Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.

Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.


 
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 Il faut apprendre de ses erreurs ...

Helya
Braise d'Hiver
Braise d'Hiver

Fiche de personnage
force:
Il faut apprendre de ses erreurs ...  Qkci105/100Il faut apprendre de ses erreurs ...  Qkci  (105/100)
agilité:
Il faut apprendre de ses erreurs ...  Qkci105/100Il faut apprendre de ses erreurs ...  Qkci  (105/100)
endurance:
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Helya
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Mar 27 Jan - 10:29



Il faut apprendre de ses erreurs ...
Helya , défi en solo
Force : 46 - Endurance :40 - Agilité : 35
Le froid était encore installé le sol est gelé et l'air glacial. On y respirait assez mal, ou du moins avec difficulté. À l'heure actuelle j'étais intéressée par les hommes, après avoir laissé un tas de ferraille près de nos terres, la terre des loups. Cette ferraille qu'il appelle le train, apparemment les hommes non plus n’ont pas la vie facile. Nous les loups, vivons comme nous pouvons, essayant de survivre dans ce paysage horrible, surtout avec la venue de la horde. J'espère sincèrement que l'histoire avec eux se termine rapidement.

Je m’avançai en direction du village des hommes, essayant de comprendre ce qu'ils font, est-ce qu'il son si redoutable ? çà oui, on le sait. Mais ont-ils l'intention de venir nous détruire ? nous mettre des bâtons dans les roues ? ou nous laissera-t-il tranquille ? ça il n'y a qu'une seule façon de le savoir, aller voir soi-même. Je sais qu'ils ont avec eux des chiens dressés qui se croient à tout prix supérieur au loup, ainsi que des objets curieux, des armes, et des engins tel que ce train, des camions et autres. Même si l'homme en lui-même n'est pas dangereux, il emploie des objets qui lui font mal ... Qui nous blesse, et nous tue.
Je m’approchai de ce village, entendant des bruits de machines, d'armes, je reniflai le sol à la recherche d'indice. Mes oreilles tendues, en alerte, mes pas sont légers et j'avance avec prudence. Je ne suis pas chez moi, et encore moins en sécurité. Mes yeux ne m’aideront pas à voir mais mes autres sens oui. Je n'entendis rien à part une machine bruyante qui devait ressembler à un camion, et sa fumée puante qui me fit baisser la tête pour éviter de respirer cette chose. Je ne compris pas vraiment ce qui se passa juste après. Un bruit strident telle une alarme, des chiens qui aboie des hommes qui crie, que se passe-t-il ? j'entendis des bruits dans ma direction, ils m'ont repéré, je fis demi-tour et couru aussi vite que je pouvais mais je fus stoper net par une chose autour de mon cou. C'est froid, dur et cette chose me tire en arrière. Je tombai dos au sol, trainer vers l'homme qui me tenait. Il criait, et j'entendis des pas d'autres hommes se rapprocher. Ils étaient là autour de moi, tapant des armes dans leurs mains parlant entre eux, ils communiquent. J'essayai de me remettre debout, en grognant. Mais l'homme qui me tenait comme une laisse tira pour essayer de me faire tomber. Je fis des mouvements vers lui pour éviter de chuter de nouveau. Je pris mes crocs et attrapai cette corde qui était dure, et me fit mal aux crocs, c'était froid, d'un gout immonde ressemblant au sang sans en être, et beaucoup trop dur pour le briser.

