Panem et Circenses [Arawn & Tybalt]

Mar 7 Avr - 0:07

Panem et Circenses.

Le réveil est dur. Morphée semble vouloir vous garder dans son étreinte tandis que votre esprit est encore embrumé par les limbes de l'inconscience et votre vision semble se faire un malin plaisir à papillonner et être voilée, vous empêchant d'analyser les alentours avec précision. La seule chose qui vous reste fidèle doit être votre odorat qui vous informe directement de la présence de l'autre. Vos cages sont déchargées d'un véhicule puis abandonnées au sol pendant un moment. Durant ce laps temps, votre vision s'adapte petit à petit afin de discerner les parois polies et le sol lisse qui vous entourent. Autour de vous se déploient plusieurs couloirs qui ont l'air plus ou moins reliés à la manière d'une toile d'araignée, et, à force de chercher, vous reconnaissez les caves où les humains se réfugiaient parfois lorsque la surface était impraticable. Des bruits de pas se font entendre ainsi que différentes voix rauques qui baragouinent un étrange langage. Votre odorat vous indique que ce sont des humains juste avant que vous ne puissiez en distinguer la silhouette dans la pénombre. Là sont vos tortionnaires qui s'approchent à grandes foulées. Ils sont équipés de leurs habituels masques à gaz qui vous empêche d'apercevoir leurs visages correctement. Juste l'éclat froid de leurs yeux, que vous pouvez toujours deviner aisément. Mais ce qui attire votre attention sont les objets qu'ils tiennent dans les mains, ils sont étranges. A quoi peuvent-ils bien servir ? Vous mettez du temps à vous redresser sur vos pattes qui semblent réticentes à l'opération, les traqueurs ont dû vous injecter une forte dose pour que vous restiez comateux aussi longtemps. Mais cela a l'air d'être leur objectif puisqu'ils s'approchent de vos cages, nombreux. Ils fonctionnent en meute, plus ou moins comme vous. Ils s'efforcent de vous sortir vos cages pour vous cerner entre eux. Vous voyez brièvement quelque chose passer devant vous puis sentez une désagréable sensation autour de votre tête et surtout mâchoires. Qu'est-ce donc? Pourquoi ne pouvez-vous plus claquer des mâchoires à ces hominidés? Quelque chose tire sur votre cou, comme pour vérifier quelque chose, mais vous vous sentez davantage étranglés qu'autre chose. Ils vous ont affabulés d'un vulgaire collier qui est relié à leurs mains par une chaîne qu'ils ont soigneusement enroulée autour de leur poigne. Le groupe se sépare et vous pouvez vous dévisager l'un l'autre, observant l'étrange instrument de torture - puisqu'à vos yeux ça ne pouvait être que ça - qui restreint la mâchoire de l'autre. Au moins, vous ne vous retrouvez pas avec un compère inconnu mais entre membres de la Horde... Les humains ont l'air agacé de votre manque de réaction car ils se mettent à tirer d'un coup sec sur la corde pour vous intimer de les suivre, quelle était donc votre destination?

Vous vous réveillez dans des caves investies par les humains, ces derniers vous ont affabulé d'un collier et d'une laisse en plus d'une muselière qui vous laisse à peine la possibilité de communiquer si besoin. Tentez de vous rebeller à vos risques et périls ou suivez les, mais sachez que le calvaire ne semble que commencer... Je répondrai suite à vos réponses, bon RP.

Mar 7 Avr - 8:26

Panem et Circenses.

