Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Il faisait sombre, la nuit venait de tomber et je rentrais chez moi, après avoir eu ma rencontre avec Hige, j'avoue que j'avais un peu beaucoup tardé et je m'en voulais. J'avais dit à mes petits, que je ne reviendrais pas trop tard, mais c'était le contraire. Il était assez tard, car la nuit venait de tomber et j'avais également hâte d'arriver chez moi, car je savais que les lieux n'étaient pas sûrs à cause de la horde. Bien sûr, je savais me défendre, mais j'aimais mieux ne pas me battre, car j'étais quelqu'un de pacifique. Alors, je marchais plutôt rapidement pour me rendre plus vite à la maison.
Je marchais tranquillement parmi le blizzard, quand quelque chose que j'entendis me fit arrêter. J'arrêtais et je me mis en position défense, puis j'observais les lieux de mon regard orangé. Le bruit ressemblait à du grattement comme si quelque chose était en train de fouiller la terre pour se chercher à manger. Alors, je sentis mes muscles se tendre et moi je me vis en train de saliver. Suite, au grattement, je percevais l'odeur de la proie, c'était un dindon sauvage, je savais reconnaître l'odeur des dindons et je savais que cela en était un.
*Génial, une proie qui me tombe sous le nez. Il faut que je l'aies, comme ça, je pourrais revenir à la meute, sans avoir les pattes vides.*
Alors, je me mis à ramper vers le buisson, où que j'avais entendu gratter, alors je me mis à ramper vers la proie, je pouvais voir le plumage brun du dindon, à priori cela semblait un mâle, car il était gros. Ensuite, je constatais que le dindon allait lever la tête pour observer les parages et comme je m'en approchais, la chance était de mon côté, je pus me cacher derrière une souche d'arbre mort.
De plus, est, le vent était en ma faveur, alors il ne portait pas mon odeur à la proie. Alors, j'entendis tranquillement, qu'il retourne à ce qu'il faisait. Quand, ce fut le cas, je pus m'approcher encore un peu et sans prévenir je sautais dessus et arrivait sur le dos du dindon.
Fiche de personnage force: (100/100) agilité: (100/100) endurance: (100/100)
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Âge Personnage :
X ans
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Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
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Bonus Agilité :
+0
Bonus Endurance :
+0
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
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Compétence d'élite :
Mer 28 Jan - 21:21
Le membre 'Naïa' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé de chasse' : 1
Invité
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Mer 28 Jan - 21:28
Chasse(en continu)
«Chasse, chassons, chassez»
feat Naïa et ....
Hélas, le dindon trouvait une façon de me faire décrocher de son dos, alors je l'avais un peu blessé sans vraiment l'amocher, un dindon ne volait pas vraiment, mais il battit des ailes et se fit aller à cause du blizzard, alors je sautais en hauteur pour essayer de l'attraper, mais quand je le fis, mes crocs accrochaient seulement l'aile, lui faisant perdre quelques plumes, alors le dindon continuait de se sauver, et moi j'atterris sur les fesses, j'avais mal calculé mon atterrissage, mais je ne m'étais pas fait mal, mais le dindon avait pris de l'avance, alors je me relevais et je commençais à le poursuivre. Le dindon se servait de ses ailes pour aller plus vite.
Moi, je devais accélérer l'allure puis le dindon se savant poursuivi essayait de m'échapper, mais il continuait de fuir, ensuite, je le perdis un peu de vue. Je dus me servir de mon nez pour le retrouver, je le retrouvais quelques mètres plus loin, il semblait un peu détendu malgré que ses plumes étaient encore toutes ébourriffées, alors pour ne pas le perdre de vue, une autre fois, je le laissais faire ses affaires et se calmer, en restant toujours près de lui, pour pouvoir lui sauter de nouveau dessus, alors je me tapis et je décidais d'attendre le bon moment pour lui sauter dessus. La patience était maître dans la chasse, alors c'est ce que je fis, je m'aplatis et attendait de nouveau un bon moment pour lui sauter dessus de nouveau.