Camps d'armée

Mer 1 Avr - 20:25

Camps d'armée

Que s'élèvent les Enfers

Taille de l'avant poste : Moyen
Nombre d'humains : 20
Nombre de chiens : 10

PV & Nombres de chasse à réussir : 9

Description

En plein coeur de la forêt, les hommes on bâtit un mur de tronc taillé pour encercler leur camps de survie. Des tentes ont été dressées et régulièrement, des voitures entre et sorte en amenant et repartant chargés de blessés et de morts. On suppose que des scientifiques sont venus étudier les araignées de la forêt.

Réserves à piller

– 16 Rations de nourriture
– 30 Médicaments
– 13 Armes

Ratio de Pillage :

De 12 à 9 --> Pillage réussi
De 8 à 0 --> Pillage raté

Jeu 2 Avr - 4:09

Human parasite.

Time to hunt.

Force :66 - Endurance : 52 - Agilité : 46

Sortir! Sortir! enfin! tu trottais, d'un pas rapide vers la sortie. Les oreilles droites, la queue haute lever. Une lumière dense t'aveugla, tu plissa les yeux et réprima un grondement. Baissant le crâne tu marcha vers la sortie, posant une patte à l'exterieur, puis enfin une autre suivis par ton corps entier. Tu sentis l'air frais parcourir ton pelage. Et mal grès ce paysage dévasté qui s’offrait à toi, tu poussa un long hurlement, c'était plus fort que toi. Comme pour dire que oui, vous étiez toujours là, vous, les loups, et que vous vous battriez pour vos terres. Tu observa l'étendue boueuse face à toi...Un terrain sans vie, sombre et morbide. Tu trotta sans hésitation, non tu ne trotta pas, tu courra, aussi vite que tes longues pattes de le permettais, oui des lunes que tu n'avais eu l’occasion de courir! à nouveau tu poussa un hurlement, fier, puissant et glorieux, ayant l'impression d'avoir gagner une bataille. Tes pas te menèrent instinctivement vers la forêt des pendus. Un endroit dans lequel tu avais tant vécue de chose, et si tout le monde si perdait, tout comme dans les égout et les métros toi tu t'y diriger parfaitement. Ainsi tu avança à travers les arbres briser et les tronc renversés, tu escalada les monticules de pierres retourner ou de terre, bravant les obstacles. Certaines parcelles de terres, imbibé d'acide te brulait les pattes. Tu eu encore le réflexe de regarder le ciel, faisant en sorte d'être sûre qu'il n'y aurait pas encore de bombardement. Mais tu decouvra un étrange sentier, Un sentier qui sembler avoir tout détruit sur son passage, des traces de roues, une odeur accrue d'humain...les tanks, il était passer par là hein? Tu gronda, dévoilant tes crocs à cette idée, à l'idée que de répugnant humains est piétinée cette forêt, ta forêt. Ainsi tu trotta sur cette étrange chemin, la fourrure hérissé, tes yeux ambrés brillant de rage. Ce ne fut qu'après plusieurs minutes de marche que tu découvrit avec grande surprise une grande forteresse, aux murs de bois. Tu gronda, comment oser t-il?! Oh tu aller leur faire comprendre que toi et les "tiens" ne les laisserait pas faire, quit à échouer, aux moins il saurait que vous etiez bien présent et prêt à montrer les crocs. Si tu avait l'habitude de tuer pour le plaisir, de tuer des loups, là tu aller tuer pour tes terres, tu aller tuer des humains. Tu t'avança vers une ouverture, donnant sur leur camp.

Code By Reira

Jeu 2 Avr - 4:09

Le membre 'Tybalt' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de Pillage' : 9

Jeu 2 Avr - 4:29

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Human parasite.

Time to hunt.