Tybalt et Arawn

Force :74 - Endurance : 57 - Agilité : 48

Tes paupièrres sont lourdes, tu peine à les ouvrirent. Tes muscles et tes membres ne te répondent plus.Un long grognement rauque sort de ta gorge quand tu sens qu'on dépose ta cage au sol. Ton odorat t'indique qu'Arawn n'est pas loin, qu'il est avec toi. Tu tente à nouveau de te lever, en vain. Le monde autour de toi et flou, les paroles sont vague. A nouveau tu tente de te mettre sur tes pattes, à nouveau tu tombe lourdement sur le sol froid et dur de ta prison. Ainsi, tu reste un petit moment sans bouger. Tu entends alors des bruit de pas et des voix, tu discerne la silhouette frêle et longue des hommes et leur éternel masque à gaz. Cette fois-ci et non sans mal tu parviens à te mettre debout. L'un deux ouvre ta cage et t'en sort, de force. Tes mâchoires claques mollement, du à l'effet de la drogue. Tu te recroqueville sur toi même et bouge la tête en tout sences pour tenter d'esquiver la muselière, ce qui marche. Mais agacé l'un deux te coince entre ses genou et te maintien par la peau de la nuque, t'empêchant de bouger et te plaçant ainsi ces deux instruments de torture. Tu reste bête quelque minutes à observer Arawn, lui aussi dispose d'un cage autour du museau et d'un collier de chaine. Un cou sec t'étrangle et te traine à moitier tandis que tu tombe sur le sol, tu te relève. Tu ne supporte pas cette chose autour de ton cou. Ainsi tu pose ton derrière sur le sol, refusant d'avancer tandis que l'homme devant toi tire de toute ses forces. Tu lâche un long grognement rauque, les yeux pétillant de rage.

Code By Reira

Mar 7 Avr - 21:43

Pris au piège.

La tête douloureuse, les souvenirs brumeux, la vision trouble. La drogue coule encore dans mes veines, mon corps luttent contre la léthargie qui me gagne peu à peu. J'ai l'impression de peser une tonne, que chacun de mes mouvements se déroule au ralenti et que le monde autour de moi file trop vite. Seulement après quelques minutes de coma éveillé je réalise que je suis dans une cage en fer, avec des barreaux. Je suis au sol, posé comme un vulgaire cadavre, dans ce qui me semble être les anciennes caves. Une odeur, autre que la puanteur des hommes me frappe, celle d'un loup, celle de Tybalt. Une vague d'espoir jaillit en moi. Puis je découvre que lui aussi est dans une cage. Les hommes approchent, avec leurs rangers noirs et leurs regards de glace il nous fixent comme si nous n'étions que de simple lapins à leur merci. Sauf que c'est le cas. Je me lève, avec difficulté, je tremble sur mes membres encore faiblard. La cage s'ouvre et je remarque des objets dans la main d'un Bipède. Mon corps est éveillé, ma rage naissante, je gronde, sur la défensive. Je jette un regard sur l'assemblée, ils sont en meute, impossible de fuir. Deux bipèdes me maintienne, je sens leurs mains se refermer sur ma nuque, je gigote, je gronde. Je lance un furtif coup d’œil à Tybalt, qui est dans la même situation que moi. Quelque chose passe autour de mon museau, de ma mâchoire puis derrière mon crâne. Je gronde, avec difficulté car une cage est placée autour de mon museau, m'empêchant de bouffer ces Bipèdes. Un collier m'est attaché, je suis relié à un Bipède, grand, glacial. Il me semble que je suis relié à ce crétin, à celui là qui pense pouvoir me forcer, me vaincre. Les deux groupes se séparent, je voudrais dire à Tyblat qu'on doit se barrer mais je ne peux rien faire, rien faire d'autre que de lancer des regards mêlés de terreur et de rage au Hordien qui est dans la même situation que moi. Le bipède me lance un regard. Je frémis, tellement la rage coule dans mon sang. Je voudrais lui arracher la tête, mais il détourne le regard et quelque chose m'entraine en avant. Avec surprise je manque de m'étaler au sol. Je lève les yeux, le coup est répété, je suis contraint d'avancer. Presque en même temps que ton coéquipier tu te campes sur tes appuis. Un grondement jailli alors que tu résistes à l’hominidé. Une idée germe dans ton esprit, encore un peu, un peu plus. Tu résistes, et l'homme campé tente de te tirer vers l'avant, puis d'un bond tu sautes sur ce crétin. Il trébuches puis s'étale au sol. Alors que tu t'apprêtes à détruire son être la cage autour de ton museau t'en empêches. Et merde. J'me contente d'enfoncer mes griffes dans sa chaire avec la plus grande des satisfaction. Puis je recule, rapidement. Je n'ai pas le temps de voir ou en est Tyblat de sa rébellion, mais j'me tire. Aussi vite que je le peux. Soudain quelque chose m'attire vers l'arrière. Je m’effondre au sol. Je roule sur moi même pendant plusieurs secondes jusqu'à heurter un mur. À nouveau ma vision est trouble. Bipèdes : 2 - Arawn : 0.

