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Après avoir ramener tes quatre poissons, tu t'étais reposé un moment et, lorsque tu ouvris de nouveau l’œil, la lune était bien haute dans le ciel mais, également, commençait à être caché par d'épais nuage. Sortant de l'épave de l'avion, tu levas ta truffe vers le ciel et, huma l'air. Une tempête approchait … Tu réprimas un grondement de mécontentement et, quitta malgré tout la chaleur de cette tanière de ferraille. Tu irais chasser mais, pas trop loin …

Tu te mis à trottiner, puis à marcher, humant l'air, cherchant une piste mais tu ne trouvais rien dans les parages, te forçant à mener ta chasse plus loin. Sans t'en rendre réellement compte, tu étais en train de quitter les terres Sekmet, t'enfonçant peu à peu dans les autres terres alors que tu étais bien trop absorbé par le fait de chercher une proie. Ton début de soirée t'avait sourit, ta pêche avait été fort bonne alors, tu espérais que, là aussi, ta chasse le soit également et, pour cela, il te fallait persévérer et te munir de patience également. De la patience … A croire que tu devais toujours en faire preuve mais, cela en était ainsi …

Tu longeas quelques vieux bâtiments en ruines qui se trouvaient ci et là, d'anciennes habitations qui ne peuvent plus être habitable moins d'effectuer de gros travaux mais, pour sûr, les lieux avaient été pillé et re pillé jusqu'à ce que plus rien d'intéressant ne se trouve car, tel était la façon des hommes de vivre … Piller ce qui leur appartenait autrefois pour récupérer les fragments du passée mais, surtout, de quoi survivre en ces temps hostiles. Les hommes … Si cet espèce avait permis à loup de trouver de nouvelle source de nourriture en ramener et en reproduisant divers bétails, ils étaient aussi la cause de la mort de bon nombre de loup et autre animaux sauvages. Si leur présence permettait d'avoir de l'eau pure, il était pourtant dangereux de s'en approcher. Les hommes étaient cruel, tu ne le savais que trop bien, tu ne t'en souvenais que trop bien mais, dans un sens, ils permettaient aussi à l'équilibre précaire de ce monde …

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Toujours concentré, suivant la moindre odeur, te fichant de savoir où celle-ci pouvait bien te mener, voilà que tu t'approchais peu à peu de lieu peu recommandable mais, sur le coup, tu ne t'en rendis pas compte … La truffe rivé vers le sol, tu suis une piste que tu avais réussi à détecter, avança d'un pas entre le trot et la marche pour ne pas être distancé par ce que tu avais flairé mais, n'avançant pas trop non plus pour ne pas être repéré. Pour le moment, il n'y avait rien de visible, seulement diverses odeurs, des odeurs dérangeantes mais, tu réussis à passer outre ces odeurs qui t'agressent le museau, te concentrant seulement sur une seule et unique odeur, celle que tu avais capté il y a quelques kilomètre de cela … Tu ne savais pas trop où cela te mènerait, ni ce que tu trouverais mais, pour sûr, il y avait quelque chose et, tu comptais bien le débusquer !

Le décors devient étrange, remplit de bitume, de mur épais mais, terne, horriblement terne. Les structures ressemblaient à celle qu'on pouvait trouver dans le village des hommes mais, en même temps, elle était différente, bien trop imposante. Tu ne connaissais pas cet endroit, tu ne t'y étais jamais rendu, tu lèves enfin le bout de ton museau pour observer ce qu'il se trouve devant toi et, regarde à droite à gauche. Où étais-tu ? Tu étais tellement absorbé par ton pistage que tu ignorais complètement où tu te trouvais, bah … Quelle importance ? Tu retrouveras ton chemin sans problème mais, seulement une fois que tu auras réussi à débusquer ta proie …

Tu te remet à flairer le sol, te remettant à avancer une fois avoir réussi à la retrouver. L'animal ne devait plus être bien loin ...