Force :66 - Endurance : 52 - Agilité : 46

Tu pénétra à l'interieur de cette endroit étranges, tout sences en alerte. Tu rampa furtivement entre les barbelées, te plaquant au sol quand tu vis un escadron de bipède passer face à toi. Tu retins avec difficulter ce grondement qui montait de ta gorge, de tes entrailles. Ton pelage brun te camoufler un minimum. La boue chaude par endroit et glaciale par d'autre te coller à la fourrure, mais peu t'importer. Les muscles tendus à rompre tu t'avança, dévoilant tes crocs. Tu inspirant une grande bouffer d'air, observant cette endroit mystérieux. Il y avait une tente là, devant là quelle était se tenait des sentinelles, certainement. Tu afficha un large sourire en observant le contenue de celle-ci, des armes, les précieuses armes de bipèdes. Tu comptais bien leur prendre, moins ils auraient d'armes, plus ils serait vulnérables. Plus tard tu les jetterais dans les nappes fumantes, ou encore dans la lave qui les entours, histoire qu'il n'aient pas l'occasion de les récupérait. Tu te fofilla à travers les différents obstacles, ventre à terre, prêt à te lancer dans une fuite ou dans un combat à tout moment. Tu contourna la tente, et entrepris d'user de tes crocs pour y penetrer. Mais délicatement, histoire de ne pas la faire remuer en tout senses. Ainsi tu planta doucement tes crocs dans le tissus et tira avec un plaisir non dissimuler. Tu pu entendre le tissue céder et se déchiré. Un sourire malsain se dessina sur ton visage, comme à chaque fois que tu t'apprêter à faire quelque chose ou que tu t'apprêter à tuer quelqun'un. Tu t'y fofilla, furtivement. Observant la caisse d'arme. Tu bondit sur la table, quand soudain tu tomba nez à nez avec un soldat. Tu montra les crocs, le regard emplie de fureur et de folie, celui-ci vosiféra et tenta de te donner un coup, tu bondit sur le côter et planta tes crocs dans sa cuisse. Il hurla de douleurs et tomba en arrière. Profitant de ce moment tu te jeta sur lui, visant la jugulaire, le sang gicla. Mais une douleurs insoutenable se fit alors sentir à ton épaule, le bipède venait d'y planter un couteau de combat. Tu hurla et t'apprêta à mordre à nouveau l'homme avant de réaliser que celui-ci avait déjà succomber à ton attaque. Tu pouvait déjà entendre les autres arriver. Tu te jeta sur la caisse attrapa une des armes à feu et bondit à l’extérieur. Les aboiements, les hurlements, le bruit des balles qui sifflait à tes oreilles. Tu zig-zagua, ton épaule au supplice. Tu traversa les barbellés sans prendre le temps de les esquiver, tombant plusieurs fois, laissant de longue écorchures, par une chance inouï, tu ne resta pas coincer. Ainsi tu bondit à l’extérieur et t'enfuis avec l'arme, un sourire au babines.

Code By Reira

Jeu 2 Avr - 18:47

Escape

Tu as peut-être réussi ton pillage, mais tu as surtout sonné l'alerte ! Les humains ont remarqué le corps que tu as laissé suite à l'agitation que tu as semé derrière toi, et si les bipèdes partagent un point commun avec les loups, c'est bien le fait d'être rancunier lorsque l'on touche à l'un des siens. Ils sont bien décidés à te retrouver pour te faire payer ! Tu entends les voix vociférer derrière toi, beugler des ordres et bientôt tu peux discerner les jappements surexcités de leurs molosses. Ils se vengeront, ce n'est qu'une question de temps, et prends garde à ne pas tomber dans un piège dans ta précipitation... Le cor déchire le silence comme un funeste présage, la chasse est lancée...

Fuis les humains, sauve ta peau, tu es devenu la proie ! Abandonne l'arme si nécessaire, ou ruse leurs molosses pour échapper à cette chasse à courre. Je répondrai après ta réponse. Bonne chance.

