F : 64 - A : 58 - E : 59
Depuis le jour où Helya t'a demandé son aide, depuis le moment où les louveteaux ont vu le jour, tu es resté loin d'eux, de elle. Depuis ce moment-là, tu doutes, rongé par ce secret qui t'est tout de même lourd, qui t'handicape, t'empêche d'avoir un avenir à toi. Jusqu'à quand devras-tu jouer ce rôle qui n'est pas tien ? Comment dois-tu te comporter face à ces trois nouveaux nés ? Est-ce bien de te rapprocher d'eux ? De faire comme si ils sont tient ? Ton absence auprès de la louve a dû se faire sentir parmi la meute, douteront-ils de la véracité de cette mise en scène ? Te prendront-ils pour un mauvais père abandonnant sa compagne affaiblit et ses trois nouveaux nés ? Tu n'en sais rien mais, au fond de toi, tu as peur, peur de faire quelque chose de mal, peur que l'on découvre ce secret que tu tentes de cacher pour elle. Est-ce réellement utile de cacher tout cela à la meute ? Et lorsqu'elle pourra enfin se montrer au grand jour avec son véritable compagnon, comment réagiront le reste de la meute ? Prendraient-ils cela comme une traîtrise ? Seras-tu qualifié de traître toi aussi pour avoir voulu aidé une sœur de la meute ? Tu as l'impression de faire fausse route mais, là n'est pas le pire …

Si pendant cette période de secret, tu rencontres une louve qui t'est attirante, comment feras-tu ? Tu seras obligé de faire semblait d'être déjà avec quelqu'un, d'être un père, laissant ainsi tes désires de côtés, y arriveras-tu seulement ? Fort heureusement, tu n'es pas intéressé par ces choses là pour le moment mais, qui peut savoir quand l'amour frappera ? Toi même tu sais que tu seras impuissant face à cela. Ainsi, enchaîné à ce terrible secret, tu ne pourras avoir un avenir à toi, pas tant que l'avenir de la louve aveugle ne soit pas en sécurité. Passer le bonheur des autres avant le tien, c'est ce que tu fais de mieux mais, tu prend de l'âge, peut-être devrais-tu réellement prendre en compte le fait qu'il te faudra tôt ou tard une descendance. Pourquoi faire après tout ? Tu n'es même pas capable de t'occuper de nouveaux nés, les fuyants comme la peste et, pourtant, il te faudra aller la voir, jouer le rôle qu'elle t'a demandé pour n'éveiller aucun soupçon. Tu te demandes encore ce qui adviendra par la suite mais, en même temps, tu préfères ne pas y penser. Avec de la chance, tout cela sera bientôt terminé, une fois les Sekmet libre et la Horde détruite, à ce moment-là alors elle pourra être avec son compagnon et, toi, tu seras libre de ce secret mais, pas tout à fait et tu le sais … Comment fera-t-elle pour expliquer aux autres que, enfin de compte, ces louveteaux ne sont pas de toi mais du Hordien ? Même à ce moment-là la meute pourra le prendre mal et, dans tous les cas, tu es prit entre deux feu …

Malgré toutes ces pensées et questions qui te tiraillent, tu ne l'abandonneras pas, amenant ce secret jusqu'à ta tombe si il le faut. Pour le moment, tu ne te sens pas apte à affronter cette réalité que vous vous êtes créé mais, d'ici peu, tu iras la voir et faire ce qu'elle attend de toi ...

Jet de dé chasse [1|4]

F : 64 - A : 58 - E : 59
T'ébrouant, tu quittes l'épave pour allait faire un tour, tes pensées ailleurs, tu essayes de les ramener à toi afin de te concentrer sur une unique chose. Se poser tant de question ne sert à rien, tu te tortures mentalement et, tu ferais mieux d'agir normalement avant d'éveiller le moindre soupçon. T'éloignant de l'oiseau de fer, tu t'enfonces de ce qui reste de forêt dans vos terres, Chasser, voilà ce qui te permettra de ne penser à rien, chasser, voilà la meilleur chose que tu saches faire. T'arrêtant, balayant le sol de ta truffe, tu finis par capter une odeur récente et, décide de la suivre. Remontant la piste d'un petit troupeau de biche, tu te tapis entre les arbres, t'avançant sans un bruit, observant celle qui sera ta cible. Ne bougeant pas d'un poil, tu attendis le bon moment, patient …

