Tu marche sur la lande déserte, la neige couvre toujours le sol, et ta truffe, cloué à la poudreuse cherche du gibier. En vain. Ton poil est terne, tes yeuxvitreux, tes côtes saillante. Cela est du à cette atroce blizzard et à la famine. Tu soupir, au moins maintenant tu as droit au proies des Sekmets. ton souffle se transforme en petit nuages blanc. Grace à cette nourriture tu te remets peu à peu et tu as meilleur allure, mais bon. Soudainement tu entends un terrible grondement briser le silence, il ne provient ni de droite, ni de gauche, mais d'en haut. Tu lève la tête et la tu appreçois un de ces oiseaux de fer, un avion. deux avions, trois, quatre. Tu pousse un grognement, dévoilant tes crocs, ça n'as rien de normal. Rien. Puis des sirènes retentisse au loin, ton poil s'hérisse, que ce passe t-il? Les avions semble lâcher quelque chose, tu te retourne pour partir quand soudain dans un bruit assourdissant tu est projeté, tu sens ta peaux se faire brûler et ta chair s'ouvrir, tu voix blanc et un sifflement perçant te torture les oreilles, tu hurle de douleurs avant d'heurter le sol, roulant sur le sol. tu reste quelques seconde cloué au sol, impossible de te lever, étourdis. Tu te relève avec difficulté, ton pelage est assez brûlé, et ton flanc est ouvert. Tu voix autour de toi les bombes exploser, comme celle qui à faillit te coûter la vie. Tu te mets alors à courir aussi vite que ton état te le permet, tu zig-zag, une bombe explose juste en face de toi et tu plonge sur le côté, l'évitant de peu, tu continue de courir tandis que le chaos fait rage autour de toi, tu te retrouve de temps en temps projeter sur le coter mais ne t'arrête pas pour autant, c'est une question de survie, tu le sait. Tu finit par atteindre la ville, tu saute par dessus un barbelé qui s'accroche douloureusement à tes poil et te retient, tu griffe le goudrons dans l'espoir de passé mais les épines plante dans ta chaire et la lacère. tu grogne et finit par passer, tu continue ta fuite. Tu n'en peu plus combien de temps va tu encore courir? tu finit par enfin apercevoir les escalier qui mène vers un endroit qui t'ai maintenant familier. Le métro. Tu n'hésite pas et tu y fonce, une fois à l’intérieur tu continue de courir, sur les rail, avant de tourner brutalement à gauche, tes pattes patauges alors dans une eau crasseuse de marronatre, mais tu n'y prête attention et finit par t'arrêter, essoufler. Tu entends les fracas des bombes en haut qui font trembler le sol et tomber de la poussière sous ton nez. Te revoilà dans les égouts mitoyens au métro. Tu te couche sur le flanc non blesser, le gauche, l'eau souillant ton pelage pour te reposer un peu. Tu rejoindra la horde dès que tu ira mieux.