Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Je me balade dans les caves, à la recherche d'un potentiel "territoire". Il ne serait pas à moi, j'y viendrais seulement pour dormir et apporter mes proies. Un quartier génénale en quelque sorte, sauf que je suis seule, et je ne m'en plaind pas. Les caves sont plusieurs, elles sont toutes différentes et ne contiennent pas les même choses, c'est pour ça que je cherche la cave idéale. Il m'en faudrait une de préférence sans porte, j'avoue que j'ai un peu peur de me faire enfermer. Je pénètre dans l'une d'elle mais il y a un homme, je crois qu'il a peur de moi mais je préfère fuir quand même, on ne sait jamais. La peur peut déclencher de l'agréssivité. Je me dirige vers une autre, mais fait vite demi-tour car celle ci a une porte. Puis j'en aperçois une parfaite. Dedans, un matelas, très vieux et très sale qui devait partenir aux humains qui soignait les bléssés. Je pense qu'il était dans les infirmeries avant d'être déplacer. Puis il y a un petit coin parfait pour y installer mes proies. C'est assez dangereux d'autant plus qu'un homme ma vue, mais comme je viendrais seulement m'y reposer, je ne serait pas souvent là. Enfaite je n'y serait presque jamais, mais avoir un point de repère peut-être pas mal.
Des pas. Un souffle. Mon coeur se met à battre bien plus vite qu'a son habitude. Un loup ou un humain ? Je ne préfère pas savoir.
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Mer 25 Mar - 22:33
L'ennui, ce dévorant ennui. Celui qui ronge, celui qui dissous. Comme si tout le reste avait disparu, comme évaporé. Qu'est ce que je dis ? Moi autrrefois cruel et mesquin. Moi autre sans foi ni loi et me voilà à faire des sentiments. Je suis trop occupé à souffrir pour faire souffrir autrui. Je ne me reconnais plus. Je ne suis plus que l'ombre de ce que j'avais été. Une pauvre loque qui s'attarde sur ses souffrances au lieu de faire souffrir les autres. N'ai-je pas honte. Je devrais faire régner la terreur, terrifier mes semblables, mais en suis-je vraiment capable ? Quelle vie minable. Desormais je suis habitué à la pénombre,à l'humidité et à la perpétuelle odeur de terre. Mais ici, dans les caves c'est différent. L'ambiance est lugubre. Des frissons dans le dos. Cet endroit est malsain, désagréable. Comme hanté par des souvenirs d'horreur. Il y a çà et là des restes de la vie humaine, des bouts d'humanité. Des centaines voir des milliers de caves et bien sûr il a fallut que tombe sur l'odeur d'un de mes semblables. À son odeur je dirais une solitaire. Elle n'est pas loin. Même toute proche. Finalement l'envie de faire souffrir n'est pas si loin. Je m'approche avec douceur pour éviter de me faire griller. Même si elle m'a déja surement repérée. Elle esquisse un pas en arrière. J'en fais un vers elle. Je gronde. Elle gronde. Je me déplace sur le côté. Une ampoule fatiguée éclaire à peine la louve blanche. Ce n'est pas prudent de trainer dans les parages... Je décris un large cercle autour de ma victime. Elle est forte, peut-être et surement bien plus que moi. Mais qu'est-ce que la douleur physique par rapport à la douleur psychologique ?
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Dim 29 Mar - 1:51
Spoiler:
Désolée pour le retard, j'avais pas vue ta réponse.
Et encore un...
Ne me touche pas. Ne t'approche pas. Ne fait rien. Son odeur, elle est bien celle de ce mystérieux mâle. Le père de ma progéniture, qui ne sont autres que des tas de poussière à présent. Noir, costaud il est le mal. Le loup décrit des cercles autours de moi. Quelque chose que j'adore faire à mes victimes. Je ravale ma salive, je suis immobile et j'ai peur de faire le moindre mouvement. Je laisse tomber ma tête lentement sur le sol mais ne ferme pas les yeux pour autant. Je ne sait pas quoi faire, je ne peux pas fuir, j'ai trop mal à la patte pour ça. C'est une douleur musculaire, elle passera, mais pour le moment je suis incapable de courir. Va crever, c'est tout ce que je te demande. Va voir ailleurs si j'y suis. Je vais me venger. Je ne suis pas impressionnante ? N'en soit pas si sûr. Gueule d'ange, âme de démon c'est bien ce qui me vas. Je ne sait que faire, faire comme si de rien était ? Non, ce n'est pas mon genre. Je ne relève pas la tête mais murmure quelques mots.