L'attention des cervidés captés ailleurs, le cerf trop loin de celle que tu as pris pour cible, tu t'élances dans leur direction, le regard posé sur celle que tu convoites. Le troupeau se mit à courir en tout sens sous ton odeur de prédateur et ton arrivé éclair. Tu passes entre les diverses biches présentes, esquivant leurs sabots au passage et, te jettes sur celle que tu avais choisit. L'attrapant à la patte, elle se mit à chuter et, tu profites de ce moment pour lui attraper la gorge, secouant, tu finis par entendre le craquement de sa nuque puis, le cervidé devint moue dans ta gueule, sans vie ...

11 - 4 (malus) + 4 (bonus) = 11 (réussi +1 biche)
Jet de dé chasse [1|4]

F : 64 - A : 58 - E : 59
La biche morte, tu la lâches, voulant l'attraper par les pattes pour pouvoir la traîner mais, l'odeur du cerf se rapprochant peu à peu de toi te fit esquiver de justesse la charge meurtrière de celui-ci. Bondissant de côté, tu te retournes pour faire face à celui qui a tenté de t'attaquer, les babines retroussés, un grondement sourd s'élevant. Le cerf t'observe, se met à gratter furieusement le sol de ses sabots, se préparant à te foncer de nouveau dessus, la tête baissé pour que ses bois soient en première ligne, prête à t'embrocher mais, tu n'es pas aussi idiote qu'il semble le croire et, esquive agilement sa nouvelle charge, profitant de son arrêt pour pouvoir se retourner afin de lui sauter à la gorge, tes crocs l'attrapant et, se resserrant, ne le relâche sous aucun prétexte. Essayant de te faire lâcher prise, il tente de te donner des coups avec ses bois. L'un d'eux t’effleure au niveau de la cuisse mais, tu ne lâches pas prise. Tu te mis à tirer, essayant de le faire basculer sur le côté mais, il est résistant et ne semble pas vouloir se plier face à la force de ta mâchoire. Mettant plus de force dans ta mâchoire, tu essayes de secouer son cou, essayes de le tirer davantage mais, le cerf manque de te donner un coup qui aurait pu être sérieux. Lâchant prise, tu te recules, la gueule remplit de son sang.

Plus prisonnier de tes crocs, le cerf tente de s'enfuir mais, tu ne le laisses pas partir et, t'élance dans sa direction, la rattrapant et te jette sur ses membres postérieurs, sanctionnant l'un de ses nerfs, le faisant trébucher avant de te jeter de nouveau sur sa gorge et, cette fois-ci, réussis à le plier à ta volonté … Mort, le sang du cervidé se rependant, tu lèves la tête, la langue pendante, reprenant ton souffle en regardant partout autour de toi avant de passer sa langue sur tes babines pleines de sang. Il va te falloir de l'aide pour hisser et le cerf et la biche jusqu'au reste de la meute et, tu levas la gueule en l'air avant d'émettre un long hurlement ...

12 - 4 (malus) + 4 (bonus) = 12 (réussi +1 cerf)
Jet de dé chasse [2|4]

F : 64 - A : 58 - E : 59
Ramenant les deux cervidés jusqu'à la soi disant tanière avec l'aide de d'autres loups de la meute, tu les laisses se charger du reste avant de retourner dans la forêt pour chasser. La guerre approche et, tu as besoin de t'entraîner sérieusement mais, surtout, cela t'évite de penser à ta situation. Tu trottines jusqu'aux premiers arbres de la forêt et, huma le sol un moment tout en avançant doucement avant de sentir une odeur. Remontant jusqu'à elle, tu tombes nez à nez avec un blaireau. Si un cerf n'est pas évidant à attraper, il en est de même avec un blaireau qui peut se montrer très agressif pour pouvoir se protéger. L'animal ne mit pas longtemps à sentir ta présence et se met sur la défensive. Nullement impressionné, tu te jettes sur lui, commençant une lutte avec. Ce n'est pas la première fois que tu te bats contre pareil proie et cela permettra de mieux te préparer. Essayant de te blesser, essayant de faire en sorte que tu ne puisses pas l'attraper, ce duel se termina lorsque tu réussis enfin à planter tes crocs dans sa chair, le faisant aller où tu souhaites avant de le tuer pour de bon. Quelque peu exténué par cette lutte, tu pris le temps de reprendre ton souffle avant de l'attraper et, le traîne jusqu'aux autres ...

