Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Les faibles tremblements qui agitent parfois les souterrains ne sont plus une surprise pour les loups qui y habitent. Mais depuis quelques jours, les bombardements ont redoublé d'intensité et font trembler la terre comme jamais auparavant. Jusqu'ici, ces vibrations n'ont cependant causés que quelques chutes de stalactites et de poussière. Jusqu'ici ici.
Car aujourd'hui les hommes ont décidé de bombarder la terre qui abrite le refuge de fortune des Sekmets, causant des éboulements qui ont bloqué l'accès de certaines cavernes qui l'entourent. Un groupe de loups s'est même retrouvé coincé au fond d'une faille, un mur de pierre et de terre barrant la seule sortie visible : vous, les victimes.
La faille sombre s'enfonce encore plus profond dans le souterrain. Allez-vous attendre que les sauveteurs trouvent un moyen de dégager le passage ou allez-vous explorer pour essayer de trouver une autre sortie ? Le choix vous revient.
__________
♦ Pas d'ordre de passage. ♦ Mission semi-guidée : le PNJ répondra à chaque fois que sa présence sera utile pour faire avancer la mission.
Cette journée il ne l'oublierait jamais, il était en train de parler avec Sageeth, oui, de ce qu'ils allaient chasser cet après midi... Un truc du style, enfin il ne s'en souvenait plus vraiment, et alors qu'il était en train de s'éloigner un tremblement c'est fait ressentir. Les sens du loup étaient aux aguets. Il s'éloignait donc un maximum, mais cela ne semblait pas servir à grand chose, manquant alors de se faire écrasé il marquait un arrêt, celui qui venait de faire en sorte qu'il était désormais coincé avec d'autres loups de la meute, il n'y avait rien, un mur de pierre et de terre barrait l'une des seules sortie "visibles"...
Il était donc destiné à ne pas venger sa mère et à mourir sous terre... Non, il ne devait pas se laisser abattre. Jetant un regard rapide sur les loups qui étaient présent, il attendait que Sageeth donne des ordres, après tout c'était à lui de le faire, du moins, Torka ne savait surtout pas comment réagir face à cela mais il ne voulait pas le faire savoir aux autres.
Spoiler:
32/34/43
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Dim 8 Mar - 12:02
Coincés sous terre [mission]
Force → 11 Agilité → 20 Endurance → 10
Malgré toi, tu trembles, imitant en ce moment même le sol. Bien que tu ne l'avoues pas, tu crains pour ta vie en ce moment. Les bombardements semblent tous viser un seul et même endroit : le camp des Sekmet. Tu te trouves justement dans ce camp. La peur luit dans tes yeux, et pourtant, ce ne sera que le seul signe visible. Tu crains d'être écrasé par un des énormes rochers rougeâtres se décrochant du plafond. Tu ne souhaites pas finir empalé. Finir ta vie ainsi sera indigne. Tu esquives plusieurs rochers qui tombent dangereusement. Tu regardes impuissant, les parois s'écrouler. Tout devient tas de poussières et de gravats. Ton rythme cardiaque augmente nettement quand tu vois une roche passer à un poil de ton museau. Tu fuis inopinément ces derniers, comme tous tes camarades censés. Tu te demandes ce qu'on encore derrière la tête ces hommes. Si seulement tu les avais en face de toi, tu en aurais pris un entre tes crocs et tu lui aurais brisé les os un à un. Tu pousses un grognement lorsqu'une louve passe à quelques centimètres d'une roche tombante. Tentant de maîtriser ta peur, tu t'arrêtes net et ferme les yeux un instant. Tu fais de sorte à écarter tous les bruits ambiants, les fracas des roches se décrochant et s'écrasant à même le sol, les cris de terreur désespérés des loups qui fuient, les louveteaux qui pleurent, cherchant hasardeusement leur mère. Tu te bats contre ton coeur. Tu parviens à le calmer. Par je ne sais quel miracle, personne ne viendra te bousculer et aucune roche ne te tomberas sur le museau pendant que tu reprends ton calme. Enfin, tu sens tes muscles se détendre et ta respiration ralentie. Tu décides de rouvrir les yeux. Devant toi, le spectacle dévastateur ne change rien à ce nouveau calme. Tu te mets alors à sourire. Tu prends une expression mesquine, presque provocatrice. Tu te battras contre ces humains. Tu n'as plus peur d'eux. Tu ne les as jamais crains. Tu mettrais un jour la patte sur ceux qui ont causé tant de dégâts et ils finiront leur misérable existence sous tes crocs. Soudain, les tremblements s'estompent. Tu notes les dégâts matériels. Il n'y a apparemment aucun mort, tout au plus quelques blessés. Certains loups ont déserté l'endroit, d'autre son resté. Tu fouilles partout, mettant le nez à droite et à gauche. Soudain, tu entends des pleures mêlés à des crics de terreur. L'odeur de la peur est très présente. Tu remontes la piste. Tu te trouves maintenant devant une palissade d'une taille impressionnante, mêlant gravas et poussière. Tu devines que ce dernier s'est formé durant l'éboulement et que des loups, ceux qui pleurent ou craignent pour leur vie, se trouvent derrière. Tu pousses un hurlement, demandant de l'aide à tous ceux qui seraient assez courageux pour venir te prêter main forte. Puis, tu commences à gratter le mur à sa fondation, retirant la terre et les cailloux qui s'y délogent. Tu t'aides de tes pattes, de tes griffes et de tes crocs lorsque c'est nécessaire. Tu ne laisseras pas tes compagnons derrière ce mur.
(c) Pyroli
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Dim 8 Mar - 19:40
“ Coincés sous terre „
Sekmets | Mission
F.16 | A. 24 | E.17
Réveil, stress, panique. Brouillard opaque. Tout enseveli. Palladium s’éveille dans cette pluie de décombres. Une sorte de poussière opacifie l’atmosphère, la rendant lourde et irrespirable. Qu’était-il encore arrivé dans ces souterrains maudits ? Palladium éternua. L’écho se prolongea dans la faille de grenat. Tout était affreusement silencieux. Trop silencieux. Le loup brun s’agita et tenta de se relever. Il parvint à se libérer des énormes roches qui le maintenaient prisonnier quelques instants plus tôt, non sans y laisser quelques touffes de poil. Ses articulations souffraient, et il se sentait nauséeux. Il pu contempler l’ampleur du désastre. Des pans entiers de rochers s’étaient déversés sur l’antre des Sekmet, réduisant en poussière leur camp. Etait-il réellement tout seul, isolé survivant dans ce décor apocalyptique ? C’était impossible. Il ne méritait pas plus la vie qu’un autre, il devait y avoir des survivants. Se raccrochant à cette idée, Palladium escalada quelques rochers, à la recherche d’une odeur, d’un effluve même imperceptible pour trouver la trace de quelqu’un, quelque chose qui aurai pu lui signifier qu’il ne resterait pas indéfiniment seul dans cette situation peu plaisante. La panique commençait à s’emparer de l’esprit du loup brun. Si la solitude ne lui déplaisait pas – bien au contraire ! – , voir toute sa meute soudainement décimée lui posait quelques problèmes de conscience. Que ferait-il ? Rejoindre la Horde, et cette saloperie de Skull ? Jamais. Partir en solitaire, ou encore trouver refuge chez les Esobek, meute qu’il méprisait au plus haut point ? Tous ces plans s’acheminaient dans sa tête, en quête d’une solution de repli mais un hurlement déchira le silence des grottes, coupant court à sa réflexion. Il avait reconnu le timbre grave de Silas et, sans plus attendre, il se rua dans sa direction. Un appel tel que celui-ci ne pouvait attendre, et Palladium était bien trop heureux de constater qu’il n’était maintenant plus seul au monde. Il mit quelques minutes à trouver le loup noir au milieu des décombres. L’œil hagard, le pelage ébouriffé, Palladium le salua maladroitement d’un signe de tête. Silas avait toujours été impénétrable, aussi loin que le brun puisse se souvenir. C’était cependant un redoutable acolyte, il fallait bien le reconnaître, malgré son caractère absolument exécrable. Palladium l’appréciait bien, au fond, bien que leurs natures soient complètement opposées. Il mima un bâillement, simulant une tranquillité extérieure factice, pour masquer la Peur qui le secouait de toutes ses forces, du plus profond de ses entrailles.