2 - 3 (malus) + 2 (bonus) = 1 (raté)

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Suivant la piste de cet animal, tu levas la tête en direction du ciel et, émit un léger couinement. Une tempête approchait à grand pas, tu avais perdu énormément de temps dans ta traque qui semblait veine. Un grognement de frustration, tu refuses toutefois de laisser cette tempête te retirer ton butin et, repris la piste que tu avais flairé. Avançant, pénétrant dans le bâtiment, tu lèves de nouveau la tête. Ta proie n'est plus très loin, terré dans un coin de ce bâtiment en ruine. Tu avances, tes griffes claquant sur le sol dur, une étrange odeur commençant à emplir tes narines, une odeur dérangeante mais, tu finis par l'éloigner en te concentrant sur celle qui t'intéresse le plus. Là, tu pouvais enfin percevoir l'animal que tu traquais ! Un cerf ! Celui-ci avait affreuse mine, probablement pour cette raison qu'il s'était réfugier là où il pensait être en paix mais, il s'était lui même jeté dans ta gueule en se bloquant dans ce bâtiment.

Tu te rapproches, de plus en plus, essayer de masquer ton odeur ne te servirait à rien car, de toute manière, le vent ne passait pas ici, qu'importe … Le cervidé était prit au piège … Cela était peut-être un peu trop prétentieux pour toi de t'en prendre à un cerf mais, celui-ci était amaigris et, semblait également malade, ce qui en faisait une proie parfaite pour toi ! Te léchant les babines, tu te rapproches avant que le cerf ne détecte enfin ta présence. Prit de panique, le cervidé se cabra en te voyant approcher et, tente de s'enfuir. Immédiatement, tu t'élances dans sa direction, le rattrapant sans trop de problème, d'autant plus que, même si les pièces de ce bâtiment était immense, celui-ci ne donnait pas le moindre avantage à ce cervidé, du moins, de ce que tu avais vu.

Tu te jettes sur lui, l'attrapant par l'une des pattes, tirant dans seul coup pour le stopper dans sa course, ce qui le fit tomber. Rapidement, l'animal paniqué se redressa, tant bien que mal d'ailleurs, et riposte pour te faire reculer, te menaçant de ses bois bien pointu à certains endroits. Tu recules à ton tour pour éviter les coups qu'il tentait de te mettre et, en voyant que tu reculais, ta proie en profite, tentant de fuir de nouveau. Hors de question que tu le laisses filer ! Tu te rus de nouveau dans sa direction et, cette fois-ci, saute pour lui attraper l'arrière train, le mordant sur le haut de la croupe, ce qui faillit le faire tomber de nouveau mais, l'animal se reprit rapidement, essayant de te donner un violent coup de sabot pour te faire lâcher prise, ce qu'il réussit à faire d'ailleurs, t'envoyant voler jusqu'à un mur où tu te cognes violemment avant de perdre connaissance …

Tout est sombre et calme, quoique, quelque chose semble siffler et, il fait froid … Peu à peu, ton esprit se remet en place, ce sifflement, c'est le vent. Ce froid, c'est le vent également et, le sol dur, le sol de où ? Tu finis par t'en souvenir, un immense bâtiment, dans une zone que tu ne connais guère. Que s'était-il passé ? Tes souvenirs te reviennent peu à peu alors que tu ouvres difficilement les yeux. Un cerf … Oui … Il y avait un cerf et, tu le traquais, tu t'es battu contre lui aussi mais, tu as échoué … Oui, c'est pour cela que tu te retrouves dans cet état, tu t'es prit un violent coup, suivit de la rencontre violente entre le mur et ton dos, ce qui t'avait fait perdre connaissance. Quel moment de la journée es-tu ? Tu n'en sais rien, il fait sombre, très sombre et, tout semble si flou …

