J'étais en train de réfléchir à une façon de sauver Reaven, quand une voix retentit :

-TUNGSTENE OU EST TU ?

Tien, je reconnaîtrais cette voix entre milles... Brûme. Que fait-elle ici ? Les deux dernières fois qu'on s'est vues, elle ne m’appréciait pas. La dernière, elle essayait de trouver le bon moment pour me sauter à a gorge... Et là, elle paraissait presque paniquée... Je m'avançais, et parvint à la rejoindre sans trop de difficulté, elle ne faisait rien pour se cacher. Était-elle devenue folle ? Non, je ne pense pas. Je m'approchais, et lui dis, d'une voix empreinte de curiosité et de méfiance :

-Brûme ? Qu'est-ce que tu fais là ?

Elle se retourna et me dit, d'une voix fatiguée :

-Tungstene..J...Je suis désolé j'aurai du t'écouter...j..J'aurai du!

Hein, de quoi parlait-elle? Oh,je crois avoir compris, peut-être quand je lui ai dis qu'elle était ma soeur et qu'elle ne m'a pas crue... J'allais lui répondre quand elle s'évanouis.

-Brûme !

Et c'est là que je pris conscience qu'elle était crevée. Oh, la pauvre, elle avait du courir beaucoup pour être dans cet état là... Je m'assis près d'elle en attendant qu'elle se réveille. Elle était vraiment fatiguée, et il fallait qu'elle se repose, on en reparlera plus tard, ça peut attendre encore un peu... Mais elle risque de prendre un moment, et je m'allongeais à côté d'elle, patiente.

Elle se releva et me lécha alors que je somnolais. Puis, elle me dit :

-Désolé de ne pas t'avoir cru mais maintenant que je les ces, je te promet que plus jamais je ne te ferrai du mal Tungstene. Je m'en veut tu sais, j'aurai jamais du te mordre et te faire du mal avec mes mots.

Je me relevais et lui dis :

-Ne t'en fais pas Brûme, je ne t'en veux pas, le principal, c'est que tu as compris que je te disais la vérité. Et puis, pourquoi t'aurais-je menti ?

Je lui souris, ma question était purement réthotique. Il y avais plusieurs raisons de mentir. Comme pour qu'elle soit confuse, entre autres.

-Ba eux j'en sais rien en faite, des fois des ennemie mente pour sauver leur peau ou autre chose encore.

Oui, c'est vrai, mais je ne suis pas une menteuse.

-Il faut qu'on parte, qu'on vive notre destin toute les deux cote à cote si on reste dans nos meute on va courir un grand danger toi tous comme moi, et sa je ne veut pas, je ne veut pas qu'il t'arrive du mal.

Non, non je ne peux pas quitter les Esobeks. Je secouais la tête avec résignation.

-Non Brûme, je ne cours aucun risque avec les Esobeks. Ils sont devenus comme ma famille maintenant. Je suis sûre qu'ils t'accepteront. Après tout, tu n'es pas la seule Sekmet. Asak, ton ancien prince est là maintenant. Tu ne cours aucun risque.

Mais, si jamais... Je m'empressais d'ajouter :

-Mais si jamais un seul Esobek te fait du mal, je te suivrait. On s'éloignera, ensemble. Je te le jure. Laisse leur une chance, d'accord. Il y a certains Esobek à qui je dois beaucoup. En je ne voudrais pour rien au monde partir sans leur dire au revoir. Sauf si j'étais sûre que c'est pour leur bien. Tu comprends ?

J'avais dis ça d'une voix douce, et qui je voulais qu'elle soit rassurante. J'étais sûre de ma vérité.

-Oui, je comprend très bien. Mais je ne peut pas abandonné ma meute pour les Esobek. Et toi non plus tu ne veut pas laissé ta meute, dans ce qu'à la on reste dans nos meute, mais personne ne doit donc savoir qu'on est soeur. On doit rester cacher.

Très bien, alors c'est ce qu'on fera. Elle ne veut pas abandonner les siens, ni moi les miens. Alors on restera avec nos meutes. Une idée repoussante vint germer dans mon esprit. Et si, un jour, les Sekmet attaquaient les Esobeks ? Nous nous retrouverions dans un camp différent, et si nous devions nous retrouver face à face? Bien sûr, nous ne nous attaquerions pas, logique. Tout à fait normal, mais si justement, quelqu'un le remarquait? Ou si un jour, nous nous baladerions ensemble, et qu'un ennemi nous croise? Je secouais la tête avec résignation. Je refusais d'envisager cette possibilité. Que ferions-nous ensuite? Ça serait une catastrophe... Enfin, pas jusque là, mais presque. Je soupirais, en repoussant ces pensées.

-Très bien, finis-je par dire. Que veux-tu faire maintenant?

