Tybalt marchait dehors, cette nuit était chaude, dans touts les sens du thermes...A vraie dire, de un, la chaleurscorporel de tout ces loups dans le bunker était étouffantes, et les chaleurs aussi. C'était vallable pour toi aussi, en fait, pour tout le monde. Ainsi les femelles se batter souvent, de même pour les mâles etc etc...Bref, tu avait décider de sortir dehors, vers ce qui était la forêt des pendus. Pour sortir un peu du bunker, sortir un peu. Les bombardemments avait cesser depuis la tomber de la nuit, et il était donc évidents qu'il reprenderais le lendemain. Les humains ne pouvait-ils pas s'entretuer en silence? apparemment. non. à l'exterieur il faisais bien plus froid, en même temps c'était l'hiver. Tes yeux bruns observèrent les alentours. Haaa cette forêt, tant de souvenirs, les chasses, les entrainements...le combat avec cette jeune solitaire du nom de...Serafine? tu crois que c'est ça, tu lui avait mis une bonne rouste! oui des plus divertissant. des plus réjouissant. Le sol gelée s'accrocher à tes coussinets, et te faisais mal, mais voilà bien un détaille que tu ignorer. La froide brise vient te caresser la fourrure. Puis, un bruit derrière toi, une odeur. Une sekmet. Tu te retourne et aperçois une louve au pelage gris nuancer. ne serais-ce pas restless? vos chemin semble fait pour se croiser.

F:10 | A:13 | E:11

Etroit. Etouffant. Chaud. Cette nuit là, les souterrains étaient devenus insoutenables. Les loups étaient irrités, sous tension et impulsifs, surtout depuis les derniers évènements. Il fallait qu’elle sorte, qu’elle s’éloigne ou elle allait peter un plomb. Le poil hérissé et le regard électrique, la lupine longeait le mur de pierre afin de rester la plus discrète possible. Un léger grondement résonnait au plus profond de sa gorge, indiquant clairement aux autres lupins qu’elle n’était pas d’humeur à rire. Elle continua son chemin, jusqu’à déboucher sur la surface.


Sa patte frêle se pausa sur l’herbe blanche, gelée. Cette dernière craquelait sous ses pas, accompagnant sa marche d’un bruit régulier. Il se formait, au rythme de sa respiration, des nuages buée. La nuit était particulièrement fraiche et avait un effet légèrement calmant sur la lupine. Le vent froid, transperçant l’épaisse fourrure de cette dernière, la faisait trembler quelque peu. Cela faisait si longtemps qu'elle n’avait pas ressentit ses sensations, enfermée dans les souterrains.

A la surface, la louve grise courait un grand risque c’était certain. C’est pour cela qu’elle avait choisit de rester dans la Forêt aux Pendus, elle y serait beaucoup plus à couvert que dans une plaine ou un tout autre territoire ouvert vers le ciel. De toute manière, elle ne s’éloignerait pas trop du passage. Ainsi, si elle entend les Aigles de Fer approcher, elle pourrait aisément s’enfuir.

La lupine profitait de chacune de ces sensations unique qu’elle ne pourrait revivre avant un moment. Pouvoir sentir le gèle sous ses coussinets, le froid transpercer son pelage jusqu’à atteindre sa peau, le vent qui secoue sa fourre… Tant de ressentis primaires mais pourtant si essentiels.
C’est alors qu’une silhouette au loin interrompit ce petit instant de Paradis. Elle se rapprocha discrètement afin de mieux pouvoir la distinguer, malgré la pénombre de la nuit. Plus elle s’approchait, plus l’ombre lointaine se transformait en silhouette lupine. Une fois à la bonne distance, elle entrouvrit légèrement la gueule et huma l’air. La Horde.
Son pelage s’hérissa et elle laissa doucement dévoiler ses crocs. Ne pouvait-ils donc pas la laisser en paix ? Ne serais-ce que quelques instants ?! Le Hordien se retourna enfin, il venait de la sentir. Il suffit de moins d’une seconde pour que la louve reconnaisse le grand loup brun, Tybalt, avant de se jeter sur lui.