Tu te redresses, serrant les dents sous la douleur que te provoque ton dos qui avait été malmené. Tu n'as point le courage de t'ébrouer, la douleur étant bien trop présente, de plus, tu avais encore du mal à tout remettre en place dans ta tête, sûrement as-tu prit un coup suite au chose. D'un pas lent, tu sors du bâtiment où, un violent coup de vent remplit d'épais flocons de neige te passa sous le nez. Tu rentres dans le bâtiment, secouant doucement la tête pour ne pas réveiller les douleurs de ton dos. Une tempête … La tempête était bel et bien là et, pas que … Si il neigeait à gros flocon, le brouillard s'était aussi invité à la fête, mince … Un grognement de mécontentement, tu foules de nouveau le neige posé sur le sol puis, tente de voir où tu te trouvais. Honnêtement, tu n'en savais foutrement rien … Regardant de gauche à droite, tu étais perdu, complètement perdu …Tu ne connais point cette partie des terres et, de plus, la tempête, couplé au brouillard, te rendait complètement handicaper, d'autant que la douleur de ton dos meurtri ne semblait pas vouloir se calmer.

Tu sortis de bâtiment, il te fallait retrouver ton chemin. Tel un fantôme dans cette brume, tu avances sous la neige, sans le moindre bruit, le brouillard empêchant de voir quoique ce soit, la tempête t'empêchant de pouvoir détecter la moindre odeur pour le coup. Handicapé, la seule chose qui puisse te venir en aide, et encore, c'est ton ouïe mais, même là, le vent qui ne cessait de souffler commençait à sérieusement te rendre sourd … En fait, tu allais devoir retrouver ton chemin complètement à l'aveuglette …

Essayant de flairer le sol pour retrouver ta propre odeur afin de faire demi-tour, tu ne savais même plus toi même où se trouvait le nord du sud, la gauche de la droite et, tu étais même incapable de retourner dans ce bâtiment délabré … Tel un louveteau sans défense, tu t'avances, sans savoir où aller, priant pour que le chemin que tu étais en train d'emprunter soit le bon mais, non … Voilà qu'un nouveau bâtiment se dresse juste devant toi, un bâtiment que tu n'as encore jamais croisé dernièrement. Tu bifurques, cherchant à repérer le chemin par lequel tu étais venu mais, le cerf t'avait fait tellement courir que, tu ignorais si tu étais capable de retrouver ton chemin …

Te camouflant, là où tu ne pouvais, cherchant désespérément le chemin du retour, tu t'arrêtas plusieurs fois, frustré. Pourquoi n'arrivais-tu pas à retrouver ton chemin ? Pourquoi a-t-il fallut que tu te retrouves dans une zone que tu ne connais point et, pourquoi a-t-il fallut que tu perds connaissance maintenant alors qu'une tempête approché, maintenant, te voilà prisonnière, cherchant désespérément un moyen de rentrer … Alors que tu commençais par croire que, jamais tu n'y arriveras, qu'il fallait mieux que tu te terres dans un coin en attendant que le brouillard se dissipe et, que la tempête ne s'éloigne, tu finis par détecter une infime odeur sur le sol. Réjouis, mais pas trop, par cette découverte, tu te mets à la suivre, priant pour que celle-ci te mène sur des terres que tu connais bien mieux.

A plusieurs reprises, tu te perds, tourne en rond, tu en as marre, plus que marre, cette tempête t'irrite, tu perds peu à peu patience. Non, il faut que tu te reprennes ! Que tu continues ! Courage cher loup, tu finiras par y arriver !

Au bout d'un long moment, tu finis enfin par retrouver ton chemin, à l'aide de ton flair, seul sens qui marche parfaitement bien chez toi, hormis lorsqu'une forte odeur se trouve là, comme lorsque tu te trouvais dans les marais. Ne comptant pas sur tes yeux pâles, tu avances, la truffe au sol, les oreilles aux aguets. Tu reconnais enfin les odeurs, tu te rapproches mais, non sans peine car, la douleur était toujours présente et, face à ton état de faiblesse, le froid commençait à te glacer le sang, il te fallait rentrer, et vite … Le chemin n'était plus très long, tu auras passé la moitié de la nuit à tenté de retrouver ton chemin et, voilà que tu pouvais percevoir les premiers rayons du soleil au loin. Malgré tout, celui-ci n'arrivait pas à percé l'épais brouillard mais, qu'importe … Tu étais bientôt arrivé et, là était l'essentiel, après cette dur nuit ...

7 - 3 (malus) + 2 (bonus) = 6 (raté)