Il y a quelques jours de cela, lors d'une de ses promenade, le loup gris surprit une conversation entre deux loups. Caché par des buissons et par l'absence de vent, Kiriac écouta avec attention les dires de ces deux inconnus. Ils parlaient du Conseil de la Lune et les possibilité qu'ils avaient envisagé. Kiriac n'avait pas était mit au courant de cette réunion car trop occupé à se cacher des autres. Plus la conversation durait, plus des informations importante lui venaient à l'oreille. Oui, lors du Conseils , ils avaient énumérée les possibilités possibles et que finalement, presque tous avaient choisit cette décision: Aller sur le front et saboter les engins des hommes. Kiriac en voulut savoir plus, mais les deux loups continuèrent à s'éloigner vers leur territoire. Kiriac eu juste le temps d'entendre leur dernière phrase:

-Ont a tous rendez vous dans une lune.

Puis leur voie disparut et le silence reprit son droit. Kiriac sortit alors de sa cachette, vérifiant qu'ils étaient bien parti. Il resta pensif un long moment, réfléchissant à ce qu'il venait de découvrir. ''Alors comme ça, les humains se rapprochent dangereusement...il faut faire quelque chose.....il faut les en empêcher et vite ! '' Il grogna un peu sous la colère, conscient que les jours se rapprochaient et qu'il n'aurait pas beaucoup de temps pour trouver l'endroit ou se déroulera la réunion entre les loups. Mais il devait aussi encore s'entrainer pour e jour fatidique: Oui il allait y aller, même si on l'avait pas invité. En temps que dernier Hurleurs de l'Aube, il fallait qu'il agisse en leur nom. ''Ils n'auront pas le privilège d'écraser nos terres avec leur machines de guerre non ! je vais les en empêcher !'' Cria t il intérieurement. C'est alors qu'il décida d'aller à la cabane du chasseur, voulant étudier leur piège et leur outils pour peut être mieux anticiper l'attaque contre eux. ''Enfin, ont va pas les attaquaient directement, mais si il le fallait je serais prét''. D'un regards étincelant de volonté, il se mit en route, courant à bonne allure.

-Mon entrainement comme ici et maintenant !

Grogna t il, guidé par sa colère et son envie de les combattre. Oui, la flamme de la combativité et du courage le possédé entièrement, guidant ses pas. Même si il lui restait une longue distance avant d'arriver jusqu’à la cabane, il continuerait à courir. Son cœur battait vite par l'effort et sa pulsion meurtrière envers les humains. Ses muscles se contractaient à chacun de ses mouvement, sa respiration était forte mais régulière et ses mouvements fluides et sûr. Oui depuis quelques temps, il avait retrouvé de l'assurance et il était devenu plus fort aussi. Kiriac n'a que 3 ans mais déjà il surpassait la plupart des loups des environs. Sans ralentir, il arriva enfin au lieux qu'il voulait aller.
Il s’arrêta en dérapant , contrôlant son arrêt. Il alla d'un pas rapide vers la structure de bois et regarda ce qu'il y avait dedans. Il arracha avec ses mâchoires les drôles de trucs en ferrailles, les posa au sols, puis il alla chercher des morceaux de bois.

-Je veux pas tester ces choses avec mes pattes ou mon museau.

Une fois fait, il posa quelques branches solides au sol prêt du tas de fer. Il analysa certains de ces objets, mentant de coté ceux qui n'était pas dangereux à première vu. Puis vint le piège à animaux. Il prit un morceau de bois et le mit dedans, ce qui le coupa net. ''Donc si j'en voie, il faut surtout pas que je marche dessus ..je mettrais ce que je trouve pour les faire fermer comme ça je me soucierais pas de ce danger.'' Réfléchissait il, voulant être le plus efficace possible. Puis il attrapa un des vêtement que les humains portaient souvent sur eux. Le tissus semblait très serré, ce qui le rendait très solide. Kiriac décida alors de le déchirer, pour trouver les endroits les plus faciles pour infliger une morsure mortelle. Une fois fait, il décida de prendre un pose, ayant déchiré plusieurs tissus et autres truc étranges. Il avait un peu la mâchoire endolorie mais il s'en fichait.

Lacer de dès !

