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Sortir, sortir, juste sortir. Tu n'en peu plus, de cette odeur de moisissure, de renfermée, de maladie, de mort; De cette air stagnant, de ces parois étroites, de tout. La fatigue t'engourdis les membres, tu viens juste de finir ton tour de garde, tu as déjà fait cinq patrouilles. Rabâcher les quelques Sekmets rebelles ne t'amuse plus. Dormir...si seulement tu pouvais dormir. Tu ne dort pratiquement plus que quelques heures par nuits. Mais les ordres sont les ordres. Enfin! enfin tu as terminer tout ce que tu avait à faire pour aujourd'hui. Ainsi tu as décider de sortir, prendre un peu l'air, t’écarter de tout ça. La lumière du jour t'aveugle, et une bouffer d'air frais te remonte le moral. Tu accélèrent le pas vers ce simple trou qui signifie ta délivrance, et enfin te voilà dehors. Tu respire à plein poumons cet air toxique mais qui pourtant te semble si pur. Ton repis est cours, une ombre te survole: un aigle de fer. Son obus tombe déjà vers le sol, tu te retourne et par en courant, tu galope aussi vite que tu le peu, et plonge dans une faille, rougeoyante, que tu n'avais jusqu'ici jamais vraiment remarqué. Une faille remplis de grenats, c'est magnifique fleurs écarlate en font rêver plus d'uns, toi le premier. Le monde d'avant était-il plein d'autres fleurs semblables à celle-ci? peu être, qui sait. Soudainement, ton corps puissant rentre en contact avec un autre corps, dans ta course tu perds l'équilibre et tombe en arrière. Tu lâche alors un grondement sourd, tu te relève à moiter et grogne:

"Fait attention à là ou tu..."

Ta phrase reste en supens, quand ton regarde la louve qui se tien face à toi, tu as rarement croiser de louve aussi belle dans ta vie.

"Vas..."

Finis-tu, d'une voix presque inaudible. Puis tu secoue la tête, te lève et lui fait face. Tu te rend compte que les yeux de cette louves sont vide, blanc. Est-elle donc aveugle? probablement. Tu reprend tes esprit, ce n'est pas une jolie louve qui va te rendre aussi idiot qu'un Esobek non? Tu te redresse de toute ta hauteur, attendant sa réponse

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La louve face à toi avança un peu, elle n'était plus qu'as quelques centimètres de toi. Puis, d'une voix calme et claire, elle jappa:

" Tu peu parler, on ne cours pas comme çà sans regarder devant soit. Surtout quand on a la chance de pouvoir regarder "

Cela confirmé ce que tu penser, elle était belle et bien aveugle. C'est marrant mais c'est bien la première fois que tu est aussi nerveux face à une louve. enfin bref, tu as du mal à parler. Oui bon ben tu l'avoue! quand des louves sont jolie et t'attire tu est timide, voilà.

"Les...enfin...les bombardements."

Bon, je pense qu'elle aura compris, malgrès tout tu te ridiculise, face à une Sekmet! Ou est passer Tybalt, celui qui massacre des loups dès qu'il en a l'occasion? aller, calme, cool, zen. on souffle. Tu soupir et tente de changer de sujet, de rester naturelle.

"Sinon...tu t'appelle?"

est tu entrain de demander son nom à une sekmet? mais t'en as rien à faire de son nom!...quoique. t'aimerais mieu la connaitre...attends quoi? mais non t'as pas envie de la connaitre! enfin...si?