Jeu 2 Avr - 19:08

Jauges:

Enfin sortie ! C'est pas trop tôt ! Ça faisait vraiment longtemps que nous étions enfermés dans ces fichus souterrains, à cause de ces fichus hommes. J'avais envie d'aller les voir. Juste pour essayer de leur rendre la pareille. Je me dirigeais à un endroit au pif, espérant rencontrer des Hommes. La forêt des pendus. J'en étais sûre. En même temps, c'est facile de la reconnaître, tous ces hommes pendus aux arbres. Quelle idée de vouloir voler alors qu'on est pas faits pour ça ? Enfin, c'est la stupidité des hommes... Je marchais toujours lorsqu'une énorme palissade en bois se dressa devant moi. Les hommes devaient se tenir derrière. Je décidais de creuser, et en dix minutes, peut-être plus, le trou était devant moi. Il était juste assez gros pour que je puisse y entrer sans soucis. De l'autre côté, une tente se tenait. Je décidais d'entrer, qui sait, il peux y avoir quelque chose. Je déchirais le tissus de la tente, lentement, pour ne pas faire trop de bruit. Une fois à l'intérieur, une bonne odeur m'envahit. De la nourriture... Miam, je me léchais les babines.

Jeu 2 Avr - 19:08

Le membre 'Tungstene' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de Pillage' : 5

Jeu 2 Avr - 19:09

Human parasite.

and the hunter become the prey.

Force :73 - Endurance : 52 - Agilité : 46

Ton sourire s'efface quand tu remarque qu'il te chasse encore. Tu accélèrent tandis que tout semble chaos autour de toi. Les oreilles plaquer en arrière tu élargie tes fouler, priant pour ne pas te faire attraper, Les chiens ils aboient derrières toi, tu les entends, tu les vois. Un long core de chasse retendit. Tu gronde et vire brusquement sur la droite. Tu connais cette forêt par coeur et actuellement, tu te dirige vers un des point dangereux. La route est de plus en plus étroites et les ronces de plus en plus nombreuses. Tes pattes martèle le sol brulant tandis que ton épaule est au supplice, mais cette adrénaline qui t'envahit, cette instinct de survie fait que tu continue de courir. Sautant à travers les branchages, ces molosses, ces humains ne te lâche pas. Es cela que ressent une proie quand elle se fait chasser? Un espoir fou, une soif de survie...la menant parfois jusqu'à un acte presque suicidaire. C'est pourtant ce que tu apprête à faire. Autrefois tu avais souvent croiser ce profond et dangereux fossé, un blessure laisser par les bombes, mortelle, cratère au milieu de cette forêt. Tu l'aperçois enfin, et tandis que tes poumons sont au supplice tu accélèrent tes fouler, tout droit vers la blessure, tu serre les dents. Ta fin serré t-elle proche? Certainement, tu le sait, mais cette espoir fou de réussir cette espoir te pousse à avançer, toujours plus vite. Tu atteint le rebords du cratère, mais ne ralentis pas l'allure. Fixant l'autre côter. Il te faudrait un bond énorme pour atteindre l'autre côté, certe cela reste faisable, mais tes chance sont très réduite, du à la longeur du saut et à l'etat de ton épaule. Tu ferme les yeux un court instant, te disant que cette acte fou causera ta perte. Tu te replis sur toi même et bondit, avec le plus de puissance que ton corps pouvait te le permettre. Tu te sens presque pousser des ailes, et te force à ne pas regarder le vite. Tes pattes avant atteigne la terre fermes, mais pas tes pattes arrière. Tu lâche un jappement d'horreur et parviens à te maintenir de tes griffes, mais pour combien de temps. Tu entends une balle siffler prêt de toi. Les yeux écarquiller, tu donne de violent coup de pattes arrière, et tu parviens à te hisser à la surface. Tu jette un fils coup d'oeil en arrière et reprends ta course. Si tu est presque sûr que les humains ne pourrons pas te suivre, certains chiens, les plus agiles eux pourrons, alors tu cours, encore et encore.