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'Dé de chasse' : 2

Autour de lui, aucune odeur lui parvenait aux narines. Ayant prit une petite pose, il décida de s'y remettre. Oui il fallait qu'il teste encore la solidité des choses que les humains utilisaient. Pleins d'énergie, il arracha , griffa, démantela tout ce qu'il trouvait et qui n'était pas coupant. Certes il agissait un peu à l'aveugle mais pas totalement, loin de là. Avec entrain, il essaya de briser les balles sans sucés, puis il s’attaqua à un sac et fut surpris de sa découverte: Dedans, l'humain y déposait d'innombrable choses dangereuses. Des armes de feux, des recharges, des lames coupantes, des outils de fer et des genre de tissus emballé. Analysant tout le contenu, reniflant pas trop prés car des lames dépassaient, Kiriac releva la tète:

-Alors comme sa vous emportez vos armes et os provision dans des sacs de toile...Humm dès que j'en verrait un, je le détruirait ou je le mettrait au fond d'un trou.

Sans les sacs, les humains ne pouvaient porter beaucoup de choses sur eux. Kiriac reconnu l'intelligence des bipèdes pour créer des objets si pratique. Il arracha alors le sac, qui déversa son contenu au sol. Kiriac creusa plus loin plusieurs trou, utilisant la puissance de ses pattes. Il s'acharna contre le sol, voulant creusait plus sans s’arrêter. Une fois fait, il récupéra dans sa gueule les divers choses qui étaient entreposé dans le sac et reboucha tout. Tout ceci lui prit un temps considérable, car il y avait beaucoup de choses , de différentes taille, et qu'il était seul pour le faire. Il ne saurait dire combien d'aller et retour il avait fait pour finir de tout faire disparaitre. Il sentit la fatigue venir à grand pas, mais il l'ignora. Il alla à nouveau vers la cabane et chercha encore d'autres objets qu'il ne connaissait pas. Passant sous des meubles de bois, se frayant un chemin entre les cartons, il trouva rien d'autre de spécial mis à part quelques toiles d'araignées.

-J’espère qu'il n'y a pas de cocon là dedans

Grimaça Kiriac se rappelant d'un certain jour ou il avait du leur en échapper. Il sortit de la cabane, couvert de poussière mais avec un manche en bois dans la gueule, orné tout au bout d'un pic de métal. Il se secoua un fois dehors, puis il s'allongea et rogna le morceau de bois. Au fur et à mesure, il s’effrita et se fissura avec des bruits sec. ''Aller, brise toi !'' s'impatienta Kiriac, n'ayant toujours pas retrouvé son calme. Puis voyant qu'il avait du mal, il s’imagina que c'était l'os de son ennemis, un humain, un de ceux qui avait tué sa famille. En une seconde, le morceau de bois céda et se coupa en deux. Kiriac grogna une nouvelle fois en se levant. ''Vous ne m'aurez pas comme sa !''Puis il se dirigea vers la forêt, humant l'air aux alentours, vérifiant que personne n'était dans le coins ou l'avait entendu faire tout ce bruit. Oui, par sa colère, il avait oublié de faire attention à ce qui l'entourait.

-C'est bon il y a personne

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'Dé de chasse' : 7

Soudains, lorsqu'il se tourna vers la cabane, un lapin fila juste devant lui. Sans même réfléchir, il le poursuivit. Oui, sans réfléchir car il avait déjà prit de l'avance et il n'y avait pas l'effet de surprise. Kiriac, toujours sous l'effet de la colère, accéléra encore sa cadence, ne faisant pas attention à son rythme. Le lapin, en forme, zigzagua entre les arbres et les buissons, puis alla vers le bâtiment de bois. Kiriac avait peine de le suivre, malgré qu'il soit rapide. Il continua, ayant un faible espoir que l'animal fasse une erreur en sa faveur. Le lapin dérapa un peu sur les planches de bois puis fila vers l'endroit ou Kiriac avait caché sous terre les trucs des humains. Le lapin sauta au dessus et le loup gris ne comprit pas pourquoi. Il continua sa course mais quelque chose lui attrapa la patte : la lanière du sac n'avait pas était recouverte entiérement. Kiriac s'effondra au sol de pleins fouet, sans qu'il est le temps de réagir. Lorsqu'il rencontra la sol avec sa tête, ses crocs déjà endolorie claquèrent. Un gout e sent envahit sa bouche car il s'était un peu mordu la langue. Par la douleur et la colère , il grogna si fort qu'on aurait dit un autre animal.

