont la fourrure si blanche offre un fort contraste avec le poil si noir du bourreau. Il serre. Doucement. Il perce la chaire. Doucement. Le sang coule. Depuis longtemps déjà. Elle est faible. Elle a mal. Mais elle se retient. Elle ne veut pas crier. Elle ne veut pas. Elle veut te sauver toi. Pas elle. "Alors mon frère. Seras-tu assez lâche pour t'enfuir ?" Toi aussi, tu es là. Mais tu ne bouges pas. Tu as peur. Si peur. Tu trembles. Tes pattes menacent de se dérober. Tu ne sais pas. Tu ne sais pas. Confusion. Une douleur qui se ravive. Te brûle. Te ronge. "Sache que si tu fuis, je la tue." Tu veux fuir. Fermer les yeux. Et ne plus y penser. Tu veux te sauver. Comme à chaque fois. Mais elle est là. Elle est là. Kaadien. Tu voudrais l'aider. Mais tu ne peux pas. Tu ne sais pas. Tu n'as pas le courage. Si tu y vas, c'est toi qui vas mourir. Alors tu ne veux pas. Non, tu ne sais pas. Que faire ? Que faire ?! C'est si dur de choisir. Si dur. Tu l'entends ricaner. Il resserre la pression de ses mâchoires sur sa proie. Petit à petit. Le sang dégouline sur la fourrure immaculée de la blanche. Elle souffre, tu le vois. Une flaque de sang s'est remplie sur le sol. Elle se vide. Mais elle se tait. Elle sait, que c'est ton combat. Elle sait, que c’est à toi de choisir. Alors elle se tait. Chaque minute qui s’écoule l’éloigne un peu plus de toi. De ce monde. Mais elle a confiance. Elle croit en toi. Elle croit. Tu n’y tins plus. Tu ne peux plus. Alors tu bondis. Heurte ton frère qui lâche instantanément sa proie. Asséner un coup de griffe sur son crâne qui se met à ruisseler. Il n’a pas bougé. Il t’a regardé faire. Il t’as attendu. Le frère lâche un grognement et roule sur le côté. Patient. Il attend à présent. La belle s’est écroulée par terre, à bout de force. Ton museau frôle le sien. Tu t’allonges à ses côtés. Pose ta tête contre la sienne. Souffrant pour elle. Un faible sourire se dessine sur ses babines vermeilles. « Tu es venu, Acaeudd. Tu es venu. » Oui, tu es venu. Mais tu n’entends pas ses paroles. Ou plutôt, tu ne veux pas les entendre. Ne pars pas, je t’en supplie. Reste près de moi. Restes. Ne me laisse pas. S’il te plait. J’ai tant besoin de toi. Reste. Reste. Je t’en prie. Je t’en prie. Ne me laisse pas. Non. S’il te plait… Mais elle succombe de ses blessures. Tu es arrivé trop tard.
Asorek ricane. Il est fier de lui. Il a gagné. "Je t'ai privé de ta lumière, frère ! A présent, c'est la vrai lumière que je vais te prendre." Il se jette sur toi. Il meurtri ton corps, pour la deuxième fois. Il jubile. Mais tu n’as pas la force de riposte. La douleur était-elle que tu sentais ton corps se consumer. Se détruire. Abattu et implorant le ciel, tu portes ton regard sur l’astre d’or. Et enfin, l’assaillant porte le coup fatal. Celui qui scellerait ton destin auprès de cette chose, sans forme ni couleur. Celui qui ferait de toi un fantôme. Prisonnier de ses rêves. Condamné à vivre dans la plus totale obscurité. Tu poussas un premier cri, manifestation de la douleur. Puis un second, dans lequel tous les sentiments furent mêlés. La rage. La crainte. Le désespoir. La solitude. Un dernier rayon de soleil. Et tout s’éteint. Tu es la proie des ténèbres. Et tu t’écroules. Inconscient.