PALLADIUM « Je ne pouvais vraiment pas tomber mieux. »
Sourire fugace, le ton était amusé bien qu'insolent et provocateur. Les recherches des autres loups allaient s'annoncer conflictuelles s'ils ne se retrouvaient que tous les deux. Efficace, certes, mais surtout conflictuelle.
BY ACCIDENTALE
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Dim 8 Mar - 21:28
Coincés sous terre
« Nous allons vous sortir de là »
Forces: 17 Agilité : 11 Endurance: 19
Je me trouvais dans la faille de grenat au cœur du camp de la meute lorsque les bombardements avaient commencés. Je pensais que cela se passerait comme d'habitude. Je me disais que ces satanés de bipèdes se contenteraient de leur cirque habituel.Les aigles de fers sillonneraient le ciel puis s'en iraient. Et le calme reviendrait dans les sombres grottes. Maudits bipèdes. S'ils pouvaient tous s’entre tuer. Peut être qu'ils nous ficheraient enfin la paix. Et mère nature pourrait se remettre de ses blessures. Nous n'aurions alors plus de prédateurs. Plus rien à craindre. Nous serions les maîtres de ce monde dévasté. Mais, je ne me fais pas d'illusion nous nous perdrions en luttes fratricides. C'est déjà le cas actuellement alors que nous sommes en grand danger. Mais revenons en à la situation actuelle. Les bombardements étaient plus intenses que d'habitude, bien plus intense que tout ceux que j'avais vécu. Ils semblaient s'acharner sur la faille de grenat.Et un instant plus tard tout ne fut plus qu'éboulements, bruits assourdissants, vacarmes et cris d'affolement. Les parois s’effondraient, des pierres se décrochaient du sommet de la grotte. La situation était grave. Gardant mon calme et mon sang froid, je me mets à courir esquivant habilement les chutes de débris. Le vacarme cessa et le silence revint sur les lieux. Je n'étais pas blessé, j'avais vraisemblablement eu de la chance. Le silence est bientôt brisé par des hurlements. Hurlements ayant tout l'air d'appel à l'aide. Des loups et des louves sont coincés quelque part. Ce sont peut être des Sekmets. Des frères et des sœurs de meute. Je dois leur apporter mon aide. Je sais que je me suis éloigné de ma meute ces derniers temps. Et que je n'ai pas été de très sympa avec eux. Mais je me laisse trop envahir par mes regrets et mes souvenirs. Cela me colle le bourdon. Et, je me laisse happer par mes pensées. Mais je compte bien changer. Cette meute m'a acceptée et est désormais ma nouvelle famille. On n'abandonne pas sa famille, on la protège. Je me dirigeais vers les hurlements lorsqu'un hurlement m'interpella. Silas, je suis la piste du hurlement. Et me retrouve face à Silas en train de creuser et de gratter les murs. Mon ancien mentor est là aussi. Je le salue d'un petit hochement de tète. Puis imite l'autre loup noir et me mets à essayer de déblayer les débris bloquant le passage aux loups prisonniers.
Code By AFTERGLOW
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Lun 9 Mar - 1:06
Coincés sous terre
F : 8 || A : 9 || E : 9.
S'il avait su ce qui se passerait, Allen ne se serait même pas réveillé, clairement. C'était l'un de ces rares jours où l'on se tirait des bras de Morphée avec mauvaise foi. Mais par on ne sait quelle raison, on ouvrait les yeux pour faire face à la journée qui arrivait. Notre chasseur se disait franchement qu'il aurait du partir errer ou chasser comme à son habitude. Néanmoins, ce jour-là, il avait préféré rester pour se reposer. Foutu Destin quand il y repensait. Le loup brun avait dormi un peu à l'écart, comme à son habitude. Aucun de ces loups ne méritait près de son admirable présence – selon ses dires. Le programme de la journée était simple, et ô combien ennuyeuse en prévision, mais il avait envie de changer. Partir traquer les rongeurs et autres proies souterraines était plaisant, mais à la longue, la routine s'installait et ce n'était pas ce qui intéressait le plus notre lupin. Cependant, ce n'était pas comme s'il avait eu le loisir de paresser toute la journée. Les bombardements incessants des humains ne se tarissaient jamais. Comme si ces fichus bipèdes n'avaient que ça à faire. Les bombes éventraient la terre dans un fracas assourdissant, rappelant le bourdonnement de la foudre au chasseur. Elles semblaient d'ailleurs être particulièrement centrées sur la faille où ils s'étaient réfugiés, ce qui créait une certaine nervosité chez les membres de la meute Sekmet.
Allen, pour sa part, avait les nerfs à vif. L'enfermement constant, les bombardements, et l'agitation récente avaient fini par l'avoir lui aussi. Il se contentait de masquer tout ça sous un air dédaigneux, bien que son agacement restait perceptible dans certains de ses rictus. Par contre, il ne se serait jamais attendu à ce que les bombes finissent par provoquer un éboulement, non, jamais. Enfin... D'un côté oui, mais c'était le genre d'hypothèse que l'on envoyait bouler au coin de sa tête. Le genre qu'on niait même lorsqu'elle se produisait. Et nier ne sert à rien. Ce n'était pas ça qui allait briser l'énorme amas de pierre qui séparait notre narcisse ainsi que quelques membres de la meute du reste de celle-ci. Tout était arrivé si vite. Cela avait commencé par une secousse. Comme si la terre qui protégeait les loups des hommes se forçait à résister à l'assaut. Ce n'était pas nouveau. Non. Il n'était pas rare de voir quelques pierres tomber, en général, il y avait plus de peur que de mal.
Mais cette fois-ci, ce n'était pas quelques pierres qui tombèrent. Non. Ça avait été pire. Il y avait eu une panique générale. Les loups se bousculaient, les gravats s'éclataient au sol en projetant de nombreux éclats aux alentours. Les louveteaux hurlaient à la mort, ou à leurs parents. Un épais nuage de poussière s'était levé pendant la chute, irritant les yeux des lupins présents. Allen se rappelait avoir cligné machinalement des yeux, ces derniers larmoyants pour protéger ses prunelles miellées de la poussière. L'air était irrespirable, aussi. Le chasseur s'était mis sur ses pattes, surtout grâce à la décharge d'adrénaline qui lui avait fait l'effet d'un coup de fouet. Son instinct lui hurlait de fuir. Mais comment prédire la chute des pierres s'il y voyait à peine devant lui? Il ne se l'avouerait jamais, mais Allen avait ressenti le goût métallique de la peur à ce moment-là. Allait-il mourir? Comme ça? Aussi... bêtement? Non. Il ne pouvait pas.