Mes pattes commencèrent à trembler, ce qui est normal, ce serait un miracle de se sortir de là. Griffant le sol, en essayant de me stabiliser, mais en vain, la chaine me fit faire des vas et viens pour m'empêcher de bouger. Des hommes s’approchèrent de moi, leurs respirations étaient rapides, ils avaient peur eux aussi, peur de quoi? de moi ? eh bien vous devriez ... Il s’approcha, je pouvais l'entendre, il n'était pas discret. Je lui montrai mes crocs et lui grogna dessus, mais l'homme qui me tenait tira sur la chaîne et m’obligea à reculer. Comme pour m'empêcher de faire du mal a son collègue d'humain, mais celui-ci était têtu et continua à s'approcher avec son arme dans la main. Un second bipède s'approcha, il n'avait pas d'arme, mais un objet qu'il tenait sur deux ou trois doigts, comme ceux que l'on met au chien pour les empêcher de mordre. Si veulent me mettre cette chose vous devriez venir à plusieurs, et pas a un. Les autres regardaient, comme pour voir qui sera celui qui m'attrapera. Un avec une masse, et l'autre avec une muselière. Je les fixai grandement de mes yeux blancs, en grognant, je jouais avec mes pas pendant que l'autre me tirait, mais je ne comptais me laisser faire.
Les deux s’approchaient en même temps, je sentais la chaine se durcir pour éviter de trop bouger, il s'approchait de plus en plus près ... un vers ma droite, l'autre vers ma gauche, celui à gauche tenait une arme, à droite voulait m'attacher encore plus. Je fis des va-et-vient avec ma tête pour connaître leurs mouvements constamment. Celui tenant la masse se rapprocha trop près, et frappa le sol avec, j'entendis la masse près de moi et fis un bon en arrière. Le bond fit stopper par la chaîne qui me fit tomber sur le côté. Tandis que j'étais au sol, l'homme tenait la muselière se rapprocha trop près et me toucha le poil. Je ne le laisserais pas faire, je levai la tête tous en essayant de me relever, et lui pris la main entre mes crocs, celle-ci laissa couler un flot de sang, il essaya de me repousser mais sans rien. L'autre homme pris sa masse et me frappa dessus, je sentis le poids et la vitesse dans mon dos. Il me fit tomber au sol, je sentis la douleur dans mon dos. Mais je ne pouvais pas rester au sol comme çà. Un avait déjà la main en sang, et deux autres essayèrent de me récupérer ou de me frapper encore. Je me retournai et lançai mes pattes vers les hommes, pour essayer de les griffer. Je réussis à griffer un des hommes, mais l'autre était coriace, et se défendait avec sa massue. Alors que la chaîne continuait de me tirer, et donner de la moue, je n'arrivais pas à rester debout constamment. Alors que celle-ci me fit reculer, j'attendis la moue pour bondir sur le 3e homme et lui griffer le visage. Je ne pense pas qu'il reviendra celui-là. Pour me punir l'homme qui me tenait par la chaine me refit tomber au sol. Je commençai à en avoir rallé bol de me faire trainer comme ça, mais temps qui restais des hommes à essayer de me frapper je ne pouvais rien faire.

Sur 5 hommes, 1 me tenait la chaîne, un autre était griffer au visage et c'était écarté, celui à qui j'ai mordu la main revenait vers moi, apparemment sa main ensanglantée ne suffisais pas. Et pour une fois, les deux autres qui se contentaient de regarder se rapprochèrent de moi. Je me retrouvais à 1 contre 3, enfin 4 si on compte celui qui me balade dans tous les sens. Il se mit autour de moi à faire du bruit contre le sol avec leurs masses. Mon dos me fessait mal, les coups de leurs masses étaient puissants, il valait mieux éviter d'en recevoir un autre. Les 3 hommes s'approchèrent de moi en même temps. Il me fallait quelque chose pour éviter de recevoir encore un coup, mais la chaine m'y empêche. Lorsqu'un se mit trop près de moi je pris tous mon poids pour faire un bond en avant et obliger l'homme qui me tenait de tomber ou d'avancer, ce qui me permit de mordre avec violence l'homme qui c'était rapprocher. Je lui bondis dessus le fit tomber et le mordis à l'épaule. Je ne savais pas ce que je venais de mordre avec mes crocs, je l'entendis hurler et cela fit réagir les 3 autres qui attrapèrent la chaîne de l'homme qui venait de tomber et m'éloigna de l'homme blessé. Je sentis que la chaine était prise par quelqu'un d'autre, je lui attrapai la main, comme au premier, le dernier homme m'attrapa une de mes pattes arrière, mais je ne lâchai pas la main de ma gueule. Je lui lançai un coup de patte et me retournai vers le dernier homme et lui mordit la jambe. Il me frappa avec sa masse ENCORE ! ce qui me fessait mal mais je ne lâchais pas. Je mordis encore plus forts, assez fort pour briser l'os de sa jambe et le mettre hors d'état.

Essoufflé, au dos brulant, des fractures, et du sang qui coulait du dos ... la gueule en sang de ceux des hommes. J'étais encore attaché à cette chaine. Je me tournai difficilement, et fixai le dernier, celui qui tenait la chaîne ... Ma langue pendait, fatigué, je ne voulais que m'écrouler mais pas maintenant. Il ne m'en restait plus qu'un ... je le fixai, et m'approchai lentement, très lentement de lui. De peur il tomba au sol, ses jambes tremblaient, je n'allais pas le laisser de chance. Lorsqu'il essaya de récupérer une des masses de ses collègues je lui attrapai la main, comme je l'avais déjà fait tant de fois. Il ne pouvait pas me faire tomber, je le fixai, lui grogna dessus, alors qu'il essaya de me gifler, de me frapper, je léchai mes babines et lui attrapa le coup. Les crocs plantés, les griffes sur son corps, alors qu'il me frappa la tête il finit par s'arrêter ... les bras pendaient. Je m'éloignai, et réussis à me défaire de la chaîne sur mon coup. Je m'éloignai du village avant que d'autre n'arrive, boitant, faible, je devais atteindre le territoire des loups, au moins. Je ne demande pas mieux. Reussisant a m'éloignée, je m'écroulai au sol sans retenue. Essoufflé, mon sang s'écoulant ... mes yeux se fermaient. Je verrais à mon reveil ce qu'il m'arrivera ...
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