À l'heur actuel la vie est dure et insupportable. Notre alpha est retenu prisonnière, le chef de la horde se proclame alpha et se croit tout permis, et la horde qui nous surveille de près. C'est du n'importe quoi, s'ils croient qu'on va se laisser faire ils peuvent creuver. Sans parler du climat du moment, des bombardements, des fusils, des cris et des morts ... actuellement les meutes ses caches aux sous-sols où les proies se font rares et pauvres. Je n'ai pas envie de manger du rat et des souris plus longtemps ! C'est un risque à prendre ... sortir à l'extérieur trouver quelque chose de "bon" à ramener. Mais je préviens, j'aurais ma part sur cette proie, je ne l'ai pas chassé pour que tout le monde en profite sauf moi !

Les hommes, cruels, tueur, entre eux ou avec nous. On a l'impression de voir les loups ... on n'est pas très délicat entre nous. Néanmoins nous ne sommes pas aussi dévastateurs. Il tue la nature et les proies avec. C'est chez eux qu'il faut aller piller à manger. Les ressources sont pauvres, néanmoins les hommes disposent d'une réserver d'animaux : vache, poule et moutons bien délicieux ! Encore faut-il y arriver !

Je m’approchai lentement, très attentive a ce qui se passe autour de moi, je ne veux pas mourir par une de ces bombes humaine. Je m’approchai lentement et entendis de loin les bêtes qui commencèrent à s’exciter à ma venue. Je me cachai derrière une des maisons en construction tous près de là où il garde les bettes, je patientai pour savoir la position des sentinelles des hommes.

J'écoutai attentivement les hommes parler entre eux. Je ne comprenais pas leurs langues, ils étaient d'ailleurs curieux. Malgré les bruits sourt des bombardements, les gardes partirent pour je ne sais quelle raison. Sans doute une urgence. Je m’approchai lentement de leurs bêtes, me léchant les babines. À moi le festin !

En s'avança de quelques pas je compris qu'une grande barrière encerclait les bêtes. Je me fis un chemin délicatement, en évitant de me faire mal avec cette barrière. Lorsque je suis entrer les proies réunis dans cet enclos étaient des vaches et des moutons. Ils reculèrent le plus loin possible. Pour ma part je devais faire vite, les hommes pouvaient revenir à tout moment ! J'entendais les pas des vaches et leurs cris, elles avaient peur et étaient terrifiés, normal. Je n'attendais pas une seconde de plus et couru à leurs poursuites, je visai la proie la plus grosse : une vache. Elles étaient plusieurs et courraient vite en se donnant des coups pour passer la première. Je courru derrière un petit moment et attrapai une des pattes d'une vache en face, ce qui la fit tomber sur le côté. Son hurlement était fort, j'avais peur de faire revenir les hommes ... Je l'attrapai la gorge, quitte à me faire frapper par ses pattes. Je priais qu'elle ne m'écrase pas, mais elle finit par se taire et ne plus bouger. Je la tirai, trop lourde pour la prendre et essayai de sortir de cet enclos. Cela n'a pas été facile d'y sortir, j'ai dû pousser les barrières et tirer la vache pour finir. Je finis par la mettre dans un coin discret et me posai quelques instants.

Après avoir réussi à attraper une vache. Je la mis à l'abri, loin du village, dans un endroit que je connaissais. Je doute que quelqu'un me la vole, peu de personnes sorte à l'extérieur en ce moment, il y a beaucoup trop de danger. Après l'avoir bien caché, je fis prise par une grande curiosité ... comment réagissent les hommes après leurs avoirs voler une bête ? Du coup je me dirigeai vers eux, apparemment ils n'avaient pas remarqué qu'une vache était manquante. Sans doute ne compte-t-il pas leurs animaux. Je trouvai les hommes bien bête, néanmoins le bruit de fusil et les hurlements me firent comprendre que je ne voudrais pas non plus aller leur chercher des noises.

J'avais eu beaucoup de difficulté pour sortir la vache de son enclos, du coup si je devais leurs piller encore quelque chose se ne serais pas une proie aussi grosse ... même si mos estomac me dit de le faire, je devrais déjà faire deux aller/retour pour l'amener au garde manger donc ... Visons plus petit. J'écouta attentivement ... Un moutons ?? pourquoi pas ... comme pour le précédent je m'aprocha lentement ... écoutant si les hommes venaient. Apparemment il surveillait l'enclos des vaches, mais ceux des moutons étaient sans surveillance. Lentement, pas par pas ... l'enclos était plus petit, sans doute parce que l'animal était plus petit, la taille des barrières aussi. Il était plus compliqué de se faufiler mais pas impossible.

Une fois entrer dans l'enclos j'écoutai les moutons, pour se protéger il c'était réunis tous aux mêmes endroits. Drôle de technique, il m'a suffi de foncer dans le tas ... leurs poils étaient doux mais il était facile de planter ses crocs dedans. J'attrapai un des moutons mais me fis écraser par un autre voulant s'enfuir. Stupide mouton, j'avais bien envie de rattraper celui qui a osé posé sa patte sur moi ! mais le moment n'était pas venu, je devais me dépêcher. Pas comme si je venais de voler une vache avant ! ayant attrapé un mouton il ses dépatais et ne voulaient pas se laisser faire, je le griffai et pris sa patte dans ma gueule. Je le jetai d'un et l'autre de moi essaya de le frapper au sol. Il arrêta de bouger mais respirait encore. Allons bon, fillons !