- Vas-te faire foutre.
Et oui, peut-être n'a t'il pas entendu, mais je suis sûr que si. Je me battrait, je le manipulerais et j'aurais le dernier mot. Je suis fourbe et il ne sait pas à quel point, mais je n'ai pas fini de souffrir, c'est mon avis. Quoi qu'il arrive, je vivrais. Dans ma tête je l'ai déjà tuer cent fois pour ce qu'il à fait. Est-ce moi ou bien lui qui va souffrir ce soir ?
Mais qu'est-ce que je fait ? Je ne m'allonge pas par terre face aux mâles, non. Je me relève d'un bond sur mes pattes et me met à grogner. Ma patte m'empêche de me jeter dessus et heureusement pur lui. Je gronde, la tête haute et queue relevée. Je n'ai pas confiance en lui, il m'a déjà engrosser une fois il serait capable de le faire une deuxième fois.
- Alors, tu me reconnais ?
C'est un question posée avec un air tellement moqueur... J'espère qu'il s'en souvient, parce que moi oui.
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Dim 29 Mar - 20:42
hrp:
Pas d'soucis, je t'autorise à me manipuler :3
La femelle laisse tomber sa tête immaculée contre son poitrail. Ses yeux fixent le sol. Contre sa volonté, son cœur s'accélère sous l'effet du stress et de la peur. Une peu qui enserre ses entrailles, une peur native et brute. Elle voudrais fuir ce prédateur mais pour une mystérieuse raison elle n'esquisse pas un seul mouvement. Elle garde la tête basse. Ses lèvres s’entrouvrent à peine, elle n'articule pas. Mais j'ai entendu son insulte provocatrice. Je gronde, mes babines se relèvent. Pour qui se prend cette solitaire, à la merci de mes crocs. Elle ose me tenir tête, elle ose se rebeller. Je gronde a nouveau, au fur et à mesure que la rage se déverse avec un mesquin plaisir dans tout mon être. Comment ose t-elle se rebeller. Je la regarde, cette louve musclée et puissante. Immaculée au regard haineux. Elle n'en ai pas moins plaisante au regard. Je rétrécis mes cercles, partagé entre la pitié et le désir d'être cruel. Je pourrais la tuer, d'un coup de crocs j'effacerais son passage sur cette terre. Si simple et pourtant je ne peux me résoudre à le faire. Son regard ne m'est pas inconnu. Il est ancré dans ma mémoire mais je ne sais pas où. Peut être n'est-ce pas elle ? Elle se lève, gronde, la queue levée et la tête haute avec un regard défiant. Ses lèvres bougent et formulent une question. Question à la quelle je ne peux répondre. Je fronce les sourcils, c'est donc bien elle la louve blanche au regard qui m'est familier. - Alors, tu me reconnais ? La question passe, repasse dans mon esprit. Mais je ne peut mettre de nom sur cette femelle. Je la connais, du moins je l'ai connue. Que dire ? Je suis déboussolé. Qui es-tu ? Et que cherches tu, solitaire ?
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Dim 29 Mar - 22:13
Et encore un...
Son regard est perdu, il ne sait que dire et n'a pas l'air de se rappeler. Parfais, je vais lui faire subir la même chose. Je lui mord le flanc par surprise et le pousse, il tombe à terre. Je lui mordille le cou et lui glisse quelques mots à l'oreille, des mots dit avec une douceur tellement angélique.
- Tu vas te souvenir chéri...
Je vois bien qu'avec la puissance du coup que je lui ai donner il à du mal à se relever. Parfait. Je lui mord la patte arrière et l'oblige à se relever.
- Lève toi !
Je gronde, prête à attaquer si ne le fait pas. Qu'ils sont idiots ces mâles, il le fait. Et je le repousse aussi tôt à terre. C'est de la triche, moi j'étais déjà mal en point ! Il va falloir qu'il souffre plus que ça pour se retrouver dans mon état. Je lui mord le flanc et surtout les pattes pour qu'il est le plus de mal à se relever. Bon aller, j'vais être gentille si je le met dans l'état dans lequel j'était il ne survivra pas. Je continu de grogner et le saisit par la peau du cou. Je le traine dans le long couloir, quittant la faible lumière qui nous éclairais et l'emmène dans une des cave complètement dans le noir.
