F : 18 - A : 14 - E : 25
Tu continuais de longer les murs, les oreilles en arrière, te protégeant comme tu pouvais du vent et de la neige qui ne cessait de t'agresser, te ralentissant, te forçant à t'abriter à certains moment pour ressortir par une autre ouverture. Sur tes gardes, malgré le fait que tu ne puisses ni voir ni entendre, ton flair réussissant à capter parfois certaines odeurs mais, elle ne capta pas à temps, celle qui te venait droit dessus …

Un sanglier fit irruption, te percutant et te faisant rouler plus loin. Tu te redresses, les crocs visibles, un grognement sourd sortant du fond de ta gorge tandis que tes d'yeux pâles se posèrent sur la cause de cette chute. Le sanglier était là, face à toi, grattant férocement le sol de son sabot, de la fumé sortant de ses immenses naseaux à cause du froid et, le regard fou. Étais-tu sur son territoire ? Près de sa progéniture peut-être ? Chose sûr, tu n'étais pas la bienvenue et, il te le prouvait en t'agressant sans crier gare. Il grommelle, nasille puis, te fonce de nouveau dessus mais, cette fois-ci, tu t'étais préparé … Esquivant sa charge, le sanglier faillit finir sa course dans un mur mais, s'arrêta à quelques centimètres des briques avant de se retourner. Tu savais que tu ne pourrais lui échapper, pas maintenant et, de toute manière, tu t'en fichais, il était là alors, pourquoi ne pas en profiter ? Tenter de l'attraper, le tuer et le ramener ? Oui, là allait être l'objectif, choper ce sanglier !

Montrant davantage les crocs, tu te rus dans sa direction, bondit pour lui sauter dessus et, attrape la peau de son dos. Le sanglier s'affole, se met à courir dans tous les sens en essayant de te désarçonner, se jetant littéralement contre les murs. Tu tiens bon, serrant un peu plus ta mâchoire, tu ne devais pas te faire éjecter, non, sinon, il aurait le dessus et, tenterait t'écraser de ses puissants sabots. Malheureusement, le coup que tu reçus entre le poids de ta proie et le mur contre lequel il t'avait bloqué. Lâchant prise, tu tombes sur le sol dans un couinement puis, tentes de te redresser mais, voilà que le sanglier te charge de nouveau, te forçant à bouger tu esquives de justesse avant de te jeter à son cou, le mordant aussi fort que possible, tes crocs transperçant la peau dur de l'animal pour pénétrer sa chaire, faisant lâcher un cri au sanglier qui se secoua dans tous les sens avant de te faire lâcher de nouveau prise, prit la fuite. Non … Il ne fallait pas qu'il fuit … Tu dois le traquer avant qu'il ne disparaisse dans le blizzard ! Tu te redresses et, te met à courir afin de le poursuivre ...

9 - 3 (malus) = 6 (raté)

F : 18 - A : 14 - E : 25
Tu pourchassais ta proie, bravant le blizzard, essayant de ne pas le perdre de vu, usant de ton odorat pour pouvoir le suivre. Fort heureusement, tu l'avais bien blessé, ainsi, il laissait une traînée de sang qui te permettait de pouvoir le suivre facilement sous cette tempête. Il ne pouvait pas aller bien loin, surtout si son territoire était ici, à moins qu'il ne tente de t'éloigner de l'endroit où il vit ou t'amène dans un piège ? Très peu probable … Les sangliers ne sont pas aussi intelligent, du moins, pas que tu saches … Tu continuais de courir, malgré les blessures qu'il t'avait fait, tu doublais d'effort pour pouvoir le suivre, évitant de te faire distancer car, même si il était bien blessé, il continuait à courir sans relâche, t'empêchant ainsi de le suivre correctement et, probablement, essayant de te perdre sous ce rideau de neige épaisse.

Tu commençais à fatiguer mais, tu ne pouvais t'arrêter, hors de question ! Malheureusement, il commençait à réellement te distancer et, bientôt, tu le perdis de vu dans le blizzard, ne voyant plus le moindre point noir qui te permettait de lui suivre. Si tes yeux te sont de nouveau aveugle, use de ton flaire ! Baissant le museau vers le sol enneigé, tu te mets à humer les empruntes et tâches de sang qui se trouvait sur le tapis de blanc. Tu te remis à le traquer, grâce à cela cette fois-ci, tes oreilles bien dressé sur le haut de ton crâne, ignorant le vent qui siffler à l'intérieur et la neige qui tentait de s'y inviter. Tu n'en avais que faire de cela désormais, tu devais continuer la traque, le chasser et, l'attraper.

