Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Tired. That's the word. I'm extremely tired these days. However, when I say tired I'm mean ... Weary. On the contrary, I'm in nice shape, Sekmets' pantry's full, weather is not too overcast. If we except bombs. But I'm being lead astray. How can explain? I'm ... Just ... Bored. I can't find interesting occupations these days. I heal wolves, I listen to Skull, I fight verbally with the others. That's always the same thing. I can't do anything anyway. Just accept that.
I leave my den, I'm stopping on the threshold and I stretch my legs. I breathe. The bombs are shaking the ground, so I think I shouldn't stay here. I know where I'll go. I follow a little path, which leads to various small caverns. Surprise myself to trot. Not afraid. Just ... Oh, screw you. One cavern leads to the Garnet Break, an other to the Shadows Cavern. But I know precisely where I want to go. Time to bother the others. And it rhymes.
Doyle is a Sekmet healer. I don't know many things about him, just know he's four, healer and Sekmet. And where's his den. Not far than mine. That's all. Doesn't a good occasion to meet him? Maybe he'll invite me for a talk! You never know ... So I'm heading to Doyle's den. That's an old humans bunker. When I pass its threshold, I can immediatly smell plants' odors. I look around.
Stupid human construction. How that's ... Sekmet can work in there. Yuuuck. Sekmets are strange anyway. I'm not so far of the entry, and Doyle can don't be here. Too bad for him. "Hiya Doyle, I say with a honneyed voice. Are you home?"
| Ok ok. Ça, c'est mon niveau d'anglais pire que nul à chier. N'hésite pas à me corriger au besoin, si tes yeux saignent un peu. c': |
Traductiioooon au caaas oùùù :
Fatiguée. C'est le mot. Je suis si fatiguée en ce moment. Enfin, quand je dis fatiguée ... Je veux dire ennuyée. Je n'ai pas pourtant pas de raison. Je suis au meilleur de ma forme, le grade-manger des Sekmets est plein, le temps n'est pas si mauvais. Enfin si l'on excepte les bombes ... Mais j'm'égare. Comment expliquer ? Juste ... J'me fais chier quoi. Je n'arrive pas à me trouver des trucs intéressant à faire. Je soigne des loups, j'obéis à Skull, j'me fight verbalement avec d'autres. Toujours la même rengaine quoi. Mais je ne peux rien y faire. À part subir, accepter.
Je quitte ma tanière, m'arrête sur le seuil et étire tous mes membres. J'inspire. Les bombes secouent la terre, et je me dis qu'il n'est peut-être pas très sain de rester ici. Mais je sais où aller. Je suis un petit chemin, qui mène à plusieurs cavernes diverses. Je me surprends à trotter. Je n'ai nullement peur. Enfin ... Oh, ta gueule. Je sais qu'une des cavrnes mène à la Faillle de Grenat. Une autre à la Grotte des Ombres. Mais ce n'est pas là que je souhaite aller. Je sais précisément où. C'est l'heure de faire chier des gens.
Doyle, c'est un guérisseur Sekmet. Je ne sais pas grand chose à son sujet, juste qu'il est âgé de quatre ans, qu'il est guérisseur et Sekmet. Et où se trouve son repaire. Voilà tout. N'est-ce pas une bonne occasion d'en savoir plus sur lui ? Peut-être qu'il m'invitera à faire la causette, on sait jamais ! Donc, je me dirige vers la tanière de Doyle. C'est un ancien bunker d'humains. Quand je passe le seuil, je sens immédiatement les remugles de remèdes. J'observe.
Quelle stupide construction, bien les hommes. Comment ce ... Sekmet fait pour soigner ici. Berk. Les Sekmets ont toujours été fous de toutes manières. Je ne suis pas si loin de l'entrée, et puis Doyle peut ne pas être là. Tant pis pour lui. « Coucou Doyle, dis-je, la voix mielleuse. T'es là ? »