-Rrrrr il fallait que je fasse un truc aussi stupide !!!!!!!!!!!!!!

Hurla t il à lui même, regardant la lanière qui entourait sa patte arrière. Il se secoua et l'enleva vite. Il se redressa sur ses quatre pattes puis avec des gestes brusques, il enterra plus que ce qu'il fallait la lanière.

-Tu me ferra plus jamais ça !!!

Oui, il parlait à un objet, ce qu'il faisait souvent lorsqu'il était dans un état smilaire. Sa rage était tel qu'il courut dans les bois aux alentours pour se calmer et peut être arracher la chaire du fameux lapin qui devait s'être moqué de lui. Il évita les branches et les buissons, courant à pleine allure comme un fou. Oui, un autre loup qui l'aurait vu l’aurait prit comme tel. Les minutes défilèrent puis à bout de souffle et de force, il s’arrêta et s'allongea a coté de la cabane. Il reprenait son souffle doucement comment son calme. ''Comment j'ai pu être aussi bête...je vais pas survivre longtemps si je fais des erreurs de débutants...Il faut que je me ressaisisse et vite !'' Il s'en voulait de pas avoir vu la lanière et d'avoir mal anticipé sa chute. Dans des conditions réel, il serait déjà mort. Les armes de feu ne courent pas , elles vous transpercent dès que le bruit sonne en l'air. Kiriac regardait un point invisible et se dit: '' Je dois être prêt, il faut que je montre l'exemple et que je protège d'autres de mes congénères...alors je n'ai pas le droit à l'erreur bln sang !''Il savait qu'il n'allait pas être seul et qu'ils allaient agir en groupe pour effectuer à bien cette mission. Il fallait donc que les autres loups compte sur lui. Oui, il voulait gagner la confiance des autres et leur respect. Ainsi, peut être qu'il pourra mois se cacher et qu'il sera tranquille de ce coté là. De plus, en les aidant, les autres meutes allaient sûrement lui demander pourquoi il voulait les aider et qui il était. Il ne savait pas encore si il allait leur dire la vérité ou si il resterait vague comme à son habitude. Voaynt un autre morceau de bois assez dur qui trainait à coté de lui, il le mâchouilla avec force tandis qu'il réfléchissait.

Le ciel s'assombrit, les grillons commençaient timidement à chanter. La brise disparut laissant l'humidité de la nuit s’installer. Toujours dans ses pensées, le loup gris ne s'était pas aperçut que le temps avait aussi vite passé. Ce fut à un moment ou il eu du mal à voire les herbes au loin qu'il s'en rendis compte. Depuis tout ce temps il avait mâchouillé des battons et autres objets pouvant être réduis en morceau. Il avait formé un amas de copeaux de bois entre ses deux pattes. Il regarda autour de lui à présent, écoutant la nature être plus silencieuse. Les oiseaux avaient disparut, tendis que la lune apparaissait peu à peu dans le ciel noir étoilé. Kiriac s'était levé, s’étirant longuement de tout sa longueur, faisant craquer out corps. Puis il alla s'installer dans la cabane qui lui offrait un abri. Oui, pour la première fois, il se sentait en sécurité avec ce qu'avait construit l'homme. Il s'allongea enfin sur le parquet de bois qui grinça un peu sous son poids, puis il ferma les yeux. Il n’eut pas le temps de réfléchir longtemps que le sommeil le rattrapa.
Quelque chose réchauffait le bout de son museau. Quand Kiriac ouvrit les yeux, ce fut les premiers rayon de soleil qu'il vit taper sur son visage. Sur le moment il eu un peu de mal à distinguer les alentours, mais ses yeux s’habituèrent. Il bailla à s'en décrocher la mâchoire et écarta ses griffes contre le plancher. Il prit quelques minutes avant de se lever, puis il se mit complétement dehors pour que le soleil le touche complétement. Il avait fermé les yeux et pendant d'innombrables minutes, il s'était abandonné à la chaleur que les rayons lui procuraient. Il bailla une nouvelle fois puis se mit en quête d'un repas. Il renifla le sol, si proche qu'il remua la poussière et il éternua. Puis pendant son recherche , il tomba sur une odeur métallique dans le sol. Il creusa alors, avec ses pattes puissantes. l'objet semblait loin, très loin dans le sol mais continua. Quand il le trouva en faite, ce n'était rien d'autre qu'un morceau de métal rien de passionnant. Il reprit son sérieux et commença à chercher vers les environs, s'enfonçant vers la forêt. l'odeur de la rosée sur les végétaux et le sol maintenant humide était très agréable. D’ailleurs, cela faisait un moment qu'il n'avait pas eu un début de journée aussi reposant et agréable. Il continua, reniflant les buissons et autres pur capter la moindre odeur.