Combien de temps es-tu resté dans cet état ? Tu ne sais pas. Tu ne te souviens que du noir. De la douleur fulgurante. Tu ne vois rien. Plus rien du tout. Tu te relèves. Titubant. Te dirige difficilement vers le corps sans vie de Kaadien. Tu l’appelles. Elle ne répond pas. La pousse du museau. Elle ne réagit pas. Tu comprends. Tu te souviens. Alors tu hurles. Hurles comme jamais. Ce n’est pas un hurlement mélodieux. Non. Cela n’a plus rien de lupin. C’est un cri monstrueux. Effrayant. Oui, tellement effrayant. Tu hurles encore et encore. Crachant ton chagrin. Non. Non. Tu poses la tête sur son flanc. Tu implores le ciel de te la rendre. Mais il ne peut pas. C’est injuste. Si injuste. Alors tu hurles encore. Tu hurles. Je crois que cette nuit là, on n’entendit que ton chagrin. Il montait dans le ciel. Allait si loin. Si loin devant. Devenait écho. Mais c’est fini Acaeudd, c’est fini. Arrête. Arrête. Elle est partie maintenant. Elle est partie. Partie. Tu ne peux rien, c’est comme ça. C’est fini. Allez, Acaeudd. Arrête. C’est fini. C’est fini. C'est fini. Elle est partie. A jamais.
Ténèbres. Tout n'était que ténèbres. Obscurité. Il n'y avait plus rien. Plus rien. Aucun rayon de lumière. Aucun moyen de lever ce voile oppressant. C'est une réalité à laquelle tu ne peux plus échapper, Acaeudd. Tu es aveugle. Et tu le restera jusqu'à la fin de tes jours. Isolement. Repli. Au plus profond. Tu te noyais dans ton chagrin. Tu n'avais jamais été aussi seul. La mort ne voulait pas de toi. Alors il fallait vivre. Mais c'était si dur. Tu étais un fantôme errant. Trainant péniblement tes chaînes dans ce monde où tout était noir. Portant un désespoir immense. En souffrant toujours. En souffrant tellement. Tu n'avais plus la force de te relever. Et personne n'était-là pour t'aider. Personne. Seulement ces rêves qui te hantent. Tu revois ta belle dans un décor de flamme. Le sang coule en abondance sur sa fourrure. Ses yeux sont vides. Elle n'est que zombie. Comme toi. Sa voix s'élève, sèche et cassante : "Jamais, je ne te pardonnerais. L'image bascule. Tu te réveilles, et tu as peur. Alors tu cris. Tu hurles. Comme ce jour là.
"Comment pourrais-je la regarder en face, lorsque je la reverrais ?" Tu ne pourras pas. Et cette pensée te détruisait. Tu avais commis tant de fautes. Tu t'étais enfui tant de fois. Mais c'est fini. Tu ne le feras plus. Tu en as fait un objectif. Ne plus fuir. Jamais. Tant ont souffert et tant sont morts. Par ta faute. Alors tu ne fuiras plus. Plus jamais. Tu tendras la main à celui qui tombe, pour l'aider à se relever. Tu veux qu'Acaeudd le faible disparaisse à jamais. Tu ne veux plus de lui. Tu ne veux plus. Alors tu te relèves, après être tombé tant de fois. Et tu espères que quand tu la reverras, tu garderas la tête haute. Tu espères qu'elle te pardonnera. Et surtout, surtout tu espères qu'elle sera fière de toi.
Mais moi je sais, Acaeudd. Je le sais. Elle sera fière de toi. Moi en tout cas, je suis fière de toi. Et aujourd'hui, tu survis. Dans ce monde aussi ce noir et triste que ta cécité. La langue claquant au passage des mots, racontant des histoires. Le coeur fatigué, qui pourtant bat encore. |
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En savoir plus | Mar 12 Mai - 21:08 | |
| Bienvenue à toi =), donc tu peux voir pour devenir Guérisseur, Oméga, ou alors conteur (un rang qui n'a jamais été utilisé au passage =p), ce sont les trois rangs qui peuvent te permettre d'évoluer en rp ^^, pour ce qui est de ta fiche je finirais de la lire demain en tout cas j'aime déjà le début =p |
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En savoir plus | Mar 12 Mai - 21:09 | |
| Bienvenue ! J'aime tellement comment tu as mené ta présentation. :313107741: Comme rang, je vois que tu n'as pas d'idée, je peux personnellement te proposer Conteur : - Citation :
- CONTEUR/EUSE : Le conteur / conteuse sont souvent de vieux loups/louves pleins de sagesse qui racontent de vieilles histoires aux louveteaux et au reste de la meute.