Code By Reira

Jeu 2 Avr - 19:15

Soudain, un humain entra. En me voyant, il pris l'arme la plus proche. Je ne résistais pas à la tentation de le tuer. Je sautais, mais pas sur lui. Sur le côté, il ne s'y attendait vraiment pas, vu qu'il a tiré, mais là où je me tenais avant. Je lui fonçais aux jambes, et les lui fauchais. Il tomba, et je lui sautais à la gorge. Le sang gicla, et il hurla. D'autres hommes entrèrent dans la tente, et je lâchais l'homme. De toute façon, il était mort. Et s'il ne l'était pas, ce n'était qu'une question de temps. Je sortis pas l'entrée que j'avais fait, et courus de mon maximum, en espérant qu'ils ne me suivent pas.

Jeu 2 Avr - 21:33

Escape.

Tybalt. Le ravin semble bloquer la progression des hominidés et de leurs chiens pendant un petit moment, te permettant d'avoir un peu d'avance, malgré la zone truffée de pièges. Poussé par l'adrénaline, tu ne remarques qu'au dernier moment la fine boucle de câble qui a été dissimulée sous le feuillage. Trop tard. Tu te retrouves maintenant suspendu par la patte arrière, le souffle coupé par le choc. Tu ne peux qu'à peine gratte le sol de tes pattes avant, et tu sais qu'il n'est qu'une question de temps avant que les traqueurs ne trouvent un stratagème pour traverser le ravin.

Essaie de te sortir de ce mauvais pas avant que les traqueurs n'arrivent à te rejoindre ! Je répondrai après ta réponse.

Tungstsene. Manque de chance, les humains ont déjà les nerfs à vif suite à l'attaque de l'un de tes compères lupins et tu vas visiblement en faire les frais. En décidant de ne pas sortir par l'entrée que tu avais soigneusement créé, tu t'exposes à des risques. En effet, tu ne connais pas le campement, pas du tout. C'est une grossière erreur d'avoir choisi de rester ici. Les quelques chiens qui ne sont pas partis avec le premier groupe d'humain semblent avoir pour but de t'encercler et de te rabattre vers leurs maîtres qui essaient déjà de te tenir en joue. Tu cherches alors à te diriger vers la sortie principale du camp, mais cette dernière est fermée, à croire que le Destin a une dent contre toi. Tu dois trouver une nouvelle sortie le plus vite possible, sans quoi tu vas te faire attraper à coup sûr.

Échappe toi du camps sans te faire cerner par les chiens ou sans te faire administrer un tranquillisant par les humains sans quoi ils te prendront avec eux... Tu as la possibilité de rejoindre Tybalt si tu arrives à sortir. Je répondrai suite à ta réponse.

Ven 3 Avr - 0:17

Human parasite.

and the hunter become the prey.

Force :73 - Endurance : 52 - Agilité : 46

Ton épaule te fait affreusement souffrire, malgrès tout tu continue de courir. Tu ne remarques qu'au dernier moment la fine boucle de câble qui a été dissimulée sous le feuillage. Trop tard. Tu te retrouves maintenant suspendu par la patte arrière, le souffle couper par le choc. Tu tente d'abords d'atteindre le sol de tes pattes avants, en vain. Tu commence alors à te tordre dans tout les sens, un grognement sourd émanent de ta gorge. Te vin enfin l'idée de regarder à quoi se tenait ce piège, une branche évidemment, et bien solide. Tu tante désespérément d'attraper le fil qui te reteints, en vain. Tu te laisse pendre dans le vide un court moment, cherchant un échappatoire. Tu commence alors a te balancer de droite a gauche, assez vite, dans le but d'atteindre le tronc et de pouvoir prendre appuie sur celui-ci pour bondir et attraper cette foutue corde. Tu réalise alors que cela et infaisable, alors tu te contorsionne en tout sences. Tu jappe, grogne, gronde furieusement, mais rien n'y fait. Un crack se fait entendre, la branche fissure. Ploie sous ton poids mais il semblerait qu'il soit déjà trop tard, tu les entends arriver.