La poussière avait fini par retomber, lentement. Ce qui laissait le temps au loup brun de relativiser. Allons, il n'était plus un louveteau. Il fallait qu'il se ressaisisse! Il s'ébroua, machinalement. Son regard, quant à lui, s'était figé sur l'effondrement qui faisait mur entre lui et le reste. Y avait-il d'autres loups prisonniers avec lui, au moins? Il observa les alentours avec attention. Soulagement. Il arrivait à distinguer plusieurs silhouettes non loin de lui. Il se dirigea vers eux d'un trot rapide, semblant se détendre au fur et à mesure qu'il s'approchait de ses congénères. Il valait mieux rester grouper dans ces circonstances. Allen crut discerner un hurlement, un appel. Visiblement, ça commençait à s'activer de l'autre côté. Il restait à voir ce qu'il allait se passer du leur.
Une journée qui aurait dû se passer comme n'importe quelle autre … Dormir, chasser, manger, chercher mais, ce ne fut pas la routine aujourd'hui, non, mais plutôt un malheur qui frappa la meute … Revenant de l'une de ses chasses, tu déposes ton butin dans l'endroit qui servait de garde-manger avant que la terre ne commence à trembler. Une chose habituel, tu ne t'en inquiètes pas plus mais, sentant que les bombardements se faisaient juste au-dessus de votre tête, tu te mets à observer le plafond de pierre ébranlé alors que de la poussière ne s'échappe d'une petite faille naissante. Un léger grondement s'échappe de ta gorge alors qu'un mauvais pressentiment commence à s'insinuer dans ton esprit. Tu fis demi-tour, retournant auprès des tiens en train de dormir, accélérant le pas pour te mettre à trotter alors que les tremblements se faisaient permanent et que plusieurs fissures commençaient à apparaître sur les parois et plafond.
Te rapprochant peu à peu des autres, tes oreilles se dressèrent d'un seul coup et, levant la tête, vis qu'un rocher était en train de se détacher, tu l'esquives de justesse avant qu'il ne te tombe dessus et, la panique commença … Ci et là, des rochers se mirent à tomber, les loups se réveillèrent, fuirent là où ils pouvaient. Restant un moment sans bouger, tu décides de te mêler aux autres, aidant ceux dans le besoin lorsqu'ils se prenaient des gravats, lorsque la peur les tétanisaient, attrapant certains louveteaux pour les mener loin d'un rocher près à les écraser. En ce jour, tout n'était que panique et chaos, tous essayaient de fuir cet endroit avant qu'il ne devienne leur tombe mais, malheureusement, cela ne suffirait point …
Un gros éboulement, une nappe de fumée t'empêchant de voir, te forçant à fermer les yeux pour te les protéger, tu te mis à éternuer alors que la poussière irritait tes poumons et ta gorge. Tu te tournes pour essayer de te protéger mais, à quoi bon ? La poussière se trouvait partout autour de toi, couinements et hurlements se faisant entendre et, quelques bombardements encore mais, ceux-là semblaient se calmer. Lorsque tout devint calme, tu ouvris les yeux, t'ébrouant pour retirer la poussière et la terre ainsi que de petits cailloux qui se trouvaient sur ton sombre pelage puis, tes yeux s'habituèrent peu à peu à l'obscurité mêlé à la poussière et, tu remarques que des loups se trouvaient non loin de toi, te tournant, tu vis ce mur qui n'existait pas il y a quelques minutes à peine. Lui faisant complètement face, t'en approchant avec précaution, tu flairas ce mur de pierre et de terre, percevant de l'autre côtés l'odeur de certains Sekmet qui avaient réussi à fuir. Se rendront-ils compte que vous vous trouviez là ? Tu te tournes de nouveau vers ceux qui étaient piégé avec toi et, t'en approche alors qu'un hurlement retentis derrière vous, un hurlement d'appel à l'aide. Un loup a remarqué rapidement votre absence ou perçu votre odeur, c'était bon à savoir …
Si le bruit des griffes de ceux qui se trouvaient de l'autre côté commençait à s'entendre sur la roche, tu doutais qu'ils arrivent à vous sortir de là sans s'arracher quelques griffes ou sans risquer de se prendre un rocher sur la tête. Ton regard se pose alors sur Torka, le fils de Empress qui se retrouvait lui aussi piégé avec vous. Visiblement, le loup ne semblait pas plus que vous quoi faire et, semble se tourner vers Sageeth. Tu détournes alors ton regard, te mettant à observer les alentours. Une faille se trouvait à quelques mètres de vous mais, où menait-elle ? Était-ce seulement une sortie ? Tu n'en sais rien mais, décide d'attendre la décision du bras droit quand à ce que vous devrez faire ...
-Des pierre tombe du plafond, c'est la panique dans tous le camp, les louveteau pleure et appelle leur parents, d'autre court en tous sens pour trouver quoi faire...En bref ces la panique total. J'allais aider les louveteau à trouver leur parents quand j'entends un hurlement d'alerte, je me met à courir vers le hurlement le plus vite possible. Arriver au lieu d'où venez le hurlement, trois loups se trouve devant une immense monter de roche, il gratte le sol de leur patte pour faire une issu dans cette immense colline. Mais ce qui non pas comprit ces que cela ne sert à rien puisque plus il grateron et plus les rocher tomberons de nouveau à la place des autres. Mais pourquoi gratte t'il la terre d'ailleurs? "Et, il se passe quoi?" Puis je m'assis cherchant une solution, si trois loups se trouver ici à gratter le sol pour enlever les rocher de leur patte ces qu'il y avait quelque chose de l'autre coter, mais ce n'est pas en faisant ce qu'il font qu'il réussirons à le libéré. Non, il fallait trouver une autre solution.
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Mar 10 Mar - 19:08
Coincés sous terre [mission]
Force → 11 Agilité → 20 Endurance → 10
Tes crocs et tes griffes s'attaquaient irrémédiablement aux rochers et à la poussière. Tu te devais de dégager tes compagnons de ces rochers. Tu ne pouvais les abandonner derrière cette palissade de pierres. Tu n'avais pas bon caractère, tu n'étais certes pas le loup le plus amical, mais quel profit aurais-tu à laisser une bonne partie de ta meute mourir ? Si les Sekmet voulaient avoir une chance de sortir de la tyrannie des Hordiens, il ne fallait pas que la moitié de la meute soit décimée. Tu ne le voulais pas. Et puis si tu devais un jour devenir Alpha, il ne fallait pas que ce soit de trois loups. Tu entends des loups continuer de s'agiter. À ton étonnement, ceux qui s'agitent le plus sont les loups libres. Est-ce qu'ils se bougent pour te venir en aide ? Un coup d'oeil à droite puis à gauche te renseigne. Aucun loup n'a répondu vocalement à ton appel et personne ne semble t'avoir remarqué. Pourtant, tu n'avais pas l'habitude de gratter le sol comme un forcené et surtout pour rien. Quels idiots ! Tu grognas intérieurement et vis rouge. La colère qui commençais à monter en toi, tu la recrachas dans tes gestes en redoublant de furie en retirant les pierres et la poussière. Tu soulèves tant de poussières que tu ne vois plus loin que ton museau. Tu continues, grattant aveuglément le mur. Tu ne penses pas que ce soit la meilleure solution et tu sais que seul, tu risques de ne pas parvenir à faire écrouler ce mur. Qu'est-ce que tu peux faire d'autre ? Seul ? Rien. Tu t'agites désespérément. Tu ne parviens qu'à retirer que quelques morceaux de roches. Les autres sont trop bien fixées, aidées par leur compères qui tout d'un bloc forme un rempart inébranlable entre toi et tes camarades. Tes crocs se posent sur une pierre que tu ne parviens pas à déloger de tes griffes, tu l'enserres à présent de ta gueule. Répondant à un signal muet, tu te mets à tirer comme un diable dessus, espérant secrètement qu'elle lâcherait avant toi. Malheureusement, tu abandonnes bien vite et elle n'a pas bougé d'un millimètre.