Mer 8 Avr - 22:48

Panem et Circenses.

Vous avez choisi de lutter afin de donner du fil à retordre aux humains, soit, mais maintenant vous devez en assumer les conséquences. Vous campez sur vos positions, et les humains tirent comme des forcenés sur vos liens pour vous faire avancer, en lien. Tybalt, ton regard féroce ne les impressionne en rien, ils ont maté pour imposant que toi donc tu ne les intimides en rien. Au contraire, tu les agaces. L'un d'eux sort un genre de fouet et se met à te rouer les flancs de coups pour te faire comprendre que faire le rebelle ne sert à rien. Arawn, quant à toi, tu as su faire preuve d'ingéniosité, qualité remarquable, si seulement tu avais réussi ta tentative de fuite. Tu as blessé l'un des traqueurs, un exploit surtout dans leur territoire. Mais l'un des humains t'a tiré en arrière d'un coup sec sur la chaîne avant que tu ne réussisses à fuir, dommage. Ils savent maintenant qu'ils ne doivent pas te sous-estimer car tu es astucieux, ils t'ont à l’œil, et te réservent la même punition que ton compère. Le fouet s'abat maintes et maintes fois sur ton pelage sombre cinglant chaque coup d'un claquement sonore. Ils ne s'arrêtent qu'au bout de longues et interminables minutes mais uniquement car ils ont besoin de vous dans d'assez bonnes conditions physique, ne vous méprenez pas. Le blessé a été évacué et les hominidés restant vous traînent à leur suite avec une colère sourde qui rend l'atmosphère tendue et chargée. Ils se repèrent dans les couloirs beaucoup mieux que ce que vous ne le pensiez et ainsi ils vous guident jusqu'à une salle qui sent la mort. Ils ouvrent la porte et vous pouvez entendre des acclamations, des cris de joie ou rage tandis que la lumière artificielle vous aveugle momentanément. Vous clignez machinalement des yeux pour mieux distinguer les alentours, tout d'abord, la salle est bondée d'humains. Ensuite, il vous semble distinguer des traces de sang séché là où vous vous tenez comme si des corps étaient souvent traînés à même le sol, rien de bon pour le sort qui vous concerne. Au centre de la salle se trouve un cercle creusé dans le sol de manière à ce que vous ne puissiez pas en sortir même si vous possédez une allonge remarquable. Bienvenue, vous vous trouvez dans l'arène. Et vous allez en être les gladiateurs car les humains ne tardent pas à vous y pousser de force en vous enlevant vos restrictions. Bientôt, des cris retentissent et des bouts de papiers s'échangent avec une certaine agitation. Les hommes parient sur vos chances de survies.

Les traqueurs vous ont directement placé dans l'arène suite à votre mini-rébellion. Vous devez vous battre l'un contre l'autre mais pas à mort. Le plus amoché sera retiré de l'arène pour être soigné et le vainqueur se verra gratifié d'une double ration de nourriture. Si vous plaisez aux hommes, vous deviendrez sûrement l'équivalent de gladiateurs canins jusqu'à ce qu'une occasion de fuite s'offre à vous, je répondrai suite à vos réponses.

Jeu 9 Avr - 8:22

Panem et Circenses.