Combien de temps cela te prendrait-il ? Avait-il prit beaucoup d'avance ? Lorsque tu étais sûr de la direction à prendre, tu te mettais à courir de nouveau afin de pouvoir essayer de le rattraper. Qui sait , peut-être que la blessure que tu lui as infligé commencera à le fatiguer ...

5 - 3 (malus) = 2 (raté)

F : 18 - A : 14 - E : 25
Ta traque finit par retomber de nouveau nez à nez avec le sanglier, celui-ci semblait à bout de force, tout comme toi d'ailleurs, il allait falloir que tu réussisses à l'avoir avant que ça ne soit lui qui t'ai. Un grognement monte du fond de ta gorge, interpellant ainsi le gibier blessé qui se retourna dans ta direction. Soufflant, il te fit complètement face, son regard de nouveau fou, comme si la peur n'existait pas en lui, comme si il ne craignait pas de mourir de tes crocs, comme si il n'avait pas peur de ce qui pourrait lui arriver. Tu te positionnes, tandis que le sanglier se met à gratter furieusement le sol de son sabot, soufflant de l'air chaud de ses narines. Ton grondement se faisant de plus en plus menaçant tandis que tes crocs étaient complètement déployés. Le combat allait reprendre. Qui de lui ou toi réussira à gagner ? Tu n'en savais rien car, ces bestioles étaient connu pour être difficile à terrasser, le genre de gosse proie qu'on ne prend pas à la légère, qu'on ne donne pas à chasser à un chasseur bleu. Non, ce genre d'animal n'était pas de ceux qu'on pouvait battre aussi facilement sans se fatiguer mais, tu n'en avais que faire de la fatigue, tu l'ignorais royalement tandis que ta détermination pour lui rompre le coup était toujours plus présente.

Le sanglier se mit à charger dans ta direction, tu en fis de même, tes pattes faisant de gros effort pour te permettre de courir vite mais, surtout, pour se préparer au bond que tu allais faire, à quelques mètres du sanglier pour ne pas qu'il te touche mais, surtout, pour le surprendre. Tu bondis d'un seul coup, passant juste au-dessus de sa tête. Il s'arrêta net, te suivis du regard mais, ne réagit pas assez vite. Une fois de nouveau au sol, tu te retournes d'un seul coup et, lui attrape la queue, tirant aussi fort que possible. Le sanglier se mit à hurler, se retournant pour pouvoir se défendre mais, l'ayant vu venir, tu l'avais lâché, bondit en arrière pour reculer avant de te remettre à courir mais, cette fois-ci, en cercle, autour de ta proie. Le sanglier tente de te suivre du regard mais, la neige l'aveugle à certain moment et, tu le sens commencer à s'épuiser, il te fallait l'attaquer et, au plus vite …

10 - 3 (malus) = 7 (raté)

F : 18 - A : 14 - E : 25
Tu bondis soudainement sur lui, essayant de l'attraper, ce que tu réussis. Accroché à son dos, plantant tes crocs une fois encore, lui infligeant une nouvelle blessure et, le faisant hurler sous la douleur, tu tentes de rester perché là, essaye de le faire tomber au sol mais, ce sanglier ne semblait pas vouloir se laisser avoir aussi facilement et, malheureusement pour toi, il t'avait effectivement mené à un piège …

Un nouveau sanglier sort d'entre les ruines d'une maison et, se jette littéralement sur toi, manquant de piétiné son confrère. Tu esquives de justesse mais, le nouveau sanglier ne semble pas être prêt à te laisser en paix, le problème, c'est que toi tu étais fatigué et lui non. Il te fallait donc fuir, te retirer avant que ça ne soit toi qui finisse dans un état lamentable. Tu te mets à courir, à l'opposé des deux mammifères alors que l'un d'eux tentait de s'en prendre à toi une fois encore. Hors de question qu'il te touche, tu avais déjà souffert de ton autre duel avec l'autre sanglier, si celui-ci réussissait à te choper, tu ne donnais pas cher de ta peau.