- Relève toi !
Il à un peu de mal mais il s'en remettra très vite. Comme lui, je l'aide à se relever, mais lui il avait une bonne raison à se que je me relève. Une fois sur pattes je lui donne un cou de museau à l'arrière train et me recule. Je gronde.
- Aller tu connais la suite non ?
Il va bien se rappeler, moi je me rappelle très bien. Puis il m'a laisser pour morte, mais moi je ne vais pas faire ça, sinon il ne souffrira plus jamais et ça je ne peux l'accepter. Je n'en ai pas fini avec lui.
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Lun 30 Mar - 22:50
Son regard est empli d'un désir de vengance, durant un instant elle me regarde puis d'un coup de crocs au flanc accompagné d'une violente bourrade je tombe au sol. Elle s'approche, me mordille le cou puis prononce cette phrase. Chéri, ce mot que j'avais prononcé lorsque sur mon chemin une solitaire s'était dressée devant moi. Je la pensais morte depuis des lustres. Mais visiblement mon passé m'a rattrapé. Ma blessure est douloureuse et je peine à me relever, la louve me mors à nouveau pour me pousser à me remettre debout. Alors que je viens de me relever elle me pousse à nouveau. Je crains la suite, je me souviens de ces plaintes au fil de mes coups, de ses supplications alors que pensais mettre fin à ses jours. Ses crocs s'enfoncent sans ménagement dans ma chaire. Elle gronde, elle aussi doit revivre cette nuit. Elle gronde comme j'ai grondé. Elle m'entraine avec une force que je ne soupçonnait pas dans une pièce moins éclairée. Elle gronde, sa mâchoire se referme à nouveau alors que je ne peux me défendre. Je ne fais que gronder. Et elle n'en a que faire. Comme cette nuit là. Elle me demande de me lever et je sais trop bien pourquoi. Elle est derrière moi, je sens sa respiration, sa rage. Un coup de museau dans l'arrière-train. Elle recule. Elle gronde. Aller tu connais la suite non ? Qu'avais-je fais cette nuit là, torturé par la voix dans mon crâne, rendu fou par cette personnalité débordante. Je l'avais détruite. Mais je ne me sentais pas mal. Au contraire j'étais enragé, furieux, animé par une haine sans nom. Ne suis-je pas le Hordien qui n'en a que faire des regrets, le Hordien qui détruit sans compter ? Oh que si. Je le suis. Un connard, le parfait connard, sans sentiments, sans regrets. Je fais volte-face avec un plan abominable en tête. Je m'approche de la solitaire, toujours animée par ce désir de vengance, de me faire vivre ce que je lui ai fait vivre. Je me colle à celle, nos poils se touchent. Un sourire s'étale sur mes babines. Je plonge mon museau dans son pelage, inspirant son odeur sauvage. Elle a un mouvement de recul. Si elle s'attendait à des excuses c'est un échec ma belle. Je me décale, je l'observe. J'essaie de déchiffrer son regard mais ces impossible. Ses pensées sont mises sous clé. Tans pis. Je la pousse avec force contre le mur le plus proche. Sous la surprise elle se cogne un peu plus fort que prévu. Une petite coupure sur le sommet du crâne s'ouvre. Je joue l'inquiet, m'approche d'elle. D'une patte appuie doucement sur la plaie qui saigne à peine. Je plonge mon regard fou dans ses yeux. Je vais m'occuper de toi. Pourquoi pas deux fois. Après tout je ois conserver ma réputation d'enfoiré. C'est promis... De nouveau, un sourire s'étend sur mes babines. Je passe ma langue sur mes crocs.
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Mar 31 Mar - 23:25
Et encore un...
Je crois que j'ai assez jouer, mais contre toute attente il gronde et se colle à moi et enfoui son museau dans mon épais pelage. Je n'ai pas peur, non. Plus jamais je n'aurais peur de lui. Chaque expérience, qu'elle sot bonne ou mauvais, nous en tirons toujours une leçon. Néanmoins j'ai un mouvement de recul et je fait bien puisqu'il me pousse contre un mur, surprise je me cogne bien plus fort et je sent bientôt mon propre sang, ce liquide rouge qui nous sert à vivre, couler sur mon pelage écarlate. Une blessure à la tête, voilà ce que j'en tire. D'un air inquiet drôlement bien jouer, il touche a plaie de sa patte puis plonge son regard de taré dans le mien. Le canidé passe sa langue sur ses crocs et esquisse un sourire carnassier. Je gronde.