« Je ne pouvais vraiment pas tomber mieux. »
Tu reconnaîtrais cette voix entre mille. Tu connais fort bien le loup à qui elle appartient. Tes crocs claquent tout près de la pierre. Elle est victorieuse, cette fois, mais tu reviendrais à la charge. Et bientôt, elle et ses amies les autres roches, dégringoleront et se verront décimées par les puissants loups. En ce lieu, ce n'était pas les roches qui régnaient, mais bel et bien les loups. Te concentrant sur le nouveau venu, tu peux mettre un visage, plus que cela, un nom, Palladium, et un caractère exécrable sur la précédente voix. À entendre le timbre de voix qu'il avait utilisé et le contenu même de la phrase, tes poils se hérissèrent, tes griffes se mirent à racler le sol sablonneux et rocheux et tes crocs se dévoilèrent. Ce n'était certes pas le moment de se battre, mais s'il était venu pour cela, autant en finir pour être tranquille et pouvoir réfléchir et sauver ces loups coincés seul. Tu aurais tous les mérites, même si tu savais que tu ne parviendrais pas seul. Tes yeux se réduisirent à deux fentes. Tu devais pourtant te concentrer sur ce qui était essentiel, les autres loups. Il faut dire qu'avec un insolent à tes côtés, ce n'était pas facile. De plus, ce dernier ne semblait pas prêt de t'aider, puisqu'il ne te rejoignit pas pour retirer les gravats. Prenant fortement sur toi, tu décidas de ne pas répondre à sa provocation par la provocation et tu poursuivis ce que tu faisais. Ce mur allait tomber ! Une autre odeur se mêle à celle de Palladium. Des bruits de pas se font entendre. Un autre loup a donc entendu ton appel. Il n'est donc pas tombé dans l'oreille de sourd. Ce dernier, tu le reconnais aussi. Il porte le nom d'Ébène. Son pelage est assez semblable au tien, d'un noir uni, seulement votre morphologie était quelque peu différente. Tu lui lances un regard plein de remerciements, légèrement hypocrite, quand il vient se placer à tes côtés pour te prêter main forte. Au fond, tu lui es reconnaissant. Il ne se comporte pas en ingrat comme Palladium qui répond à un appel de détresse par une phrase belliqueuse. Les Sekmet n'avaient pas besoin de loup de cette race là.
« Eh, il se passe quoi ? »
Ce fut la goutte d'eau qui fit débordé le vase. D'abord, Palladium, puis voilà qu'un autre s'y mettait. Ne pouvait-il pas tous être obéissants et bons confrères comme Ébène qui-en de pareils moments mettaient ses différents de côtés pour s'unir pour une cause des plus nobles : protéger les siens ? Est-ce que la meute Sekmet était composé pour moitié de membres égoïstes, irresponsables et détestables ? Tu te posas rapidement la question. Tu grognas de fureur. Tes yeux se réduisirent à deux fentes. Tu t'acharnas une nouvelle fois sur les pierres. Tu perdis une griffe dans la bataille. Le sang gicla et commença à s'écouler de ta patte, venant tacher le sol et les roches déjà rouges. Tu grognas de fureur, non de douleur et n'entreprit pas même de te lécher la patte. La rage était présente en toi comme le sang pouvait l'être dans ton corps. Tu avais besoin de passer tes nerfs sur quelque chose. Mais tu ne devais pas le faire en sacrifiant ta santé. Laissant toute la rage sortir lorsque tu fis volte-face pour faire un demi-tour afin de te planter devant Brume et Palladium, salivant presque de colère. Tes yeux rencontrèrent ceux de Brume, puis ceux de Palladium, successivement et tu craches méchamment :
« Bandes d'empotés ! Si vous êtes venus pour rester planter là comme deux imbéciles, on se passera de vous ! Les Sekmet n'ont pas besoin de loups de cette espèce ! Rendez-vous utile ! Trouvez un morceau de bois ou quelque chose d'allonger et de résistant. On s'en servira pour aider nos camarades de l'autre côté ! Si vous refusez d'obéir, soit, dégagez et ne croisez plus mon chemin pendant un moment ! »
(c) Pyroli
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Mer 11 Mar - 8:35
COINCÉS SOUS TERRE
SHIBAAN ET SEKMET.
J'étais en train de somnoler dans un coin, comme a mon habitude, quand soudain je découvrit que il y avait un énorme mur de pierre qui nous bloquait. On étais coincé. Je resta calme, et m'assois pour réfléchir. Si on grattais, les pierres tomberais encore, et on pourrait être blesser. Ce n'étais pas la meilleur idée. Regardant alors le lieu, je voit Torka, Sageeth et d'autre loup. Y avais t'il quelque chose d'assez long ? Puis, de l'autre coté du mur, j'entendis d'autre loup parler.
- ... Trouvez un morceau de bois ou quelque chose d'allonger et de résistant. On s'en servira pour aider nos camarades de l'autre côté ! Si vous refusez d'obéir, soit, dégagez et ne croisez plus mon chemin pendant un moment !
Je la reconnu aussitôt : Silas ! Puis, je senti l'odeur de Brûme, une louve casse-pied, d'Ebène et de Palladium. Mais pour le moment, Silas avait raison, si on trouve un long morceau de bois, on pourrait l'utiliser pour se faire un passage sous les roches. Et cela créerais même une sorte de tanière facile à protéger. Alors, je me dirigea vers le prince et dit :
- Torka, je pense que Silas à une idée qui pourrait nous sauver. Y aurait-t'il quelque part un morceau de bois assez long et assez résistant ? On pourrait s'en servir pour faire une sorte d'entrée qui pourrait nous être utile plus tard.
Toujours calme, je m'assoie devant le prince, m'inclina et attendis sa réponse.
Jauges:
Force : 12 Agilité : 7 Endurance : 9
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Sam 14 Mar - 0:22
❝ COINCES SOUS TERRE ❞
Mission Sekmet F:100 | A:78 | E:81
J'avais d'abord entendu un bruit sourd gronder dans tous les recoins de la grotte. Une onde s'était propagée dans la roche, puis dans le sol poussiéreux, sous mes pattes, remontant alors dans ces dernières. Et l'onde avait poursuivi son trajet dans mon corps, tandis qu'un frisson d'angoisse traversait mon coeur. J'avais lancé un dernier regard horrifié à Torka sachant pertinemment ce qui allait se passer. Et bien, en partie. Le temps était bien trop rapide pour qu'on ne puisse réagir, ou prononcer la moindre parole, le moindre avertissement, et pourtant il était bien trop lent pour nous épargner la douce agonie de l'anticipation.