Tybalt et Arawn

Force :77 - Endurance : 61 - Agilité : 48

Une vive douleurs te fait soudainement bondir. L'un des hommes tant le bras vers toi et te frappe avec une force phénoménal à plusieurs reprise au niveau du flan. Tu pousse des hurlements de douleurs et de rage tandis que tu te tort dans tout sens pour tenter de leur échapper, en vain. aveugler par la colère tu tente alors de leur bondirent dessus, mais il tire sur ta laisse et te font tomber, te redonnant des coups de cravache. Tu dévoiles les crocs tandis qu'on te force à avancer vers un lieu qui t'ai inconnus. Tu renifle l'odeur de ce lui, une odeur que tu connais bien, très bien. Celle de la mort. Une vive lumière t'éclaire le visage, tu ferme les yeux. Une fois habituer à la lumière artificielle tu fait un pas vers ce lieu lugubre. Quittant l'ombre. Observant autour de toi les humains jetée des bouts de papier verdâtres, hurler, beugler des choses incompréhensibles. Tu fait volte face quand tu comprends enfin ce qu'ils veulent de toi, de vous. Tu cherche d'abords une solution, rien, aucun moyen de sortir.

"Je n'ai pas le choix Arawn, c'est toi, ou moi."

Cela ne t'effraie pas vraiment. A vraie dire il t'ai déjà arriver plusieurs fois de te battre réellement contre des hordiens, des personnes que tu apprécier. Comme avec Isha, le jour ou vous aviez rencontrer Astaroth. Ou encore Alwelda. Et de toute façons ce combat n'était pas à mort, et te jeté sur un frère de meute ne te gênais pas plus que ça, après tout, n'avez tu pas tuer te propre famille? N'avais tu pas tuer les parents d'Aion? de Calypso? N'avait tu pas agresser sans pité Mystborn? Audriel? Serafine? Rajaa, Restless? Tungstene? Naia? Midnightsun...et j'en passe. Pourquoi aurait tu pitier d'agresser Arawn à son tour. De toute manière ce qui comptait ici c'était bien ta survie. Tu te mis alors à lui tourner autour, les crocs dévoiler, c'était lui ou toi. Car certe ce combat n'était pas à mort que comment savoir ce que les traqueurs aller faire de vous? Alors ainsi tu bondit en direction d'Arawn, déviant au dernier moment tu atterris à coter de lui. D'un geste vif tu rebondit et saute sur son flan droit, de toute tes forces, le plaquant à terre. Vous rouler dans un éclaire de crocs et de griffes, vos mâchoires s'entrechoquent avec fureur tandis que tu lui lacèrent le dos. Tu lui donne plusieurs coup de crocs à l'oreille avant de lui labourait le museau, attaque mineurs pour l'instant, certe. Un grand coup de patte dans le ventre te fait violemment basculer en arrière, à court d'air pendant quelques secondes tu ne le remarque pas fendre l'air sur toi. Au dernier moment tu roule sur le coter, sentant les crocs du mâle noir frôler ta joue. Tu bondit sur tes pattes, avant de lui morde avec rage la nuque, tu peu alors sentir sa jugulaire battre sous tes crocs, tu déserre alors légèrement ta mâchoire.

Code By Reira

Jeu 9 Avr - 19:51

Se battre pour vivre, se battre ou mourir.

