N'en as tu pas assez de passer tes journée à ne rien faire dans ces foutues égouts? La horde à besoin de toi pour maintenir l'ordre auprès de ces idiots de Sekmets, et puis après tout ta blessure te permets de courir...Tu ne saitque faire n'es pas? car sortir dehors pour rejoindre ta meute serais un suicide...Et puis il faudrait déjà les retrouvé. Soit il sont près de toi et tu as des chances de t'en sortir...soit il sont loin et tu peu dire adieux à ta si précieuse vie. Tu gronde et secoue ton pelage. Regarde toi, tu est dans un sale état. Ton pelage est boueux, vaseux, crasseux, tacher de sang et noirci par le feu des explosion; sans parler de ta balafre au flan. Aller, il n'y as pas de temps à perdre. Tu te relève et te dirige d'un pas sûr vers la sortie de ces souterrain. Tes pattes te mène alors vers les rail que tu suis pour acceder aux escaliers. Tu trotte vers la lumière du jour, tu plisse les yeux pour mieux y voir et fait une pause. Là tu tent les oreilles et regarde vers les cieux...Pas d'aigle de fer. Alors tu ne perds pas une seconde et te jette à l'éxterieur, tu cours ventre contre le sol, par crainte de te faire repérer par des hommes. Oui tu n'en as pas encore croiser mais tu les à entendues, tu les à sentis et tu sait qu'il y en plein en ville. Tu finit par sauter par dessus un baril en feu et continue ta route. l'air est stagnant, empoisonner et ce poison tu lerespire à plein poumon, ce qui te fait avoir une quinte de toux. Tu pose ta truffe sur le sol, et cherche un quelconque trace des sekmets...rien. Peu-être qu'en t'approchant du camp tu pourrais retrouver leurs traces? Tu regrette de t'avoir tant ecarté du camp...en même temps tu ne pouvait pas savoir qu'il y aurait des bmbardement, mais maintenant te voilà séparer du groupe. Et si ils étaits partis? si ils avait changer de territoire sans toi?...tu n'en mourra pas, quoi que. Apparement la nature veut ta mort ici...Mais bon tu as bien vécue entends que solitaire deux ans. Bref, le camp c'est loin et donc tu risque de mourrir...Mais bon, il faut bien retrever cette meute d'idiot si tu compte vivre un peu plus longtemps. Tu cours alors vers le camp, sans te soucier des obstacles sur ta route. Mon dieux tu as faim! le rat d'hier ne t'a certainement pas suffit! les oreilles pointer en avant et à l'affut d'un quelquonque grondement tu continue ta route. Le sol est troué de partout et la neige, bien que présente à certain endroit, s'est transformer en sol gelée. Tu évite les trou qui jonche le sol et continue ta course vers le camp...enfin ce qui était le camp. Tu t'arrête pour examiner l'endroit...des trou, des trou, des trou de partout! ce n'est même plus un lieu pour un rat! toujours est-il que maintenant tu sang l'odeur de la horde et des sekmets. Leurs trace semble mener vers l'autouroute...Tu t'y était entrainer deux fois, une fois avec alwelda, et une fois seul, tu connais le chemin. Tu continue donc, au trot, ta route. Oui tu ralentis la cadence, ta blessure te torture. Après plusieurs longue minutes tu entent quelque chose...Le grondement des avions! tu lève la tête, mais trop tards. Une de leurs bombe touche le sol juste à côter de toi mais...pas d'explosion, Un gaz toxique en sort, et alors que tu cours pour y echapper il te rattrappe et t'encercle, tu y est pleinement exposer l'histoire de quelques secondes avant d'en sortire, tu tousse, et sens tes forces te quitter, Ta tête tourne alors que tu continue de courir, tu as le vertige et sens le sol s'écrouler sur tes pattes. Ta vision se floute alors, un bip sonore résonne dans tes oreilles et tu t'écroule...tu n'est plus là, mais là en même temps. Tu entends tout autur de toi mais tout est noir...enfin tes paupièrre s'ouvre tout doucement...tu as du tomber dans les pommes seulement quelques minutes mais c'est déjà le chaos autour de toi. Des bombes de toutes sorte tombe, et semble t'avoir épargné jusqu'ici. Tu te relève et titube pour tenter d'echapper à cet enfer. Vue comme c'est partie tu sens que ces bombardement aurons raison de ta vie, mais tu refuse d'abandonner. Alors tu accélèrent comme tu peu, petit à petit tu reprend tes esprit et avance de plus en plus vite, jusqu'ua courir. L'autoroute! la voilà! vite, il faut que tu l'atteigne. Tu ne perds pas de vue le gouffre, le seul endroit ou tu pense pouvoir être en sécurité. Tu cours, cours, cours sans faire attention aux chaos des bombardemment. Alors que tu n'est plus qu'a quelques centimètres de la blessure, tu dégringole et tombe un peu plus bas, sur une plateforme. Quelle chance! si elle n'avait pas était là tu aurait certainement finit brulé par la lave. Tu te relève et renifle l'air...Là! vers le fond, l'odeur des Sekmet est éxtremement présente! Tu saute de plate-forme en plateforme gauchement pour enfin atteindre un endroit qui n'est pas des plus acceuilant, mais qui semble pouvoir t'abriter. Un bunker éventrée. Tu rentre. te voilà dans ce qui semble être le nouveau camp de ta meute.