8 - 4 (malus) + 4 (bonus) = 8 (réussi +1 blaireau)
Jet de dé chasse [3|4]

F : 64 - A : 58 - E : 59
Ce que je peux m'emmerder … Sérieux, devoir rester là sans rien foutre à attendre que les gars reviennent de leur petite chasse, c'est chiant et, en plus, même pas une seule femme pour me divertir ! Pourquoi a-t-il fallut qu'on choisissent d'installer notre camp ici aussi proche de ces maudits loups ? Ils n'arrêtent pas de venir pour nous piller ! Si ça continue comme ça, on aura plus rien pour se défendre et c'est complètement impensable de se faire battre aussi facilement par ces maudits cabots ! Je n'aime vraiment pas ces sacs à puce sauvage … Enfin, tant qu'ils ne viennent pas m'emmerder, tout va bien …

Bien sûr, il a fallut que je parle trop vite … Les aboiements des deux chiens qui me tiennent compagnie pour ma garde m’interpelle. Me redressant d'un bond, fusil en main, je me rapproche pour voir ce qui cause tant d'agitation et, vit l'immense loup noir dressé devant les chiens, le poil hérissé, montrant les crocs. Il fait vraiment peur celui-là ! Qu'est-ce qu'il veut ?! Hors de question qu'il touche à nos ressources ! Pointant mon fusil vers lui, je tire mais, le rate de quelques centimètres, ce qui eut pour effet de le faire décamper, tant mieux ! Lâchant un soupir, j'allais pour reprendre place mais, les chiens ne semblent pas vouloir se calmer et, le loup revint à la charge. Essayant de s'en prendre à l'un des chiens, je me redresse et pointe de nouveau mon arme sur lui mais, cette fois-ci, il esquive avant que je n'ai eu le temps de tirer, maudit soit-il !

Je recharge mon fusil puis m'approche des chiens lorsque le loup fut suffisamment en retrait et, les détache. Filant en direction du loup, celui-ci partie en courant. Les suivant à pied, j'essaye de ne pas me laisser distancier par eux, arme toujours en main. Les chiens réussirent à le bloquer entre eux, se tenant toutefois à porté des crocs du loup. Arrivant à bonne distance, je pointe mon arme vers le loup qui a dû flairer mon odeur car, sa tête se tourne vers moi et m'accueil avec un grondement qui ne se veut en rien sympathique. Aller mec, tu dois pas flipper ! Appuie sur cette gâchette et il ne fera plus le malin ! Plus facile à dire qu'à faire ouais, c'est qu'il me fait peur ! Il est monstrueux ce loup ! Il est aussi noir que les ténèbres et ses yeux sont presque blanc on dirait ! Il me fait froid dans le dos cet abruti ! Tirant, je le loupe de nouveau et, le voilà qu'il fonce vers moi. Prit de panique, je me mis à fuir à l'opposer en hurlant aux chiens de l'attaquer. Aux couinements et grognement que j’entends, ils ont dû réussir à rattraper le loup et doivent probablement se battre, en tout cas, ce n'est pas mon affaire ! Je préfère décamper en vitesse avant qu'il en ait terminé avec les chiens et, qu'il décide de s'en prendre à moi !

6 - 4 (malus) + 4 (bonus) = 6 (raté)
Jet de dé chasse [4|4]

F : 64 - A : 58 - E : 59
L'homme a décampé, te laissant seul face à ses molosses. Te défendant contre eux, tu réussis à en blesser un, faisant reculer l'autre. Malgré leur taille, ces canidés semblent avoir été dressé pour attaquer et tuer, tu ferais mieux de leur échapper avant qu'ils ne te taillent en pièce. Passant entre leurs crocs, tu fis demi-tour et partie aussi vite que possible. Ainsi, les Hommes ont levé un camp sur votre territoire, il va te falloir t'occuper d'eux … Ils ne semblent pas être beaucoup mais, en tout cas, tant qu'ils auront de quoi survivre, ils resteront ici. Tu décides d'arrêter ta chasse et de te rendre jusqu'au reste de la meute pour aujourd'hui ...

2 - 4 (malus) + 4 (bonus) = 2 (raté)
The End