Ce serait intéressant, il n'y en a pas encore sur le forum. |
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En savoir plus Messages : 2661
Points : 47
Âge Personnage : 8 ans
Rang : Alpha
Niveau Rang : Suprême
Maladie :
Blessure :
Détails blessures : Pas de Blessure
Détails maladie : Pas de Symptôme
Bonus Force : +0
Bonus Agilité : +0
Bonus Endurance : +0
Bonus score de chasse : Score de chasse : +8
Nombre de lancers quotidien : Nombre de Chasse : +6
Bonus Santé : Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres : Trait de faction mercenariat:
- Possibilité d'agir et proposer des contrats
- Neutralité imposée lors de conflits sauf en cas de menace (incapacité à démarrer une guerre)
Trait de faction tyran:
- bonus combat
Compétence d'élite :
| Mar 12 Mai - 23:43 | |
| Bienvenue. Bonne chance pour ta validation. J'ai hâte de Rp avec toi ton perso m'a l'air plus qu'interessant =3
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En savoir plus Messages : 1610
Points : 6
Âge Personnage : 8 ans
Rang : Guerrier
Niveau Rang : Leader
Maladie :
Blessure :
Détails blessures : Pas de Blessure
Détails maladie : Pas de Symptôme
Bonus Force : +4
Bonus Agilité : +4
Bonus Endurance : +4
Bonus score de chasse : Score de chasse : +8
Nombre de lancers quotidien : Nombre de Chasse : 6
Bonus Santé : Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres : BONUS COMBAT
(Trait de faction)
– Réduit la gravité des Blessures reçues
– Augmente la gravité des Blessures de l'adversaire
BONUS CHASSE
(Trait de faction)
– 2 proies au lieu d'une seule lors d'un 18 au dé
– 1 Lancer de dé de chasse supplémentaire
– +3 aux résultats du dé de chasse
Compétence d'élite :
| Mer 13 Mai - 7:36 | |
| Owiiii! *^* bienvenue! réserve moi un rp avec Althéa, c'est un louveteau et elle sera ravie d'écouter tes histoires! |
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En savoir plus | Mer 13 Mai - 9:37 | |
| J'ai adoré ton histoire ^^, ton nom de lune est donc Douce Amertume bienvenue chez les Sekmets ! Je t'invite à faire ta fiche de personnage ici, il te manque donc seulement un avatar =), à savoir que tu peux en commander un dans nos ateliers ! =D enfin quoiqu'il en soit, amuse toi bien parmi nous avec ton loup loup =) |
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En savoir plus Messages : 8611
Points : 5
Âge Personnage : 6 mois
Rang : Apprenti
Niveau Rang : Bleu
Maladie :
Blessure :
Détails blessures : Pas de Blessure
Détails maladie : Pas de Symptôme
Bonus Force : +0
Bonus Agilité : +0
Bonus Endurance : +0
Bonus score de chasse : Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien : Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé : Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres : BONUS COMBAT
(Trait de faction)
– Réduit la gravité des Blessures reçues
– Augmente la gravité des Blessures de l'adversaire
BONUS CHASSE
(Trait de faction)
– 2 proies au lieu d'une seule lors d'un 18 au dé
– 1 Lancer de dé de chasse supplémentaire
– +3 aux résultats du dé de chasse
Compétence d'élite :
| Mer 13 Mai - 16:43 | |
| Bienvenue, ton perso' est super ! ** |
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En savoir plus Messages : 3480
Points : 55
Âge Personnage : 5 ans
Rang : Guerrier
Niveau Rang : Recrue
Maladie :
Blessure :
Détails blessures : Pas de Blessure
Détails maladie : Pas de Symptôme
Bonus Force : +0
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Bonus Endurance : +0
Bonus score de chasse : Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien : Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé : Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres : BONUS COMBAT
(Trait de faction)
– Réduit la gravité des Blessures reçues
– Augmente la gravité des Blessures de l'adversaire
BONUS CHASSE
(Trait de faction)
– 2 proies au lieu d'une seule lors d'un 18 au dé
– 1 Lancer de dé de chasse supplémentaire
– +3 aux résultats du dé de chasse
Compétence d'élite :
| Mer 13 Mai - 18:04 | |
| Yeaaah *Highfive entre vieux ! xD*
Bienvenue parmi nous ! J'adore ton personnage ! :2176152401: |
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