Code By Reira

Ven 3 Avr - 20:23

Et zut ! Les chiens essayent de m'encercler, il faut que je trouve une solution. Et vite. Même très vite. Je courrais le plus vite possible, en essayant de me repérer. Mais peine perdue, impossible de trouver une sortie. Enfin, si, mais la porte principale est fermée... J'ai pas de chance. J'aurais dû sortir par mon passage. Mais j'avais peur qu'ils m'attrapent avant que je sorte. Mais j'aurais dû, oh oui, je le sais maintenant. Je commençais à désespérer de ne pas trouver de sortie quand je repassais devant mon trou. J'y passais le plus vite possible, en espérant qu'aucun homme ne réussisse à m'attraper. Ouf, sortie. Je courus à toute allure pour m'enfuir le plus vite possible. Et puis, une faille se dressa devant moi. Sans réfléchir, je bondis, et ne remarquais qu'après les hommes qui essayaient de passer. Et puis, un loup pendu par la patte arrière. Je reconnus directement Tybalt. Deux choix s'offraient à moi : le libérer ou pas. Mais ma décision fut vite prise. Je ne pouvais pas le laisser aux hommes. Même s'il est Hordien, sanguinaire et tout le tralala qui va avec les Hordiens. Malgré ça, on a un point commun : notre haine des hommes. Et même s'il risque de se retourner contre moi, même après tout ce qu'il a fait, il reste un loup, et l'un des miens. Je bondis, et attrapais la branche qui retenait le câble. Puis, je mis tout mon poids pour la casser. Et enfin, un grand crac retentit, et je m'écrasais au sol. Je me relevais, et m'enfuis à toute allure dans la forêt. J'avais fait mon maximum pour Tybalt, maintenant, les hommes devaient avoir gagné beaucoup de temps.

Ven 3 Avr - 22:28

Escape.

Tybalt. Malgré le sauvetage express de Tungstene, tu ne vois que peu de chances de réussir à fuir avant que les humains arrivent. L’atterrissage brutal t'a coupé le souffle et il te faut un moment avant de pouvoir te rétablir sur tes pattes puis récupérer une vision suffisamment correcte pour espérer fuir. Or, les pas que tu peux entendre sont proches... beaucoup trop proches. Les traqueurs ont finalement réussi à traverser. Dommage, ta technique aurait pu être un succès s'il n'y avait pas eu ce maudit piège. Tu redresses la tête avec un regard féroce en voyant les humains arriver. Ces derniers braquent leurs armes sur toi, et tu sens déjà la froide morsure de la mort s'approcher alors qu'en fait il ne s'agit que de l'étreinte des bras de Morphée qui t'attire à lui. Tu as perdu, ils ont gagné. Tu viens d'être capturé.

Tu as été capturé par les humains, ces derniers t'amènent donc avec eux. Un lien de RP te sera envoyé lorsqu'il y aura au moins un autre loup de capturé.

Tungstsene. Les humains ont visiblement arrêtés de te poursuivre, ce qui te semble étrange... Puis soudain tu comprends. Tybalt. Voilà la raison pour laquelle ils ont cessé leur traque. Il n'a donc pas réussi à s'enfuir... Entendre les voix se héler pour se féliciter sonne comme une défaite amère, un camarade loup de perdu... Mort? Capturé? Tu ne le sais pas, mais tu n'as pas hâte de le découvrir.

Félicitation, tu as échappé aux traqueurs ! Tu t'en tires sain et sauf pour cette fois, mais à quel prix?

Dim 24 Mai - 10:11

Les hommes ont toujours de la bouffe chez eux. Toujours... Mais il y a aussi des gardes. Mais j'ai faim, et mon choix fût vite pris. Je préfère risquer ma vie et manger que de me laisser crever de faim. Alors j'y vais. C'est le seul camp qui reste. Les autres sont partis. Peut-être qu'ils ont eu peur des loups qui ont du être nombreux à venir. J'en sais rien, et je m'en fout. C'est pas mon problème après tout. Le seul souci que j'ai en ce moment c'est remplir mon garde-manger. J'espère juste le temps de trouver un guérisseur. Une fois que je pourrais, je rejoindrais une meute. Pour l'instant, il me faut de la nourriture pour survivre jusqu'à ce que je trouve un guérisseur. Alors, je me dirigeais vers le campement humain.