Alors que j'étais proche de la sortie un bipède a tiré sur la laisse qui me retenais, me clouant au sol comme une vulgaire proie. Bien tenté. Je suis ramené au près de Tyblat. Un humain sors quelque chose. Comme un corde ou une liane. Quelque chose qui sent le sang. Puis cette chose s'abat sur moi, les coups pleuvent, les coups ne s'arrêtent plus. La douleur est violente, le sang coule. Lorsque les coups s'arrêtent je sens les blessures douloureuses. La morsure de cette corde en moi. Je gronde. Ils nous guident jusqu'à une pièce étrange, lumineuse. À l'odeur de mort, de sang et de souffrance. Cela n'annonce rien de bon. Une foule d'humain braille sur les côtés. Je n'en ai jamis vu autant. Malgré moi je tremble. Je ne comprends pas tout de suite l'issue qui se présente en face de moi. Une arène. Nous sommes poussés dedans. Ma muselière m'est enlevée. Celle de tybla aussi. Je comprends rapidement, lorsque nous somms balancés dans le trou au centre que nous allons devoir nous battre. Jusqu'à la mort je le crains. Je fixe mon adversaire. Celui ci est serain. Lui ou moi. Voilà ces paroles. Lui ou moi.
Rapidement il saute, me plaque au sol. Ses griffes labourent mon museau, mes oreilles. Le sang coule le long de mes blessures. Nous roulons, nos griffes se mélangent, nos cris se confondent à ceux de la foule. Avec toute la force que je peux je propulse le hordien dans les airs, je l'envoie loin de moi. Je n'attends pas plus. Je lui saute dessus, mais avnt que mes crocs n'aient pu atteindre sa nuque il roul sur le côté. Avant d'avoir pu faire volte face ses crocs se plantent dans mon cou. La douleur m'assaillie et je gronde de rage. Lorsqu'il dessere son emprise je me rue sur lui à nouveau et le projette contre un mur. Quelque chose craque. Je crains que se soit tyblat mais lorsque celui ci se relève j'observe une fissure dans le mur de l'enceinte. Trop occupé à contempler la foule en délire je ne remarque pas mon adversaire qui me percute à nouveau. Mes crocs s'enfoncent dans son épaule avec rage. Ce n'est que le début d'un long combat. Et pourtant je voudrais déjà que se soit terminé.

Sam 11 Avr - 12:24

Panem et Circenses.

Trop intéressés dans le combat, les humains ne prêtent pas attention à la fissure qui s'est créée. Au contraire, cela semble ravir l'assistance qui rugit de joie face à tant de violence. Les billets ou du moins leur actuel système monétaire s'échangent à foison sur les chances de réussite de vous deux. Nombreux sont ceux qui sont de ton côté Tybalt. Mais Arawn a su faire son petit public, parmi celui-ci, les traqueurs qui vous ont tiré jusqu'à l'arène, ils le savent fourbe si besoin, et cela peut grandement jouer en sa faveur. L'intelligence peut toujours déjouer la force brute. L'atmosphère est tout simplement électrique, parfaite au combat, elle vous exhorte à vous entre tuer. A vous mordre, toujours plus fort, à lacérer la chaire de l'autre. Ce n'est plus que de l'ultra-violence où règnent le sang et l'adrénaline. Les traqueurs semblent avoir une idée derrière la tête mais attendent visiblement le moment opportun pour agir. Ils attendent que vous vous affaiblissiez, que vous fatiguiez, que vous soyez moins forts. Puis des aboiements surexcités vous parviennent. Un glas funèbre semble sonner à vos oreilles. Ils amènent leurs molosses, ici ? Trois chiens sont envoyés dans l'arène, ce ne sont pas ceux qui ont été destinés à la chasse, non, ils ne servent pas à ça. Ceux-là sont couturés de cicatrices et ont le regard fou, maigres aux cotes saillantes, ils sont affamés et leurs gueules claquent machinalement dans le vide : voici leurs gladiateurs. Et maintenant... vous devez les affronter.

Votre position dans l'arène évolue petit à petit. Les humains semblent apprécier le spectacle que vous leur offrez, mais ils vous ont ajouté de nouveaux adversaires. Alliez vous pour les battre, qui sait, peut-être que les règles ont changé et que c'est un combat à mort... N'oubliez pas que les chiens ne sont pas dans les meilleures conditions possibles, le combat est donc en votre faveur. Je répondrai suite à vos réponses, bon jeu.

Sam 11 Avr - 13:47

Panem et Circenses.

