Tu trotte dans les égouts, la tête haute. Tu n'as pas pris le pendentif et tu la laisser à ton nids de fortune, tout simplement car tu n'as pas besoins de sa lumière pour le moment. Tes pattes te mène vers un endroit que tu as remarqué lors de plusieurs ballades. Enfin ballade...ce n'est pas un mot très adapté. Donc, oui, tu te dirige vers un lieu assez large et boueux, un trou à rat. Bon tu n'en sait rien, mais tu est persuadé qu'il y as des rats dans les parages. Tu y arrive. C'est un endroit sale, vaseux, brumeux. l'eau ici à laisser place à la vase, une vase verdatre qui te colle au patte, à la fourrure et don l'odeur te fait retroussé les narines. Tu fouette de l'air la queue et avance vers un des trou, oui car en effet les murs sont parcourue de petit trou. C'est bien ça qui te fait pensée que là, il y a du rongeur. Tu y passe la patte, gratte, rien. Alors tu regarde autour de toi...Tien! là! un récipiant de fer! (sceau). tu l'attrape de tes puissantes mâchoires puis tu le trempe dans l'eau. Une fois le sceau remplis tu fait coulé l'eau dans un des trous et tu attends. Avec un peu de chance, si il y a des rats ou des souris ils sortirons, effrayer par l'eau.

Tu attend une minutes, deux minutes...et...Des rats! les rongeurs sortent en poussant des cris aigue. tu bondit en arrière et observe la multitudes de bêtes sortirent du trou. Comment autant de rats peuvent t-il sortirent d'un seul trou? Tu ne sait plus ou donner de la tête. Tu as retenue la dernière leçon, les rats, en groupe peuvent tuer un bipède si ils le veulent! Tu plaque les oreilles en arrière, mieux vaut fuir avant que ces saleté finisse par t'agresser. Tu te retourne donc et change de couloir, frustré. Voir tant de nourriture s'échapper est si...frustrant. Tu gronde et crache par terre. Peu être à tu encore une chance, peu être que si tu attends tu tombera sur un pauvre rat qui sera en retards...peu être, si dieu le veut...enfin tu pense plutôt que tu est vouer à l'enfers plutôt qu'autre chose

Et bien pourtant, Dieux semble être avec toi, une fois que les rongeurs soit partis voilà que tu tombe sur un bien dodu, et blessé. Il semble perdu, aveugle.ça va être du gateau. Tu t'approche, la queue haute, prêt à bondir sur l'animal, tes griffes se plonge dans la vase à chaque pas, et tes yeux ambré sont rivé sur l'animal. Plus rien ne semble plus pouvoir arrêter ta progression, et pourtant si. L'animal se retourne et te bondit sur l'épaule, tu gronde de douleurs; Aveugle certe, mais pas sourd! Tu te contortionne dans tout les sens, mais il ne lache pas et tu ne peu pas l'atteindre. Tu te roule alors sur le dos...La sensation tu froid qui pénètre ta chair, del'eau et de la vase qui te colle à la fourrure te répugne, mais tu finit par sentir les petits crocs de la bête te lacher. Tu te rêlève et avant qu'elle ne s'enfuisse tu lui donne un bon coup de patte la faisans volé, tu en profite pour le rattraper et lui planter tes crocs acérée, profondément dans sa chair. La douleurs lui tirent un cri persant et puis sont corps retombe inerte. Tu est satisfait, bien que mouillé. Tu aura de quoi te nourir se soir.