Tes pas te mènes vers un endroit ou tu n'est que très rarement aller, le village des hommes. Il est totalement détruit. il ne reste plus rien si ce n'est que des décombres...de la brumes envloppe l'endroit le rendant lugubre, mais ce n'est pas le genre de détail à te faire peur. Tu entends alors un craquement de branche derrière toi. ton sang ne fait qu'un tour. tu te retourne et que vois tu? deux père de yeux qui avance doucement de toi, sortant de l'obscurité, de long crocs dévoiler à la faible lumière de la lune. Un grand chien, squelettique fait alors sont apparaition, suivie d'un pauvre petit cabot pas plushaut qu'un renard. Tu gronde et dévoile tes crocs.

"Si vous ne voulait pas terminer la tête d'un côté et le corps de l'autre passer votre chemin"

Comme tu t'y attendait les chien réponde par la négative, et continue de te tourner autour...serait-tu une proie?...non...serait-tu un tueur?...oui...tu en est un et si il croit te prendre à ton propre jeu ils se trompe. Tu affiche un sourire carnassier, tes iris rétrésisse...tu la sens cette éxitation que en temps normal tu contrôle? mais là...tu est seul...alors tu peu lâcher la bête qui est en toi...Le premier chien, le plus grand te bondit dessus dans un aboiment de rage, tu sens ses crocs se planter dans ton dos et progressivement atteindre ta colone vertébrale. Tu pousse un hurlement de douleur et de jette vers le sol pour ecrasé l'animal qui lâche. Tu t'apprette alors à plonger sur lui pour lui donner le coup de grace mais le petit minus qui l'accompagne te mort la patte, tu te retourne, l'attrappe par la peau du cou et le balance un peu plus loin avec une aisence surprennante. Quand tes yeux reviennent vers leurs objectif principale le chien à disparue...Douleurs, sang...tu entend ce bruit? celui des crocs qui ne sont plus qu'à quelques centimètres de ta jugulaire? tu reste quelque secondes viger quand enfin le clebs lâche. tes yeux se perde dans le vide tant la douleurs est insupportable, tes membres trembles...quelle idiot....il ne t'as même pas égorgée.

"Mauvaise idée..."

Tu esquisse un sourire. quelle naiveté. Tu bondit sur le berger et lui mort le ventre, tu le maintien au sol de ta patte avant droite et déchiqute dans une furreur monstrueuse ce qui contituer l'abdmen du canidé. celui-ci se convultionne et bientôt se rédit avant de mourir. Tu te tourne vers le petit chien qui commence à fuit, trop tards. Tu te lance derrière lui, tout deux partait dans une course éffraner, mais bientot, vous atteigner une enorme crevasse, tu t'arette à temps pas lui. et c'est la fin du petit chien.