Tybalt et Arawn

Force :77 - Endurance : 61 - Agilité : 48

Soudainement tu est projetée contre un mur dans un bruit de craquement atroce. Tu tombe à terre et te relève, montrant les crocs. Ton épaule, elle semble en bien mauvaise état, qu'importe. Tu bondit sur Arawn, celui-ci plante ses crocs dans ton épaule tu rugit de douleurs et lui rend le coup en resserrant ta mâchoire sur sa tête, le sang gicle. Ainsi vous vous confondait dans un tonnerre de griffe, de sang et de crocs. Tu laboure la chair du mâle noir, furieusement. Tu le projette au sol et fonce sur lui pour lui plonger tes crocs dans sa poitrine quand un bruit te fait relever la tête. Tu pivote, observant trois molosse. Loin d'être effrayé, ce combat te grise. L'adrénaline, l'éxitation. L'un d'eux bondit vers toi, tu esquive de peu, attrape sa patte arrière droite et le fait tomber au sol. De ton antérieur gauche tu lui appuie fortement sur la taché. Tout en mordant son flan. Mais le chien te donne un coup de patte bien placé au visage et t'écarte de lui. Vous vous tourné autour un moment. Finalement tu engage à nouveau le combat en lui bondissant dessus. Ruant il te balance à nouveau contre ce foutue mur. Tu te relève en grognant tandis que le molosse fonce sur toi. D'un bond en arrière tu esquive l'attaque, rapidement tu l'attrape par la nuque et d'un geste puissant lui cogne la tête contre la parois. Un bruit de craquement se fait entendre et du sang gicle.

Code By Reira

Mar 14 Avr - 10:54

Parce qu'un combat à mort ne suffisait pas.

Le combat est violent, sanguin. Les hommes hurlent, crient des mots que l'on ne comprend pas. Des bouts de papier circulent avec virulence. Alors que le loup noir est à nouveau sur moi et que je suis au sol un bruit nous fait tous deyx arrêter le combat. La porte s'ouvre, pendant une seconde j'ai espoir que se soit la fin de notre calvaire mais je suis trop naïf car trois molosses entrent dans l'arène. Je cache ma surprise, Tyblat lui n'hésite pas et saute sur le premier venu. En moins de 5 minutes le crâne du canidé s'écrase avec un bruit sinistre contre le mur. Le sang se répand contre le sol. Je me lève non sans difficulté alors qu'un chien imposant se jette sur moi. Ses mâchoires claquent, les miennes lui font echo. Le sang de mon épaule déjà bien amoché gicle et m'arrache un grondement de douleur. Avec rage j'attrape sa nuque que j'enserre tant bien que mal. Le canidé de ses griffes entaille la chaire de moi poitrail. Lorsque la pression l'empêche peu à peu de respirer il se calme, puis j'attends jusqu'au moment fatidique lorsqu'entre mes crocs il ne bouge plus du tout. Je me relève, des lambeaux de chaire pendouillent tristememnt, le sang perle de mes plaies et humidifie le sable teinté de rouge. Tout mon corps est douloureux, mes muscles tendus sous la pression. Mes forces diminuent et pourtant le combat n'est pas terminé. Je ne suis pas encore mort.

Dim 19 Avr - 16:04

Panem et Circenses.

Personne ne semble affecté par la perte des deux chiens, ni leur compère canin, et encore moins les humains présents. Au contraire, cela semble les exciter. C'est un jeu malsain où vos vies en sont les prix. Le sang se fait absorber par le sable, se dernier se teintant alors d'une couleur d'un pourpre terne qui pourrait donner la nausée à n'importe qui grâce à l'odeur qui règne sur les lieux. Les parois de l'arène semblent s'affaiblir suite aux assauts répétés sur ces dernières... peut-être avez vous trouvé votre ticket que sortie? Mais est-il vraiment judicieux de tenter sa chance maintenant? Après tout il vous reste un de leurs gladiateurs à affronter, puis vous êtes mal en point et affaiblis par le manque de nourriture... Alors que rester du côté des hommes peut vous procurer soins et nourriture à foison...