Posée de tout son poids sur le grand loup brun, la lupine montrait les crocs. Avec rapidité, elle lui mordit l’épaule. Elle ne faisait pas le poids, elle le savait très bien, mais lui sauter dessus lui avait permis d’avoir l’avantage ne serais-ce que quelques secondes. Avant qu'elle ai pu tenter autre chose, le Hordien la renversa et se plaça au dessus d’elle, l'immobilisant. Ses yeux noirs croisèrent les siens, et elle se contenta de claquer sèchement sa machoire devant celle de se dernier.

- Tu sait que sauter sur un loup plus fort que soit est le meilleur moyen pour mourir douloureusement ? Surtout quand il fait parti de la Horde.

La louve grise devait bien l’admettre, il n’avait pas tord. Même si elle aurait voulut transformer le Hordien en chaire à pâté, ce serait elle qui se ferait massacrer au final. Dans tout les cas, elle était immobilisée et ne pouvait ni s’enfuir ni riposter. Une brève lueur intelligence illumina ses yeux. Elle n'avait plus qu'une carte à jouer.
Doucement, ses muscles se détendirent et elle calma son agressivité jusqu’à la faire disparaître totalement. L’apparence de louve enragée laissa place à celle d'une jeune louve innoncente. Son regard s'adoucit, et la lupine se fit petite. Ses yeux plongèrent dans ceux du mâle et un sourire étira ses babines :

- Ils disent tous ca.

Doucement, le loup brun se retira pour laisser la louve se relever. Que fait-il ? Me pense t-il si faible et inoffensive que ca ? Elle rit mentalement. Son regard noir croisa brièvement celui du Hordien, qui ne cessait de la dévisagée. Elle aurait pu lui bondir dessus, comme il y avait a peine quelques instants, mais cette fois si le loup n'hesiterai surement pas à lui trancher la jugulaire. Elle aurait pu s'enfuir, mais elle ne fit rien. Ce serait pris comme un acte d'infériorité, de peur envers lui, ce qui serait totalement inutile puisqu'il n'en ai rien. Et puis, si il le voulait, il la rattraperait facilement. De toute manière, si il avait voulut la tuer, ce serait fait depuis longtemps.

- Dit moi, je ne pensais pas te recroiser. Que faisais tu dehors seule ?

Le loup se mit à lui tourner autour, la dévisageant comme si elle n’était qu'une proie. Oh, tu veux jouer ? Alors jouons mon petit. La louve grise fit quelques pas agiles en direction du loup, droite et fière. Elle souriait en coin, d'un air carnassier, quasi malsain. Elle racla le gel qui blanchissait le sol quelques instants de ses griffes, puis lacha enfin :

- Les souterrains sont étouffants. C'est qu'il fait chaud là-dessous.

Elle releva la tête et stoppa son geste, plongeant ses yeux sombres dans le regard du loup brun.

Le Hordien lui sourit, la dévorant presque du regard.

- C'est sûr, il fait chaud. Et ce dans tout les sens du terme.

Un vent froid parcourut leurs pelages, faisant onduler ses derniers. La louve grise etait d’humeur joueuse et se prêtait au jeu. Après tout, elle ne pourrait qu’en ressortir gagnante.


- Si tu vois ce que je veut dire.

Le loup brun était plutôt direct, il ne tournait pas 100 ans autour du pots comme d’autres loups. Et ca lui facilitait bien la chose. La lupine prit une profonde inspiration et se rapprocha un peu plus de lui, lentement. Son regard amusé fixait le sol, comme par timidité. Lorsqu’elle fut assez près pour sentir le souffle chaud du loup sur sa joue, elle redressa les yeux et croisa les siens. La truffe froide humide de la lupine entra en contact avec la joue brune de ce dernier et elle la fit glisser jusqu’à son flanc, caressant la peau chaude du lupin au passage. Elle souffla alors :

- Oh oui. Je vois très bien.