Et puis, les murs s'étaient effondrés. Un bruit assourdissant s'était élevé, tel un énorme concerto désorganisé. Ma vue s'était brouillée, mes poumons s'étaient remplis de poussière. Plus rien n'avait de sens, tout cela se passait bien trop vite. C'était un flou d'actions imperceptibles, j'avais été bousculé, tordu, tiré de tous côtés. Je n'étais alors plus maître de mon propre corps, j'étais temporairement esclave du destin, me pliant à contre coeur à sa volonté perverse. Je n'étais pas assez fort pour lutter contre cette toute puissance qui s'était abattue sur nous. Et si telle était ma fin ? Et si je mourais étouffé sous les décombres d'une roche ? Non, ça ne pouvait pas être le cas, je ne pouvais pas mourir si facilement, et abandonner les miens. Je ne pouvais pas quitter ce monde de manière si déshonorante, pas pendant qu'Empress était toujours prisonnière quelque part ! Et alors, j'avais concentré toute mon attention sur ma respiration saccadée et mes battements de coeur, ces derniers résonnant d'ailleurs lourdement contre mes tympans.
Et puis, c'était le noir complet.
Lorsque la conscience m'avait progressivement regagné quelques minutes à peine après le drame, la première chose que j'avais ressentie était une douleur fulgurante dans mon épaule. Gémissant malgré moi et toussant jusqu'à mes poumons, j'avais alors mentalement analysé mon entourage en commençant par mes frères de meute. La plupart des loups étaient déjà en mouvement, ne sachant pas vraiment comment agir. Tout le monde était paniqué, même si certains le cachaient avec efficacité. Mais moi même je ressentais une étincelle de peur au fond de moi, tout au fond. Nous étions bloqué à notre propre camp, notre maison était devenue un piège mortel. Je m'étais ensuite concentré sur mon propre cas. Des rochers étaient tombés tout près de moi, mais par chance aucun ne m'avait écrasé, et pour preuve je respirais toujours. J'avais été propulsé contre une paroi, d'où mon étourdissement et ma légère inconscience un peu plus tôt. Mais ce qui m'inquiétait quelque peu était le morceau de roche saillante qui était enfoncé dans mon épaule. Je pouvais sentir le liquide chaud couler sous mon pelage. Mais je n'avais pas le temps de m'en occuper pour le moment, ce serait bien trop égoïste de ma part. J'avais bien plus important à faire, dans l'état actuel des choses. Alors, mettant ma douleur dans un coin de mon esprit, je m'étais relevé et avais réparti mon poids sur mes trois autres membres -par chance épargnés-.
Cherchant Torka du regard, j'avais finalement été soulagé de ne trouver aucune blessure apparente sur le prince. En plus d'être un ami relativement proche, il était aussi un loup en charge, qui pourrait m'aider à gérer la situation désastreuse. Et étant donné l'ampleur de la situation ainsi que mon état, je ne pouvais pas refuser une telle aide. Essayant au maximum de cacher mon boitement, je m'étais dirigé vers le grand mur de pierre. Tout le monde avait du entendre le vacarme de l'éboulement, c'était certain. On viendrait surement nous chercher. Et bien, si Skull le permet, avais-je ajouté avec mépris. Je m'étais alors retourné, faisant face au chaos qui s'installait petit à petit devant mes yeux de sang. Je me sentais encore un peu étourdit, mais je n'y prêtais que peu d'intérêt.
Et finalement, la première voix cohérente que j'avais pu entendre et assimiler était celle de Shibaan, un novice que je ne connaissais pas beaucoup.
- Torka, je pense que Silas à une idée qui pourrait nous sauver. Y aurait-t-il quelque part un morceau de bois assez long et assez résistant ? On pourrait s'en servir pour faire une sorte d'entrée qui pourrait nous être utile plus tard.
Alors, les secours étaient déjà là, bien plus tôt que ce que j'aurais pu croire. Des loups devaient se trouver dans les environs au moment de la catastrophe, et avaient été épargnés. Et bien, c'était une bonne chose, une très bonne chose. Cela dit, nous ne devions pas nous précipiter, dans la panique nous pourrions faire une erreur. Et puis, voyant le grand désordre qui se tenait devant moi, je m'étais finalement décidé à parler, après m'être éclairci la voix.
- Ne nous précipitons pas, Sekmets. Si nous bougeons n'importe quel rocher, tout risque de s'effondrer, et nous étouffer dans le meilleur des cas. Pour l'instant il faut nous organiser un peu.
J'avais levé la tête, sondant une fois de plus la totalité des loups présents dans cet enfer. Certains toussaient, d'autres étaient par terre. J'avais alors hurlé, du plus profond de mes poumons, prenant mon plus beau mais sombre chant de bras droit, afin d'attirer l'attention de tout le monde.
- Gardez votre calme, mes frères. Nous allons sortir d'ici, d'une manière où d'une autre, ce n'est qu'une question de temps. Récupérez les louveteaux, offrez-leur votre protection, même s'ils ne sont pas les vôtres. Nous devons rester groupés, solidaires. Nous sommes des Sekmets, et les Sekmets ne succombent pas à des vulgaires tas de pierres !
- Est-ce qu'il y a des blessés ? Et des soigneurs ?
Il fallait d'abord s'organiser et porter secours à ceux dans le besoin, avant de s'attaquer à la paroi colossale. C'était en tout cas comme ça que je voyais les choses. Je pensais même organiser une sorte de battue pour rechercher d'éventuels blessés graves sous les rochers, dans l'incapacité de signaler leur position aux autres. J'avais ensuite cherché le regard de Torka, souhaitant voir au moins un visage amical. Mais j'attendais surtout une quelconque approbation de sa part, afin de me rassurer sans doute, d'une certaine manière ...
Les pas affolés de ses congénères se faisaient entendre dans le lieu, certains semblaient se trouver de l'autre côté de l'éboulement, lui, il était du mauvais côté. La peur de ne jamais sortir d'ici le hantait, mais il ne pouvait pas le montrer, pas devant les autres, il était le prince et devait agir comme tel, autrement il ne serait là que pour se pavaner fièrement. Suivant donc du regard chacun, un léger bruit attirait son attention, les loups qui se trouvaient de l'autre côté semblait gratter le sol. Au moins, ils les avaient trouver et l'espoir de sortir un jour pouvait-être envisageable. Alors que Torka fixait sagement Sageeth, celui-ci se dressait du haut d'une pierre pour rassurer la meute, s'approchant légèrement, Torka attendait, il appréciait grandement Sageeth, il était le seul loup, qui à ses yeux méritait sa confiance dite "aveugle".
- Torka, je pense que Silas à une idée qui pourrait nous sauver. Y aurait-t-il quelque part un morceau de bois assez long et assez résistant ? On pourrait s'en servir pour faire une sorte d'entrée qui pourrait nous être utile plus tard. Ne nous précipitons pas, Sekmets. Si nous bougeons n'importe quel rocher, tout risque de s'effondrer, et nous étouffer dans le meilleur des cas. Pour l'instant il faut nous organiser un peu. Gardez votre calme, mes frères. Nous allons sortir d'ici, d'une manière où d'une autre, ce n'est qu'une question de temps. Récupérez les louveteaux, offrez-leur votre protection, même s'ils ne sont pas les vôtres. Nous devons rester groupés, solidaires. Nous sommes des Sekmets, et les Sekmets ne succombent pas à des vulgaires tas de pierres ! Est-ce qu'il y a des blessés ? Et des soigneurs ?