- Pas la peine de jouer les inquiets.
Je passe sous lui, fait des cercles autour de lui, rampe et fait n'importe quoi pour le rendre fou et qu'il n'arrive plus à suivre, puis je l'attrape par la peau du cou et le balance contre un mur. Il à rien de grave mais je prend d'un air paniqué.
- Ca va ? Je t'ai pas trop fait mal ?
Je découvre mon plus grand sourire, le plus moqueur.
- Va falloir t'y habituer chéri.
Chéri... Tellement ironique, mais j'ai tellement l’appeler comme ça. J'attend qu'il se relève pour continuer à parler, à me moquer.
- T'aurais pas dû gâcher ma vie cette nuit là tu sait, pare que t'a gâcher celle de tes rejetons aussi. Enfin, il n'y en à plus qu'un qui à une vie alors... Mais bon, c'est clair qu'une louve à moitié morte pendant les périodes de chaleurs ça peut servir, j'aurais fait pareil à ta place.
J'émet un petit rire, il se fiche bien d'avoir pourri ma vie, de m'avoir traumatiser, mais de parler de ses petits l'intéresse peut-être. Mais le petit est à moi, je le transformerais en monstre à moins que l'instinct ne ressorte seul. J'ai tellement envie de me jeter dessus, de le bouffer mais non, je veux qu'il réponde.
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Ven 3 Avr - 22:55
La louve passe sous moi. Elle décrit de grands cercles, rampe. Tourne dans tous les sens. Je peine à la trouver. Un petit peu mais la garce en profite amplement. Elle est plus forte, et ne peine pas à m'envoyer dans un mur. Je me relève, en tente de garder un minimum de dignité masculine en ne poussant pas un cri d'agonie. - Ça va ? Je t'ai pas trop fait mal ? Bon, je vais pas pleurer dans ses pattes, mais presque. Garce. - Va falloir t'y habituer chéri. Ouille ma virilité, de toute façon elle est bien plus forte que moi, rien n'y fait. Elle n'est ni troublée, ni apeurée. Elle est juste énervée. Bref j'me relève. Et là. - T'aurais pas dû gâcher ma vie cette nuit là tu sait, pare que t'a gâcher celle de tes rejetons aussi. Enfin, il n'y en à plus qu'un qui à une vie alors... Mais bon, c'est clair qu'une louve à moitié morte pendant les périodes de chaleurs ça peut servir, j'aurais fait pareil à ta place. BOM. Bam. Explosion, destruction de mon cevreau. Bim, bam, boum. Un rejeton. Je suis papa. La plus grosse blague de cette planète. Je sais pas quoi dire. D'un côté je me fiche complétement de cet femelle complétement timbré, obsessionnelle et vengeresse mais en même temps je suis père. Enfin père est un bien grand mot. Je sais pas quoi faire, je suis troublé. Bon autant être un salopard jusqu'au bout. Je quitte mon expression de déconfit pour devenir neutre, dur, glacial. Je m'approche d'elle, encore, à croire que j'aime quand elle me frappe. Je lui souffle mon haleine sanguine, putride, immonde. - Quel dommage, mes cher petits. Qu'ils vont me manquer. Un seul petit, qu'il doit s'ennuyer... Un sourire s'étale sur mes babines. - Ce serait tellement mieux qu'il ai des frères et soeurs. Tellement mieux. Je suis un mâle, c'est un femelle. Merde alors. Je donne d'un violent coup de patte dans son flanc, plutôt son arrière train en fait. Je gronde. Mes babines se soulèvent. Je l'ai déjà mise K.O une fois, pourquoi pas une deuxième. Mes crocs sans plus attendre s'enfoncent dans ceux de la louve. Son flanc saigne, là ou ma mâchoire s'est agrippée. Auras t-elle le courage de se rebeller, une deuxième fois ?
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Sam 4 Avr - 0:44
Et encore un...
Et voilà que j'ai taper en plein dans le mille. Il est perdu, troubler. Il ne peut plus rien dire, savoir qu'il à un petit... Je l'ai achever. Mais j'enlève vite mon sourire, le mâle se rebelle ! Son visage passe à une expression moins bonne, il devient froid et dur. Je n'ai pas peur, mais ce n'est pas bon pour moi, pas du tout même. A mesure qu'il s'approche de moi je sent son haleine putride, une odeur qui me donne envie de vomir.