Fuyant aussi rapidement que possible, tu battis en retraite sans chercher à savoir où te mènerait tes pattes, l'importance était simplement de mettre de la distance entre le sanglier et toi et, surtout, de pouvoir trouver refuge dans un endroit calme afin de refaire un peu tes forces, au moins pour pouvoir rentrer sur les terres Sekmet sans risquer de croiser un quelconque autre prédateur qui risquerait bien de te terrasser aussi facilement qu'une mouche.

Tu te réfugies dans un bâtiment et, te fond dans l'obscurité, ton flair s'assurant que tu étais seul car, il était hors de question que quelque chose vienne te tomber dessus … Pas maintenant … Une fois l'endroit sûr, tu te laisses tomber sur le sol, épuisé. Du repos il te fallait, du repos tu ferais, le temps que tes blessures te soient moins douloureuses pour pouvoir reprendre ta route ...

6 - 3 (malus) = 3 (raté)

F : 18 - A : 14 - E : 25
Ton corps était douloureux, suite au coup que tu avais reçu, les blessures causés par le corbeau plus tôt dans la soirée, n'était plus que croûtent de sang en train de se former. Ta lutte contre le sanglier t'avait épuisé, ta traque également et, ta dernière lutte faillit bien te coûter toute ton énergie. Tu restais donc là, tapis dans l'obscurité de ce bâtiment, retrouvant peu à peu ton souffle, savourant cette fois-ci la fraîcheur de l'air et du sol qui te procurait un bien fou contre ton dos douloureux. Ton poitrail se gonfle et, se dégonfle d'un seul coup tandis que tu lâches un soupir. Quelle soirée de merde … Tu avais bien du mal à chasser en cette soirée et, en cette période tout court. Serais-tu rouillé ? Pourtant, chasser, tu avais fais ça à chaque instant de ta vie alors, pourquoi ? Pourquoi étais-tu aussi faible ? Certes, les proies se faisaient rare mais, cela n'excusait pas le fait que tu fatigues autant pourtant, ce n'est pas comme si tu ne pouvais pas te nourrir, loin de là. Le garde-manger des Sekmet étaient correct, même si tu ne mangeais que ce dont tu avais besoin pour tenir sans de surplus alors, qu'est-ce qui n'allait pas ?

Peut-être était-ce le fait d'être de retour sur ces terres qui te faisait cela, d'être de retour auprès de ceux qui t'ont vu naître et grandir. Peut-être est-ce l'approche de cette guerre qui te perturbe ? Les incertitudes de ta famille qu'il te reste ? Tu n'en sais trop rien pour dire vrai … Peut-être est-ce tout simplement cette saison qui te rend ainsi, ces tempêtes répétés, bref, tu n'en savais rien et, cela t'agaçait … Tu fermes les yeux, décidant de dormir un peu mais, sur une oreille, on ne sait jamais ce qui peut rôder dans le coin …

Tu te laisses peu à peu emporter par ta fatigue …

Un bruit te réveil, le bruit d'un cailloux roulant sur le sol défoncé du bâtiment. Tu ouvres les yeux redressant la tête, les oreilles bien droite. Tu observes malgré ta vue réduite, tournant la tête d'un côté à un autre en cherchant d'où provenait ce bruit. Peut-être ton imagination ou, parce que tu n'avais pas l'esprit tranquille ? Tu allais laisser cela de côté, commençant à reposer ta tête sur le sol lorsqu'un nouveau bruit retenti. Cette fois-ci, tu fis un bond, te redressant rapidement sur tes pattes, tes babines commençant à se retrousser, la crête de ton dos s'hérissant. Ô que non, tu n'avais pas halluciné, quelque chose avait bel et bien fait du bruit et, quelque chose était bel et bien là … Tu pouvais sentir l'odeur de l’intrus, son odeur … Le sanglier était de retour, visiblement, il ne te laisserait pas tranquille. Qu'importe ce que tu as pu faire, qu'importe qui était cet autre sanglier que tu avais bien amoché, visiblement celui-ci comptait se venger …