Bravo, il ne vous reste plus qu'un gladiateur à éliminer ! Mais vous devez aussi faire votre choix... Gagner la confiance des humains pour vous renforcer et organiser votre fuite tout en risquant de perdre la vie dans l'arène, ou fuir dès maintenant ?

Jeu 23 Avr - 22:05

Panem et Circenses.

Tybalt et Arawn

Force :80 - Endurance : 63 - Agilité : 52

Soudainement tu ressant quelque chose, la fatigue qui engourdis d'un coup tes membres. Il ne reste plus qu'un gladiateur au milieu de l'arène. Tu jette quelques coups d’œil autour de toi, Le mur, il ploie. Voici un moyen de s'échapper mais tu le sait très bien, si tu parviens à te débarasser de ce chien tu n'aura plus assez de force alors que si, au contraire, tu reste chez les humains faisans en sorte qu'il te procure soin et nourriture tu aura bien plus d'énergie pour t'échapper. Tes yeux glisse sur un mouvement vif. Arawn semble déjà avoir bondit sur le molosse. Tu pousse un grondement et te jette à ton tour sur la bête. Contre vous deux il n'as aucune chance, tu pose brutalement sa patte sur sa gorge, coupant sa respiration un court instant, assez pour le distraire puis plonge sur sa gorge.

Code By Reira

Jeu 23 Avr - 22:47

Fuir ou se condamner.

Les hommes hurlent, attisés par la sang qui coule et qui teinte le sable d'une couleur poupre. Mon crâne douloureux, mes plaies me lancent. Je jette un regard vers le hordien, celui fixe avec hargne le dernier chien. Derrière lui le mur jaunâtre est clairement fragilisé. Que faire, affronter ce dernier chien ou quitter cet endroit. Le choix devrait être simple, si simple Arawn. Fuis, casse toi. Ton instinct lupin te hurle de te barrer. Mais tu ne penses qu'au canidé et à son insupportable cœur qui bat encore. Je bondis sur le chien, rapidement rejoins par Tyblat, qui sans plus de cérémonie met fin à la vie du molosse. Sa mise à mort est rapide, un coup de crocs et son sang se repend sur le sol rougeâtre. Soudain, tes membres tremblent, ton crâne ce fait douloureux. Tu aurais du fuir Arawn, tu aurais du fuir, mais maintenant tu n'as plus de force. Tu n'es désormais plus qu'un bon à rien. Comme à ton habitude. Tes yeux se plissent, tu tentes de distinguer à travers la pénombre les hommes, le bruit, le cadavre qui git dans le sable, l'excitation, ton frère de meute. Mais cela ne dure pas. Tu t'effondres, d'un bloc. Ton corps s'enfonce mollement dans le sable imprégner de sang. Sans chercher à résister tu t'enfonces dans un monde de pénombre et de brouillard. Maintenant tu n'as plus le choix, tu dois rester. S'ils te laissent la vie.

Dim 26 Avr - 1:42

Panem et Circenses.

Le gladiateur se débat, sa respiration se fait erratique, pourtant tu ne fléchis pas, tu restes imperturbable sur ton objectif : le tuer. Tu sens son pouls ralentir petit à petit, une berceuse dont le tempo finit par s'éteindre à jamais alors que le sable se teinte de pourpre. Le gladiateur est tombé, vous êtes vainqueurs. La foule rugit d'une même voix, réveillant le peu d'adrénaline qui subsiste dans vos veines. Vous tremblez, la fatigue vous frappe de plein fouet, sans merci. Arawn, tu t'effondres, mais les traqueurs semblent contents de toi, tu étais celui sur qui on n'aurait jamais parié, et pourtant tu t'en es tiré, tu viens de leur rapporter une jolie mise. Tybalt, tu es fatigué, mais tu arrives à rester sur tes pattes chancelantes. Une courte douleur te pique au niveau de la croupe puis une douce léthargie t'étreint. Les bougres t'ont encore administré une dose d'anesthésiant ! Tu titubes pendant quelques instants avant de tomber au sol comme une masse. Cependant votre avenir vous semble flou. Les hommes vont-ils vous tuer? Ou vont-ils vous garder comme de fidèles chiens de garde, voire comme gladiateurs? Vous finissez par vous réveillez, pâteux, comateux, embourbés dans les limbes de la semi-conscience. Combien de temps s'est écoulé depuis votre combat? A vos côtés se trouvent deux bols remplis de croquettes à l'odeur infâme. Vos plaies ont l'air d'avoir été pansées.... Bien, les humains ont l'air d'avoir besoin de vous pour le moment.