- Quel dommage, mes cher petits. Qu'ils vont me manquer. Un seul petit, qu'il doit s'ennuyer...
Il ne connait pas la vie du pauvre petit Elios, un petit que je vais hanter toute sa vie. Mais le mâle n'a pas fini de parler, non bien sûr que non, il ne finit jamais de faire quelque chose.
- Ce serait tellement mieux qu'il ai des frères et sœurs. Tellement mieux.
Pourquoi cette phrase me fait me sentir mal ? Serait-il capable de recommencer ce qu'il à fait, et moi d'avoir à nouveau des petits non désirés ? L'histoire semble se répéter quand il me donne un coup dans l'arrière train et m'agrippe le flanc de ses crocs qui sont pour moi venimeux. Le sang coule sur mon pelage écarlate. Perdre du sang, ce n'est rien, j'en ai déjà perdu et j'en perdrais encore, seulement, si le sang doit couler, ce ne doit pas être à cause de lui. J'en vient alors aux mots, mais cela n'en sera pas toujours ainsi.
- Si tu me soumet à toi, si tu me neutralise, qu'est-ce tu vas faire ? Me violer une deuxième fois et me laisser pour morte, encore une fois ? Mais je n'arrêterais jamais de te traquer, et tes petits, je les monterais tous contre toi. Tu ne peux me résister !
Je penche la tête et fonce tout droit contre lui, il atterit contre un mur. J'ai mal, mais la haine me fait oublier la souffrance. La haine oui, la haine et la vengeance sont les meilleurs remèdes qu'il existe sur cette terre. Je gronde et me jette à son cou. Je le maintient au sol et essaye de parler du mieux que je peux.
- Réponds !
Le goût de son pelage est vraiment le pire. Je lui arrache une touffe de poil et lui recrache au visage, petite garce que je suis. Je me tient debout face à lui, je gronde toujours et ma gorge commence à s'irriter. Je souffre, mais ne le montre pas. J'attend seulement qu'il me réponde.
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Jeu 9 Avr - 19:19
- Si tu me soumet à toi, si tu me neutralise, qu'est-ce tu vas faire ? Me violer une deuxième fois et me laisser pour morte, encore une fois ? Mais je n'arrêterais jamais de te traquer, et tes petits, je les monterais tous contre toi. Tu ne peux me résister ! La rage perle dans ses yeux. Son désir de vengeance brûle en elle comme jamais. Elle rêve de m’étriper, je le sais bien, je le vois dans son regard. Elle penche la tête et me percute avec force, je m'écrase contre un mur. Elle gronde à nouveau, enragée, aveuglée par la haine. Elle me maintient avec force. C'est le moment ou je suis censé répondre. Mais que dire, je n'ai rien à dire, je suis épuisé de sa fatigue. Je veux juste rentrer dormir et torturer une petite bête sans défense. Tes petits ? Le seul qui te reste sera bientôt mort, de mes crocs s'il le faut. Je ne te crains pas, Solitaire. Mais si tu penses vraiment pouvoir monter tes rejetons contre moi alors je n'attends que cela. Elle me dévisage, je ne saurais déchiffrer son regard, plus simplement je m'en fiche. Je veux pas être père, je veux pas de sales mioches qui me ressemble. Je veux juste vivre ma vie comme je l'entends, et non pas avec une tripoté de louvards. Je les tuerais un à un s'il le faut. Enfin celui qui a survécu. Elle arrache une touffe de poils qu'elle me crache au visage avec dédain. Je la dévisage, hautain, avec mépris. Pour rien au monde je ne te toucherais à nouveau. Je laisse la viande avariée à charognards. Ma pique la touche. Eh oui ma belle, je suis un salopard. Je me dégage tant bien que mal de son étreinte. Puis je m'ébroue comme si j'étais dégouté du fait qu'elle m’aie touchée. Puis je tourne les talons, sans un regard pour elle. Sans même daigner de tourner la tête.
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Jeu 9 Avr - 21:20
Et encore un...
Une réponse ? C'est bien ce qu'il fait. Il ne devrait pas répondre, ça m'énerve encore plus. Pourtant, je l'oblige à répondre.
- Tes petits ? Le seul qui te reste sera bientôt mort, de mes crocs s'il le faut. Je ne te crains pas, Solitaire. Mais si tu penses vraiment pouvoir monter tes rejetons contre moi alors je n'attends que cela.