Tout se bousculait dans la tête du Prince, en soit, ils allaient devoir faire une "nouvelle" entrée, et donc pour cela il fallait trouver un bout de bois résistant. Parcourant alors la pièce du regard il n'en apercevait pour le moment aucun, mais bon ils pouvaient assigner des tâches à chacun... Du moins, tenter d'agir sans pour autant se précipiter. Il fallait donc trois groupes, un groupe pour créer l'entrée, un pour s'occuper des louveteaux, et un pour vérifier l'état des loups présents, seulement... Qui allait faire quoi ? Parcourant de nouveau les loups du regard, Torka formait déjà les groupes, Shibaan et Helya allaient s'occuper des louveteaux, Allen allait vérifier l'état des loups présent, Sageeth, Hige et lui allaient s'occuper de faire cette foutu sortie... Même si cela allait demander beaucoup d'effort, il le fallait. Le loup noir, voyant que Sageeth attendait son approbation, s'approchait de la hauteur pour prendre lui aussi la parole.
- Sageeth à raison, et pour plus d'efficacité il faut que nous fassions plusieurs groupe. Shibaan et Helya vous vous occuperez de regrouper les louveteaux, Allen tu vérifieras l'état des loups que tu croiseras, quant-à moi, Sageeth et Hige, nous nous occuperons de faire cette "sortie", si cela ne vous conviens pas, proposez autre chose, mais nous devons faire vite.
A ses mots il observait Sageeth, espérant qu'il avait tout simplement bien fait, puis, il regardait les autres loups qui se trouvaient autour, il était vrai qu'ils devaient agir rapidement, de peur qu'un autre éboulement ne se produise. Seulement, comment allaient-ils se débrouiller pour dégager les bons rochers ? Il suffisait qu'ils en fassent tomber un mauvais pour qu'ils soient bon à tout recommencer... Ou qu'ils se fassent écraser, cette mort n'était pas envisageable pour le Prince, elle était trop simple, lui, il voulait mourir au combat et non écrasé par un rocher. Enroulant sa queue autour de ses pattes, il cachait affreusement bien son stress, il ne devait pas s'affoler, pourquoi ? Tout simplement parce qu'il devait montrer l'exemple, du moins, à ses yeux, il devait rester serein et ça peu importe la situation... C'était ce que lui avait dit sa mère, d'être fort et ça peu importe ce qui lui arriverait à l'avenir, il allait donc être fort.
Et tout le monde s’excite comme des puces, comme si stresser et gueuler sur tout ce qui bouge allait changer quelque chose. Les guerriers d'habitude si discrets deviennent maintenant de vraies furies. Certaines se prennent même pour des leaders, cela en devient vite pitoyable. Mais le pire dans tout ça reste la lâcheté des Sekmet. Nous sommes seuls quatre loups à aider le reste. Les autres se sont enfuis loin, et reviendront bientôt comme des fleurs. Il en est de même pour la Horde. Mais tout ce cirque a assez duré. J'entends la voix de Sageeth s’élever de l'autre côté du mur de pierre, ordonnant aux autres de rassembler les louveteaux, suivi de l'ordre de chercher un levier. C'est une bonne idée, certes, mais le levier sera en bois. Or ce mur est bien trop épais et puis trop lourd pour être monté assez longtemps et assez haut pour y faire passer toute la meute. Seuls les louveteaux pourront passer et nous nous en contenterons pour le moment. J'ai un plan pour la suite.
« Arrêtez de creuser comme des cons. Ce mur est trop épais, vous n'y arriverez jamais. Faîtes comme eux, cherchez des bois qui feront office de levier. Nous ferrons passer les louveteaux et seulement les louveteaux, les autres loups ne pourront passer. Nous essayerons de garder ce trou ouvert, cela ferra office d'aération. »
Devant le peu de mouvement de mes congénères, je décide de les bouger un peu.
« Si les chutes de stalactites ne vous tuent pas, c'est moi qui le ferrai si vous ne faîtes rien, compris !? »
J'espère que Sageeth a entendu, ainsi que les autres. Je ne veux pas leur faire de faux espoirs, ni les démoraliser, cela n'est pas dans mes intentions. Mais je n'ai le temps de me lamenter sur aucun de leurs sorts. Je me mets en quête de cailloux ou de bois.
Les loups s'étaient petit à petit regroupés près de l'éboulement qui avait formé un épais mur de gravats. L'air était respirable mais semblait presque saturé par la poussière qui s'était formée. De nombreux éclats de roches jonchaient le sol, tirant une grimace au chasseur. Il avait eu de la chance de ne pas s'être fait écrasé par un rocher, ni transpercé par l'un des éclats. Il s'en tirait avec quelques coupures, sûrement quand il avait tenté d'échapper à l'éboulement. L'atmosphère était tendue, ce qui était compréhensible. Nombreux étaient les lupins qui paniquaient, le dissimulant plus ou moins bien. Qui ne le serait pas? Personne. C'était tout simplement impossible. N'importe quel loup normalement constitué se sentait menacé. Qu'importe son grade ou son histoire. Ils n'étaient à l'abris de rien, peut-être même qu'ils allaient finir ici, dans l'endroit qui était supposé leur servir de refuge. Cette pensée fit jurer Allen mentalement. Foutus bipèdes, foutues armes !
Avec un léger grognement, le loup brun retourna son attention sur les autres. Il reconnaissait le prince, Torka, ainsi que Sageeth, le bras droit de la meute. Bien, ces deux-là allaient pouvoir diriger les choses. Une certaine tension quitta ses épaules, et il ne mit pas très longtemps à comprendre que c'était le soulagement. Une guerrière au pelage noir prit la parole, s'adressant au prince. Le chasseur chercha pendant quelques instants son nom, Shibaan, lui semblait-il.
« Torka, je pense que Silas a une idée qui pourrait nous sauver. Y aurait-t'il quelque part un morceau de bois assez long et assez résistant ? On pourrait s'en servir pour faire une sorte d'entrée qui pourrait nous être utile plus tard. »
Allen s'était rapproché pour mieux écouter ce qu'il se passait. On pouvait toujours entendre les autres loups s'activer de l'autre côté du mur de pierre. S'ils s'y mettaient eux aussi, peut-être arriveront-ils à s'en sortir. Peut-être. Mais comment trouver un morceau de bois ici? Surtout aussi résistant. Un léger grognement échappa au loup brun tandis que son regard s'égarait sur les alentours. Il n'en voyait pas. Ou alors il faisait trop sombre pour le distinguer. Il s'apprêtait à se repenser sur leur manque de chance de survie quasi évident lorsque Sageeth s'éclaircit la voix, réclamant l'attention des loups présents.
« Ne nous précipitons pas, Sekmets. Si nous bougeons n'importe quel rocher, tout risque de s'effondrer, et nous étouffer dans le meilleur des cas. Pour l'instant il faut nous organiser un peu. »
Nombreux furent ceux qui acquiescèrent en réponse. Quelques toux se firent entendre, sûrement à cause des restes de poussières. D'autres restaient par terre, épuisés, ou peut-être sous le choc, il n'en savait rien. Toujours était-il que le bras droit semblait avoir fait son choix, car il parla avec encore plus d'assurance.