Dim 24 Mai - 10:11

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'Dé de Pillage' : 7

Dim 24 Mai - 10:14

Je commençais par longer le bord du camp. Qui sait, je trouverais peut-être un trou. Yes, c'est mon jour de chance, en v'là un. Il sent l'Esobek, mais c'est pas grave... Mais il est trop petit pour moi. Ma patte ne supportera pas le passage dedans... Temps pis, il me faut le creuser. L'agrandir. Même à une patte c'est possible. Il me faudra un moment, mais c'est possible. Alors, je commençais mon travail.

Dim 24 Mai - 10:15

Comme je m'y attendais, le matin, je n'avais toujours pas fini mon trou. Mais j'avais bien avancé. Peut-être le finirais-je ce soir. Peut-être trouverais-je de la nourriture ce soir? Je ne sais pas. Il faut voir...

Dim 24 Mai - 10:15

Le membre 'Rajaa' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de Pillage' : 8

Dim 24 Mai - 10:17

Mais non, le matin, le trou n'était pas encore fini. Zut, zut, zut. Bon, la prochaine fois ?

Dim 24 Mai - 19:52

Connaître ton ennemi

F : 74 - A : 71 - E : 67
A peine quelques lunes sont passé depuis que le Bourreau est mort, depuis que les Sekmet ont retrouvés leur libertés. Marchant loin des terres Sekmet, dans les terres neutres du nord, tu comptais aller chasse, t'enfonçant dans la forêt aux pendus mais, quelque chose attire ton attention … De la fumée s'élève dans le ciel, l'odeur du feu mais, également celle des Hommes … Ils ne sont pas loin … Par réflexe, tu retrousse les babines, te dirigeant sans un bruit jusqu'à l'endroit où les Hommes semblent être et, découvre un camp. Oreilles en arrière, tu étouffes un grognement au fond de ta gorge. Sont-ils de partout ? Tu ne cesses de croiser leur camp ci et là mais, fort heureusement, ils n'ont pas réussi à prendre vos terres. Flairant et, observant attentivement, sans le moindre bruit, tu te rapproches, rampent pratiquement, faisant bien attention de ne pas te faire repérer. Quelques Hommes sont présents mais, également des chiens. Il va te falloir faire extrêmement attention pour ne pas te faire repérer par leurs molosses … Tu te recules, remettant de la distance entre le camp et toi. Ton but ? Les observer, voir combien ils sont et, ce qu'ils font ici. Certes, tu ne comprend rien à leur langage ou à leur motivation mais, c'est en observant que l'on finit par comprendre …

Posant ton regard sur ce mur de bois qui semble cacher quelque chose, tu finis par t'en approcher, contournant cette drôle de structure pour ne pas être repéré par les chiens qui semblent surveiller l'entrée avec leur maître. Une fois à l'arrière, tu remarques la petite ouverture, une ouverture qui pourrait te permettre d'entrer dans leur camp mais, est-ce prudent ? Puis une fois à l'intérieur, que feras-tu ? Tu pèses le pour et le contre. En même temps, si tu n'entre pas, tu ne sauras pas ce qu'il se trouve à l'intérieur … Un bruit sourd t’interpelle à l'opposé de là où tu te trouves, tu retournes sur tes pas et, constate l'arrivé d'étrange engin roulant. De ces engins amènent une délicieuse odeur de viande. Ainsi, les Hommes étaient en train de faire leur réserve ? Tu réfléchis un moment. Si tu t'empares de leur vivre, les Hommes seront obligé de partir pour en avoir d'autres ou, commenceront à se sentir mal pour manque de nourriture. Après tout, affamé les autres est une bonne tactique avant de leur donner le coup final.

Retournant à l'arrière, tu décides de passer par le trou que tu as vu mais, t'arrête juste devant en sentant la présence d'un autre loup en approche, un loup dont tu connais l'odeur ...