Elle réfléchit un long moment et fini par lâcher. "Très bien, Que veux-tu faire maintenant?" Je ne ces pas du tout comment on pourrai faire, mise à part rester cacher ou bien partir, alors maintenant il ne nous reste plus ca nous quitter est d'éviter de se faire remarquer."Et bien, je croit que maintenant il ne nous reste plus ca cacher qu'on est soeur à tout le monde est d'éviter de se voir trop souvent." Je tirer une mine triste est apeuré, pas pour moi mais pour ma soeur.

-Et bien, je croit que maintenant il ne nous reste plus ca cacher qu'on est soeur à tout le monde est d'éviter de se voir trop souvent.

Oui, c'est sûrement la meilleure chose à faire... Bien qu'elle ne me plaise pas du tout. Mais, et si j'en parlait à Freux, qu me dirait-il? Nous conseillerait-il? Que ferait-il à la place de l'une de nous? Aucune idée.

-Mais, et si seuls certains loups dont on a entièrement confiance le savaient? Par exemple, Freux, si je lui disais, il pourrait nous conseiller, non? De toute façon, je suis sûre qu'il finira par savoir. Je ne lui cache rien très longtemps...

À croire qu'il lit en moi comme dans un livre ouvert. Ce qui est sûrement le cas.

-NON! Personne ne doit apprendre qu'on est soeur ni même les personnes dont tu à le plus confiance, je ne connais peut être pas ce loup mais une chose et sur ces qu'il pourrait nous trahir! cria-t-elle.

Elle marqua une courte pause, et elle dû lire sur mes traits car elle reprit plus calmement :

-Désolé, je ne voulez pas t'engueuler mais ces que j'ai peur qu'il t'arrive quelques chose si le secret ne reste pas cacher.

Elle ne connaît pas Freux, mais moi si. Et je sais qu'il ne nous trahira pas.

-Je sais que tu as peur pour moi, je le sais bien puisque je ressens moi-même le besoin de te protéger. Mais j'ai aussi entièrement confiance en mon mentor. Je suis persuadée qu'il ne nous trahira pas. À cent pour cent... Fais moi confiance là-dessus, je t'en prie. Peut-être que... De toute façon, il le saura, même si je ne voudrais pas lui dire... C'est sûr.

Je regardais mes pattes à présent, cet, ce... Non, je ne voulais pas qu'elle parte. J'aurais voulu rester avec elle, mais une partie de moi ne voulait pas à avoir dire au revoir aux Esobeks. Une chose est sûre, ça sera pire ainsi. Déjà, on sera moins à l'abri. Je frissonnais à ma première rencontre avec Tybalt. Celle-la aussi Freux l'avait su, il saura pour Brûme.

-Très bien dit lui, mais promet moi que si un jour beaucoup trop de loup apprenne qu'on est soeur, on s'en ira, me dit-elle calmement.

Je souris et lui répond :

-Oui, je te le jure. On s'en ira. Mais pas pour l'instant...

Je ne voulais pas partir. Du moins, pas maintenant. Mais...

-À toi de me promettre quelque chose. Si Tybalt ou Skull ou quelqu'un du même genre l'apprend, tu viendra ici. Chez les Esobeks. Si nous devenons solitaire, on sera pas en sécurité, et je connais assez bien Skull et Tybalt pour savoir ce qui se passera s'ils nous voient un jour. D'accord ?

Elle me sourie et répond "Oui, je te le jure. On s'en ira. Mais pas pour l'instant..." Elle fait une courte pause et reprend "À toi de me promettre quelque chose. Si Tybalt ou Skull ou quelqu'un du même genre l'apprend, tu viendra ici. Chez les Esobeks. Si nous devenons solitaire, on sera pas en sécurité, et je connais assez bien Skull et Tybalt pour savoir ce qui se passera s'ils nous voient un jour. D'accord ? " Un, bon j'ai fait promettre à ma soeur pour partir alors je croit que ces à moi de faire de même. "D'accord, si sa devez arriver je ferais de mon mieux pour intégrer ta meute." Je n'était pas sur de ma réponse mais Tungstene n'avais pas tord.

Elle réfléchit un court instant avant de me répondre :

-D'accord, si sa devez arriver je ferais de mon mieux pour intégrer ta meute.

Cool, voilà qui me rassure.

-Merci, soufflais-je. Tu veux faire quelque chose maintenant?

-Non, désolé je n'est pas le temps pour rester plus longtemps cela fait trop longtemps que je suis plus dans ma meute. me dit-elle.

Bon, temps pis. Plus tard alors, c'est vrai qu'elle est restée longtemps. Elle se leva, me donna un coup de langue sur la joue et fis demi-tour.

-Au revoir Brûme. À une prochaine fois !