« Gardez votre calme, mes frères. Nous allons sortir d'ici, d'une manière où d'une autre, ce n'est qu'une question de temps. Récupérez les louveteaux, offrez-leur votre protection, même s'ils ne sont pas les vôtres. Nous devons rester groupés, solidaires. Nous sommes des Sekmets, et les Sekmets ne succombent pas à des vulgaires tas de pierres ! Est-ce qu'il y a des blessés ? Et des soigneurs ? »
Léger hochement de tête de la part du chasseur. Il avait raison, et visiblement, il allait prendre les choses en main. Néanmoins, il occupait peut-être une place importante dans la meute, mais la plupart des lupins ici présents ne suivront que les ordres du prince. Ses orbes couleur miel se dirigèrent alors vers ledit prince. Il semblait réfléchir rapidement, tentant sûrement d'assimiler tout ce qui avait pu se passer, se dire ainsi que les différentes alternatives qui s'offraient à eux. Il s'approcha avec une certaine prestance qui était certainement due à la fierté de son grade pour prendre la parole d'une voix forte.
« Sageeth a raison, et pour plus d'efficacité il faut que nous fassions plusieurs groupe. Shibaan et Helya vous vous occuperez de regrouper les louveteaux, Allen tu vérifieras l'état des loups que tu croiseras, quant-à moi, Sageeth et Hige, nous nous occuperons de faire cette "sortie", si cela ne vous conviens pas, proposez autre chose, mais nous devons faire vite. »
Le loup brun se répéta mentalement son rôle comme pour l'assimiler. Vérifier l'état des loups présents. Bon, très bien. Ça ne devrait pas être trop dur, puisqu'il avait toujours été plutôt observateur de nature. De plus, étant chasseur, il avait appris à discerner les blessures de ses proies, ou la moindre faiblesse qui pouvait s'offrir à lui. Cela lui semblait donc raisonnable. Conservant son air amorphe, il hocha la tête avant de s'éloigner en trottant, gueule entrouverte afin de capter la moindre effluve de sang. Ainsi il fit la navette entre les différents loups, leurs demandant s'ils n'avaient vraiment rien après avoir fait une courte inspection. Pour le moment, il n'avait rien constaté de bien grave, il ne lui restait plus qu'à vérifier les groupes formés par Torka. Autant commencer par celui qui s'occupait des louveteaux, comme ça il fera une pierre de deux coups pour celui de Torka, Sageeth et Hige. Satisfait de son plan, il se lança sur la piste des deux louves les hélant lorsqu'il les aperçut.
« Rien d'cassé d'votre côté ? Les p'tits vont bien ? »
La situation fut rapidement prit en main par Sageeth et Torka qui appuya les paroles du bras droit de la meute. Ainsi des groupes ont été formé, tu te retrouves dans celui des deux mâles hauts gradés pour vous occuper de créer une sortie, à moins d'en trouver une autre mais, pour le moment, cette option ne semblait pas être prit en compte, probablement espèrent-ils que les loups de l'autre côté du mur de pierres vous viennent en aide avant que vous ne soyez obligé de trouver une autre sortie probablement inexistante. En tout cas, il vous fallait trouver de quoi créer une ouverture mais, quoi ? N'est-ce pas risqué de faire cela ? Tous devaient en être conscient que, si jamais vous retirez le rocher de trop, tout s'écroulera et risque bien de vous emporter dans leur chute. Tous doivent y penser mais, tous veulent sortir de cet endroit et, indemne serait mieux.
Observant rapidement autour de toi, tu finis par rejoindre les deux autres loups avec qui tu fais équipe. Avaient-ils une idée sur comment s'y prendre ? Du bois dans le coin, tu en doutais fortement à moins qu'un loup de la meute n'ai ramener une grosse branche ici pour une quelconque raison. User de vos ongles et de vos crocs risqueraient plus qu'autre chose de vous blesser et, créer un éboulement. Quelle option vous reste-t-il ? Cette situation est agaçante et frustrante … Tu n'avais guère envie de rester à vie sous ces gravats à mourir de faim. Non, il fallait trouver une solution, peut-être que quelque chose se trouve dans les alentours pour vous aider à sortir de là ?
« Une idée sur la façon de créer une brèche pour qu'on puisse sortir de là sans risquer d'aggraver la situation ? »
Demandes-tu de ta voix calme. Un ton que tu réussis à garder bien souvent car, tu le sais, ton calme apaise certains des loups de la meute puis, cela était devenu une habitude avec le temps aussi. Malgré le calme que tu affichais, tu n'en étais pas moins ébranlé intérieurement mais, par le passé, tu as su passer outre tes peurs pour ne pas perdre ton calme et rester lucide face à une quelconque situation. Tu sais que, une fois tout cela terminé, tu irais te refugier dans un coin pour évacuer tout le stress et la peur du jour mais, pour l'heure, tu ne pouvais céder à la panique, pas quand plusieurs vies sont en jeu …
« L'un de vous a déjà exploré ce tunnel ? »
Demandes-tu en pointant le museau en direction de la seule issu encore ouverte, si toutefois il s'agit bel et bien d'une issue ...
Alors que j'attendais la réponse du prince Torka, Sageeth arriva et se mis à parler au prince. Puis, Torka dit :
- - Sageeth à raison, et pour plus d'efficacité il faut que nous fassions plusieurs groupe. Shibaan et Helya vous vous occuperez de regrouper les louveteaux, Allen tu vérifieras l'état des loups que tu croiseras, quant-à moi, Sageeth et Hige, nous nous occuperons de faire cette "sortie", si cela ne vous conviens pas, proposez autre chose, mais nous devons faire vite.
Alors, j'hocha la tête et dit :
- Entendu. Je vais aller voir Helya.
Je me dirige vers Helya, mais en pressant le pas. Je lui dit :
- Nous devons réunir les louveteaux, comme l'a dit Torka. Mais je pense qu'il faudrait qu'une de nous deux guette les louveteaux où ils sont réunis. Qu'en pense tu ?
Je regarda un peu autour. Il faut aussi savoir où on les réunis. Mais je ne dit rien, laissant la parole à la guerrière aveugle.