Parfait ! Il n'a qu'a le tuer, ça me fera une vengeance en moins. Mais il ne sait pas où il se trouve, ni comment il s'appelle. C'est bien dommage pour lui. Tuer quelqu'un alors qu'on ne sait rien de lui, au fond de moi ça me fait bien rire. Il me dévisage et se glisse de sous mon poids.
- Pour rien au monde je ne te toucherais à nouveau. Je laisse la viande avariée aux charognards.
Je déteste qu'on me lance se genre de choses. Vraiment. Je gronde, il n'a pas à me dire des choses comme ça. Il s'ébroue comme si j’étaie mal propre. Pourtant il était bien content de me trouver il y a quelques mois de ça ! Je gronde, je le déteste. Il se tourne et tente de partir. Je me jette devant lui et lui bloque le passage.
- T'est sûr que c'est moi la viande avariée ? Ou bien c'est parce que tu m'a toucher et j'ai récupérer ton odeur ? Moi je vit pas parmi une troupe de charogne à longueur de temps au moins.
Je renifle mon pelage et éternue pour bien me moquer et lui lance un regard défiant et gronde. Je suis sûre qu'il pourrait lire la vengeance que j'ai dans les yeux à trois mètres de moi ! Mais je recommence à parler, je dit des choses qui ne vont sans doute pas l'intéresser mais c'est juste histoire de le narguer un peu.
- Va y, tue TON dernier petit ! Déchire sa chaire en lambeau et met le en pièces ! Oh ! Mais tu sait pas où il est n'est-ce pas ? C'est con hein.
C'est tellement dommage pour lui, je rit. Je m'en débarrasserais avant, ou bien je le ferai souffrir mais quoi qu'il en soit je le vengerais. Et lui, il n'a pas finit d'entendre parler de moi. Je bloque le passage et il ne pourra m'en déloger.
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Mer 15 Avr - 22:00
Alors que je tourne les talons la femelle gronde et se place devant moi. Visiblement elle a pas apprécié mon petit discours, et j'avoue que j'en suis plutôt fier. Qu'est ce que j'aime voir la colère vibrer dans ses yeux. Et désormais c'esy à elle de me lancer une pique. Je me retourne, je m'assois. Je l'observe, elle et sa rage. Un sourire s'étale sur mon visage, je me pourlèche les babines. T'es sûr que c'est moi la viande avariée ? Ou bien c'est parce que tu m'a toucher et j'ai récupérer ton odeur ? Moi je vit pas parmi une troupe de charogne à longueur de temps au moins. Je gronde de satisfaction, elle est minable, si elle pense m'atteindre avec cela elle se fourre la griffe dans l'oeil. Elle s'apporche de moi, éternue pour me montrer son dégoût. Mais ce n'est pas juste une moquerie pour elle, c'est une vengeance. Dans ces yeux brille la rage et la haine. Elle gronde, me défie du regard. Je prends un ton faussement vexé Aouch, c'est tellement méchant. Mais c'est vrai je t'envie tellement, ta meute à toi est.... Ah mais attend ? Tu n'as pas de meute. Tu n'es qu'une solitaire. J'avais commencé avec moquerie mais le dégoût avait pris le pas. C'est avec dédain que j'avais prononcé le dernier mot. Solitaire. Avant même de répondre elle continue son discours vengeur. Va y, tue TON dernier petit ! Déchire sa chaire en lambeau et met le en pièces ! Oh ! Mais tu sait pas où il est n'est-ce pas ? C'est con hein. Elle rit, semble amusée de la situation. Je hausse les épaules, parce qu'au fond je m'en fiche. Un petit très bien, une vengeance très bien. Que dois-je lui dire ? Eh bien si ce n'est pas de mes crocs se sera sûrement de ceux d'un autre. Après tout ce n'est qu'un énième rejeton qui crevra sans que personne ne le pleure. Un peu comme sa mère.
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Dim 19 Avr - 21:43
ET ENCORE UN....
Il s'en fiche et continu de parler. Si il veut, j'écoute ce qu'il a à dire même si je sait pertinemment que ce n'est pas intéressant.
- Eh bien si ce n'est pas de mes crocs se sera sûrement de ceux d'un autre. Après tout ce n'est qu'un énième rejeton qui crèvera sans que personne ne le pleure. Un peu comme sa mère.