Méfiant, tu restes vigilent au moindre bruit car, il était là en train de t'observer et, il était hors de question qu'il t'attrape, encore moins par derrière … Un grondement sort de ta gorge, raisonnant légèrement dans le bâtiment presque vide désormais. Si le sanglier était là alors, il ferait mieux de faire attention car, tu ne le laisserais pas s'en tirer aussi facilement. Tu avais pu te reposer, certes, pas longtemps mais, cela te suffisait et, de toute manière, tu ne comptais pas perdre contre un tel mammifère Il venait te défier ? Alors tu le défierais et, tu l'emporterais car, tu ne pouvais perdre la vie face à un tel animal, Ô que non … Grognant plus fort encore, le sanglier finit enfin par se montrer dans une ouverture de porte. Le voilà, enfin … De ses naseaux, de la fumée en sort car, il faisait très froid ici mais, cela n'avait que peu d'importance, ce qui comptait, c'était lui et toi … Tu te prépares donc alors, pour le prochain assaut ...

11 - 3 (malus) = 8 (réussi)

F : 18 - A : 14 - E : 25
Il s'en ait prit à elle, l'a blessé, pourchassé mais, fort heureusement, elle était maline et, elle était revenu à moi, suffisamment prêt pour que je puisse lui venir en aide, quoique trop tard à ma plus grande tristesse … Quand j'ai entendu ses cris, j'ai bondit, hors de cette cave qui nous servait de foyer, à elle et nos petits. Je l'avais vu, accroché à la peau de son dos, elle souffrant et, l'odeur du sang emplissant mes naseaux. Cette odeur avait commencé par me rendre fou et à brouiller ma vu tandis que la colère montait en moi, sans même faire attention à elle, j'avais chargé … Le loup avait réussi à esquivé et, avait prit la fuite, je l'ai pourchassé, un moment puis, je suis revenu sur mes pas, je ne pouvais la laisser en arrière, non, pas tant que je ne m'assurais pas qu'elle allait bien … Je retourne auprès d'elle mais, il était déjà trop tard … Sa vie commençait à s'estomper tant elle avait perdu de sang et tant elle avait fait d'effort pour fuir son agresseur. Ses yeux devenaient livides alors que les dernières lueurs de sa vie la quittait. La poussant doucement de mon groin dans une marque d'affection, je restais là un moment, auprès de la dépouille de ma compagne, ma bien aimé. Elle avait périt, périt sous les crocs d'un loup et, ce loup n'en ressortirait pas indemne …

Aveuglé par la tristesse et la rage, j'ignorais la tempête qui faisait rage pour partir à la recherche de ce prédateur. Tout ce que je souhaitais ? Juste pouvoir la venger, la venger pour qu'elle puisse reposer en paix. De mes puissants sabots, j'avance toujours plus vite alors que je suis la piste de ce loup, son odeur étant encore bien présente malgré la neige qui ne cessait de tomber. Je me perdis, un moment mais, à force d'effort, je finis par le retrouver, sa trace … Il était là, terré dans un bâtiment, comme si cela allait pouvoir le sauver … Je m'approche, doucement, m'assurant qu'il était bien seul, hors de question que je tombe sur un traquenard ou un bâtiment abritant davantage de ces sales canidés. Je tourne autour du bâtiment puis, une fois être sûr qu'il n'y avait personne d'autre que lui, je pénètre le bâtiment, me rapprochant peu à peu de l'endroit où il se trouvait, l'observant de loin. Je sais qu'il m'a sentie mais, je ne cherchais pas à me cacher de toute manière. Il avait un sacré flaire, il faut l'avouer. Ses grognements me montent aux oreilles, je finis par me présenter à lui …

Face à face, à plusieurs mètres de distance, je me prépare. Pour elle, pour la venger, je donnerais tout, je ne laisserais pas ce loup vivre, il ne le mérite guère, assassin qu'il est … Je gratte le sol dur de mon sabot droit, expire en laissant un petit nuage blanc de fumé en sortir, le froid n'avait que peu d'importance car, à l'heure actuel, mon sang n'était que lave en fusion et, j'étais prêt à exploser, il était temps …