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'Dé de chasse' : 12

L'odeur d'un cerf arrêta illico Kiriac. Il analysa l'odeur et se rendit compte qu'elle était forte donc que l'animal était tout proche. Oui, même très poche. Il fit que quelques pas et voila que les bois de l'animal lui apparut. ''Cette chasse va être dangereuse....mais je me suis plus entrainé depuis..'' Pensa furtivement le loup gris, qui ne détachait pas du regards le cerf trop occupé à brouter dans son coin. Silencieusement, Kiriac s'en approcha, profitant des arbres pour se cacher au fur et à mesure qu'il allait vers lui. oui, avec cette forêt assez danse , il serait hors de vu pendant quelques temps. Il espéra que le vent ne se lève pas en apportant son odeur à sa proie. Les muscles des pattes de Kiriac se tendirent, ses crocs se resserraient encore plus, tandis qu'il avait de plus en plus l'eau à la bouche. Oui, ce cerf était un adulte, remplit de chair et de sang. Pour une fois, il allait pas chasser une maigre proie. Puis vint le moment fatidique; le loup attendit qu'il penche à nouveau sa tète vers les herbes puis il mit toute sa puissance et bondit vers lui. Le cerf prit alors la fuite, mais le loup déjà très prêt. Si Kiriac voulait avoir une chance de le tuer, il fallait d'abord qu'il l'épuise beaucoup car un combat en face à face sans que l'animal soit affaiblis serait trop risqué. La respiration du loup devenait plus forte mains néanmoins régulière, tandis que le cerf, affolé, semblait avoir peine. L'animal semblait vouloir essayer de lui échapper en changeant de direction mais Kiriac le suivait de prés, anticipant ses mouvement. La fatigue commençait à venir, mais il lâcha pas un centimètre d'écart entre lui et sa proie. L'animal, apparemment à bout de force, finit par faire volt face en s’arrêtant. Il montra ses bois à Kiriac qui s'était arrêté avec une distance de sécurité, comprenant que maintenant, c'était le vrai combat. le loup grogna, car la faim le tenaillé et que l'envie de lui assena une morsure dans la jugulaire se faisait ressentir. Le cerf fonça droit sur lui, mais il l’évita en quelques pas rapides. Le cerf obstiné, continua à le charger, voulant tuer le loup. Kiriac arriva et l'esquiver encore et encore, voulant qu'il se fatigue de plus en plus. Pus vint l'instant ou une opportunité s'offra à Kiriac. Au moment ou le cerf chargea, beaucoup plus lentement que les premières fois, le loup gris fit un bond sur le coter, se retrouvant juste en dessous de la gorge du cerf. Sans plus attendre, il enfonça ses crocs dans la chaire de l'animal en pleine jugulaire. Le sang coula à flot et le cerf cria de douleur. Affaiblis , le cerf n'arrivait presque plus à se débattre, tandis que le sang coulait le long de son corps ainsi que sur le visage du loup. Kiriac resserra encore plus sa mâchoire voulant mettre un terme à la souffrance de L’animal . Le cerf s'écroula enfin au sol dans un bruit sourd. Quelques oiseaux s'étaient envolés et le calme reprit son droit. Kiriac lâcha prise en reprenant son souffle. Il remarqua qu'il avait été plus efficace que toutes les autres fois. Oui, il avait gagner en assurance et le son travail sur lui même avait apporté ses fruits. Sans plus attendre, il dévora avec entrain sa proie . Le museau de Kiriac était maintenant ensanglanté, il lui donné u air sanguinaire. Une fois repus et la panse bien tendu, il partit, laissant les restes pour les autres animaux, pour ceux ayant encore survécut un jour de plus. Il partit en disant:

-Bon je vais aller à la rivière me nettoyer le museau