Certes, mais qui dit que je vais mourir sans que personne ne le pleure ? Je serait capable de faire tout pour qu'on m'aime, simplement pour lui donner tort. Si il continu, je serait bien tentée de le faire. Mais il me reste bien trop d'années à vivre, je préfère profiter et faire souffrir d'autres créatures.
- Qui te dit que personne ne va me pleurer, tu ne connais rien de moi et tu n'as pas envie d'en connaître plus, je n'ai pas envie que tu en sache plus sur moi de toute manière. Mais tu es bien bête de refuser de tuer un louveteau, ton propre louveteau, sachant qu'on pourrait se mettre à deux pour le massacrer. Ce serait bien plus sanglant non ?
Peut-être n'arriverais-je jamais à tuer ce louveteau, mais manipuler les autres c'est toujours amusant. Rien ne me dit par contre que je vais y arriver, mais autant essayer. L'endroit est sombre et je vois à peine le loup, seulement c'est yeux jaunes qui scintillent et son pelage noir lui donne un énorme avantage, il peut se cacher, pas moi. Et sil était malin il le ferait, mais comme il ne le fait pas je me jette à son cou et lui arrache de nombreuses touffes de poil. J'ai son cou dans ma gueule et le neutralise, je n'ai qu'a pencher la tête pour lui briser la nuque. J'ai le goût de son sang putride mais ne lâche pas pour autant. Je le traîne sur le sol caillouteux pour le blesser un maximum puis je le jette comme je peux contre le mur le plus proche. Il est au sol, je gronde et fait claquer mes mâchoires près de son oreille, je lui est même mordu le bout.
- Mince, j’étaie trop proche de ton oreille.
La pièce est tachée de sang, autant du mien que du sien. Je l'ai bien amocher, il n'est maintenant plus capable de faire quoi que ce soit contre moi. Mais le mâle est robuste, il sera rétablit sous peu.
- Aller, y a bien une guérisseuse dans la Horde, Rake Maâr non ? Tu ira te frotter à ses pattes et puis elle te soignera.
Pour l'alliance contre Elios, je pense que c'est rater, mais au moins il à souffert et je me suis défoulée. Cela fait tellement long temps que je voulais me venger, et bien c'est faut.
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Lun 27 Avr - 18:08
- Qui te dit que personne ne va me pleurer, tu ne connais rien de moi et tu n'as pas envie d'en connaître plus, je n'ai pas envie que tu en sache plus sur moi de toute manière. Mais tu es bien bête de refuser de tuer un louveteau, ton propre louveteau, sachant qu'on pourrait se mettre à deux pour le massacrer. Ce serait bien plus sanglant non ? Je gronde, intrigué par sa proposition. Elle serait stupide au point de laisser la chaire de sa chaire crever sous les crocs de son malade de père ? Y'a pas à dire, cette louve est malade, elle devrait vouloir me tuer, me mettre en pièce pour ce que je lui ai fait. Mais non la louve blanche ne me parle que de son rejeton à la noix, que du petit qu'elle devrait protéger, mais non. Elle veut le voir crever, elle veut me voir l'achever. Si elle pense que j'en suis pas capable elle se trompe, largement. Tuer une petite bête sans défense ce n'est pas nouveau, ce n'est rien d'autre qu'une routine. Elle se jette sur moi, m'arrache quelques touffes de poils, je gronde. Ses crocs s'enfoncent dans ma chaire, je sens ses crocs dans ma nuque, mon sang coule dans sa gorge. Elle me traine dans le sable caillouteux, je sens la morsure du sol bétonné contre ma peau, de ses crocs dans ma chaire. Puis je sens le mur, mon dos se plie douloureusement. La garce m'a bien abimée, je me relève, avec un rictus malsain. Je contiens une grimace de douleur. Elle fait claquer ses mâchoires et part la même occasion me mort l'oreille. - Aller, y a bien une guérisseuse dans la Horde, Rake Maâr non ? Tu ira te frotter à ses pattes et puis elle te soignera. J'en ai assez de ce combat, de tout cela. Je me jette une fois sur elle, mes blessures sont douloureuses. Mes crocs entament la chaire de son museau. Ainsi emprisonnée dans mes crocs, je laboure son doux visage. Avec une joie non feinte, puis un coup de griffe me fait lâcher prise. Dommage, elle gronde, enragée. - Assez, Solitaire. Adieu. Je tourne les talons. Je veux juste me barrer, cette malade m'a éreinté.