Je fonce dans sa direction, il attend, ne bouge pas, que fait-il ? Avait-il décidé d'abandonner aussi facilement ? Soit … Je balayerais sa misérable vie … Alors que je m'approche je ne le vois pas se préparer à bondir et, c'est lorsque je me trouve qu'à seulement quelques mètres de lui qu'il sauta sur le côté, esquivant ma charge et, me laissant me prendre le mur avec fracas. Ça fait mal, je sens le sang couler sur mon front mais, cela ne fait qu'attiser ma folie et mon envie de le voir périr. J'oublie la douleur et, me retourne, lui faisant de nouveau face alors qu'il restait planter là, à quoi jouait-il ? Je n'en sais rien mais je n'en ai que faire … Je me remet à le charger et, il répéta son action d'avant. Comment ai-je pu ainsi me faire avoir ? Deux fois qui plus est ! Ma rage m'aveugle trop, je dois me ressaisir, il jouait avec moi, cherchait à m’essouffler et, probablement évite-t-il la confrontation au corps à corps, peut-être est-il trop fatigué encore pour pouvoir luter, sale petite vermine … Je t'apprendrais à te jouer de moi de la sorte …

Je le charge, une fois encore mais, cette fois-ci, je ne me laisse pas berné et, change de sens au dernier moment tandis que je suivais ses mouvements du regard. L'impact fut violent et, le voilà projeté, roulant sur le sol dur, ah ah ! A qui croyais-tu avoir à faire, pauvre petit loup ?! Il se redresse, difficilement tout en grognant de plus belle mais, hors de question que je lui laisse une chance de contre-attaquer ! Je lui fonce dessus, essayant de l'avoir avec mes défenses. Il couine, j'ai dû réussir à le blesser ! Je le fais reculer, alors qu'il tente de s'accrocher pour ne pas finir piétiné par mes sabots. Je le bloque contre un mur, il grogne, de la bave sortant de sa gueule tandis que je tente de le faire suffoquer mais, j'oublie complètement ses pattes arrières et, à l'aide de celle-ci, me griffe le ventre. Hurlant ma douleur, je me recule, soufflant alors que je me prépare à le charger à bout portant, je n'aurais pas dû il en profite pour se jeter sur moi et, à l'aide de tout son poids, m'entraîne au sol. Nous roulons, il s'agrippe à moi, plante ses crocs dans ma chaire mais, je n'en ai que faire, je suis désormais ivre de rage ! Je lutte, essayant de me débarrasser de ce maudit insecte qu'il était à mes yeux ! Sa mâchoire ne cesse de se refermer, je sens une atroce douleur sur mon dos alors que je pouvais sentir l'odeur du sang se faire plus forte, l'odeur de mon propre sang !

Je réussi à le faire lâcher prise mais, cette fois-ci, c'est lui qui a le dessus et m'attrape de nouveau, cette fois-ci à la gorge. Il faut que je me débarrasse de cet avortons ! Je fonce contre un mur, je n'ai que faire de la douleur, il doit me lâcher et c'est tout ! L'impacte est douloureux mais, il ne lâche toujours pas prise, restant accrocher férocement à ma gorge. J'ai mal, de plus en plus mal mais je ne peux m'empêcher de vouloir sa mort ! Je tente une fois encore de le faire lâcher prise mais, le voilà qu'il réussit à me grimper sur le dos, mettant tout son poids pour tenter de me faire tomber, sauf que je suis bien plus fort qu'il le croit ! Maudit sois-tu misérable loup ! Tu ne m'emporteras pas aussi facilement ! Du moins, c'est ce que je pensais et espérais …

Le loup se faisait de plus en plus impatient et, alors que je commence à perdre la tête sous la perte de mon sang, il me lâche et, me mord les pattes arrières pour tenter de les briser, les blesser suffisamment pour que je ne puisse plus charger, idiot ! Mais cette fois-ci, l'idiot, c'est moi ! Idiot d'avoir sous-estimé ce loup, idiot d'avoir laissé ma rage prendre le dessus ! Voilà que je suis en train de me faire piétiner par ce prédateur ! Je m'écroule et, malgré tout, je persiste à me défendre, à le blesser. Il m'attaque de nouveau à la gorge et, me lacère le ventre de ses pattes, je ne peux désormais que hurler ma douleur et mon impuissance alors que je commençais à tourner de l’œil, enfin de compte, je n'aurais pas réussi à la venger mais, désormais, je vais pouvoir la rejoindre … Adieu triste vie ...

THE END