[Décompte = 8 de résultat, -3 de malus, + 6 de bonus jauges = 11
De 12 à 8 --> vous trouvez et attrapez quelque chose]
Sautant d'îlots en îlots, Yroen se rapprochait peu à peu de l'épicentre ces vaguelettes. Enfin, au détour d'un buisson épineux, la louve réussit enfin à distinguer l'animal à l'origine de tout cela. Un milieu d'un bras d'eau, un tortue de la taille d'une petite citrouille nageait paisiblement. Yroen arrêta sa course, stupéfaite. Elle s'attendait bien à tout, sauf à cela.
A petit pas, elle s’approcha néanmoins de la rive pour observer l'animal. C'était la plus grosse tortue qu'elle n'avait jamais vu. D'ordinaire, celles qui l'ont trouve de temps en temps en foret sont beaucoup plus petites et détestent l'eau. Celle-ci était peut-être une de leur cousine aquatique ? quel gout pouvait-elle bien avoir ? Oui ... tout ceci devenait de plu en plus intéressant.
Yroen pénétra dans l'eau et vient se poster sur le chemin de la tortue. D'un coup de mâchoire habile, la louve happe l'une des pattes palmées de l'animal et entreprit de la tirer jusqu'à la rive. Aidée par la portée de l'eau, ramenée la tortue de fut pas bien difficile. En revanche, la tâche se compliqua nettement une fois sur la rive. Bien plus grosse que ses cousines terrestre, Yroen eu du mal à tirer sa proie. Poussant sur les pattes et tirant de toutes ses forces, elle réussit néanmoins.
Bien. Maintenant privée de l'aisance que lui procurait son milieu aquatique, la tortue ne pouvait plus s'échapper. La mettre à morte et rompre sa carapace était une tâche plus ardue. Sentant le danger, l’animal s'était repliée au cœur de son armure d'écailles. Très bien ... après tout Yroen avait tout son temps ...
La louve s'allongea sur le sol du marécage, la tortue déposée entre ses pattes avant et entreprit d'essayer de fendre sa carapace. L’exercice fut long et difficile. Yroen enserra la bâte se ses crocs et serrant de soute ses force. Dans un sens, puis dans l'autre. Donnant des coup de pattes féroce et puissants, projetant l'animal contre le tronc d'arbres environnant. Mais rien à faire, l'armure d'écailles était résistante ... Essoufflée par ses multiples tentatives, Yroen sentait la colère monter en elle. Comment un si petit animal pouvait il lui résister. Mais la louve était persévérante, et elle n'était pas prête à jeter l'éponge.
Dans un ultime effort, Yroen saisit à nouveau la tortue encore ses crocs et serra de toute ses forces. Les multiples coups qu'elle avaient déjà portés à la tortue avaient peu à peu fendillés l'armure de cette dernière, si bien que cette fois-ci, la carapace émit un craquement sinistre, avant de se rompre. Satisfaite, Yroen pu enfin se régaler de la chaire de sa victime.