Félicitation, vous avez survécu à l'arène. Profitez de votre instant de repos pour reprendre vos forces et pour préparer votre plan d'évasion... Mais prenez garde les humains semblent vous vouloir quelque chose.

Mar 5 Mai - 18:24

Panem et Circenses.

Tybalt et Arawn

Force :76 - Endurance : 63 - Agilité : 52

Tu ouvre péniblement les yeux, ou est tu? Tu tente de te relever mais rien y fait, ton corps ne réagis pas. Tes yeux parcourent lentement les alentours. Des barreaux, la cage. Tu est dans cette foutue cage. Tes iris ambré glisse sur ton flanc, tes plaies, elle sont bander. Tant mieux. Une odeur répugnante te monde au nez, et pourtant, elle t'attire vers elle. De la nourriture, tu meurt de faim! Tu gronde, et commence à te lever, tremblant, glissant et te retamme. Enfin tu semble tenir sur tes pattes. Tu chancelle vers la gamelle d'eau et boit comme tu n'avait jamais bue, mange comme tu n'avait jamais manger. En quelques minutes il ne reste plus rien. Tu te dirige vers l'autre côter des barreaux et te tourne vers la cage d'Arawn. Tu te couche en sa direction.

"Arawn."

Chuchote-tu, mais pas de réponse. Dors t-il encore?

"Arawn! lève toi!"

Code By Reira

Mar 5 Mai - 23:35

Trop tôt pour crier victoire.

Alors que les méandres de la fatigue me happent peu à peu je vois Tyblat s'affaler dans le sable pourpre à son tour. Ainsi nous allons mourir. J'ouvre peu à peu les paupières, ce qui m'indique que je suis toujours en vie, mes blessures sont refermées pour la plupart et un bol emplis de croquettes brunâtre est disposé à mes côtés. Je referme les yeux, encore trop éreinté par le combat. Puis c'est la voix de Tyblat qui plus tard m'intime à me lever, ou du moins à me réveiller. Je me retourne et gronde un peu pour exprimer ma joie. Bien grand mot d'ailleurs, bref je me lève et dévore les croquettes pour tenter de calmer mon estomac. Je jette un rapide coup d'oeil autour de moi. On doit se tirer vite fait avant que nous ne soyons à nouveau jeter dans l'arène !
- Faut qu'on bouge Tyblat et vite !
Mon esprit carbure aussi vite que possible pour trouver un moyen de s'échapper. Le temps est compté...

Ven 15 Mai - 10:54

Panem et Circenses.

Tybalt et Arawn

Force :76 - Endurance : 63 - Agilité : 52

Tu vois alors Arawn bouger de l'autre côter. il jappe alors.

- Faut qu'on bouge Tybalt et vite !

Évidemment qu'il le faut! Tu regarde autour de toi, il n'y as pas grande, grande possibilité. comment faire? peu être qui si vous donniez des coups d'épaules la porte s’ouvrirais? Mais cela ferais un vacarme qui alerterais tout les traqueurs du coin... Tu regarde le sol à tes pattes. Creusé! mais oui c'est évident! creusé! Ainsi, de tes griffes tu grattes frénétiquement le sol et invite Arawn à faire de même en lui lançant un coup d’œil. Tes plaies à peine bander te font souffrir, mais cela t'importe peu, il faut sortir d'ici.

(Allen nous laisse quelques tours d'avance pour s'enfuir ^^)

Code By Reira