Jauges:
Force : 12 Agilité : 8 Endurance : 10
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Lun 16 Mar - 20:38
“ Coincés sous terre „
Sekmets | Mission
F.16 | A. 24 | E.17
Ebène arrive peu après le loup brun, et ce dernier répond à son salut par un autre hochement de tête amical. Son ancien « élève » se met alors aussitôt aux côtés de Silas pour creuser devant ces rochers. Palladium reste à l’écart. Tout ceci est inutile, ils se briseront les os et les dents sur ces rochers avant qu’ils n’aient bougé d’un millimètre. Le loup brun regarde autour de lui, son esprit tournant à plein régime pour trouver une meilleure solution. Une louve au pelage gris acier se présenta à son tour, en lâchant un stupide « Eh, il se passe quoi ? » Palladium lui lança un regard assassin. Où était-elle durant tout ce temps ? Elle n’avait pas vu, ni entendu les éboulements, ou était-elle tout simplement abrutie ? Elle se posta non loin de lui. Elle aussi trouvait les moyens déployés par Silas et Ebène inutiles, visiblement. Palladium réprima un grondement rageur aux paroles venant de la part de Silas. Mais la situation n’était pas favorable pour une quelconque prise de bec, il s’agissait là du peuple Sekmet qui était en déroute. Il fallait le sauver. Le Pantin se tut donc, et décida de ne plus accorder aucune importance au loup noir. Qui était-il ici pour se permettre de lancer des directives ? Le brun continuait de fouiller ses méninges. Trouver une solution, vite, trouver une solution. Ses pensées allèrent aux loups qui se trouvaient à l’intérieur. Il avait entendu la voix de Sageeth donner ses directives, et aussi d’autres voix qu’il ne reconnaissait pas. A la seule pensée que Hige pouvait faire partie des victimes, le Pantin eût la nausée. Trouver une solution, vite, trouver une solution. Et puis soudain, Atom apparaît. Palladium avait toujours nourri une sorte d’admiration mêlée de respect pour cette louve dotée d’une force de caractère exceptionnelle. Elle, peut-être, saurait quoi faire. Palladium avait cette fâcheuse tendance à s’estimer soulagé quand quelqu’un d’apte à ses yeux allait prendre des directives fiables et intelligentes. « Arrêtez de creuser comme des cons. Ce mur est trop épais, vous n’y arrivez jamais. Faites comme eux, cherchez des bois qui feront office de levier […] » Palladium n’attendit même pas la suite, il avait déjà bondit sur la droite de la louve blanche, et s’esquivait dans la pénombre, à la recherche de ce qu’elle avait demandé. Bien sûr, le bois dans ces souterrains se faisait rare et plutôt cassant, mais il suffisait d’un peu de chance, et ce plan pourrait fonctionner. Le loup brun fureta plusieurs minutes dans le noir, à la recherche d’un quelconque levier mais il ne trouva rien qui aurait pu aider ses camarades. Cependant, pas question de revenir bredouille. Il fallait qu’il apporte sa pierre à l’édifice – sans mauvais jeu de mots. La seule planche suffisamment grande qu’il trouva, il tenta de la saisir doucement entre ses crocs, mais elle s’effrita presque immédiatement, trop humide. De cet espoir, une fois de plus, ne restaient que des cendres misérables. Palladium se sentait tellement inutile. Il tournait en rond dans ces caches qui pourraient fort bien devenir le tombeau des siens. Et rien, rien ne semblait présager le contraire.
PALLADIUM « Je n'ai rien trouvé de ce côté-là, je vais chercher ailleurs. »
Il s’adressa à Atom du bout des lèvres, la honte le poussant à ne pas la regarder dans les yeux. Il désigna l’endroit d’où il venait d’un mouvement de tête, pour dissimuler sa gêne. Ils finiraient bien par tous voir qu’il ne valait rien. Ils finiraient par s’apercevoir du fléau qu’il était, mais il fallait jouer la carte des apparences : il fallait qu’ils croient le plus longtemps possible qu’il pouvait être utile. Palladium, après ces quelques mots, s’effaça immédiatement dans un autre souterrain, en quête de quoi que ce soit qui pourrait les aider.
BY ACCIDENTALE
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Sam 21 Mar - 10:11
Silas n'a vraiment pas l'air de bonne humeur « Bandes d'empotés ! Si vous êtes venus pour rester planter là comme deux imbéciles, on se passera de vous ! Les Sekmet n'ont pas besoin de loups de cette espèce ! Rendez-vous utile ! Trouvez un morceau de bois ou quelque chose d'allonger et de résistant. On s'en servira pour aider nos camarades de l'autre côté ! Si vous refusez d'obéir, soit, dégagez et ne croisez plus mon chemin pendant un moment ! » Au la la faut vraiment qu'il se calme on réfléchit je vois pas de mal à sa, il devrait en faire de même d'ailleurs. J'entends parler de l'autre coter du mur de pierre mais n'arrive pas à comprendre se qu'il disent. Atom fait son apparition « Arrêtez de creuser comme des cons. Ce mur est trop épais, vous n'y arriverez jamais. Faîtes comme eux, cherchez des bois qui feront office de levier. Nous ferrons passer les louveteaux et seulement les louveteaux, les autres loups ne pourront passer. Nous essayerons de garder ce trou ouvert, cela ferra office d'aération. Si les chutes de stalactites ne vous tuent pas, c'est moi qui le ferrai si vous ne faîtes rien, compris !? » Bon ba si on à plus le droit de réfléchir, en tout ca Atom à l'air d'avoir une idée derrière la tête. Je me lève et regarde Atom. "Très bien, j’espère que ton plan va fonctionner." Je me retourne et me met en quête de bois, chose que je trouve presque aussitôt un peu plus loin, une longue planche sens doute tomber de la haut à cause des bombardement. Je la choppe et essaye de la ramener mais elle est trop lourde pour moi seul, mais juste à coter j'en voit une un peu plus petite je la choppe et la ramène à Atom. Je la pose à mes pied non loin d'Atom "Est-ce-que cela peut faire l'affaire ?"
La planche ramenée par Brûme â l'air d'avoir connu des meilleurs jours, mais elle devrait peut-être faire l'affaire si on ne force pas trop dessus.
Les yeux des loups coincés se sont habitués à l'obscurité et il peuvent maintenant distinguer ce qui se trouve plus profond dans le souterrain : une ancienne mine humaine abandonnée, avec des rails et des poutres dont la plupart se sont effondrées. Peut-être pourrez-vous y trouver de quoi faire céder le mur, ou peut-être mène-t-elle à une autre sortie ...
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Vous pouvez maintenant lancer le dé de chasse pour attaquer le mur avec la planche. Les dégâts causés au mur dépendront de votre résultat et de la qualité de l'objet utilisé.
Vous pouvez également, Sauveteurs comme Victimes, lancer le dé de recherche afin de trouver d'autres objets pour attaquer le mur. Selon son résultat, le PNJ indiquera sur ce sujet si vous avez trouvé quelque chose et ce que vous avez trouvé.
Si plus tard vous avez plusieurs objets à votre disposition, indiquez clairement lequel vous souhaitez utiliser avant de lancer de la dé de chasse.
Sinon, vous pouvez explorer les mines et tenter de trouver une autre sortie.
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♦ PV du mur [100/100] ♦ Objets en possession des Victimes : - Aucun ♦ Objets en possession des Sauveteurs : - Planche de basse qualité [Résultat de 1 à 4 : la planche se brise | de 5 à 8 : -3PV au mur et la planche se fragilise et se brise après les deux prochains lancés | de 9 à 12 : -7PV au mur]
Ils ont enfin décidé de m'écouter, ce n'est pas trop tôt ! Nous allons pouvoir faire avancer les choses et faire sortir tout le joli petit monde de ce trou. J'espère seulement qu'un autre séisme ou éboulement ne viendra pas encore nous compliquer la tâche. Nous avons déjà assez de choses à faire comme ça. Les choses s'organisent petit à petit du côté des "sauveteurs" et je suis plutôt contente qu'il n'y ai pas un clampin qui ai décidé de faire la révolution et de ne pas m'écouter. La petite Brûme revient vers moi fière comme un paon avec une planche en bois en me demandant si elle suffira. Je lui réponds plus rudement que je ne l'aurai voulu que nous allons devoir nous en contenter pour le moment. Je les laisse faire leurs petites affaires, pour le moment nous n'avons pas de meilleurs plans. Mais ce n'est pas avec cette simple et frêle planche que nous allons pouvoir les faire sortir rapidement, je me mets donc en quête d'un autre objet.